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projet pour la france
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Derniers commentaires
31 janvier 2014

bombay bollywood l envers du decors

 

chaque annee on a droit dans les merdias et par certains journaleux à l'ensensement d'un pays qui va devenir le nouveau leader du monde ( idem avec systeme education en ce moment le danemark demain le?)

mais bon la realite c'est que se sont des pays du tiers qui sont tous sauf un modele pour la france.

on a pas besoin des autres pour se creer un modele viable et de bonne qualite au constraire il faut se proteger de l influence nefaste de ces pays  qui doivent eux meme resoudre leur monstrueux problemes.

pour moi le seul modele viable pour la france c'est un pays à decroissance et stabilisation population avec immigration tres reduite et controle et modele sociale avec semaine 4 jours 2 mois de vacance limitation de la vitesse et repression plus efficace contre delinquance et trafiquant de drogue ( la seul guerre qu'on doit faire c est contre les trafiquants de drogue) et un syteme enseignement base sur le merite et le travail ( pas vraiement le modele danois quoi )

en faite la suisse est le modele a suivre en europe:vrai démocratie par referemdum,systeme d'enseignement efficace chomage reduit........

et prendre nos distance envers les usa qui sont vraiement pas un modele pour le monde meme plutot l inverse.

 

Bombay bollywood Inde Tiers Monde Pas Un Modele Pour Nous  Surpopulation Ordure

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31 janvier 2014

la face cache d'apple et l empire samsung

la question comment batir un systeme industriel en france en etant competitif tout en gardant syteme protection social avec semaine 4 jours et vacances ?

 

31 janvier 2014

et encore le mensonge sur l immigration

le pretendu besoin en immigration est le grand mensonge du 21 eme siecle la france n a pas besoin d'immigration mauis d'un besoin en stabilisation pour une decroissance controle

en ce qui me concerne je suis pour instaurer le zero immigration et etre beaucoup plus severe envers les gros donneurs d'ordre qui passent par  sous traitants employant massivement sans papiers

je suis aussi pour expulser famille dont enfant sont scolariser en france depuis 3 ans se sont des illegaux donc des delinquants il n y a pas a faire le tri

quand a valls le trous de balls vivement qu on en le voit plus lui et sa sale geulede petit rocket rastignac de mes deux

Immigration : Manuel Valls annonce une baisse des expulsions

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a annoncé vendredi une baisse des expulsions de sans-papiers, liées à une chute des retours aidés de Roms, tout en accusant ses prédécesseurs d'avoir affiché une "fermeté de papier" et des "contre-vérités".

"Au lieu d'accuser ses prédécesseurs, il devrait assumer cet échec qui conduit à une baisse des expulsions et à une explosion des régularisations", a immédiatement réagi la secrétaire générale de l'UMP, Michèle Tabarot.

Entre 2006 et 2011, "le Gouvernement précédent a affiché une hausse factice de 50% des éloignements. En fait, (...) la seule chose qui a augmenté pendant cette période, ce sont les retours aidés", avait déclaré peu avant le ministre de l'Intérieur lors de sa première conférence de presse sur le thème de l'immigration.

Ces retours, volontaires en échange d'un pécule, ont surtout profité à des Roms pour repartir en Bulgarie et Roumanie, mais la plupart revenaient ensuite. Ces aides ont été fortement réduites au 1er février et les départs dans ce cadre ont chuté de 80% en 2013 par rapport à 2012. Plus de 11 millions d'euros ont par ailleurs été économisés, selon le ministre.

Des roms accompagnés par un membre de l'Office français de l'intégration et de l'immigration le 1er octobre 2013 à l'aéropord de Lequin près de Lille ( AFP/Archives / Denis Charlet)

En conséquence, le nombre des éloignements, qui avait battu un record de 36.000 en 2012, a été de 27.051 pour 2013, a indiqué Manuel Valls, en relevant que ce chiffre comportait encore des ambiguïtés.

En effet, il inclut 15.469 "vrais éloignements" (selon ses termes), c'est-à-dire sous la contrainte, et près de 5.500 "départs spontanés" (comptablisés aux frontières quand un étranger en situation irrégulière quitte le pays de lui-même avec un visa qui a expiré, par exemple).

Et, au sein des éloignements forcés, 10.793 sans-papiers ont été renvoyés vers un pays de l'Union européenne (UE), soit en tant que ressortissants (encore environ 3.000 Roms) ou parce qu'ils avaient transité par ce pays. Or, de nombreux étrangers expulsés dans l'UE reviennent en France en raison de l'absence de frontières.

Seuls 4.676 ont été renvoyés sous la contrainte vers un pays extra-européen. Selon Manuel Valls, ce chiffre, le plus significatif de la lutte contre l'immigration irrégulière, est en hausse après deux années historiquement basses (4.000 en 2011 et 4.152 en 2012).

"Mirages statistiques"

 

Pour lui, le gouvernement de Nicolas Sarkozy avait donc "mis en place une politique du chiffre unique" et des "mirages statistiques" pour "masquer la réalité", mais son bilan, juge M. Valls, est "simplement très mauvais".

