ubuesque ce clown d'avocat
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c est le parents qui devrait allez en prisons au contraire il est temps de faire porter la responsabilite d'une mauvaise education sur les parents
sinon il y avait une personne de 19 ans, donc il ne s'agissait pas de 3 mineures.La seconde, c'est que les 3 jeunes sont descendues en gare de Pierrelatte, assez loin de l'autoroute. La 3em, c'est qu'un contrôleur n'a pas pour fonction d'appeler la police pour une absence de billets.
certains avocaillons en manque d euros croient qu ils vont transformer la societe francaise en societe us ou les layers pourrissent completement cette societe mais ils se trompe il risque meme d'y avoir un mechant retour de baton de la part de la societe sur leur caste pourris jusqu a la moelle
Jeunes filles fauchées sur l'A7 : la famille va porter plainte contre la SNCF
Une plainte va être déposée lundi pour non-assistance à personne en danger, visant la SNCF, après la mort de trois Marseillaises fauchées sur l'A7 après avoir dû descendre d'un train faute de billet, a indiqué l'avocat Gilbert Collard, qui représente trois oncles des victimes.
"Cette plainte a pour but de mettre en cause l'agent de la SNCF et la SNCF qui auraient dû, s'agissant de personnes sans titre et sans papiers d'identité, informer la police, d'autant qu'on avait affaire à des gens mineurs", a déclaré lundi à l'AFP Me Collard, confirmant une information du Parisien/Aujourd'hui en France.
Peu avant minuit vendredi, Carmen, 12 ans, Charlotte, 13 ans, et Victorine, 19 ans, marchaient seules sur l'autoroute, à hauteur de Saint-Paul-Trois-Châteaux, dans la Drôme, quand elles ont été percutées par plusieurs véhicules alors qu'elles traversaient la voie rapide.
Les trois jeunes filles étaient parties sans laisser d'explication, sans que cela inquiète leurs parents. Ceux-ci ont été entendus dimanche après-midi par la police à leur domicile de la cité de la Castellane, dans les quartiers nord de Marseille, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Les policiers du commissariat du 15e arrondissement, qui travaillent en étroite collaboration avec les gendarmes drômois, ont saisi des vêtements et affaires personnelles afin d'effectuer des relevés d'ADN pour confirmer leur identité, en raison de la grande dégradation des corps.
Selon un témoignage, les trois jeunes gitanes étaient à bord d'un train au départ de Marseille et avaient été priées d'en descendre, faute de billet, en gare de Pierrelatte, à une quinzaine de kilomètres du lieu de l'accident.