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projet pour la france
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4 mars 2013

la fed et la crise

La Réserve fédérale américaine pourrait préparer une bulle spéculative géante.

Aux dernières nouvelles, Bernard Madoff coule des jours tranquilles à la prison fédérale de Butner, en Caroline du Nord. “C’est beaucoup plus sûr ici que dans les rues de New York“, explique le génial escroc. Le temps doit quand même lui paraître parfois un peu long, occupé à nettoyer le réfectoire (payé 14 cents l’heure) ou à compter les jours qui le séparent de son improbable libération – prévue maintenant dans cent quarante-six ans. Pauvre Bernie !

Ce qui, en revanche, doit lui remonter le moral, c’est de constater qu’il a en matière d’arnaque financière géante fait des émules au sein même des gouvernements et des banques centrales. Partout dans le monde. Au Japon, au Royaume-Uni et surtout aux États-Unis. Là-bas, l’élève est même en train de dépasser le maître. Ben Bernanke, le patron de la Réserve fédérale américaine (Fed), est en train de faire mieux que Bernie, avec la mise en place d’une mécanique infernale dont ne s’inquiètent aujourd’hui que quelques spécialistes, mais qui risque de conduire à une crise financière plus grave encore que celle ayant suivi la faillite de Lehman Brothers en 2008.

Madoff s’était contenté, si l’on peut dire, d’escroquer des milliers de riches clients avec une banale pyramide de Ponzi : on appâte le zozo en lui garantissant un rendement élevé et on rémunère les anciens clients avec l’argent frais des nouveaux. Rien de très nouveau là-dedans, rien de très sophistiqué non plus.

M. Bernanke, lui, se montre beaucoup plus imaginatif et novateur, avec en outre l’avantage majeur d’opérer en toute légalité. Et pour des montants sans commune mesure : 65 milliards de dollars pour Madoff, près de 3 000 milliards de dollars pour Bernanke. Bernie petit joueur.

Pour sauver la chaîne de Ponzi construite par le Trésor américain (faire de nouvelles dettes afin de pouvoir rembourser les anciennes), la Fed s’est lancée à la fois dans la fabrication de fausse monnaie à grande échelle et dans une manipulation sans précédent des taux d’intérêt. Au point qu’à côté le scandale du Libor dans lequel sont impliquées plusieurs grandes banques privées, et qui fait régulièrement la une des journaux financiers, relève de l’amateurisme.

Comme Jésus multiplia jadis les pains, Bernanke multiplie aujourd’hui les dollars. Une méthode pas catholique du tout, mais que M. Bernanke a jugée être la moins pire des mauvaises solutions pour sortir l’Amérique de la crise. Avec tous ces billets verts miraculeusement créés, il a acheté depuis trois ans d’énormes quantités de dette publique américaine : 1 700 milliards de dollars d’obligations du Trésor, 1 000 milliards de dollars d’emprunts immobiliers garantis par l’Etat, soit au total plus que toute la dette de la France. Résultat : les taux d’intérêt à long terme sont tombés aux États-Unis à des niveaux incroyablement bas (2 % à dix ans, contre 4 % avant le début de la crise) ; mais surtout absurdement bas, compte tenu de l’envolée de la dette publique américaine (qui frôle 17 000 milliards de dollars et augmente de 4 milliards de dollars par jour !). Des niveaux aussi fictifs, déconnectés de la réalité, que pouvaient l’être les rendements offerts par Madoff à ses clients.

Cela n’empêche pourtant pas de nombreux économistes de saluer l’audace de M. Bernanke – et de reprocher au passage la pusillanimité dont M. Draghi ferait preuve à la tête de la BCE. Ils considèrent comme une formidable nouvelle ces taux d’intérêt très faibles, inférieurs aux taux de croissance, qui dopent la consommation des ménages américains, l’investissement des entreprises et favorisent la reprise du marché immobilier. Les agences de notation elles-mêmes applaudissent : c’est une raison suffisante pour s’inquiéter. Car le problème de ce genre d’entourloupe géante et de fuite en avant est qu’il est difficile d’y mettre un terme en douceur, sans faire s’écrouler tout le système.

