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projet pour la france
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11 décembre 2012

Mourir à l'hôpital reste la norme en France malgré le désir de changement

La fin de vie se déroule encore très généralement à l'hôpital en France malgré la volonté de "limiter la médicalisation" des derniers instants de l'existence, indique un rapport publié mardi.

Un infirmier aide une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer à marcher, le 22 décembre 2006 dans le département gériatrie de l'hôpital Saint-Jean de Dieu à Lyon

"Près de 60% des Français décèdent à l'hôpital", indique ce rapport, basé sur des chiffres de 2008 et publié par le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).

Pourtant, "la +déhospitalisation+ de la mort est un enjeu important tant pour répondre aux souhaits de la population qu'en raison du coût financier lié à une hospitalisation", souligne l'étude, signée par des responsables de l'Observatoire national de la fin de vie et de CépiDC (organisme collectant les données sur les décès).

La plupart des patients expriment le désir de finir leur vie chez eux et, parallèlement, se développent des politiques de santé pour favoriser le maintien à domicile des patients, y compris en fin de vie, avec par exemple le développement des soins palliatifs à la maison.

Mais les chiffres montrent une réalité toute différente: "En 2008 en France, 57% des décès sont survenus à l'hôpital, 27% à domicile et 11% en maison de retraite", indique ce rapport, notant au passage que la probabilité de mourir à l'hôpital n'a pas varié en 15 ans.

L'étude ne propose pas de comparaison globale avec les autres pays européens, mais un précédent rapport ("La mort à l'hôpital", de l'Inspection générale des affaires sociales) notait que la France occupait une "position intermédiaire" en Europe ou par rapport aux pays nord-américains.

Ce dernier rapport notait une proportion de décès à domicile bien supérieure en Italie (40,6% en 2006), mais inférieure au Royaume-Uni (19,5% en 2007) et aux Etats-Unis (24,4% en 2004).

L'étude du BEH donne quant à elle le détail des lieux de décès en fonction de la cause de la mort et note que "la grande majorité des décès par tumeur se produisent à l'hôpital (72%)".

Vieillissement de l'entourage

Cette proportion est nettement plus importante que celle observée dans plusieurs autres pays européens comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas ou la Belgique (moins de 60%). Ces différences peuvent s'expliquer par l'existence dans ces pays de soins palliatifs hors hôpitaux.

En revanche en France, les décès par maladies du système nerveux (principalement la maladie d'Alzheimer) "se produisent moins souvent à l'hôpital" grâce au développement "des prises en charge alternatives" dans le cadre des plans Alzheimer mis en place depuis 2001.

Les décès des malades d'Alzheimer se déroulent autant en maison de retraite (34,4%), qu'à domicile (30,8%) ou à l'hôpital (31,8%).

L'étude montre encore que les célibataires meurent moins souvent à l'hôpital que les personnes mariées: "L'hospitalisation peut être influencée par les proches" et "la solitude pourrait favoriser le décès à domicile en raison d'un défaut de prise en charge", note-t-on.

L'étude souligne aussi que plus on est âgé plus on a de chance de mourir à l'hôpital, ce qui s'explique en partie par "le vieillissement de l'entourage" et la difficulté pour un conjoint âgé d'assumer la fin de vie à la maison de son époux/épouse.

La semaine passée, une enquête sur la fin de vie de l'Ined montrait que près de la moitié des décès survenus en décembre 2009 avaient été précédés d'une décision médicale ayant pu hâter la mort.

Ces études sont publiées alors que, d'ici la fin de l'année, le Pr Didier Sicard doit rendre les conclusions d'une mission, demandée par François Hollande, au sujet de la fin de vie et de l'euthanasie.

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11 décembre 2012

DSK-Diallo un accord financier confidentiel clôt l'affaire à New York

projet pour la france,dsk,ps,dominique strauss kan,president de la republique,fmi,front monetaire international,europe,politicien,projet pour la france

quand je pense qu on nous presentait cette  merde de dsk comme grand favori pour devenir president de la france

pauvre france elle s'effondre completement  diriger par une bande de merde sans scrupule

et que dire du fmi institution archiverolé de l interieure

en tous cas l autre a bien eu raison de faire racker cette salete de dsk

Un accord financier confidentiel a été annoncé lundi à New York entre Dominique Strauss-Kahn et la femme de chambre guinéenne Nafissatou Diallo qui l'accusait d'agression sexuelle à New York, épilogue d'une saga judiciaire qui avait mis fin aux ambitions présidentielles de l'ancien patron du FMI.