La ministre assure avoir fait, lui, le choix "de la transparence" et assume, par ailleurs, une hausse des naturalisations par décret (non automatique), de 14% en 2013 (52.207 contre 46.003 en 2012). Cette augmentation déjà annoncée correspond à sa volonté de relancer un processus d'intégration que des consignes "opaques", dit-il, avaient fait chuter de moitié depuis 2010.

Sur le sujet des régularisations de sans-papiers, autre sujet polémique, il a toutefois renvoyé le bilan statistique à avril, après les élections municipales.

Un employé de la préfecture remplit une demande de régularisation d'un travailleur sans papiers sur le bureau, le 23 avril 2008 à Nanterre ( AFP/Archives / Joel Saget)

"Il y aura environ 10.000 régularisations supplémentaires en 2013", en vertu d'une circulaire de novembre 2012 qui a notamment ouvert la régularisation aux familles ayant des enfants scolarisés depuis trois ans, a-t-il redit, mais "les données définitives ne sont pas encore disponibles".

Ses services avaient annoncé en juin, en se basant sur des visas de régularisations créés au 1er janvier 2012, qu'il y avait eu 36.000 régularisations en 2012, livrant pour la première fois un chiffre officiel à ce sujet. Le nombre des visas payés en 2013 n'a pas été communiqué vendredi.

Très soucieux d'éviter tout procès en laxisme, le ministre a assuré que la hausse anticipée (environ 27%) des régularisations en 2013 était "conjoncturelle": "elle est liée à l'afflux de dossiers en début de période mais depuis septembre, les files d'attente sont plus normales", a-t-il assuré.

Soulignant la "difficulté" et la "complexité" des sujets liés à l'immigration, Manuel Valls a estimé qu'il fallait "une base honnête sur le plan intellectuel" pour permettre un débat "serein" et assuré qu'il allait confier la comptabilité des statistiques à des services ministériels sous le contrôle de l'Insee, alors qu'elles sont aujourd'hui compilées par la Police aux frontières (PAF).

29 janvier 2014

Europe in Colour 1908 - 1928

24 janvier 2014

Arrestation du "Bombé", baron de la drogue

Arrestation du "Bombé", baron de la drogue français

pourquoi payer pour nourrir cette merde en prisons on retablie la peine de mort

a la guillotine ou peloton d'execution terminé point barre

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23 janvier 2014

la presse francaise sous perfusion

la part des aides de quelques journaux par exemplaire diffusé (selon la cour des comptes12 et par ordre décroissant): base 2012
L'Humanité: 48 centimes
La Croix: 32 centimes
Le Nouvel Obs: 29 centimes
Libération: 27 centimes
L'Express: 23 centimes
Le Point: 20 centimes
Le Monde: 19 centimes
Le Figaro: 17 centimes
Ouest-France: 6 centimes
Le Parisien: 4 centimes

bon ca fait belle lurette que les journaleux s'applatissent devant le pouvoir et nous enfument completement

23 janvier 2014

un systeme judiciare ubuesque

comme je le dis notre systeme judiciaire ubuesque est responsable de 80% de la delinquance. il ne peut y avoir un recul de la delinquance quand le reformant de la tete au pied

Les syndicats Alliance et Unité SGP Police ont lancé un appel à manifester dans plusieurs villes de France.

"Quand on les interpelle, les jeunes délinquants veulent juste savoir s'ils sont placés en garde à vue et s'ils vont être envoyés au trou. Le reste, ils s'en foutent, c'est de la poésie." Un drapeau d'Unité SGP Police à la main, ce brigadier-chef a répondu à l'appel des syndicats mercredi à Lille entre midi et deux (les policiers n'ont pas le droit de grève). Une manière pour lui, comme pour les autres, de manifester un malaise. De montrer leur incompréhension face à une nouvelle conception de la justice. Les policiers sont excédés de voir qu'au bout de la chaîne judiciaire, des suspects, qu'ils ont traqués parfois plusieurs mois, s'en sortent sans qu'aucune poursuite vienne les inquiéter. Les vices de procédure, sans cesse dénichés par les avocats, les font rougir de colère. "On sait que le mec est coupable. Mais devant la justice, ça ne joue pas sur le fond, mais sur la forme", s'agace un manifestant. "Moi, si mon enfant fait une bêtise, je le réprimande. S'il en fait une autre, je le punis. S'il continue, je le punis plus sévèrement", fait valoir un de ses collègues. Le ras-le-bol est total. Les policiers expliquent qu'ils ont du mal à éprouver la satisfaction d'un travail bien fait quand une personne ressort libre du tribunal ou écope d'une peine en milieu ouvert. "On n'est évidemment pas contre la justice, poursuit un autre. Mais il n'y a pas eu assez de concertation sur la réforme pénale." Au milieu des quelques fumigènes et...

