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projet pour la france

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10 octobre 2023

ils achetent les forets

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6 octobre 2023

Comment la France peut-elle gagner la guerre économique?

5 octobre 2023

Fac fermée à cause des dealers : Stéphane Ravier saisit le ministre personnellement !

4 octobre 2023

La Suède au bord du chaos. Le gouvernement envisage de déployer l'armée en renfort

les bien faits de l immigration il est plus que temps d'instaurer le zero immigrations et de mettre les promigrants en taule

 

suedeimmigrationviolence

4 octobre 2023

"Crise du logement : c'est une bombe sociale"

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29 septembre 2023

À combien estime-t-on la fraude au RSA ?

27 septembre 2023

Immigration : un système d’esclavage organisé

le probleme du controle de la natalité en afrique

26 septembre 2023

Le Shift Project lance ses travaux pour une agriculture résiliente, bas carbone et prospère

https://theshiftproject.org/article/le-shift-project-lance-ses-travaux-pour-lagriculture/

S'il est un secteur que la révolution industrielle a totalement chamboulé, c'est bien l'agriculture. 2/3 des actifs y travaillaient il y a 2 siècles, avant d'être progressivement remplacés par des chevaux et leurs accessoires (charrues, carrioles...), puis, après 1945, par des engins mécaniques, des engrais et des phytosanitaires, c'est à dire du charbon (acier des engins), du pétrole (fonctionnement du machinisme agricole et des transports aval, fabrication des phytosanitaires), des mines (potasse et phosphates), et du gaz (fabrication des engrais azotés).

Résultat : l'agriculture, aujourd'hui, c'est 3% des actifs (https://t.ly/pp_Jf ), soit 20 fois moins qu'en 1800, donnant des ordres à des machines, pour une production par hectare multipliée par 5 environ (la "productivité" - due au travail des machines - d'un agriculteur a donc été multipliée par environ 100).

D'environ 50% du PIB, ce secteur est descendu à moins de 2% (https://t.ly/4J1zA ), mais sans lui les 98% restants n'existent plus ! Et ce modeste pourcentage économique n'est pas représentatif de l'affectation de la moitié du territoire aux champs et prairies (https://t.ly/RUbSB ), sans parler de la forêt qui occupe un gros quart du territoire.

En parlant de forêt, ce n'est pas le moindre des paradoxes que de réaliser que ce qu'il nous en reste a été sauvé... par les combustibles fossiles. En effet, en 1850 le couvert forestier de notre pays était de 10% à 15%, sous l'effet de la mise en culture (ou l'affectation à l'élevage) d'à peu près toutes les surfaces planes disponibles (et même une partie des zones avec du relief).

La forêt résiduelle était en outre en diminution rapide à cause de l'usage croissant du bois dans l'industrie naissante (charbon de bois pour le fer, bois pour la chaleur partout où il fallait de l'eau chaude, etc), et c'est le passage du bois au charbon qui l'a préservée une première fois.

Puis la très forte hausse des rendements à l'hectare permise par pétrole et gaz, permettant de nourrir plus de monde alors même que les superficies exploitées diminuaient, a fait le reste.

Parlons climat : entre fabrication des engrais (émissions de CO2), usage des engrais (émissions de N2O), cheptel bovin (émissions de méthane), déforestation pour les produits importés, et transports associés, manger engendre aujourd'hui environ un quart de notre empreinte carbone. Dans l'autre sens le stress climatique va handicaper l'essentiel des cultures.

Enfin, entre surpêche, déforestation et phytosanitaires, manger exerce une pression du premier ordre sur la biodiversité.

Dans ce contexte, comment produire assez de nourriture (en qualité et quantité), pour qui (juste la France ou le monde ?), avec moins d'émissions, moins d'énergie fossile (et donc moins de transports), plus de biodiversité, des sols préservés, et - très certainement - plus d'emplois ?

C'est à cette vaste quadrature du cercle que s'attaque Le Shift Project, à la sauce PTEF. Premiers résultats dans un an !
26 septembre 2023

[ STOP À LA CHASSE DU TÉTRAS LYRE ]

🔴 La LPO AuRA vient de déposer un recours au Tribunal Administratif de Grenoble pour annuler une décision de la fédération des chasseurs de la Drôme autorisant la chasse du tétras lyre sur le secteur de La Croix Haute (26). 🔍 Depuis de nombreuses années, la LPO Auvergne-Rhône-Alpes étudie les galliformes de montagne dont font partie le tétras lyre, le lagopède alpin, la gélinotte des bois, la perdrix bartavelle et le grand tétras. Entre les suivis menés par l’association et la littérature scientifique au sujet de l’état de conservation de ces espèces, le bilan est clair : ces oiseaux font face à de nombreux enjeux liés à l’homme et leur survie est de plus en plus menacée. 📉 Le tétras lyre est en déclin constant depuis plusieurs décennies, souffrant de la modification de son habitat, du dérangement (notamment hivernal) et de l’impact des activités humaines. Également, les aléas climatiques ont une influence démontrée sur la dynamique de population. Par exemple, les fortes précipitations durant la période de couvaison-éclosion réduisent le taux de croissance de population. En ce qui concerne plus particulièrement le département de la Drôme, le tétras lyre a disparu de 55 communes entre 1950 et 1990, sa présence est sporadique ou incertaine sur 17 communes durant la décennie 2000 et sa présence régulière n’est plus constatée que sur 14 communes. ⚠ En d’autres termes, le tétras lyre a disparu de la quasi-totalité des communes du département de la Drôme où il se trouvait pourtant auparavant. 😡 Alors lorsque la LPO AuRA apprend que la fédération de chasse de la Drôme intègre le tétras lyre à son plan de chasse 2023-2024, la seule solution possible est le recours en justice. Plusieurs décisions de justice ont été prises ces dernières années en France en faveur de l’arrêt de la chasse du tétras lyre ; espérons que les fédérations de chasseurs mettent en œuvre les restrictions qui s’imposent pour protéger ces espèces en mauvais état de conservation. ✊ L’association examinera la possibilité des recours pour chaque décision des fédérations de chasseurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes ouvrant la chasse des galliformes de montagne, estimant que les enjeux liés à ces espèces sont trop importants pour leur faire subir, de surcroît, une chasse de loisir.

23 septembre 2023

Versailles : on fait le bilan avec Alexis Poulin !

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