"Il y a environ dix minutes, nous sommes parvenus à un accord", a annoncé dès le début d'une très brève audience au tribunal du Bronx à New York, le juge Douglas McKeon, précisant que les termes en étaient "confidentiels".

Il a précisé que les négociations avaient commencé "plus tôt dans l'année", mais s'étaient intensifiées depuis le 28 novembre dernier.

La femme de chambre de 33 ans, pantalon et veste noirs, foulard léopard gris sur les cheveux, n'a rien dit durant l'audience qui a duré moins de 10 minutes.

En sortant, elle a brièvement remercié "tous ceux qui (l')ont soutenue à travers le monde. Je remercie Dieu et que Dieu vous bénisse tous", a-t-elle ajouté. "Mme Diallo est une femme courageuse qui n'a jamais perdu confiance dans notre système judiciaire. Avec ce règlement elle peut maintenant continuer sa vie", a ensuite déclaré son avocat Kenneth Thompson.

Dans un communiqué, les avocats de DSK muets au sortir de l'audience - se sont dits "satisfaits d'être parvenus à un règlement dans cette affaire".

Accord aussi avec le New York Post -

Durant l'audience, le juge a ajouté que Mme Diallo était également parvenue à un accord financier avec le quotidien New York Post, qu'elle avait poursuivi l'an dernier au civil après qu'il l'eut traitée de prostituée.

Les accords financiers, qui mettent fin aux poursuites civiles, sont extrêmement fréquents aux Etats-Unis. Ils évitent aux deux parties un procès long et coûteux à l'issue incertaine. Ils ne sont pas un aveu de culpabilité, mais évitent à un accusé d'avoir à donner sa version des faits et lui permettent d'en finir avec un dossier.

Le magistrat n'avait pas requis lundi la présence de DSK.

Combien l'ancien patron du FMI a-t-il accepté de verser ?

La confidentialité de l'accord empêche de le savoir. Son avocat William Taylor avait qualifié la semaine dernière de "complètement fausses" des informations selon lesquelles il aurait accepté de payer six millions de dollars. Mais selon l'avocat et ancien procureur Matthew Galluzzo, ce montant serait plausible.

Avec cet accord, DSK est définitivement débarrassé de l'affaire Diallo, 19 mois après le scandale planétaire qui l'avait contraint à démissionner du FMI et mit fin à ses ambitions présidentielles en France. Il s'est aussi depuis séparé de son épouse, la journaliste Anne Sinclair.

Il n'aura jamais à expliquer ce qui s'était passé le 14 mai 2011 dans sa suite de l'hôtel Sofitel de New York. Selon Mme Diallo, une veuve élevant seule une adolescente, DSK, sorti nu de sa salle de bains, l'avait contrainte à une fellation, alors qu'elle venait faire le ménage. Dominique Strauss-Kahn avait quelques heures plus tard été arrêté à l'aéroport JFK en partance pour la France, incarcéré plusieurs jours, inculpé et assigné à résidence à New York.

Mais trois mois plus tard, dans une étonnante volte-face, le procureur chargé de la procédure pénale en avait demandé le classement, effectif le 23 août. Il avait expliqué que Nafissatou Diallo avait menti de manière répétée aux enquêteurs sur certains épisodes de son passé, et "sérieusement entamé sa crédibilité de témoin" en cas de procès au pénal.

Sans attendre, la jeune femme avait porté plainte au civil le 8 août, pour obtenir des dommages et intérêts. C'est cette plainte qui s'est terminée lundi par un accord financier.

Libre de rentrer en France, DSK avait ensuite reconnu dans une interview télévisée une relation sexuelle de quelques minutes avec la jeune femme qu'il ne connaissait pas, "une faute morale", mais "sans violence ni contrainte".

DSK a depuis été mis en examen en France, pour proxénétisme aggravé en bande organisée dans l'affaire dite du Carlton, qui porte sur l'organisation de soirées libertines avec des prostituées. Ses défenseurs ont demandé la nullité de la procédure et la justice doit se prononcer le 19 décembre.

