Tirs de Kalachnikov à Marseille
tout est dit la le troudeballs valls s'en sert pour se faire mousser un peu et hop nos amis les jugeottes d'extreme gauche remettent tout en liberte le lendemain
Peu après ces tirs, les policiers avaient retrouvé sept Kalachnikov et plusieurs kilos de cannabis dans un appartement, dont les quatre occupants avaient été placés en garde à vue avant d'être relâchés sans que des charges ne soient retenues contre eux.
le rafale vendu ou donnée?????
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html
et pire que tout on risque de se les voir en face en cas de prise de controle du pays par les islamistes!, la on aura tout gagné..
mais bon on aura vendu des "rafales"
quelle bande de caves ces socialos...
Evidemment qu'un tel contrat n'est pas payé que par l'Egypte. Et si les américains ont laissé faire, c'est parce que Hollande s'est certainement engagé à suivre la politique atlantiste et d'être le supplétif des interventions militaires américaines.
Fraude fiscale : les personnalités épinglées dans l'affaire SwissLeaks
Le roi du Maroc, celui de Jordanie, Jacques Dessange, Christophe Dugarry ou encore Gad Elmaleh. Les personnalités soupçonnées d'avoir profité de la gigantesque fraude fiscale de HSBC sont issues d'univers très différents.
Baptisée "SwissLeaks", l'enquête, révélée par le journal "Le Monde", propose un voyage au coeur de l'évasion fiscale, mettant en lumière la face cachée du secret bancaire suisse et les ruses utilisées pour dissimuler de l'argent non déclaré.
Très précisément, entre le 9 novembre 2006 et le 31 mars 2007, quelques 180,6 milliards d'euros auraient transité sur ces comptes à Genève, cachés entre autres derrière des structures offshore au Panama et dans les îles vierges britanniques.
Les informations s'appuient sur des données soustraites à la filiale suisse de la banque, HSBC Private Bank, par un informaticien, Hervé Falciani, ex-employé de la banque à Genève. Pendant de nombreuses années, ces fraudes n'étaient connues que de la justice et de quelques administrations fiscales, même si certains éléments avaient filtré dans la presse.
Les données analysées font ressortir des profils très disparates, allant du chirurgien français venu placer ses honoraires non déclarés en Suisse aux têtes couronnées. Parmi les noms cités dans les différents médias figurent notamment le roi du Maroc Mohammed VI ou le roi de Jordanie Abdallah II. S'y ajoutent de nombreuses personnalités de la mode telles que le mannequin Elle McPherson ou la créatrice Diane von Fürstenberg, du spectacle à l'instar de l'actrice Joan Collins ou encore du sport comme le pilote moto GP Valentino Rossi, le pilote de F1 Fernando Alonso ou l'ex-tennisman, Marat Safin.
Le journal suisse "Le Temps", un des journaux partenaires pour ces révélations, met l'accent sur les personnalités politiquement exposées, évoquant entre autres Rami Makhlouf, cousin du président syrien Bachar al-Assad. Il cite également l'ancien ministre haïtien Frantz Merceron ou encore l'ancien ministre égyptien du Commerce et de l'Industrie Rachid Mohamed Rachid, qui avait été condamné à cinq ans de prison en juin 2011 pour abus de biens sociaux issus des fonds pour le développement du pays.
En France, "Le Monde" cite ainsi l'humoriste Gad Elmaleh, qui disposait, d'après le journal, d'un compte faiblement approvisionné à Genève, avec un peu plus de 80.000 euros entre 2006 et 2007. Selon les informations du journal, il aurait régularisé sa situation auprès du fisc français.
Le quotidien mentionne ensuite Jacques Dessange, fondateur d'un empire de la coiffure, qui possédait un compte dans la filiale suisse de HSBC sur lequel il aurait eu jusqu'à 1,6 million d'euros entre 2006 et 2007, selon les fichiers auxquels le journal a eu accès. Lui aussi fait partie des clients qui ont depuis régularisé leur situation et s'est acquitté d'une amende, précise "Le Monde".
"Le gouvernement est très déterminé à lutter contre la fraude fiscale, contre ces paradis fiscaux, et continuera d'agir en ce sens pour ce qui nous concerne mais aussi au niveau européen", a assuré Manuel Valls, ce lundi 9 février sur "Europe 1".
"Les données de la liste HSBC, à disposition de l'administration, ont été totalement exploitées, a-t-il ajouté. Au total près de 2.300 contrôles ont été diligentés par l'administration fiscale, 103 plaintes ont été déposées pour les cas les plus problématiques à l'administration fiscale. Des pénalités importantes ont déjà été réclamées aux contribuables concernés".
"Le Monde" a eu accès aux données bancaires de plus de 100.000 clients et a mis les informations à la disposition du Consortium des journalistes d'investigation (ICIJ) à Washington, qui les a partagées avec plus de 50 autres médias internationaux, dont le "Guardian" au Royaume-Uni ou la "Süddeutsche Zeitung" en Allemagne.
Les données, analysées par quelque 154 journalistes, portent sur la période allant de 2005 et 2007. Des milliards auraient transité sur ces comptes à Genève, cachés entre autres derrière des structures offshore au Panama et dans les îles vierges britanniques.
Sur son site, "Le Monde" publie une réponse de HSBC qui dit reconnaître les "manquements passés", et avoir pris depuis plusieurs années de nombreuses initiatives pour empêcher l'utilisation de ses services à des fins d'évasion fiscale ou de blanchiment d'argent.
La filiale suisse de la banque britannique HSBC a assuré lundi avoir "changé", après les "manquements constatés en 2007" : "HSBC (Suisse) a entamé une transformation radicale en 2008 pour empêcher que ses services soient utilisés pour frauder le fisc ou blanchir l'argent sale", a indiqué le directeur général de cette filiale, Franco Morra.
Selon la banque, une "nouvelle direction a procédé à un examen en profondeur des affaires, ce qui inclut des fermetures de comptes de clients qui ne correspondaient pas aux standards élevés de la banque, et la mise en place d'un système très poussé de contrôle interne". "Ces révélations concernant des pratiques du passé doivent rappeler que ce vieux modèle d'affaires de la banque privée suisse n'est plus acceptable", a conclu le directeur général.
Le secret bancaire en Suisse s'est réduit comme peau de chagrin, la pression sur les banques s'étant fortement accrue alors que de nombreux gouvernements ont accentué la chasse à l'évasion fiscale.