macron est un traitre à la nation rien d'autre
Union européenne : la France est gouvernée par "le parti de l'étranger", selon Dupont-Aignan L'expression "parti de l'étranger" était devenue célèbre en 1978, après que Jacques Chirac l'eut utilisé pour qualifier le parti du président Giscard d'Estaing.
"La France crève surtout du pillage d'une oligarchie, 'le parti de l'étranger' d'après moi, qui gouverne contre le peuple. Emmanuel Macron doit prendre une décision : gouverne-t-il pour les Français ou pour l'Union européenne qui défigure la belle idée européenne ?", interroge celui qui s'était allié à Marine Le Pen entre les deux tours de l'élection présidentielle de 2017. L'expression "parti de l'étranger" était devenue célèbre en 1978, après que Jacques Chirac l'eut utilisé lors de son "appel de Cochin" pour qualifier le parti du président Giscard d'Estaing, l'UDF, dont les orientations étaient jugées trop pro-européennes et "antinationales".
"LE PEUPLE S'EST DÉJÀ RÉVEILLÉ"
"Le peuple s'est déjà réveillé au Royaume-Uni, en Italie, et même aux États-Unis", estime encore M. Dupont-Aignan, selon qui "Emmanuel Macron doit soumettre son plan global à travers un référendum".
"Si celui-ci est accepté, je m'inclinerai. S'il ne l'est pas, le président de la République devra quitter ses fonctions, comme le Général de Gaulle avait osé le faire en 1969", exhorte-t-il.
Le président de Debout la France estime en outre que le mouvement des "gilets jaunes", qu'il a été l'un des premiers à soutenir, va "accélérer le renouvellement politique".
MACRON NE "RESPECTE" PAS SON PEUPLE
"Emmanuel Macron va devoir arrêter son insupportable dichotomie entre progressistes et nationalistes. Ce mouvement lui rabat son caquet par rapport à des gens comme (le Premier ministre hongrois) Viktor Orbán et (le ministre de l'Intérieur italien) Matteo Salvini. Donald Trump a d'ailleurs très bien réagi en le moquant", se réjouit le député de l'Essonne.
"Emmanuel Macron ne peut plus donner de leçons à la terre entière : il n'est même pas capable de respecter son peuple et de lui permettre de vivre", tacle-t-il encore.