Ces derniers mois, DSK a fait quelques réapparitions dans la vie publique. On l'a vu flâner au marché de Sarcelles, la ville dont il a été le maire, il a accordé une interview à un hebdomadaire et participé à plusieurs conférences à l'étranger. Il a aussi créé une société de conseil à Paris.

Mme Diallo n'a elle jamais repris le travail, toujours en congé maladie. Elle a déménagé nul ne sait où dans l'Etat de New York.

humour florange dsk01

 

11 décembre 2012

Banque HSBC paie une amende record pour échapper aux poursuites aux Etats-Unis

revons pas juste la face visible de l'iceberg le jour ou les grands patrons et dirigeants des banques iront moisir 10 ans en prison pour complicité avec maffieux la ca changera pas avant

 

Une agence HSBC à Hong Kong, le 30 juillet 2012

La banque britannique HSBC a annoncé mardi qu'elle allait payer 1,92 milliard de dollars US (1,5 milliard d'euros), un montant record, pour mettre fin aux poursuites aux Etats-Unis dans une affaire de blanchiment d'argent sale appartenant notamment à des cartels de la drogue.

Le titre de la première banque britannique, cotée à Londres et Hong Kong, n'a quasiment pas bougé après l'annonce, largement attendue après la parution d'informations de presse en ce sens dans la nuit.

Il progressait même de 0,37%, à 79,75 dollars de Hong Kong, dans un marché étale, peu avant la clôture.

"HSBC a conclu un accord avec les autorités américaines dans le cadre d'investigations concernant des infractions aux lois sur les sanctions (frappant certaines entités criminelles ou assimilées) et la lutte contre le blanchiment d'argent", a annoncé la banque dans un communiqué boursier.

Accusée de complicité de blanchiment, HSBC entend ainsi mettre fin à une série d'enquêtes menées par le Trésor, le Département de la Justice, des agences fédérales et le procureur général de Manhattan à New York.

Une agence HSBC à Hong Kong, le 11 décembre 2012

"Nous assumons la responsabilité de nos erreurs passées (...). HSBC est toutefois aujourd'hui une organisation fondamentalement différente de celle qui a commis ces erreurs", a déclaré le patron de la banque, Stuart Gulliver.

Et de citer en particulier le quasi décuplement des fonds et du personnel consacrés à ses instruments internes anti-blanchiment entre 2009 et 2011, et la rupture de liens d'activité douteux avec 109 entités diverses.

La banque avait reconnu en juillet des "défaillances" et présenté publiquement ses excuses devant une commission d'enquête du Sénat américain pour avoir manqué de vigilance face à de possibles opérations de blanchiment d'argent.

Le rapport du Sénat américain avait souligné de "graves carences" dans les garde-fous anti-blanchiment de la banque qui a fait prendre des risques au système financier du pays en l'exposant à de possibles activités de blanchiment d'argent lié au trafic de drogue ou au financement du terrorisme dans les années 2000.

Selon ce rapport, HBUS - filiale américaine de HSBC - a notamment réalisé en six ans 16 milliards de dollars de transactions secrètes avec l'Iran, tandis que sa filiale mexicaine a transféré 7 milliards de dollars vers HBUS entre 2007 et 2008 qui pourraient être de l'argent appartenant à des cartels mexicains de la drogue.

L'accord conclu avec le ministère américain de la Justice prévoit la désignation d'un auditeur indépendant qui évaluera régulièrement la mise en oeuvre des engagements de la banque dans les cinq années à venir.

HSBC est également dans le collimateur de la justice britannique après la publication d'articles de presse indiquant que de gros trafiquants vivant au Royaume-Uni avaient ouvert des comptes offshore chez HSBC à Jersey pour blanchir de l'argent ou frauder le fisc.

Selon les informations du Daily Telegraph, il s'agirait notamment d'un client condamné pour trafic de drogue qui se trouve actuellement au Venezuela, d'un homme condamné pour possession de centaines d'armes et de trois banquiers poursuivis pour des fraudes de grande ampleur.

HSBC avait récemment augmenté à 1,5 milliard de dollars ses provisions pour couvrir les pénalités financières qu'elle risque de devoir payer aux Etats-Unis.

Ces provisions ne couvrent pas les pénalités mais le règlement judiciaire définitif évite ainsi à HSBC de coûteuses réparations civiles.

