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il serait peut etre temps de faire le grand menage
il serait peut etre temps de faire le grand menage
le gros problemes c'est que la répression routieres n'est pas faite pour s'en prendre aux vrais délinquants routiers mais à monsieur tout le monde et à pour but de faire rentrer du fric dans les caisses de notre état ultradépensier
moi j'habite une zone trente bon ben un conducteur qui roulent a 40 voir 45 meme 50km/h est il un délinquant routier ? réponse non ( il suffit detre un tout petit peu distrait et hop on roule a 40)
par contre venez les soirs apres 22h ben il y a des dingos qui roulent à plus de 80km/h et passent aux feus rouges et bien evidement il n y a jamais de flic à ces heures la
bref si je suis élus fini la repression machine à fric et place à la répression contre les vrais délinquants routiers avec une répression ciblé et intelligentes
pour le petits exces de vitesse de moins de 10km/h je mettrais en place un systeme d'avertissement ( au bout 3 avertissement une amende et l avertissement effacé au bout de 3 mois)( et pour les motos je rajoute 10km/h ( hors agglomeration))
on doit lui donner la legion d'honneur
quand on pense que nos merdes de collabos de l umpuante ripoublicain pspuant la republic en merde font rentrer ces merdes en France au lieu de leur enlever nationalite française et les renvoyer au bled où ils iront traire leurs chameaux
En fin de matinée, les proches de la mariée ont dans un premier temps enchaîné les infractions au Code de la route alors qu'ils allaient la chercher à Lyon.
© MaxPPP
Ce n'est sans doute pas de cette manière que les nouveaux époux auraient voulu fêter leur mariage. Leur journée a été marquée par plusieurs rebondissements dont ils se seraient bien passés. Un cortège de mariage isérois s'est fait remarquer des forces de l'ordre. Samedi 6 avril, les invités d'un couple se sont fait épingler à deux moments différents de la journée, et ce, avant même que la cérémonie ait commencé, rapporte Le Dauphiné. En fin de matinée, les proches de la mariée ont dans un premier temps enchaîné les infractions au Code de la route sur l'A48 alors qu'ils allaient la chercher à Lyon. En plus de klaxonner joyeusement, les invités avaient orné leur capot de drapeaux qui, sous l'effet du vent, masquaient leur plaque d'immatriculation et gênaient les autres conducteurs. Selon le quotidien régional, certains d'entre eux se sont même arrêtés sur la route pour ensuite accélérer et ont dépassé d'autres voitures sans les avertir.
Ce comportement dangereux est arrivé jusqu'aux oreilles des gendarmes, qui ont accueilli les conducteurs au péage et les ont verbalisés pour changement de file non justifié, usage intempestif des avertisseurs sonores ou encore stationnement sur voie de circulation. Si le cortège a pu reprendre sa route tranquillement, un autre invité du couple a donné du fil à retordre aux autorités un peu plus tard dans la journée. Lors d'un contrôle de vitesse sur l'autoroute A43, les gendarmes ont arrêté un conducteur roulant à 213 km/h. Surprise, il s'agissait du chauffeur du marié, très en retard pour aller chercher l'homme du jour et l'emmener à la cérémonie.
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Le jeune homme, âgé de 21 ans, explique alors avoir pris du retard après avoir accroché sa voiture de location. Problème, il est titulaire d'un permis probatoire et a donc dépassé de 103 km/h la vitesse maximum autorisée. Pour couronner le tout, le jeune homme a été dépisté positif au cannabis et conduisait donc sous l'usage de stupéfiants. Les gendarmes ont récupéré les clés du véhicule, qui a été immobilisé sur une dépanneuse. Quant au jeune conducteur, rien ne dit s'il a pu finalement rejoindre la noce et à quelle heure. Espérons que la mariée n'a pas attendu trop longtemps son futur époux.
ben c est simple licenciment pour faute grave pour les jugeottes responsablent de ce fiasco
il faut reformer le systeme judiciaire ubuesque de la tete au pied et rétablir la peine de mort pour les trafiquant de drogue( avec prelevement de leur organe pour payer les frais de justice et mise à mort)
La qualification des faits les plus graves reprochés aux prévenus relevait de la cour d'assises, et non pas du tribunal correctionnel où les prévenus comparaissaient lundi pour une audience relais.
"C'est une situation totalement inédite, un cas d'école", a déclaré Me Paul Sollacaro, qui défendait un chauffeur de bus incriminé en toute fin de procédure en 2018, à tort selon son avocat, deux ans après le coup de filet qui avaient conduit les autres sous les verrous.
"La juge, dans son ordonnance de renvoi, a inclus des crimes: direction d'un groupement en vue d'un trafic de stupéfiants et blanchiment aggravé", a-t-il expliqué.
"Le tribunal s'est déclaré complètement incompétent car il ne peut juger que des délits, et pas des crimes, et il a été obligé de lever les mesures coercitives: ceux qui étaient détenus ont été remis en liberté, ceux qui avaient un contrôle judiciaire ou un bracelet électronique, ne l'ont plus", a poursuivi Me Sollacaro.
"C'est ce qui se passe quand on confond vitesse et précipitation", a estimé l'avocat qui critique l'emballement de la police et de la justice dans cette enquête qui avait permis de saisir 600 kg de cannabis, 8 kg de cocaïne, une quinzaine de pistolets automatiques ou armes de guerre, et des véhicules volés.
Le principal protagoniste du dossier, Christophe D., lunettes fumées, cheveux gominés et physique d'athlète dans le box des prévenus, devrait rester en prison quelques mois pour purger une condamnation pour une tentative d'évasion.
Présenté par les enquêteurs comme une figure montante du banditisme niçois et déjà condamné pour des faits de trafic de stupéfiants, l'homme affichait un avantageux train de vie, voiture de sport Lamborghini, vélos de compétition haut de gamme et voyages à travers le monde pour assouvir une passion pour le triathlon, et son épreuve reine, l'Ironman.
Interrogé par l'AFP, le parquet a indiqué qu'il allait réagir pour relancer la procédure.
des vrais tarés du bulbe ces émirs vivement qu on leur tranche la tete