oblamerde go home
tiens tiens comme par hazard
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http://www.infogm.org/5709-les-ogm-a-l-assaut-de-l-ukraine-les-lobbies-s-activent
tiens tiens comme par hazard
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http://www.infogm.org/5709-les-ogm-a-l-assaut-de-l-ukraine-les-lobbies-s-activent
projet pour la france,rétablissement de la peine de mort,grand banditisme,racailles,ps,ump,fn,prisons
-battu-a-mort-dans-un-cambriolage-pres-de-sisteron
rétablissons au plus vite la peine de mort
les bienfaits de l immigration voulu par l umps et le medef
http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20140909.OBS8606/infographie-les-terribles-dommages-de-l-homme-sur-la-foret.html
on coupe des arbres pour constuire des asiles où l on enfermera les hommes devenu fous car il n y aura plus d'arbre
c'est une necessité de sortir de l agriculture productiviste exportatrice
Les 150 premières vaches laitières du projet controversé de ferme dite des 1.000 vaches à Drucat, près d'Abbeville (Somme), sont arrivées dans la nuit et la première traite a déjà eu lieu samedi matin, marquant le démarrage de l'exploitation, a annoncé à l'AFP la direction, au grand dam des opposants.
"Ce matin, la ferme dite des 1.000 vaches (...) a accueilli une première partie de son troupeau. 150 des 500 vaches ont ainsi rejoint l’étable dans un climat serein, après un transfert organisé durant la nuit afin de garantir la sécurité des hommes et le confort des animaux", déclare-t-elle dans un communiqué.
"L’installation des vaches, comme la première traite qui a eu lieu à 07H00, se sont déroulées dans le respect du bien-être animal, un des principes fondateurs de ce projet", a déclaré le directeur de l'exploitation, Michel Welter.
Venu sur place avec d'autres adhérents, le président de Novissen, organisation hostile au projet, Michel Kfoury, a dénoncé un "passage en force", alors que Novissen avait déposé le 5 septembre un référé en suspension d'exploitation devant le tribunal administratif d'Amiens.
"J'avais rencontré jeudi la nouvelle préfète de la Somme (Nicole Klein ndlr) et rien de ce qui ressortait de notre conversation ne laissait présager un début d'exploitation imminent. Elle m'avait parlé d'une +évolution+ concernant la baisse de la puissance du méthaniseur" prévu dans ce projet pour traiter les digestats et produire de l'électricité, a-t-il ajouté.
La puissance du méthaniseur sera réduite à 0,6 megawatt contre le 1,338 megawatt prévu et il sera "à 100% agricole", puisqu'il utilisera des déchets des animaux et la couverture végétale produite autour de la ferme, a annoncé samedi M. Welter.
Il a évoqué deux motifs pour justifier la réduction de puissance: "le contexte économique a changé et le méthaniseur n'aurait pas été rentable; d'autre part, nous souhaitons faire un geste à l'égard de nos voisins de manière à cohabiter en toute tranquillité à terme", a-t-il détaillé à l'AFP.
Le sous-préfet d'Abbeville a confirmé samedi à M. Kfoury la réduction de la puissance du méthaniseur. Un porte-parole de Novissen s'est félicité de cette décision, due selon lui au combat mené par son association.
D'autres points restent cependant en suspens. Le trafic supplémentaire prévisible des véhicules sur la D928 située sur l'axe Rouen-Lille longeant la ferme impose notamment un aménagement routier , un "tourne à gauche".
"Les discussions sont effectivement en cours avec les services départementaux de l'équipement, mais il y a moins d'urgence puisque le projet est pour l'instant limité à 500 vaches", a estimé M. Welter.
Le porte-parole de Novissen a cependant insisté pour que ce problème soit résolu rapidement.
M. Kfoury avait également dénoncé l'absence de clôture définitive.
"Il y a déjà des barbelés et les travaux de clôture définitive vont commencer lundi", a assuré M. Welter.
Quant au lancement de l'exploitation, "il s'imposait pour des raisons techniques", a-t-il affirmé. "Le maïs produit autour du site de la ferme était déjà ensilé et les autres sites de nos associés n'avaient presque plus de fourrage", a-t-il expliqué.