10 décembre 2012

Education opération séduction du gouvernement pour recruter des profs

je n ai qu un conseil a vous donner ne mettez jamais les pieds dans cette boite de merde hyper mal geré

on fait pas de l enseignement juste du gardiennage dans ce fouttoir qu est le mamouth et je le sais car je suis un ex enseignant

bon je suis d'accord la pluspart des gens qui rentrent dans le mamouth ( engagez vous qu ils disaient lol) le font pour pas etre au chomage parcequ il n ont pas trop le choix mais arreté de croire a la com mensongere des bouffons des rectorats et des abrutis du ministere qui essayent de vous faire croire que vous aller faire de l enseignement vous serez juste la pour gardé des imbeciles qui en ont rien a faire d'apprendre

un prof actuel  c'est plus proche d'un os de chez renaults que d'un enseignant qui ai la pour transmettre savoir l os voit defiler les carroseries de bagnoles et on lui demande jamais son avis ben un enseignant cest pareil on vous imposera une 100 d'eleves et ferme ta geule demmerde toi avec .....


bref n imaginez surtout pas que c est mieux que le privé vous vous mettez le doigt dans le cul

 

Le gouvernement a lancé lundi une campagne de recrutements massifs d'enseignants, une opération séduction pour redorer l'image du métier et tenir la promesse emblématique de la campagne de François Hollande de créer 60.000 postes sur le quinquennat.

"Je viens dire aux étudiants de France, la France a besoin de vous", a déclamé Vincent Peillon dans un amphithéâtre de l'Université Sorbonne Nouvelle Paris III, vantant "le plus magnifique des métiers".

"Cette année, nous allons recruter 43.000" enseignants en deux concours, a rappelé le ministre de l'Education. En tenant compte des 60.000 créations de postes et des remplacements des départs à la retraite, "nous avons besoin de 150.000 professeurs pour les années qui viennent" afin de former "des millions d'enfants", a-t-il souligné. "Nous avons besoin de nouveaux hussards noirs".

"S'il faut faire dans la durée évoluer le métier, j'y suis prêt. Si derrière cette évolution il y a des conséquences salariales, j'y suis prêt aussi", a-t-il déclaré à la presse.

Sur RMC/BFMTV, M. Peillon s'est dit prêt à ouvrir en janvier "une grande négociation" sur "les contenus (qu'est-ce qu'on fait quand on enseigne ?), le développement de carrière, le temps de travail et bien évidemment la question de la revalorisation".

S'il est "réjouissant" de voir de nouveau l'Etat recruter, "il va falloir remobiliser les vocations", "notamment avec une politique salariale digne de ce nom pour des gens recrutés à bac+5", a prévenu Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire.

"Nous allons changer le métier d'enseignant" en leur donnant une formation et de la considération, a estimé M. Peillon devant les étudiants.

"Il était urgent de redonner à ce beau métier toute son attractivité", a souligné la ministre de l'Enseignement supérieur Geneviève Fioraso, rappelant qu'enseigner "s'apprend".

Pour soutenir les vocations, le gouvernement a lancé une campagne multimédia baptisée "Ambition enseigner". Sur chaque affiche, un jeune souriant lève la main en réponse à la question "Qui veut la réussite de tous ?", "Qui veut étudier l'esprit libre ?" ou "Qui veut apprendre à enseigner ?".

Arguments mis en valeur: plus de 43.000 recrutements en 2013-2014, mise en place d'une formation rémunérée et création sur trois ans de 18.000 "emplois d'avenir professeur" pour aider des étudiants modestes à poursuivre ces longues études - cinq ans depuis 2010.

Ce volume de recrutement, inédit depuis longtemps, permettra aussi de relancer la formation initiale des enseignants, quasi-disparue sous la droite, qui avait supprimé 80.000 postes.

Mais même avec un nombre de postes réduits, l'Education nationale ne parvenait pas ces dernières années à recruter suffisamment de professeurs dans certaines disciplines. Lors des derniers concours du Capes, 706 postes sont restés vacants (978 en 2011), soit près de 15% des postes.

"Les viviers" d'étudiants qui se présenteront aux concours "sont suffisants", a estimé M. Peillon, concédant que pour des matières comme les mathématiques, l'anglais et les lettres, il y aura "plus de difficultés".

