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projet pour la france

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9 décembre 2023

la fievre du 49.3 🤣🤣🤣

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9 décembre 2023

«Les terroristes islamistes ciblent aussi la France des champs»

«Les terroristes islamistes ciblent aussi la France des champs»

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/les-terroristes-islamistes-ciblent-aussi-la-france-des-champs-20231208
«Tu tues tout le village en une seule nuit, c'est facile.»
TRIBUNE - Six hommes accusés de préparer des attentats terroristes islamistes, notamment dans des campagnes, ont été renvoyés devant la cour d'assises des mineurs. Antoine Valentin, maire divers droite d’une petite commune de Haute-Savoie, alerte sur le manque de présence des forces de l'ordre dans les territoires ruraux.

Antoine Valentin est maire (DVD) de la commune de Saint-Jeoire en Haute-Savoie.

«Tu tues tout le village en une seule nuit, c'est facile.» C'est par ces mots que six islamistes radicalisés prévoyaient de commettre une sorte d'Oradour-sur-Glane contemporain, dans un petit village en Bretagne. Passé sous les radars médiatiques, c'est l'AFP qui nous apprend que le procès de ces terroristes en devenir, dont cinq seulement sont encore en détention, pourrait avoir lieu en 2024. Inutile d'ailleurs de préciser, tant cela devient funestement courant, que certains étaient fichés S, très défavorablement connus des services de police, et qu'il y a parmi eux un réfugié syrien.

Nous sommes nombreux à alerter, depuis maintenant des années, sur le manque de présence des forces de l'ordre dans les territoires ruraux. Ce désengagement manifeste de l'État dans la France périphérique et rurale a conduit à l'émergence d'une nouvelle délinquance venant spécialement proliférer dans ce vide sécuritaire. Dans ce paradigme quasi-invariant où les terroristes sont systématiquement issus du creuset de la délinquance, il était légitime de craindre qu'ils finissent par suivre le même exode vers la France des champs. Cette brève de l'AFP, nous apprend que l'hypothèse est désormais confirmée, heureusement sans victime, puisque l'attaque a été déjouée par les services de renseignement.

Pour autant, le nombre de radicalisés, combiné à l'évolution de la doctrine terroriste, qui tend de plus en plus vers l'événement soudain et peu préparé, utilisant des armes par destinations et des loups solitaires, doit nous laisser présager le pire. Quel serait le bilan humain d'une attaque au couteau dans un territoire où la gendarmerie ne peut intervenir, faute de moyens humains, en moins de trente minutes ? Alors que craindre d'une attaque d'ampleur, comme celle projetée par ces six hommes ? Un carnage certain, dont seront responsables ceux qui ont déshabillé nos campagnes de leurs brigades de gendarmerie et auront laissé prospérer un mal dont nous semblons bien incapables de juguler la croissance.

Ce ne sont pas les quelques brigades de gendarmerie promises par le président de la République qui viendront enrayer cette marche funèbre. Ce ne sont encore moins les brigades mobiles, armées de quelques gendarmes dans un camping-car, qui protégeront les ruraux de ce fléau, réservé auparavant aux territoires urbains.

7 décembre 2023

Marseille : deux agents de la préfecture, dont un Franco-Syrien Abdalla I., modifiaient le dossier des demandeurs d’asile contre

https://www.fdesouche.com/2023/12/07/marseille-deux-agents-de-la-prefecture-modifiaient-le-dossier-des-demandeurs-dasile-contre-de-largent-afin-quils-obtiennent-leurs-papiers-9-suspects-mis-en-examen/

En l’absence d’un contrôle par sa hiérarchie, Abdalla Ibrahim pouvait ne pas enregistrer sur la base Eurodac les empreintes digitales d’un demandeur déjà enregistrées ou bien faire disparaître une réponse positive de Visabio, un autre système de traitement des visas européens accordés à des étrangers.

Au total, « j’ai touché 9.000 euros, soit en faisant quelque chose, soit en faisant croire que je faisais quelque chose », a reconnu le fonctionnaire, radié en mai 2021. Les enquêtes administratives ont recensé onze dossiers frauduleux mais, précise le juge d’instruction, « il s’agit d’une estimation basse, l’enquête administrative réalisée ayant révélé qu’au moins 10 % des dossiers traités par Abdalla Ibrahim présentaient une anomalie ».