Que risque-t-il de se produire quand la Fed cessera d’acheter chaque mois pour 85 milliards de dollars de dette américaine ? Il risque de se produire un gigantesque krach obligataire causant d’énormes pertes à la Fed elle-même, mais aussi aux banques, aux assureurs et autres fonds de pension. Un krach provoquant une remontée des taux d’intérêt si brutale qu’elle ferait automatiquement retomber l’économie en récession et mettrait l’État américain en réel danger de faillite.

Que risque-t-il à l’inverse de se passer si la Fed, mais aussi la Banque d’Angleterre et la Banque du Japon continuent de maintenir à des niveaux artificiellement bas les taux d’intérêt à long terme ? Il risque de se former de gigantesques bulles spéculatives en comparaison desquelles celle des subprimes fera figure de “bullette” inoffensive et indolore.


Madoff avait ruiné quelques milliers de clients pour la plupart très fortunés, ce qui est très triste pour eux mais sans grande importance. C’est en revanche toute l’économie mondiale que Bernie II (Ben Bernanke) risque, lui, de ruiner. “L’État tout entier est une chaîne de Ponzi”, a récemment déclaré, du fond de sa prison, Bernard Madoff. Parole d’expert.


http://www.lepoint.fr/editos-du-point/p ... 86_493.php

 

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4 mars 2013

pantouflage et placard dorée

c est ce qui ruine les grosses boites tous ces placards dorée ou l on recasse les petits copain ump aussi inutile que nuisible a la france

Olivier Henrard, concepteur de la Hadopi, devient Secrétaire général de SFR

3 mars 2013

trop de difference c'est innaceptable

8,6 millions de francais vivent avec 964€ par moi ( chiffre 2010)

la rémunération annuelle des grands patrons du cac 40 est de 4,2 millions d'euros ( 2011)

innaceptable ils ne meritent pas leur salaires ses pretendus grands patrons on est revenu a 1793 avec une caste de nobliaux qui avaient tous les biens et la misere pour les autres pourtant je ne suis pas bas du front de gauche il est normal qui il y est difference salaires si l'on veut que la france est de bon ingénieur chercheurs chirurgiens entrepreneurs mais la ils font un mal fou aux pays car les gugusses qui sont justes en dessous d'eux voient bien qu ils ne meritent pas se salaire et ils se disent ben moi je vais faire pareil et idem en dessous et c est comme cela que l on corrompe un pays et entreprises

 

sinon vient de lire que lauvergon dit que l insufisante monté en gamme du secteur automobile etait une erreur strategique!!!!

et non la france doit produire pour les classes moyennes par poiur quelques richards

decidement deconnection totale avec la france reelle

les-suisses-plebiscitent-l-interdiction-des-parachutes-dores-
2 février 2013

les folies des élus

ils sont irresponsables fous et dangereux

Folie Des Elus by

2 février 2013

les 200 qui bloquent la france

en construction:suis d'accord sur certain point par sur tous

les 200 qui bloquent la france by

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12 janvier 2013

hihi acheter carrefour

8 janvier 2013

tiens encore un enarque dingue comme ils sont mega nul quand meme

virgin megastore,champ elysée,enarque,edouard balladur,walter butler goldmans sachs,ump,banque,raffarin,

(...)
Caricature parfaite du petit oligarque à la française, Walter Butler, devenu inspecteur des finances à sa sortie de l’École nationale d’administration en 1983 (promotion Solidarité, en hommage à Lech Walesa), n’aura pas servi l’État bien longtemps… avant d’aller se servir à l’occasion, bien souvent, des vagues successives de privatisation.

Lors de la première cohabitation, entre 1986 et 1988, il entre au ­cabinet de François Léotard, le ministre de la Culture, en tant que conseiller pour l’audiovisuel : il conduira notamment le processus de privatisation de TF1. Pour celui que ­Dominique de Villepin a aidé à préparer le concours d’entrée à l’ENA, voilà de quoi étayer encore son carnet d’adresses: Francis Bouygues, Jean-Marie Messier qui s’occupe des privatisations au cabinet d’Édouard Balladur, Dominique Bussereau et ­Dominique Ambiel, tous les deux proches de Jean-Pierre Raffarin… Après la défaite de la droite, Walter Butler part se ­réfugier dans la banque d’affaires Goldman Sachs aux États-Unis. C’est dans cet établissement extrêmement célèbre désormais que le haut fonctionnaire se transformera en pur financier. 
« Goldman, c’est là que j’ai ­appris à lire, à écrire et à ­compter dans les affaires », glissera-t-il quelques années plus tard dans l’Expansion.

