projet pour la France,environnement,biodiversité,taxe preservation biodiversité,agriculture productiviste,pollution lumineuse, lampadaire,moins de vitesse plus de temps libre,arret du betonnage et bitumage,tolérance zéro pour les lobbys
22/04/2021
PAS DE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE SANS FIXATION D'UN PRIX POUR LE CARBONE, DIT MACRON
PARIS (Reuters) - L'action pour le climat passe par une régulation à l'échelle internationale, a déclaré jeudi le président français, Emmanuel Macron, en plaidant pour une fixation du prix du carbone.
"(...) Si nous ne donnons pas un prix au carbone, il n'y a pas de transition possible. Il nous faut donc intégrer la dimension environnementale dans le coût des investissements, dans nos marchés régionaux, dans nos relations commerciales", a-t-il dit lors d'un sommet virtuel sur le climat organisé par les Etats-Unis.
"Il n'y aura pas d'action environnementale crédible et durable s'il n'y a pas de justice sociale et climatique", a ajouté le chef d'Etat français.
absolument pas d'accord la france n'a pas le cul propre pour aller renifler celui des autres
mettons en place une vrai politique environnementale ( sortie agriculture productiviste ( taxe preservation biodiversité sur produit agricole importer),arret massif du bitumage et betonage de la france (moins de vitesse plus de temps libre) limitation du poidet de la vitesse des voitures ,pollution luminseuse suppression de 90% des lampadaires.................
Ensuite une fois qu on aura un vrai pays qui protege son environnement et biodiversité on vendra savoir faire aux pays pollués
faut pas les laisser rentrer en France c'est tout zero immigration
•25/04/2021 L'attaque mortelle vendredi d'une agente dans le commissariat de police de Rambouillet, près de Paris, a été commise par un Tunisien de 36 ans dont la radicalisation "paraît peu contestable" et qui présentait "certains troubles de personnalité", a indiqué dimanche le procureur antiterroriste.
Plusieurs éléments accréditent la piste du passage à l'acte de cet habitant de Rambouillet, radicalisé en quelques mois, a annoncé devant la presse le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard.
Une "rapide exploitation" du téléphone de l'agresseur, Jamel Gorchene, a révélé "qu'il avait, immédiatement avant de passer à l'acte, consulté des vidéos de chants religieux glorifiant le martyr et le jihad", a-t-il précisé.
Le procureur a aussi évoqué ses publications sur Facebook qui ont révélé, à compter de l'automne dernier, "une adhésion à une idéologie légitimant la violence contre ceux ayant offensé le prophète".
Ainsi, "le 24 octobre 2020, quelques jours après l'assassinat de Samuel Paty (par un islamiste dans les Yvelines, ndlr), l'auteur s'associait à une campagne de soutien au prophète face aux offenses qui lui seraient faites", a souligné M. Ricard.
"Un Coran" et "un tapis de prière" ont été saisis dans son scooter et son cabas. Et, peu avant le drame, une caméra de vidéosurveillance a filmé l'assaillant se dirigeant vers "une salle de prière provisoire", sans que les images ne permettent d'affirmer qu'il y est entré "directement". Il a été vu rejoindre le centre-ville un peu plus d'une heure après.
"Si la radicalisation de l'agresseur paraît peu contestable, la présence de certains troubles de personnalité a pu aussi être observée", a relevé M. Ricard.
En garde à vue, le père de Jamel Gorneche a évoqué la "pratique rigoureuse de l'islam" de son fils et "des troubles du comportement" observés chez lui "en début d'année".
Il avait bénéficié de deux consultations psychiatriques à l'hôpital de Rambouillet en février. Cependant "son état n'a nécessité ni hospitalisation ni traitement", a relevé M. Ricard.
La Tunisie, dont la France sollicite la collaboration dans cette enquête, a condamné "énergiquement" l'attaque, dans un communiqué de son ambassade. Elle dénonce un "acte barbare (intervenant) en plein mois de Ramadan, mois saint qui incarne plutôt les valeurs de la tolérance et de la fraternité entre les individus".
