Un scandale de plus ! « Stade de France : les images de vidéosurveillance ont été «détruites»
une vrai république bananiere vivement que micron et sa bande d'enculé finissent en taule
une vrai république bananiere vivement que micron et sa bande d'enculé finissent en taule
ca dit une anomalie a été detectée dans votre dossier santé....
raccroche immediatement
un systeme judiciaire complice des racailles on embauche des jugeottes grattes papelards au lieu construire prisons low cost pour enfermer les racailels
on nous fait envahir par l'immmigration bas de gamme africaine
donc il ne faut pas s'etonner de la délinquance dans ce pays la France est la risée du monde
pour s'en sortir reforme totale du systeme judiciaire trop de jugeottes et avocaillons pas assez de bagnes et prisons low cost
zero immigration avec interdiction des organisme de collabos à migrants
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le paradigme de mon programme c'est moins de vitesse en echange plus de temps libre.
limiter la vitese de tout les véhicules a 70km/: moins de poid moins de consommation ca obligera constructeur a faire voiture autonome modulable qui polluront moins moins d'accident moins de stresse..............
en echange semaine de 4 jours et 2 mois de vacances ( enfin pour commencer 1 semaine en plus)( les gens seront moins stressé les parents pourront s'occuper de leur enfants ( enfin ceux qui s'en occupent)
>Semaine de quatre jours dans la restauration: "ça marche", clame le chef étoilé Florent Ladeyn
"Vous préférez être à 110% pendant quatre jours ou à 80% pendant cinq jours?": dans le Nord, le charismatique chef étoilé Florent Ladeyn a séduit ses salariés par un 3e jour de repos hebdomadaire, démarche rare mais payante contre la pénurie de personnel.
"Embaucher des gens, ça rapporte plus", assure-t-il à rebours des idées reçues habituellement avancées pour expliquer les réticences.
"Mes serveurs sont des vendeurs. Aujourd'hui, ils sont heureux au boulot, heureux chez eux et vendent plus qu'un mec fatigué", explique à l'AFP ce patron de 37 ans, ex-participant de l'émission Top Chef dont l'établissement vitrine, l'auberge du Vert Mont, a récupéré cette année son étoile Michelin.
A la tête de quatre établissements autour de Lille, il emploie 65 personnes, contre une cinquantaine en sortie de confinement et vise la centaine cet automne, avec une vingtaine de recrutements en cours.
En juin 2020, convaincu par une amie danoise spécialiste du bonheur au travail, il a franchi le pas en offrant, pour le même salaire, un 3e jour de repos hebdomadaire à son personnel en plus du dimanche et lundi, jours de fermeture. Ce 3e jour est accordé par roulement: s'il tombe un mardi, la semaine suivante c'est le mercredi et ainsi de suite.
"Là, je sors d'un week-end de quatre jours", témoigne Paul Nigeon, cuisinier de 24 ans du Bloempot, payé 1.900 euros net pour 39 heures par semaine, qui avait avant plutôt connu les 90 heures hebdomadaires.
"J'en avais entendu parler mais je ne pensais pas que la semaine de quatre jours changerait autant ma vie. Je n'avais jamais connu ça en dix ans de métier", témoigne le jeune homme.
Le chef, couteau tatoué sur un bras, fourchette sur l'autre, accorde également 6,5 semaines de congés payés par an et va distribuer une participation aux bénéfices.
>- Rentabilité et risques juridiques?
Avec trois jours de repos, le salarié "se repose plus", "écrase les effets des temps de transport domicile-travail", est "plus présent avec ses enfants" et "peut économiser une journée de crèche", détaille Alain Raluy, expert social du cabinet spécialisé In Extenso.
Pourtant, si Laurent Fréchet, l'un des dirigeants de l'organisation patronale sectorielle GNI, atteste que cette organisation est "une bonne solution pour mieux recruter", elle reste néanmoins marginale.
Selon Bernard Boutboul, dirigeant du cabinet de conseil sectoriel Gira, "environ 2% seulement des 200.000 restaurants de France" l'étudieraient.
"Beaucoup d'établissements ont testé la semaine de quatre jours au début du 21e siècle et en sont revenus", rappelle M. Raluy. "Après plusieurs mois d'observation ils avaient constaté des effets sur la pénibilité, les erreurs et la qualité globale du service", le travail étant ramassé sur un temps plus court.
Selon l'expert, les patrons redoutent l'explosion "des risques juridiques": des salariés pourraient en profiter pour travailler au noir, un mal sectoriel, lors de cette journée supplémentaire.
Dans l'hôtellerie, cette organisation s'applique pourtant déjà largement au travail de nuit.