Revenu en France au début des années 1990, il fonde avec le concours de l’un des parrains du capitalisme français de l’époque, Bernard Esambert, le patron de la banque d’affaires Roth
schild, son propre fonds d’investissement. Très vite, Walter ­Butler devient un spécialiste du 
« retournement »: selon la ­légende, il achète des entreprises en difficulté, les redresse et les revend en faisant la culbute; en pratique, il s’empare aussi de lambeaux d’entreprises publiques à prix cassés qu’il revend ensuite à prix d’or. L’homme est bien introduit dans les rouages du capitalisme d’État: il bénéficie des conseils d’Alain Minc et surtout de la protection de François Pinault, le puissant patron de PPR qui le fera rentrer au conseil d’administration de la Fnac et lui remettra la Légion d’honneur en 2004.

Les cercles du pouvoir

Dans ses opérations, opaques pour la plupart, ­Walter Butler profite de sa proximité avec les cercles du pouvoir. En 2006, alors que de nombreux observateurs dénoncent un bradage, il devient l’actionnaire majoritaire de la SNCM, la compagnie privatisée qui assure les liaisons entre la Corse et le continent, et quelques années plus tard, il revend en empochant cinq fois sa mise de départ.

À la Sernam, l’issue est un peu différente, même si, là aussi, ça sent le pactole pour Butler: après avoir racheté pour une bouchée de pain (on parle de 10 millions d’euros) le secteur messageries de la SNCF, non sans que l’entreprise publique ne le renfloue à hauteur de 500 millions d’euros, le spéculateur finira par transférer à la collectivité la charge du plan de social en mettant la boîte en redressement judiciaire, avant que la SNCF, via sa filiale de logistique Geodis, ne vienne, début 2012, racheter les derniers morceaux… Chez Virgin, Walter Butler se sauvera-t-il encore sans payer l’addition ?

Virgin déjà retoqué en justice. C’est une épine dans le pied du fonds d’investissement Butler. En mai dernier, le tribunal de grande instance de Paris a donné raison au comité d’entreprise et au syndicat SUD, qui contestaient la façon dont Virgin avait lancé des plans de licenciement distincts pour la fermeture de ses magasins de Metz (janvier 2012) et Toulouse (mars 2012). Le tribunal a estimé que Virgin devait reprendre la procédure à zéro et fournir une « information complète et loyale » sur la stratégie de l’entreprise. Il a aussi souligné que la situation économique justifiant ce plan devait s’apprécier au niveau du groupe Butler, et non de la seule entreprise Virgin. L’affaire sera examinée en appel le 28 janvier.

21 décembre 2012

Une page se tourne pour Dexia, autorisée à mener à bien son démantèlement

et oui comme dit la blague la methode la plus efficace pour se ruiner c'est de confier la gestion de son entreprise à un maffieu  x enarque

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dexia

Pierre Richard est un banquier français né le 9 mars 1941, fondateur et président de 1987 à 2008 de Dexia, leader mondial du financement des collectivités locales et services public qui a dû être sauvé par des fonds publics à deux reprises, en 2008 et en 2011.

D'abord haut fonctionnaire, il a participé au projet de loi sur les décentralisations en 1981-1982. Il a notamment présidé le conseil d'administration de l’École nationale des Ponts et Chaussées (1994-1999) et préside actuellement entre autres Le Monde Investisseurs, structure de financement du journal Le Monde. Il est vice-président de l’Association française des banques (syndicat des banques privées françaises).

Selon le quotidien Le Figaro, Pierre Richard perçoit chaque année près de 600.000 euros de retraite-chapeau, entraînant dans les comptes de la banque une provision de plus de 11 millions d'euros. En février 2012, le représentant de l'État français au conseil d'administration de Dexia aurait demandé à ce dernier d'envisager les moyens possibles pour réclamer à l'ancien président du groupe les sommes versées3.