"On sait un peu plus à quelle sauce on va être mangés, bien que ce ne soit pas encore clair", a réagi Cathleen, en 3e année de licence.

"Ce qui bloque les gens, c'est la difficulté du métier, qui a énormément perdu au niveau de la reconnaissance", selon Catherine, professeur d'histoire-géographie et formatrice. "Les étudiants sont aujourd'hui terrorisés par la gestion de classe", tandis que pour les matières où il y a d'autres débouchés, le salaire bloque".

10 décembre 2012

lol pauvre pere noel

humour noel4110

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10 décembre 2012

laxisme du systeme judiciare

taubira,racaille,malfrat,grand banditisme,valls ,hollande,ps,justice,juge,laxisme ,ubu,avocat,avocaillon,ministere de la justice

de pire en pire

trou de balls valls peut jouer au pere fouettard la memere daubeirate joue a la mere noel avec les delinquants

lamentable ps et lamentable hollande

La garde des Sceaux, Christiane Taubira, a annoncé aujourd'hui à Palaiseau dans l'Essonne qu'un texte de loi prévoyant la suppression de la rétention de sûreté était en préparation.

La rétention de sûreté, "je le confirme, elle sera supprimée, comme les tribunaux correctionnels pour mineurs seront supprimés, comme les peines plancher seront supprimés", a déclaré Taubira, à l'occasion de la journée "Prison-Justice" du Genepi (Groupement étudiant national d'enseignement aux personnes incarcérées). "Ce sera dans un texte de loi que nous sommes en train de préparer", a-t-elle ajouté. "La rétention de sûreté, c'est juste pas concevable", a-t-elle encore dit.

Votée en 2008 par la droite, la rétention de sûreté prévoit de maintenir enfermés des criminels condamnés à au moins 15 ans (pour viols aggravés notamment) s'ils sont jugés dangereux une fois leur peine purgée. Elle est également applicable à des personnes qui violeraient les obligations de leur "surveillance de sûreté".

Quant à la suppression des peines plancher, des tribunaux correctionnels pour mineurs et l'indépendance de la justice, ces mesures faisaient partie des "60 engagements" de François Hollande durant la campagne présidentielle.

Dès son arrivée Place Vendôme, Christiane Taubira avait fait siens ces engagements du président nouvellement élu.

En septembre, Taubira, a présenté une circulaire prescrivant aux parquets un recours limité aux peines plancher et présentant les aménagements de peines comme une "priorité de politique pénale", pour désengorger les prisons et prévenir la récidive. Ce texte lui a valu d'être taxée de "laxisme" par la droite.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/ ... primee.php

4 décembre 2012

Lyon-Turin : une absurdité dogmatique

Lyon-Turin : une absurdité dogmatique

tout est dit mais nos eurocrates sont a des milliards d'annee lumieres de la realité c est pour cela que la france ne doit plus donné un microcentime a bruxelels

4 décembre 2012

En Espagne, les nouveaux visages de la pauvreté

Des SDF espagnols se réchauffent au centre d'accueil de Caritas à Burgos, le 28 novembre 2012

Sous la neige qui tombe pour la première fois de l'hiver, ils se pressent à l'entrée du centre d'accueil de Caritas à Burgos, dans le nord de l'Espagne. Immigrés, femmes, chômeurs, ils ont les multiples visages de la pauvreté qui grandit dans ce pays en crise.

Dans la boutique, au rez-de-chaussée du foyer de l'organisation caritative, les femmes fouillent dans les rayons pour dénicher les vêtements chauds qu'elles emporteront pour une poignée d'euros.

"Je suis venue à cause du froid", murmure Carmen Perez, une femme de ménage de 52 ans, son petit visage emmitouflé dans un gros bonnet de laine, en serrant contre elle le sac renfermant le précieux manteau. "Cela va me tenir très chaud".

Depuis un an, avec ses revenus de 800 euros par mois, son mari et ses trois fils de 20, 24 et 28 ans, tous maçons au chômage, son loyer de 400 euros, elle est devenue une habituée de cette boutique.

"Ici, si tu n'as rien, ils te donnent des choses gratuitement", confie-t-elle. "Aujourd'hui, ils m'ont fait cadeau d'une écharpe".

A l'accueil, les sans-abri attendent leur tour, espérant trouver une place dans ce foyer de 40 lits, installé dans une ancienne bâtisse en pierre rénovée, tout près du coeur historique de cette ville de 170.000 habitants.

