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10 décembre 2012

Education opération séduction du gouvernement pour recruter des profs

je n ai qu un conseil a vous donner ne mettez jamais les pieds dans cette boite de merde hyper mal geré

on fait pas de l enseignement juste du gardiennage dans ce fouttoir qu est le mamouth et je le sais car je suis un ex enseignant

bon je suis d'accord la pluspart des gens qui rentrent dans le mamouth ( engagez vous qu ils disaient lol) le font pour pas etre au chomage parcequ il n ont pas trop le choix mais arreté de croire a la com mensongere des bouffons des rectorats et des abrutis du ministere qui essayent de vous faire croire que vous aller faire de l enseignement vous serez juste la pour gardé des imbeciles qui en ont rien a faire d'apprendre

un prof actuel  c'est plus proche d'un os de chez renaults que d'un enseignant qui ai la pour transmettre savoir l os voit defiler les carroseries de bagnoles et on lui demande jamais son avis ben un enseignant cest pareil on vous imposera une 100 d'eleves et ferme ta geule demmerde toi avec .....


bref n imaginez surtout pas que c est mieux que le privé vous vous mettez le doigt dans le cul

 

Le gouvernement a lancé lundi une campagne de recrutements massifs d'enseignants, une opération séduction pour redorer l'image du métier et tenir la promesse emblématique de la campagne de François Hollande de créer 60.000 postes sur le quinquennat.

"Je viens dire aux étudiants de France, la France a besoin de vous", a déclamé Vincent Peillon dans un amphithéâtre de l'Université Sorbonne Nouvelle Paris III, vantant "le plus magnifique des métiers".

"Cette année, nous allons recruter 43.000" enseignants en deux concours, a rappelé le ministre de l'Education. En tenant compte des 60.000 créations de postes et des remplacements des départs à la retraite, "nous avons besoin de 150.000 professeurs pour les années qui viennent" afin de former "des millions d'enfants", a-t-il souligné. "Nous avons besoin de nouveaux hussards noirs".

"S'il faut faire dans la durée évoluer le métier, j'y suis prêt. Si derrière cette évolution il y a des conséquences salariales, j'y suis prêt aussi", a-t-il déclaré à la presse.

Sur RMC/BFMTV, M. Peillon s'est dit prêt à ouvrir en janvier "une grande négociation" sur "les contenus (qu'est-ce qu'on fait quand on enseigne ?), le développement de carrière, le temps de travail et bien évidemment la question de la revalorisation".

S'il est "réjouissant" de voir de nouveau l'Etat recruter, "il va falloir remobiliser les vocations", "notamment avec une politique salariale digne de ce nom pour des gens recrutés à bac+5", a prévenu Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire.

"Nous allons changer le métier d'enseignant" en leur donnant une formation et de la considération, a estimé M. Peillon devant les étudiants.

"Il était urgent de redonner à ce beau métier toute son attractivité", a souligné la ministre de l'Enseignement supérieur Geneviève Fioraso, rappelant qu'enseigner "s'apprend".

Pour soutenir les vocations, le gouvernement a lancé une campagne multimédia baptisée "Ambition enseigner". Sur chaque affiche, un jeune souriant lève la main en réponse à la question "Qui veut la réussite de tous ?", "Qui veut étudier l'esprit libre ?" ou "Qui veut apprendre à enseigner ?".

Arguments mis en valeur: plus de 43.000 recrutements en 2013-2014, mise en place d'une formation rémunérée et création sur trois ans de 18.000 "emplois d'avenir professeur" pour aider des étudiants modestes à poursuivre ces longues études - cinq ans depuis 2010.

Ce volume de recrutement, inédit depuis longtemps, permettra aussi de relancer la formation initiale des enseignants, quasi-disparue sous la droite, qui avait supprimé 80.000 postes.

Mais même avec un nombre de postes réduits, l'Education nationale ne parvenait pas ces dernières années à recruter suffisamment de professeurs dans certaines disciplines. Lors des derniers concours du Capes, 706 postes sont restés vacants (978 en 2011), soit près de 15% des postes.

"Les viviers" d'étudiants qui se présenteront aux concours "sont suffisants", a estimé M. Peillon, concédant que pour des matières comme les mathématiques, l'anglais et les lettres, il y aura "plus de difficultés".

"On sait un peu plus à quelle sauce on va être mangés, bien que ce ne soit pas encore clair", a réagi Cathleen, en 3e année de licence.

"Ce qui bloque les gens, c'est la difficulté du métier, qui a énormément perdu au niveau de la reconnaissance", selon Catherine, professeur d'histoire-géographie et formatrice. "Les étudiants sont aujourd'hui terrorisés par la gestion de classe", tandis que pour les matières où il y a d'autres débouchés, le salaire bloque".

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