trie des déchets obligatoire
Plastique. L’Allemagne, le bon élève
https://www.letelegramme.fr/_amp/442/12171442.php
pour rappel je suis pour instaurer une taxe sur la restauration rapide qui utilise enormement de container jetable qu on retrouve sur le bord des routes
« 86 % des poissons » de grandes surfaces « sont pêchés selon des méthodes non durables »
micron et ses putes en marche n arrete pas de nous gonfler avec leur rechauffement climatique et en meme temps ils signent a tour de bras des traites de libre echange avec des pays d'agriculture productiviste ( usa,canada,argentine,bresil,allemagne...) qui détruisent toute la biodiversité
Les oiseaux marins affamés par la surpêche
UFC-Que choisir a publié les résultats d’une enquête menée dans plus de 1 000 supermarchés.
L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud. CHARLY TRIBALLEAU / AFP
Au moment où les ministres de la pêche sont réunis à Bruxelles pour négocier les quotas de 2019, UFC-Que choisir publie les résultats sans appel de son enquête sur la pêche durable dans la grande distribution, lundi 17 décembre, pressant les pouvoirs publics de durcir les quotas de pêche mais aussi de rendre l’étiquetage sur la durabilité de la pêche enfin explicite.
L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud. Le constat est accablant : « 86 % des poissons présents dans les étals des grandes surfaces visitées sont pêchés selon des méthodes non durables ou dans des stocks surexploités », peut-on lire dans l’étude réalisée entre le 20 janvier et le 3 février derniers. Or, précise l’association dans un communiqué, « 88 % des stocks de poissons européens sont actuellement surexploités ou voient leur capacité à se reconstituer menacée, induisant dès lors un risque d’effondrement des stocks pour des espèces particulièrement menacées telles que le bar ».
« Aucune politique d’approvisionnement durable »
PHILIPPE HUGUEN / AFP
L’enquête avait un double objectif, souligne UFC-Que choisir : vérifier le respect des mentions obligatoires sur les méthodes de pêche et les zones de capture et analyser les résultats sur la durabilité des ressources exploitées, tant en termes de méthodes de pêche que de zones de capture.
« Le résultat est malheureusement tristement sans appel : la grande distribution n’a aucune politique d’approvisionnement durable pour les trois espèces étudiées », affirme l’association. Or, trois quarts des achats de poissons frais et autres produits de la mer des consommateurs français sont réalisés dans la grande distribution, selon une étude de l’institut FranceAgrimer datant de septembre 2018.
Par ailleurs, poursuit l’association, dans deux tiers des cas, les mentions obligatoires sont « absentes, fantaisistes ou trop vagues ». Ainsi, « avec plus de trois poissons sur quatre mal étiquetés, Intermarché décroche la palme, talonné par Système U et Leclerc qui totalisent respectivement 76 % et 67 % d’étiquetages non conformes ». S’agissant des zones de capture, l’association a relevé des mentions vagues du type « Atlantique » ou « Méditerranée » : « or, en l’absence de zone maritime précise, on ne peut pas identifier les poissons provenant de stocks surexploités », estime-t-elle. Quant à l’information sur les méthodes de pêche, elle est absente pour un poisson sur quatre, précise UFC-Que choisir.
Compte tenu des résultats de cette enquête, l’association demande à ce que les ministres européens de la pêche alignent « strictement les futurs quotas sur les recommandations émises par les experts du Conseil international pour l’exploration de la mer » et que « l’étiquetage réglementaire intègre un indicateur explicite de la durabilité du poisson ». Elle annonce qu’elle saisira la répression des fraudes afin qu’elle réalise des contrôles sur le respect des dispositions réglementaires d’étiqueta
On vous raconte le plus violent réchauffement climatique que notre planète ait connu... jusqu'à aujourd'hui
le monde est sans glace, sans calotte, sans neige éternelle. Les paysages blancs de l'Antarctique ont cédé la place à des forêts. Des palmiers ont même pris racine au pôle Nord. On ne vous décrit pas là le futur que nous promet le réchauffement climatique, mais un passé très lointain. Il y a 56 millions d'années, la température a grimpé de 6°C en seulement 10 000 à 20 000 ans,
mini minuscule micron écolo lol mort de rire
Ce qui m'étonne, c'est que personne ne parle des "cars Macron". Mais ces engins roulent bien au gazole, pas à l'eau de pluie. Pour un président aussi "écolo" ça la fout mal quand même !
et oui micron nous prend pour des cons arretons d'etre gentil avec cette merde
les effets de la surpopulation
il est vraiement necessaire d'arriver a un modele de décroissance et de controler les naissances surtout dans les pays à forte natalité
en France il faut réserver allocation familliale à deux enfants pas plus.