Des Espagnols de la classe moyenne achètent des vêtements pour un euro pièce dans un centre d'accueil de Caritas à Burgos, le 4 décembre 2012

"Depuis janvier, nous avons déjà hébergé 1.100 personnes, autant que pour toute l'année 2011", explique David Alonso, l'un des employés chargé des sans-abri.

Alors que le chômage en Espagne dépasse les 25%, les organisations humanitaires s'alarment de la progression de la pauvreté, mais aussi du profil nouveau des demandeurs d'aide. 12,7 millions de personnes, dans ce pays de 47 millions d'habitants, étaient en 2011 en danger de pauvreté ou d'exclusion, selon une étude européenne.

"La crise affecte maintenant des gens qui étaient dans une situation stable, des gens de la classe moyenne", souligne David Polo, qui travaille lui aussi avec les sans-abri. "Il n'existe personne en Espagne qui n'ait été touché par la crise, sauf les très, très riches".

"Dans la rue, ce sont des gens plus jeunes: de 40 à 50 ans, la moyenne d'âge est passée à 35 ou 40 ans. Cette année, nous voyons aussi une augmentation significative du nombre de femmes", ajoute David Alonso: 12% des 1.100 personnes hébergées, contre 9% l'an dernier.

Dans le réfectoire voisin du centre Saint-Vincent de Paul, Javier Santos restera de longues heures, avec ses compagnons, attablé face à la télévision qui sert à tuer le temps.

"Je suis venu prendre un café, je n'ai pas d'autre endroit où prendre un café", lâche ce chômeur de 34 ans.

Depuis plus de dix ans, Julian Garcia observe ceux qui frappent à la porte du réfectoire. Ce retaité discret de 60 ans est l'un des bénévoles de la cantine sociale qui sert chaque jour déjeuner, goûter et dîner aux plus démunis.

Des volontaires de l'association Caritas observent une SDF dormant dans une rue de Burgos avant de lui proposer de rejindre le centre d'accueil, le 30 novembre 2012

Son verdict est sans appel: "Les premières années, il y avait beaucoup d'immigrés. Depuis environ trois ans, le nombre de gens originaires de Burgos, sans ressources, qui doivent se débrouiller pour trouver de la nourriture, a augmenté de manière alarmante".

Javier avait un emploi dans la métallurgie, une fiancée, un toit, gagnant parfois "jusqu'à 2.800 euros par mois, en travaillant le dimanche".

Depuis deux ans, c'est la dégringolade: le licenciement, la rupture, la fin des allocations chômage, puis la rue, sans ressources.

Javier reste discret quand l'un de ses compagnons raconte sa dérive dans l'univers de la drogue. Mais pour les employés de Caritas, le fléau est présent au quotidien, accentué par le chômage qui fait tomber les derniers remparts sociaux.

"Avec la perte d'emploi, apparaissent au grand jour des problèmes jusque là cachés, comme l'alcool, les addictions", souligne David Alonso.

Le soir venu, dans le foyer de Caritas, les sans-abri retrouvent la chaleur des couloirs et des chambres. Au rez-de-chaussée, ils seront six ou sept, cette nuit-là, à déplier leur couverture sur les lits de camp de l'unité d'hébergement d'urgence, préférant ce confort sommaire au froid du dehors.

4 décembre 2012

François Hollande inaugure le Louvre-Lens, en plein bassin minier

mes commentaires: je pense que les regions doivent avoir des beaux musées aussi en effet la plus part des grands musées sont a paris: musée de la marine,le louvre,orsay,............ donc une redistribution aux profils des regions est une excellente chose le pres de tableau ou de copie pour des expositions itinerantes dans les musées provinciaux est une obligation pour les grands musées nationaux

Une femme regarde le tableau "La liberté guidant le peuple" d'Eugène Delacroix le 3 décembre 2012 au Musée Louvre-Lens (Photo Philippe Huguen/AFP)

Mardi 04 décembre 2012, 10h15
Le président François Hollande inaugure mardi le musée du Louvre-Lens, posé sur un carreau de mine de l'agglomération la plus pauvre de France, brillant tel un diamant par son architecture lumineuse et épurée, et ses chefs-d'oeuvre envoyés par le Louvre.

