Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
projet pour la france
projet pour la france
Derniers commentaires
11 septembre 2021

inflation:completement déconnecte de la réalite le gugusse qui a pondu cette mascarade

quand on etait encore au franc  en 1999  3 gâteaux à la pâtisserie coutaient moins de 20 franc aujourd'hui 82 francs!!!!!

inflation projet pour la france liberalisme

L'Insee aux ordres du pouvoir. Les indices qui ne veulent rien dire...

Christian n'a pas intégré que tout le monde n'a pas un salaire à 6 chiffres. Il doit pas la sentir du tout l'inflation lui... Par contre l'inflation alimentaire est bien réelle et elle fait très mal aux petits salaires.

réintégrer le cout du logement dans le calcul de l'inflation....ca va surprendre.

Et si l'Insee falsifie l'indice de cette façon c'est forcément que les gouvernements au pouvoir depuis La mite lui ont demandé .Ce ne sont que des fonctionnaires aux ordres.

Exemple de dissociation entre les prix et les coûts nouveaux issus des réglementations : le contrôle technique auto, et bientôt moto, les diagnostics énergétiques, les équipements écologiques, les parkings payants, contraventions, etc. Ces coûts imposés réduisent le pouvoir d'achat, sans que l'indice des prix n'augmente puisque ces postes n'étaient pas (et ne sont toujours pas) présents dans l'indice des prix. S'ajoute oui, l'effet qualité... Un petit scandale statistique...

Indice Insee hors tout ce qui augmente et avec effet qualité pour minorer voire annuler les hausses de prix des produits technologiques .Nos technocrates à la solde du pouvoir n'ont plus aucune crédibilité

"+1,2% en juillet sur une année."??? Ce chiffre correspond à l'inflation hors produits énergétiques (+25% pour le gaz!!!), transports, loyers et Alimentation (+ 20% pour fruits et légumes). Les chiffres d'inflation délivrés par l'INSEE ne correspondent en rien à l'inflation vécue au quotidien par le peuple (désolé mais je n'achète pas une TV tous les jours !)

Ces gens là ne vivent pas dans le même monde que nous ! Ils n'ont jamais poussé un caddie, jamais acheté un produit dans un supermarché ou ailleurs. Tous nos problèmes viennent de ce décalage entre ces pseudos experts et la vraie vie qu'ils ne connaissent pas.

essaie de vivre avec 1200 Euros, et tu vas vite comprendre que l'inflation elle n'est pas a 2%

Le bois, le café, les semi-conducteurs, le pétrole, le gaz, le blé... tous les prix explosent à la hausse. Et l'inflation est vraiment exagérée. Marre de lire ce genre de bêtises. Actuellement la classe moyenne subit une perte énorme de pouvoir d'achat (cachée par les indices) car les salaires n'ont pas augmenté. Après ce Monsieur n'a peut-être pas de problèmes de budgets, il ne prendra peut-être conscience de l'inflation que lorsque les français seront dans la rue.

Si on retire tout ce qui augmente des indices, forcément, on peut trouver qu'il n'y a pas d'inflation.

Il ne doit pas faire son marché alimentaire lui-même c'est pas possible. Encore un théoricien, voire technocrate version Coluche. Adepte des indices fabriqués par le pouvoir.

Quelle est la réalité du risque inflationniste ? La question occupe en bonne place les esprits, les débats de l'été, et agite de temps à autre les marchés financiers. Christian de Boissieu explique pourquoi, selon lui, l'évolution de l'indice des prix des biens et services devrait rester globalement modérée au cours des deux prochaines années

L'inflation n'est pas limitée à un certain nombre de pays émergents. Elle pointe aussi aux Etats-Unis (+5,4% en juillet dernier sur un an). La France est dans une configuration différente : +1,2% en juillet sur une année. Même constat d'inflation modérée pour l'ensemble de la zone euro.

Pour éclairer le débat, il paraît utile de faire une distinction entre les conditions permissives de l'inflation, et l'inflation proprement dite. La thèse défendue dans cet article est la suivante : si certaines conditions permissives d'un retour de l'inflation semblent aujourd'hui en place, cela ne signifie pas pour autant que l'inflation sur biens et services va remonter dans les pays avancés à l'horizon des deux prochaines années.

L'abondance de liquidités constitue l'une de ces conditions permissives. Elle découle des politiques monétaires très souples menées depuis 2009. Pour Milton Friedman et les monétaristes, l'inflation est « toujours et partout un phénomène monétaire ». Ce sont les variations de la masse monétaire qui provoquent, avec un délai, celles du niveau général des prix. Pourquoi ce schéma ne fonctionne pas depuis dix ans, alors que la masse monétaire mondiale et les bilans des banques centrales ont quasiment explosé ? D'une part, la création monétaire débridée est venue alimenter des bulles, donc l'inflation du prix de certains actifs, plutôt que l'inflation du prix des biens et services. Ce processus ne va pas s'interrompre tout d'un coup. D'autre part - et Friedman lui-même s'était fortement intéressé à ce type de phénomène -, la chute de la vitesse de circulation de la monnaie due à la crise a, en partie mais en partie seulement, « compensé » l'injection de nouvelles liquidités. Cet aspect-là devrait s'inverser avec la sortie de crise. Cela veut dire que l'abondance actuelle de liquidités constitue un réservoir d'accélération de la vitesse de circulation et d'inflation pour l'avenir, mais pas nécessairement à court terme.

Trois aspects à prendre en compte

Une seconde condition permissive de l'inflation vient de déséquilibres offre/demande liés à la pandémie. Une part significative des tensions inflationnistes de 2021 découle du rebond post-confinement de la demande face à des offres perturbées par la rupture de chaînes d'approvisionnement. La flambée des matières premières relève d'une telle problématique. Il s'agit là de phénomènes plus conjoncturels que structurels, qui pourraient se dissiper au fur et à mesure de la normalisation post-crise. Les banques centrales légitiment la poursuite de leur souplesse par le caractère transitoire des chocs sur l'offre, sur les matières premières.

A l'horizon 2022-2023, l'inflation sur biens et services devrait rester globalement modérée dans les pays avancés tant que la configuration actuelle se prolonge sur les aspects suivants :

1/ L'inflation ne pourrait s'installer que si les anticipations d'inflation étaient revues nettement à la hausse par les entreprises et les ménages. Nous sommes encore loin d'une telle situation, même s'il ne faut pas totalement écarter la possibilité de certains revirements brutaux.

2/ Pour que l'inflation s'installe, il faut que la boucle prix-salaires s'enclenche, comme dans les années 1970 : la hausse des prix entraîne celle des salaires, qui pousse les prix encore plus haut... Tel n'est pas le cas aujourd'hui, même dans les pays proches du plein emploi. La probabilité de certains ajustements salariaux indispensables ne signifie pas ipso facto le retour de cette boucle prix-salaires.

3/ Si la pandémie a déjà modifié certains traits de la mondialisation, elle n'altère pas l'impact de celle-ci sur la concurrence. La plupart des entreprises sont devenues des « price takers » du fait de la mondialisation, ce qui peut limiter la capacité pour elles de répercuter dans leurs prix certains chocs sur l'énergie, d'autres matières premières, etc. Cet aspect-là, qui joue sur le long terme, va rester valide aussi pour 2022-2023.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 312
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité