9 janvier 2012
djamel, multi-délinquant libre grâce à une "erreur"
delinquant,recidiviste,bobigny,93,extreme gauche,collabo,juge,justice,jugeotte ,ubuesque,ubu,drogue,trafiquant,tgi,justice,complice,avocat,avocallion,ps,ump,projet pour la france,presidentielle,2012
«Il n’aurait jamais dû profiter d’un bon de sortie. » Le parquet d’Evry est formel, une erreur a été commise. Jamais Djamel, 25 ans, caïd de la drogue vivant à La Courneuve (93) et détenu à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, n’aurait dû bénéficier d’une permission pour Noël.
Les magistrats ont demandé un compte rendu détaillé des événements à l’administration pénitentiaire. Contactée hier soir, la direction de la prison n’était pas joignable.
Depuis octobre, Djamel purgeait une peine de six mois de prison pour deux délits. Il avait notamment été condamné pour des violences sur personne dépositaire de l’autorité publique. Et il avait également échangé près de 100000 € en espèce dans le casino d’Enghien-les-Bains (95), mais la somme comprenait des faux billets.
Placé dans le bâtiment D3 des condamnés à la prison de Fleury, il en a été extrait le 15 décembre. Rattrapé par une enquête au long cours sur le trafic de stupéfiants qu’il est suspecté d’organiser avec d’autres membres de sa famille, Djamel est passé en comparution immédiate ce jour-là au tribunal de Bobigny (93). Il a demandé un délai pour préparer sa défense et a été placé en détention provisoire en attendant d’être jugé le 25 janvier.
Seul problème, il faut attendre quelques jours pour que la fiche pénale de Djamel soit actualisée. Et dès le lendemain, le 16 décembre, le juge d’application des peines est amené à statuer sur une demande de permission. Le magistrat ne peut pas savoir que ce jeune homme, a été placé en détention provisoire dans le cadre d’une autre affaire. Cette mesure interdit en effet tout aménagement de peine.
Le juge accorde donc un bon de sortie à Djamel pour Noël. Le 23 décembre, il sort sans être inquiété. « Soit sa fiche pénale n’a pas été remplie à temps, soit il n’y a pas eu les vérifications nécessaires », soupire une source proche du dossier. Djamel devait réintégrer sa cellule le 26 décembre. Mais il n’a pas remis les pieds à Fleury et les policiers sont sans nouvelles de lui.
Le parquet de Bobigny, qui connaît très défavorablement la famille de Djamel, a été chargé de retrouver le fugitif. A moins qu’il ne prenne tout le monde de court et ne décide de réapparaître à son procès, le 25 janvier. Contacté hier soir, l’avocat de Djamel, Me Joseph Cohen-Sabban, n’a pas souhaité s’exprimer.
Les magistrats ont demandé un compte rendu détaillé des événements à l’administration pénitentiaire. Contactée hier soir, la direction de la prison n’était pas joignable.
Depuis octobre, Djamel purgeait une peine de six mois de prison pour deux délits. Il avait notamment été condamné pour des violences sur personne dépositaire de l’autorité publique. Et il avait également échangé près de 100000 € en espèce dans le casino d’Enghien-les-Bains (95), mais la somme comprenait des faux billets.
Placé dans le bâtiment D3 des condamnés à la prison de Fleury, il en a été extrait le 15 décembre. Rattrapé par une enquête au long cours sur le trafic de stupéfiants qu’il est suspecté d’organiser avec d’autres membres de sa famille, Djamel est passé en comparution immédiate ce jour-là au tribunal de Bobigny (93). Il a demandé un délai pour préparer sa défense et a été placé en détention provisoire en attendant d’être jugé le 25 janvier.
Seul problème, il faut attendre quelques jours pour que la fiche pénale de Djamel soit actualisée. Et dès le lendemain, le 16 décembre, le juge d’application des peines est amené à statuer sur une demande de permission. Le magistrat ne peut pas savoir que ce jeune homme, a été placé en détention provisoire dans le cadre d’une autre affaire. Cette mesure interdit en effet tout aménagement de peine.
Le juge accorde donc un bon de sortie à Djamel pour Noël. Le 23 décembre, il sort sans être inquiété. « Soit sa fiche pénale n’a pas été remplie à temps, soit il n’y a pas eu les vérifications nécessaires », soupire une source proche du dossier. Djamel devait réintégrer sa cellule le 26 décembre. Mais il n’a pas remis les pieds à Fleury et les policiers sont sans nouvelles de lui.
Le parquet de Bobigny, qui connaît très défavorablement la famille de Djamel, a été chargé de retrouver le fugitif. A moins qu’il ne prenne tout le monde de court et ne décide de réapparaître à son procès, le 25 janvier. Contacté hier soir, l’avocat de Djamel, Me Joseph Cohen-Sabban, n’a pas souhaité s’exprimer.
http://www.leparisien.fr/evry-91000/un- ... 797270.php
tiens, toujours à la courneuve d'autres gros trafiquants de stup ont été libérés au bout de 4 mois après une "erreur" du juge d'application des peines (ou du JLD, je ne sais plus)
leTGI de bobigny. les grands copain des racailles trafiquantes
Publicité
Publicité
Commentaires