Sous la pression des bobos français islamophiles, l'écrivain algérien Kamel Daoud
abandonne le journalisme.
Voici l'article qui a valu à Kamel Daoud d'être taxé d'islamophobie dans une tribune du journal "Le Monde" par un collectif de coranophiles français qui devraient être traduits en justice pour mise en danger de la vie d'autrui.
Ce collectif de connards met une nouvelle fois la vie de Kamel Daoud et de sa famille en péril, alors que l'écrivain algérien vit déjà depuis 1 an sous la menace d'une fatwa lancée par imam salafiste algérien.
Citer:
La «Colognisation» du monde.
Pour l'agresseur, cela est clair : il vient de ces terres où c'est le sexe qui est un crime, parfois, pas le meurtre. La femme qui n'est pas « fille de
», ou « épouse de
», est un butin. Une possibilité de propriété. Un sexe à prendre. Un corps à emporter sur son dos vers la broussaille. Le spectacle de la femme libre en Occident n'est pas vu comme l'essence même de la liberté et de la force de l'Occident, mais comme un caprice, un vice ambulant, une provocation qui ne peut se conclure que par l'assouvissement. La misère sexuelle du monde « arabe » est si grande qu'elle a abouti à la caricature et au terrorisme. Le kamikaze est un orgasme par la mort. Et tout l'espace social est une prison du désir qui ne peut s'exprimer que dans la violence, la dégradation, la fuite vers d'autres terres ou la prédation et la clandestinité.
http://www.djazairess.com/fr/lqo/5223781
Extrait de l'article paru "Le quotidien d'Oran" dans lequel Kamel Daoud annonce son intention de quitter le journalisme en rappelant les risques que lui font encourir ces universitaires bien-pensants, car il vit en Algérie.
Citer:
Que des universitaires pétitionnent contre moi aujourd'hui, pour ce texte, je trouve cela immoral parce qu'ils ne vivent pas ma chair, ni ma terre et que je trouve illégitime sinon scandaleux que certains me servent le verdict d'islamophobie à partir de la sécurité et des conforts des capitales de l'Occident et ses terrasses. Le tout servi en forme de procès stalinien et avec le préjugé du spécialiste : je sermonne un indigène parce que je parle mieux des intérêts des autres indigènes et post-décolonisés. Et au nom des deux mais avec mon nom. Et cela m'est intolérable comme posture. Je pense que cela reste immoral de m'offrir en pâture à la haine locale sous le verdict d'islamophobie qui sert aujourd'hui aussi d'inquisition. Je pense que c'est honteux de m'accuser de cela en restant bien loin de mon quotidien et celui des miens.
http://www.djazairess.com/fr/lqo/5224963
soutient a ce monsieur tres courageux rien a voir le ramassis de vieux debris de mai68attarde planque au cnrs qui nous coutent une fortune et servent a rien du tout
par contre coup de pompe au cul a ce rammassis de degénerés boboide et de communautaristes parasites de la france
Noureddine Amara (historien), Joel Beinin (historien), Houda Ben Hamouda (historienne), Benoît Challand (sociologue), Jocelyne Dakhlia (historienne), Sonia Dayan-Herzbrun (sociologue), Muriam Haleh Davis (historienne), Giulia Fabbiano (anthropologue), Darcie Fontaine (historienne), David Theo Goldberg (philosophe), Ghassan Hage (anthropologue), Laleh Khalili (anthropologue), Tristan Leperlier (sociologue), Nadia Marzouki (politiste), Pascal Ménoret (anthropologue), Stéphanie Pouessel (anthropologue), Elizabeth Shakman Hurd (politiste), Thomas Serres (politiste), Seif Soudani (journaliste).
http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.html
la gueule des signataires. un ramassis de gauchistes et d'allogènes. ah elle est belle la France.
Noureddine Amara qui prépare une thèse de doctorat sous la direction de Patrick Weil sur Les pratiques de la nationalité algérienne en situation impériale. Algériens et consuls français au Maghreb et dans l’Empire ottoman, XIXe– XXe siècles
purée on a vraiment du fric à jeter par les fenêtres