- Mobilisation des opposants -
Le projet, sans précédent par sa taille en France et auquel est farouchement opposée, outre Novissen, la Confédération paysanne, a été lancé il y a six ans par Michel Ramery, fils d'agriculteur picard et industriel du BTP à la retraite, agissant aujourd'hui à titre d'exploitant agricole.
Le permis d'exploitation n'autorise pour l'instant que 500 vaches laitières, plus quelques centaines de génisses. Les installations ont cependant été dimensionnées pour accueillir 1.000 vaches en cas d'autorisation d'agrandissement, qui dépendra notamment du plan d'épandage des déchets de la ferme.
Lucie Morgand, qui fait partie des six agriculteurs associés dans la SCL Lait Pis Carde, entité porteuse du projet, s'est félicitée dans un communiqué du démarrage de l'exploitation, qui "apporte des réponses d’avenir à la filière française du lait, dont 37% des exploitations ont disparu entre 2000 et 2013".
La Confédération paysanne a cependant appelé l'Etat à "prendre ses responsabilités" contre un acte qu'elle juge "illégal" et prévenu que la "mobilisation" "allait grossir pendant les heures qui viennent".
Vers 13H00, une quarantaine d'adhérents de Novissen, dont le maire de Drucat, Laurent Parsis, qui portait son écharpe tricolore, étaient rassemblés dans le calme sur le chemin de la ferme, mais en en bloquant l'accès, a constaté un journaliste de l'AFP.
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Bonjour,
Hollande a déclaré dans le Nouvel observateur que seul une manifestation d'ampleur de la rue le fera réfléchir à sa démission.
J'ai organisé une pétition
https://www.change.org/p/françois-hollande-démissionnez-4
Elle est gratuite et est fixée à un million de signatures, c'est très optimiste, mais quand 62% des français veulent le voir partir, je pense que l'on peut réunir ces signatures.
Pourrais-tu faire un billet sur ton blog afin de rassembler le plus de Monde possible ?
Merci beaucoup,
pour moi François hollande la seul chose qu il est fait de bien c'est le marriage homo mais bon c'est annexe quand meme surtout que la pma et gpa n ont pas été voté
mais au niveau immigration,délinquance,environnement c'est le néant absolu rien de rien bref je suis tout a fait en faveur de la démission de ce gros enarque incompetent qui ne repressente plus la france ni les français.
et il fait des courbette à oblamerde qui nous fait payer ses gueguerres, qui n enrichissent que les milliardaires américains, aux technocrate européen
Le fanvement fé maintenant !comma dit notre gros con d'enarque non le changement c est quand il aura sa tete au bout d'une pique ce gros gland
personnellement je suis pour la suppression de ces aides.
Monsieur christophe Barbier de l express regrettera surement de dire que les Français sont des assistés.
Dans le but de faire « une place la plus large possible à la transparence », le ministère de la Culture a publié jeudi dernier sur son site internet le montant total des aides versées à la presse en 2012.
Ainsi peut-on voir la liste de 200 titres qui bénéficient de ces aides publiques. En tête du classement, Le Monde et Le Figaro sont les mieux dotés avec respectivement 18,6 et 18,2 millions d’euros. Viennent ensuite le quotidien régional Ouest-France (11,9 millions), La Croix (10,7 millions), le titre du groupe Le Monde Télérama (10,3 millions), Libération (10 millions), Aujourd’hui en France (9,3 millions), Le Nouvel Observateur (9,3 millions) L’Express (7,2 millions) et Télé 7 jours (6,9 millions). Les « pure player », titres exclusivement sur internet, restent en bas du classement, comme Slate.fr qui est, par exemple, 194ème avec 166 524 euros d’aides.
Selon le ministère de la Culture, ces aides sont calculées en fonction du nombre d’exemplaires diffusés afin de « mettre en lien les volumes d’aides en euros avec le nombre de tirages de chaque titre ». Elles sont aussi bien directes, indirectes (aides postales) ou encore aux tiers (SNCF…).
La Cour des comptes a vivement critiqué le montant de ces aides depuis que celles-ci ont doublé en 2008. La Cour des comptes estime que le plan d’aide déployé entre 2009 et 2011, qui peut être estimé à 5 milliards d’euros, a été « peu efficace » et entraîne inévitablement une inquiétante situation de « dépendance » pour le secteur.