6 décembre 2023

Ignorance stupéfiante" : l'ex Haut-Commissaire à l'énergie atomique dézingue "l'inculture des politiques"

https://www.marianne.net/politique/gouvernement/ignorance-stupefiante-lex-haut-commissaire-a-lenergie-atomique-dezingue-linculture-des-politiques

Au-delà des anciens ministres que vous pouvez auditionner pour le fun, en étant à peu près sûr de n'avoir que des effets de manche, c'est dans les structures des cabinets et de la haute administration, qui sont censés analyser les dossiers pour instruire la décision politique, qu'il faut chercher les rouages de la machine infernale qui détruit mécaniquement notre souveraineté énergétique et industrielle. »

5 décembre 2023

Crépol: «C'est un problème de maintien de l'ordre, c'est tout», selon Xavier Raufer

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5 décembre 2023

La baisse du niveau en maths, un sujet qui interpelle jusqu'à Polytechnique

de toute facons la mammoutherie titanic bat completement de l'aile.Deja dit le probleme c'est tous les pédagogos planqués au ministere dans les rectorats et enspe (iufm enfin le machin qui change de nom tous les 3 ans).100% du parsonnel de l'éducation nationale doit etre devant éleve et la paperasserie confié à des sociétés privées.

il faut aussi exclure définitivement les  20% d'éleves qui creent 80% des problemes et faire signer une charte aux parents et éleves et en cas non respect hop expulsion.

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/classement-pisa-le-niveau-des-eleves-francais-degringole-20231205

https://www.lepoint.fr/societe/pourquoi-les-resultats-de-l-ecole-francaise-sont-ils-si-mauvais-07-12-2023-2546110_23.php

Par Marie-Christine Corbier

Publié le 5 déc. 2023 à 07:20Mis à jour le 5 déc. 2023 à 09:13

La question du niveau en mathématiques n'est pas l'apanage de l'école primaire, du collège ou du lycée. Dans les classes préparatoires scientifiques et les grandes écoles d'ingénieurs, c'est un vrai sujet aussi.

« On observe une baisse significative et régulière du niveau en sciences et notamment en mathématiques depuis dix à quinze ans », cingle Emmanuel Duflos, le président de la Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs. Il prend l'image du « pont » au-dessus du fleuve : « Avant, on pouvait couper le pont en deux parties, d'un côté l'enseignement supérieur et de l'autre, l'enseignement secondaire. Les deux parties se rejoignaient. Aujourd'hui, une partie du pont a reculé, il y a un vide à combler au-dessus du fleuve. » La « mise à niveau » en mathématiques est nécessaire, alors que le temps et les moyens dont ils disposent pour former de futurs ingénieurs sont restés les mêmes, déplorent les directeurs d'écoles d'ingénieurs.

« Arrêter le saupoudrage »

Pour Laurent Champaney, le président de la Conférence des grandes écoles, à la tête d'Arts et Métiers (Ensam), la baisse de niveau est « claire ». Il cite des témoignages de professeurs qui « font état de plus en plus de difficultés pour l'apprentissage des outils de base indispensables pour l'ingénieur ». Il ne s'avance pas sur les causes - « réforme du bac ou effet de la pandémie de Covid »…

 

Les élèves ont trop d'heures où rien n'est approfondi et où l'assimilation n'est pas faite.

Emmanuel Duflos Président de la Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs

Denis Choimet, le président de l'Union des professeurs des classes préparatoires scientifiques, est prudent lui aussi. « On sort de la pandémie et la réforme du lycée n'est pas encore stabilisée, confie-t-il. En tout cas, la réforme n'a pas entraîné d'augmentation du niveau parmi les élèves que nous accueillons. La plus-value attendue ne s'est pas produite. »

Et si la cause, suggère Laurent Champaney, venait d'« une génération qui est tellement dans l'immédiateté qu'elle considère qu'elle n'a pas besoin de retenir l'information parce que cette information est accessible » ? Pour Emmanuel Duflos, il faut creuser du côté des programmes et de la capacité à les assimiler. « Il faut arrêter le saupoudrage, se concentrer sur des acquis fondamentaux, plaide-t-il. Les élèves ont trop d'heures où rien n'est approfondi et où l'assimilation n'est pas faite. »