"C'est un merveilleux joyau", s'enthousiasme le député-maire (PS) de Lens Guy Delcourt lors d'une visite de presse lundi. "Cela va nous permettre de sortir des images souvent négatives sur le bassin minier", ajoute-t-il.

"Nous savons qu'un musée ne fait pas le printemps. Mais il signe au moins la fin de l'hiver" pour cette ville de 35.000 habitants, meurtrie par les guerres et la désindustrialisation, déclare Daniel Percheron, président (PS) du Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais qui porte le projet depuis le départ.

Lorsqu'il apprend que le Louvre songe à créer une antenne dans le cadre de la décentralisation culturelle lancée en 2003 par le ministre de la Culture d'alors Jean-Jacques Aillagon, M. Percheron, qui a grandi à Lens, se jette à l'eau. Il demande au patron du musée Henri Loyrette si la candidature de Lens serait "ridicule". "Non, au contraire", lui répond le président-directeur du Louvre.

Jack Lang, vice-président de la région Nord-Pas-de-Calais à l'époque, se souvient avoir écrit en 2004 au chef de l'Etat Jacques Chirac pour plaider en faveur de Lens alors que six villes étaient en compétition pour accueillir l'antenne du Louvre, dont Amiens gérée par la droite.

Vue du musée du Louvre-Lens, le 3 décembre 2012 à la veille de son inauguration (Photo Philippe Huguen/AFP)

Renaud Donnedieu de Vabres, successeur de M. Aillagon rue de Valois, tient à rappeler avoir milité lui aussi en faveur de Lens. Jacques Chirac tranche en novembre 2004 pour une "ville rouge et rose", relève M. Percheron.

"Deux cathédrales"

Si le Louvre-Lens a tant de pères et de parrains revendiqués, c'est sans doute parce que le bébé est beau et plein de promesses.

D'abord architecturalement. Le musée de verre et d'aluminium poli, conçu par l'agence japonaise Sanaa, s'est posé sur un ancien carreau de mine à charbon. Les bâtiments bas mais très longs réfléchissent la lumière, semblant se fondre dans le ciel lorsqu'il pleut et étincelant lorsque le soleil revient.

Surtout, pour réussir son pari, le Louvre n'a pas hésité à envoyer à Lens toute une série de chefs-d'oeuvre, notamment "La Liberté guidant le peuple" (1831) de Delacroix mais aussi "Balthazar Castiglione" de Raphaël ou "Louis-François Bertin" de Ingres, qui s'installeront pour un an.

Le Louvre-Lens, qui ouvrira au public le 12 décembre, a pour épine dorsale une Grande Galerie qui sera accessible gratuitement la première année.

Sous le nom temporaire de Galerie du temps, elle présente pour cinq ans plus de 200 oeuvres dans un accrochage remarquable qui part de la plus Haute Antiquité pour aller jusqu'en 1850, retraçant le Louvre dans toute son amplitude chronologique et géographique en un seul espace.

D'ambitieuses expositions temporaires seront également proposées. La première porte sur la Renaissance et présente notamment "La Sainte Anne" de Léonard de Vinci.

Le Louvre-Lens mise sur une fréquentation de 700.000 visiteurs la première année, et 500.000 les années suivantes. Située à une heure de Paris en TGV, la ville est au coeur du bassin minier, non loin de Lille et de la Belgique.

"Le Louvre-Lens est une cellule souche qui va modifier l'ADN de notre région", assure M. Percheron. "Désormais il y a deux cathédrales à Lens, le stade Bollaert et le Louvre", sourit Henri Loyrette.

Le Louvre-Lens a coûté plus de 150 millions d'euros. "On est plus proche des 200 millions d'euros, en incluant des aménagements autour", précise M. Percheron. La Région finance l'investissement à hauteur de 59%.

3 décembre 2012

les nouveaux collabos

immigration,ps,hollande,valls le trou de balls,europe ecologie,bobo,la gauche,front de gauche,collabos,arabe,la france aux francais,maffieux x enarque, science po, ump,zero immigration,le pretendu besoin en  immigration le grand mensonge du 21eme siecle,vive marine le pen,

qu on les tondent ses merdes et qu on les expulses hors de france cette bande de merde degenerés

le collabos specialité francaise commele montre cette photo de cette  bande de degenerés

les nouveaux collabos boboide

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