 

Une page décisive s'est tournée vendredi pour Dexia avec la validation par les actionnaires de l'augmentation de capital de 5,5 milliards d'euros qui va permettre à la banque de poursuivre son démantèlement avec l'assentiment de la Commission européenne.

Au terme d'une assemblée générale plus morose que tendue, les actionnaires se sont prononcés à 99,40% en faveur de la recapitalisation, qui sera réservée aux Etats belge et français.

Cet apport d'argent frais avait été rendu nécessaire par les pertes importantes engendrées par les cessions d'actifs réalisées au cours de l'année par Dexia, qui ont largement entamé ses fonds propres.

Pour les actionnaires existants, notamment les petits porteurs, l'opération induit que la valeur de leurs titres sera réduite quasiment à néant, sans perspective réaliste de percevoir de nouveau un dividende.

La banque prévoit bien un retour à l'équilibre à l'horizon 2018, mais les bénéfices éventuellement dégagés après cette date devraient être intégralement versés aux Etats.

"Il faut choisir entre la guillotine ou la chaise électrique", a commenté un actionnaire, dépité.

Lors de son allocution liminaire, le président Robert de Metz a défendu le principe d'une poursuite d'activité de la banque, qui demeure, selon lui, un établissement systémique, c'est à dire susceptible de déstabiliser le système financier tout entier en cas de disparition brutale.

"Si Dexia devait être liquidé (...), le marché européen serait profondément perturbé", a fait valoir la banque dans une réponse à une question écrite d'un actionnaire.

Interrogé par un actionnaire quant au coût éventuel d'une liquidation immédiate, la banque a indiqué que l'exercice était "difficile", mais l'a chiffré à "plusieurs dizaines de milliards d'euros".

"Il suffit de penser à Lehman Brothers et à tout ce que ceci (le dépôt de bilan de la banque américaine) a engendré" a expliqué l'administrateur délégué, Karel De Boeck, à une salle qui comptait à peine une centaine de personnes.

Il a rappelé que l'encours actuel des dettes émises sur le marché par Dexia avec la garantie des Etats atteignait 73 milliards d'euros, montant que devraient honorer ces Etats en cas de liquidation immédiate, avec de lourdes conséquences budgétaires.

Outre l'augmentation de capital validée par les actionnaires, l'autre obstacle majeur à un démantèlement étalé dans le temps avait été levé jeudi.

Le commissaire européen chargé de la Concurrence, Joaquin Almunia, a, en effet, annoncé qu'il proposerait, le 28 décembre, à la Commission d'approuver définitivement le plan de garanties publiques bénéficiant à l'établissement.

Dexia a déjà engagé la cession de la totalité des actifs qui pouvaient être vendus et n'assurera donc plus désormais quasiment que la gestion de portefeuilles d'actifs et de prêts, sans activité opérationnelle significative.

La Commission lui a seulement autorisé deux fenêtres, en 2013 et 2014, pour faire des prêts à des collectivités pour leur permettre de sortir de crédits dits "toxiques" (avec des formules déterminant le taux d'intérêt), précédemment accordés par Dexia.

Même si la banque ne présente désormais plus de risque majeur pour les Etats ou le système financier, elle est condamnée à survivre encore plusieurs décennies, le temps de laisser les engagements les plus longs arriver à échéance.

Seize ans après sa naissance, l'établissement dont ses créateurs voulaient faire la première vraie banque européenne n'est plus qu'une société de portefeuille.

"Comment est-il possible que Dexia soit devenu un monstre cinq ans après le début de cette crise?", a lancé, dans le vide, un actionnaire belge.

13 décembre 2012

l algerie au capital de chez peugeot

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ca promet lol mort de rire

pour rappel:Avec une note de 71 sur 100, la France se situe seulement au 22ème rang mondial et au 9ème rang européen des Etats perçus comme les moins corrompus. Notre pays est ainsi moins bien noté que le Danemark, la Finlande, la Suède, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Belgique ou encore le Royaume-Uni. 

humour islam corruption_monde_algerie_classee_105e

27 novembre 2012

les eurocrates et les maffieux x enarques nous ont mis dans la merde

ca va mal se finir

 

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