Peut-être faudrait-il aussi un enseignement moins conceptuel, propose Laurent Champaney : « L'apprentissage actuel permet à une petite frange de la population d'exceller, mais il perd aussi une frange plus large qui comprendra plus tard, lorsqu'on lui expliquera avec des cas d'études. » Il faudrait « deux modèles d'enseignement, l'un fondé sur la spécialité mathématiques actuelle du lycée, l'autre qui pourrait s'inspirer des enseignements de sciences et technologiques d'autres pays ».

Une « bascule » à Polytechnique

La baisse de niveau interpelle jusqu'à l'Ecole polytechnique. L'an dernier, 5.100 candidats ont présenté le concours de l'X. Le rapport des examinateurs fait état « d'un certain nombre de lacunes de base », confie Marc Rosso, mathématicien, professeur à l'université Paris-Cité et directeur du concours d'entrée.

« Les meilleurs sont toujours très bons, mais les queues de listes sont plus faibles », constate-t-il. Il évoque des « critiques assez récurrentes au niveau des épreuves orales » de la part d'élèves de classes préparatoires « qui ont du mal à aligner plusieurs lignes de calcul ». « C'était déjà le cas il y a trois ou quatre ans lorsque j'étais examinateur, précise Marc Rosso. Pour l'Ecole, ce n'est pas si grave - les candidats les plus faibles ne seront pas admis à Polytechnique - mais cela dit quelque chose du niveau général. »

En 2022, dans la filière de classes préparatoires la plus matheuse (MPSI), 158 Français étaient admissibles et 53 élèves internationaux. En 2023, c'était 141 Français et 70 internationaux, notamment des étudiants marocains. Pourquoi les élèves internationaux ont-ils été bien meilleurs cette année, s'interroge l'Ecole. Certains évoquent « une année exceptionnelle », glisse Marc Rosso. Tandis que d'autres, au Maroc, y voient une autre explication : « Vous avez eu la réforme du bac, pas nous ».

Marie-Christine Corbier

3 décembre 2023

une reforme totale du systeme judiciaire est vitale et necessaire

il faut reformer le systeme judiciaire ubuesque de la tete au pied

il faut rendre pénalement responsable les juges et les avocats

Mort de Maxime Vacant, tué de 43 coups de couteau : après un an de détention, le meurtrier présumé remis en liberté

trop de juges trop d'avocats pas assez de prisons low cost et de bagnes

2 décembre 2023

Tensions à Romans-sur-Isère : l'enquête de TF1 au cœur du quartier de la Monnaie

ca continura tant qu il y aura politicards et juges complicent des racailles.

il faut construire prisons low cost sans confort et enfermer les racailles  et si ils veulent de quoi boire ou manger  ils devront travailler( ou meme casser des cailloux comme on voit dans prisons américaines) tolerance zero pour les racailles et leurs complices.

quand aux familles de délinquants expulsion au bled.

1 décembre 2023

zero immigration

et aussi expulsion des familles de délinquants avec double nationalité

 

L'immigration coûte 35 milliards d'euros par an aux finances publiques françaises
soit le double des économies de la réforme des retraites réalisée jusqu'en 2027
Le coût securitaire est effarant :
Les étrangers représentent 10 % de la population totale de la France mais 25% de la population carcérale, et sont responsables de 50% de la,délinquance et de la criminalité
etc écouter la suite ici

30 novembre 2023

justice laxiste justice complice des racailles

comment peut on avoir confiance en ce systeme judiciere ubuesque.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/les-parents-sont-devastes-le-suspect-dun-meurtre-sauvage-pres-de-metz-remis-en-liberte-apres-un-an-de-prison-29-11-2023

L’incompréhension. Un peu plus d’un an après la mort d’un homme de 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau à Maizières-lès-Metz (Moselle), le suspect a été mis en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris mercredi du procureur de la République de Metz. La décision avait été frappée d’appel par le parquet, a précisé à l’AFP le magistrat Yves Badorc. Mais elle a été confirmée par la cour d’appel de Metz dans un arrêt du 16 novembre.

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