A 14H25, vendredi, Jamel Gorchene, "écouteurs sur les oreilles", a poignardé à l'abdomen et à la gorge Stéphanie M. - agente administrative de 49 ans sans arme ni uniforme - dans le sas du commissariat. Selon des témoins, l'assaillant a crié "Allah Akbar".
En riposte, un brigadier de police a fait feu à deux reprises sur l'agresseur qui refusait "de lâcher le couteau" avec "une lame de 22 cm". Tombé au sol, il a lancé "son couteau en direction des policiers", selon le procureur. au moins on aura pas a payer une jugeote et un avocaillon de merde
Cinquième garde à vue -
Une cinquième personne, un cousin de Jamel Gorchene, a été placé en garde à vue dimanche.
Son père - qui habitait avec lui - un couple qui le domiciliait administrativement et un autre cousin étaient déjà en garde à vue depuis vendredi et samedi.
L'assaillant, chauffeur-livreur, était inconnu des services de renseignement et de la justice. Mais son mode opératoire correspond aux appels récurrents du groupe Etat islamique à s'attaquer aux forces de l'ordre.
Photo non datée de Jamel Gorchene, fournie par sa famille ( FAMILY HANDOUT / - )
Il "n'avait pas été porteur de menaces, on n'avait pas détecté de signes de radicalisation", a déclaré samedi le coordonnateur national du renseignement Laurent Nuñez, ajoutant: "cela devient très compliqué (...) de détecter ce genre de profil" commun aux "huit attaques" commises en France depuis la tuerie de la préfecture de police de Paris en octobre 2019.
Originaire de Msaken, sur la côte est de la Tunisie, Jamel Gorchene était arrivé clandestinement en France en 2009 et avait été régularisé dix ans plus tard. Il avait obtenu en décembre un titre de séjour valable un an. ceux qui l ont regularisé sont coupable ils doivent etre licencié.
Revenu en Tunisie entre le 25 février et le 13 mars, il était apparu "dépressif", ont dit à l'AFP un cousin et une cousine à Msaken.
L'attaque de Rambouillet est "la 17e action terroriste islamiste commise en France depuis 2014 contre les forces de l'ordre", a rappelé M. Ricard.
Neuf fonctionnaires de police ou militaires sont morts et près d'une vingtaine ont été blessés dans ces agressions, souvent commises avec un simple couteau.
Le Premier ministre Jean Castex avait réuni samedi à Matignon les ministres de l'Intérieur, de la Justice et des Armées et services concernés. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin doit présenter mercredi en Conseil des ministres un projet de loi, en préparation depuis plusieurs semaines, pour renforcer la lutte contre le terrorisme. il n y a structement rien à attendre de ce gouvernement de merdes dans six moi ca sera rebelote
Un hommage sera rendu à Stéphanie M. lundi à 17H30 devant l'hôtel de ville de Rambouillet.
A la même heure, les syndicats Unité-SGP-Police et FSMI FO ont appelé les forces de l'ordre à "se rassembler symboliquement devant leur bâtiment".
surtout que les deputés et sénateurs ne sont plus que des suces boules des lobbies
ils nous pourrissent la vie ( controle technique, lampadaire inutiles qui detruisent la biodiversité nocturne, panneaux de nom dans les chemins de campagnes et pas un sous pour le revenu universel......................... et la liste est tellement longue
il faut interdire le lobbying tout simplement pour preserver la démocratie
La majorité des députés LREM et MoDem refuseraient de dévoiler leurs rendez-vous avec les lobbies
youtube , censure,limite d'age,cachez ce sein que je ne saurais voir,usa,pudibonderie,
les dingos dégénérés de chez youtube mette une limite d'age à la vidéo summer time de janis joplin par ce qu il y a la photo de janis nu!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
L'Ocriest a mené une enquête depuis juillet 2020 sur deux filières ukrainienne et moldave d'immigration clandestine qui a mené à l'arrestation de neuf personnes. Le réseau aurait détourné «entre 1 et 1,2 million d'euros».