Lire la suite sur Le Point.fr

23 janvier 2014

La limitation du cumul des mandats définitivement adoptée par les députés

La statue de Marianne devant l'Assemblée nationale le 18 juin 2012 à Paris ( AFP/Archives / Joel Saget)

La réforme limitant le cumul des mandats a été définitivement votée mercredi par le Parlement mais elle devra ensuite passer le cap du Conseil constitutionnel et, à plus long terme, survivre à l'épreuve d'une éventuelle alternance en 2017.

Passant outre l'avis du Sénat, et au terme d'un parcours parlementaire de sept mois, l'Assemblée nationale, qui a le dernier mot, a approuvé le projet de loi interdisant, à partir de 2017, aux députés et sénateurs d'exercer une fonction exécutive locale, ce qui est actuellement le cas de 60% d'entre eux.

Le texte, qui ne s'appliquera donc pas aux élections municipales de mars prochain, a recueilli 313 voix pour -une dizaine de plus que lors des précédentes lectures-, 225 contre et 14 abstentions (25 députés ne prenant pas part au scrutin).

En raison de l'opposition des sénateurs, qui auraient voulu être épargnés, le texte devait recueillir la majorité absolue des 577 députés, soit 289 voix, car il s'agit d'un projet de loi organique, c'est-à-dire touchant les institutions.

Les parlementaires ne pourront plus être maires, adjoints, présidents ou vice-présidents d'intercommunalité, de conseil départemental (ex-conseil général), de conseil régional ou du conseil d'administration d'une société d'économie mixte locale. Ils pourront en revanche continuer à être conseillers municipaux, départementaux ou régionaux.

Pour "permettre la diversité des candidatures, un renouvellement de générations, davantage de parité, davantage de diversité", selon les mots du Premier ministre Jean-Marc Ayrault après le vote, la très grande majorité des députés PS (moins divisés sur la question que leurs collègues sénateurs), les écologistes et les communistes ont soutenu cette "révolution démocratique", comme l'a appelée le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

A l'inverse, l'UMP, la plupart des députés UDI et les radicaux de gauche se sont opposés à une réforme qui "mettra les élus à la merci des appareils politiques", car ils ne pourront plus s'appuyer sur leurs mairies pour garder une certaine indépendance, et qui les "coupera de la réalité du terrain".

Applicable dans trois ans ?

 

Les opposants ont souligné aussi avec ironie que l'interdiction du cumul ne s'appliquerait que dans trois ans, et non pour les élections municipales de mars prochain, illustration, selon eux, du peu d'empressement de beaucoup de socialistes à s'appliquer à eux-mêmes la réforme. L?Assemblée, qui comprend actuellement 240 maires, suspendra d'ailleurs ses travaux pendant cinq semaines pour ce scrutin.

La réforme a déjà des "effets", a répliqué Jean-Marc Ayrault. "Aux prochaines élections municipales, certains choisissent le mandat local ou choisissent le mandat parlementaire", a-t-il dit. Le sénateur-maire de Lyon Gérard Collomb (PS) a ainsi annoncé mardi qu'il préférerait la mairie.

Pour entrer en vigueur, le texte doit d'abord être approuvé dans le mois qui vient par le Conseil constitutionnel, automatiquement saisi des projets de loi organiques.

Devant les Sages, les opposants, en particulier le PRG Jacques Mézard, vont plaider que le texte n'aurait pas dû être voté sans l'accord des sénateurs, car aux termes de la Constitution, "les lois organiques relatives au Sénat doivent être votées dans les mêmes termes par les deux assemblées".

Un argument balayé par le rapporteur du projet à l'Assemblée, Christophe Borgel (PS): "Depuis 2009, la jurisprudence constante du Conseil constitutionnel précise qu'une loi organique applicable sans distinction aux deux assemblées n'est pas une loi organique relative au Sénat".

Cumul des mandats ( AFP / S. Ramis/P. Defosseux, pld/soh)

Mais, ensuite, l'application de la loi, à l'occasion des élections législatives de 2017, pourrait coïncider avec un éventuel retour au pouvoir de la droite, qui annonce son intention de l'abroger. "Nous reviendrons dessus, soyez-en certains", a lancé mardi à la majorité, le député-maire UMP Daniel Fasquelle.

Il suffira, a-t-il expliqué, que le Sénat vote avant les législatives de 2017 un texte d'abrogation que la nouvelle Assemblée nationale adoptera dès son élection.

Une menace à laquelle François Hollande, pour qui la réforme est "irréversible", ne croit pas. "Au-delà de ce qui peut se produire au cours des prochaines alternances, les Français seront attachés à ce que cette règle nouvelle puisse être appliquée dans toute sa rigueur", a-t-il déclaré mardi.

Les députés ont aussi adopté définitivement mercredi un texte interdisant le cumul aux parlementaires européens, là aussi après 2017, et qui ne s'appliquera donc pas pour les élections européennes de juin prochain.

22 janvier 2014

c est l hiver

20 janvier 2014

lol

racaille un jour racaille toujours le partie socialiste premier employeur de racailles a l ump aussi mais pas le meme type de racaille lol

173408BeZufcCIYAA1FA7

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