la starup nation du minuscule macron
j ai trouvé cela sur linkedin
Le cash des investisseurs aussi 🔥🔥🔥
La placement de Getir Gorillas et Frichti en redressement judiciaire le 2 mai fait ressortir dans la presse des chiffres ahurissants.
On apprend ainsi que Gorillas a réalisé 57M€ de PERTES pour 25M€ de CA en 2022*
Pour Getir, on parle de 23M€ de CA pour 99M€ de PERTES sur cette seule année* 😳😳😳
Au total ce sont 217M€ qui ont été 🔥🔥🔥 en 3 ans pour créer à coup de matraquage publicitaire un besoin non solvable.
Ça m'inspire une question naïve :
❓❓ Comment une entreprise qui perd de l'argent sur chaque commande enregistrée sur son application peut-elle être autorisée à vendre son modèle en #franchise ?
Le groupe s'est placé sous la protection et le contrôle de la Justice, qui lui donne 3 mois pour trouver le modèle rentable après lequel il court depuis 3 ans. 🤔
Ça aussi, ça pose une question naïve :
❓❓ Qui va couvrir les 12M€ de dettes dont 5M€ de dette fiscale et sociale (URSSAF) accumulée depuis 2021 ?
Dans le même temps - avril 2023 - il est question d'une levée de fonds de 500M$ par Getir et d'une offre de rachat de Flink, son seul concurrent restant en France.
Avant cela #Gorillas avait levé 950M$ fin 2021 et #Getir 550M$ en 2021 puis 860M$ en 2022. 😳😳😳
Encore une question naïve :
❓❓Comment la filiale française d'un groupe qui vient de lever 500M$ et qui projette de racheter son concurrent peut-elle être déclarée en cessation de paiement ?
Et j'ai très envie de poser ces questions naïves à Mr Paul Midy
Mr Midy, vous avez été salarié de Frichti, une belle startup française, rachetée par Gorillas, racheté par Getir.
Vous vantez sans relâche les mérites de ces entreprises "innovantes" qui disruptent le business.
Vous promettez à chaque micro qui vous est tendu le plein emploi grâce à ces pépites de la tech.
Quelle est la viabilité de ce modèle qui consiste à :
❌ plastronner comme des entrepreneurs de génie
❌ en faisant de fausses promesses de service au marché,
❌ de fausses promesses d'emplois durables aux salariés,
❌ de fausses promesses de business juteux aux franchisés,
❌ le tout en brûlant du cash par milliards,
❌ pour finir par se placer sous la protection de l'Etat quand il ne devient plus possible de cacher la supercherie ?
Quel est votre avis, Mr Midy - comme expert de la frenchtech - sur la trajectoire du #quickcommerce en France ?
La décarbonation des livraisons du #dernierkm est un enjeu majeur pour faire face à l'urgence climatique.
Mais comment les entreprises sérieuses de #cyclologistique peuvent-elles prendre leur juste place sur un marché faussé par de telles pratiques ?
Les Boîtes à Vélo - France
Que proposez-vous, Mr Midy - comme député - pour protéger les consommateurs, les commerçants de centre ville, les employés, les professionnels et les contribuables contre cette concurrence déloyale ?
Sécheresse : interdire les piscines privées, une révolution inéluctable ?
c'est claire qu il faut repenser le modele agricole et tant pis pour la fnsea je suis pour les rendre persona non grata
ouf pas trop tot cette loi merci au sénateur patrick Chaise
hihi moi qui arrette pas de critiquer le sénat la je dis bravo
grosse expérience négative pour moi et je ne suis pas le seul d'apres ce que j ai entendu à la boutique orange
Porté par le sénateur (LR) Patrick Chaize, le texte prévoit de s’attaquer à la racine du problème en mettant fin à la sous-traitance en cascade avec en bout de chaîne des techniciens mal formés et pressurés chargés de réaliser le raccordement final des utilisateurs à la fibre optique.
La proposition de loi relative à la « Pérennité des réseaux de communications électroniques à très haut débit » entend encadrer ce mode « Stoc » pour « sous-traitance à l’opérateur commercial » et de limiter le nombre de rangs de sous-traitance.
Il s’agit aussi pour le sénateur de l’Ain de revoir la répartition des responsabilités entre l'opérateur d'infrastructures, qui déploie le réseau, et l'opérateur commercial - Orange, SFR, Bouygues Télécom, Free - qui vend l’abonnement et tire la fibre sur les derniers mètres pour assurer le raccordement de l'utilisateur final.
Pour éviter que chaque acteur ne se renvoie la balle, c’est l’opérateur d’infrastructures qui devrait reprendre la main et contrôler la qualité des travaux de raccordement. La proposition de loi prévoit également la communication systématique des plannings d’intervention, la prise en compte d’exigences de qualité minimales dans le choix des sous-traitants ou encore l’instauration d’un guichet unique pour centraliser les problèmes rencontres.