En cuisine, "on peut répartir le travail sur quatre jours avec des schémas de rotation. Mais la salle reste conditionnée à la présence des clients et on continuera à travailler sur cinq jours", prédit M. Raluy.
"On condamnerait à mort une entreprise ouverte seulement quatre jours. Certains 3 étoiles Michelin mis à part", poursuit-il.
"La vraie question, ce n'est pas la notoriété du chef, c'est combien le patron prend", répond M. Ladeyn. "J'en connais qui empochent 10.000 euros par mois. C'est eux qui galèrent à recruter".
Alors que l'amplitude d'ouverture des restaurants tend à se réduire, le chef nordiste se demande également si "l'embauche d'une 3e équipe pour pouvoir ouvrir sept jours sur sept", avec là aussi plus de repos hebdomadaire, n'endiguerait pas la pénurie de personnel.
Conscient des habitudes, il reste cependant optimiste.
"Dans ce métier, on trouve normal de travailler 60 heures par semaine. Si nous on arrive à changer, d'autres peuvent le faire. Dans la restauration, on n'est pas les plus malins et pourtant les chefs se prennent pour des dieux", regrette-t-il face à l'immobilisme.
la medicocrite micronienne dans toute sa splendeur et ce clown qui veut aider l urkraine alors qu il est meme pas foutu de faire respecter l ordre dans les banlieue couscouse zyva
Mauvais endroit, c'est la honte quand même. Incapable de recevoir un tel événement au stade de France. Donc des personnes qui avaient des billets et qui ont fait le déplacement n'ont pas eu accès et se sont faits gazer a la lacrymo. Bien ! Bravo ! Belle image ! C'est pire que honteux !
c'est un scandale que des gens avec leurs tickets n'ont pas pu rentrer regarder le match à temps. Certains sont rentrés avec 40 minutes de retard et d'autres n'ont même pas pu rentrer... quelle organisation pitoyable 🙄. ce sont des gens qui ont payés très cher leur ticket, qui ont fait de longs voyages et qui attendaient ce moment avec impatience... il y a de quoi être en colère !
n'oublions pas que les petasses burkinisées ou burkanisées avec leur sac à patates sont les representantes de ca :
Les restrictions imposées aux Afghanes par les talibans "visent à rendre les femmes invisibles" dans la société, a dénoncé jeudi à Kaboul le rapporteur spécial de l'ONU pour les droits humains en Afghanistan, Richard Bennett. Depuis leur retour au pouvoir en août dernier, les talibans ont imposé une série de restrictions à la société civile, dont une grande partie visent à soumettre les femmes à leur conception intégriste de l'islam. Ils les ont largement exclues des emplois publics, ont restreint leur droit à se déplacer, et ils ont interdit l'accès des filles au collège et au lycée. Début mai, le chef suprême des talibans a émis un ordre selon lequel les femmes devaient se couvrir entièrement en public, y compris le visage, idéalement avec la burqa, un voile intégral doté d'une grille en tissu au niveau des yeux. Toutes ces mesures "décrivent un modèle de ségrégation sexuelle totale et visent à rendre les femmes invisibles dans la société", a déclaré Richard Bennett lors d'une conférence de presse dans la capitale, au terme d'une visite de 11 jours dans le pays. Les autorités talibanes "ont échoué à reconnaître l'ampleur et la gravité des atteintes commises (aux droits humains), dont beaucoup en leur nom", a-t-il ajouté. M. Bennett a tenu sa conférence de presse au moment même où des talibans armés dispersaient une manifestation de femmes appelant à la réouverture des écoles secondaires pour les filles. "Environ 45 femmes et filles étaient présentes lors de la manifestation, mais les forces talibanes en colère sont arrivées et nous ont dispersées", a déclaré à l'AFP Munisa Mubariz, une organisatrice du rassemblement. Le 23 mars, les talibans avaient ordonné la fermeture de toutes les écoles secondaires pour filles, quelques heures seulement après leur ouverture pour la première fois depuis la prise du pouvoir par le mouvement islamiste. Le gouvernement n'a jusqu'à présent pas donné de raison claire à cette décision de fermeture, mais des responsables affirment depuis que les écoles rouvriront bientôt, sans autre précision. La communauté internationale a fait du respect des droits humains, particulièrement pour les femmes, un prérequis dans les négociations sur l'aide et la reconnaissance du régime islamiste. Les nouvelles restrictions imposées aux femmes confirment la radicalisation des talibans, qui avaient initialement tenté de montrer un visage plus ouvert que lors de leur précédent passage au pouvoir entre 1996 et 2001. Ils avaient alors privé les femmes de presque tous leurs droits, leur imposant notamment le port de la burqa.