Un éthologue américain a étudié il y a près de cinquante ans les effets apocalyptiques de la surpopulation chez des rats de laboratoire. Cette expérience très intéressante est à placer en parallèle de l’évolution de la société humaine.
ca c'est dramatique
Des forestiers rassemblés dans l'Allier contre l'"industrialisation" de la forêt
100% d'accord la foret c est un cadre de vie un réservoire de biodiversité pas une ressource qu on exploite
Quelque 1.200 forestiers et simples citoyens se sont réunis jeudi à Saint-Bonnet-Tronçais (Allier) pour dénoncer la privatisation de l'Office national des forêts (ONF) et l'"industrialisation croissante" des forêts publiques, a constaté une journaliste de l'AFP.
La veille, plus de 200 marcheurs, partis mi-septembre de Mulhouse, Strasbourg, Valence et Perpignan, sont arrivés en fin de journée dans la commune voisine de Cérilly, dans le cadre de leurs "Marches pour la Forêt".
A l'initiative de huit syndicats de l'ONF, ces marcheurs avaient rendez-vous dans la forêt de Tronçais, connue pour son emblématique futaie Colbert et ses chênes tricentenaires, "symbole d'une gestion durable de la forêt".
"On conteste le principe de gestion forestière avec une vision purement économique et une gestion des ressources humaines déplorable. La forêt n'est pas une usine à bois", dénonce le représentant syndical SNUPFEN Solidaires Philippe Berger.
"Il est urgent de réagir. On est en train de faire sauter les digues qui protègent la forêt de l'industrialisation et de la malforestation. Aujourd'hui, on nous dit qu'on n'a pas de temps à perdre pour faire des plans durables de gestion de la ressource. On coupe, on coupe", abonde Frédéric Bedel, également représentant syndical de la SNUPFEN Solidaires.
"Pour la forêt, cela signifie des coupes rases, la replantation d'une seule essence, l'usage d'engrais et de pesticides, le labourage et la destruction de l'humus etc..., aboutissant à un appauvrissement des sols et une perte de la biodiversité", alerte-t-il.
Les forêts publiques, toutes gérées par l'ONF, couvrent 4,6 millions d'hectares en métropole, soit près d'un quart de la forêt française.
Celles-ci fournissent 40% du volume de bois vendu en France, selon les syndicats.
"Le diamètre d'exploitabilité du tronc d'arbre ne cesse de se rétrécir pour remplir les objectifs. Trouver de vieux bois sera bientôt illusoire", renchérit Stéphan, un autre salarié.
"Il faut remettre à plat le financement de l'ONF. C'est maintenant qu'il faudrait investir pour faire face aux conséquences du réchauffement climatique", insiste Gilles Van Peteghem, de la CFE-CGC.
Les manifestants s'étaient donné rendez-vous dans la forêt de Tronçais, à Saint-Bonnet-Tronçais dans l'Allier, le 25 octobre 2018
Dans le viseur des syndicats également, la "privatisation des activités de service public", avec une suppression de "1.500 salariés, dont des fonctionnaires assermentés, d'ici 5 ans". Ce "manque de personnel" va conduire à des "difficultés d'application" des missions régaliennes de protection de la forêt, estiment-ils.
De son côté, la direction de l'ONF a assuré dans un communiqué qu'"aucune privatisation des forêts publiques, ni de l'ONF, n'est envisagée par l'Etat".
Concernant l'exploitation des bois, les "prélèvements en forêts domaniales sont stables", à hauteur de "5,7 millions de mètres cubes par an" depuis 1966, date de création de l'ONF. "En 2017, ce chiffre est de 5,3 millions de m3", a précisé la direction