inutile et couteux puisque le probleme d ela délinquance c est le systeme judiciaire ubuesque il vaut mieux investir dans la construction de prisons low cost
ca couterait mille fois moins cher et serait 100 fois plus efficace
bref ce mec est nul et incompetent la délinquance ne baissera pas d'un iota
Tous ces délinquants créent le vide autour d'eux en faisant fuir les quelques personnes correctes qui n'en peuvent plus de vivre cette insécurité au quotidien, et ces gens-là sont évidemment remplacés par les potes des délinquants. C'est ça la mécanique infernale qui génèrent ces cités de non droit, de violence et pas la pauvreté. J'ai connu les Mureaux comme une résidence haut de gamme avant qu'elle ne soient colonisée. Il faut arrêter cette mansuétude de gauche caviar et sévir pour de bon.
Darmanin, c'est ton fief ! L'avais-tu bien géré ?
serait temps de passer à une vrai répression qu on tire a balle reelle sur ses racailles de merde qui puent
et la 1er chose à faire c est une reforme totale du systeme judiciaire ubuesque complicve de ces racailles : trop de juges et avocaillons gratte papelards pas assez de bagnes et prisons low costs
tolérance zero pour les racailels et tolérance zero pour les jugeotes et avocaillons complices des racailles
Des violences urbaines ont eu lieu dimanche soir à Tourcoing (Nord) pour le deuxième soir consécutif, sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de la préfecture et de source policière.
Après une soirée marquée samedi par des jets de projectiles sur les forces de l'ordre à la suite d'une intervention pour un rodéo dans le quartier Croix Rouge, la préfecture a indiqué dimanche soir que des "incidents" étaient toujours en cours vers minuit, avec à nouveau des jets de projectiles, sans déplorer de blessé.
Le directeur zonal de la sécurité publique dans les Hauts-de-France, Jean-François Papineau, a fait état d'une "agitation d'une plus grande ampleur (que samedi, ndlr) de la part de quelques groupes d'individus", ajoutant que la situation était "maîtrisée par le dispositif policier sur place".
Des renforts policiers ont été envoyés dans la quartier Bourgogne de Tourcoing en début de soirée, selon des sources syndicales.
Lors des troubles de samedi, "deux individus ont été placés en garde à vue vers 19H à la suite d'un rodéo motorisé", a indiqué à l'AFP la procureur de la République à Lille, Carole Etienne.
Après ce rodéo, vers 23H, les policiers sont intervenus "pour un feu de véhicule positionné en milieu de chaussée et ont été la cible de jets de mortiers et de pierres" et un autre individu, mineur, a alors été interpellé, a poursuivi Mme Etienne. Il doit être déféré lundi devant le juge des enfants.
Des "tentatives d'agitation" ont également eu lieu samedi dans le quartier de Lille Moulins, avec des tirs de mortiers d'artifices, selon M. Papineau.
"La lutte contre le trafic de stupéfiants dans les quartiers s'est intensifiée depuis sept ou huit mois, ce qui fait monter les tensions, qui s'expriment à la tombée du jour", a-t-il souligné.
"Les violences urbaines, cela n'arrête pas, un peu partout dans les Hauts-de-France", a déploré Arnaud Boutelier, secrétaire régional du syndicat de police Alliance dans les Hauts-de-France.
il va falloir vraiement faire une opération mains propres et commencer à licencier avec interdiction d'exercer à vie pour tous ces jugeotes collabos à racailles
je sens qu un jour ca va mal finir dans ce pays et certaines jugeotes vont de retrouver pendu haut et cour apres avoir été tondu
Policiers brûlés à Viry-Châtillon: le verdict en appel suscite la "colère" des policiers
La voiture de police incendiée en octobre 2016 à Viry-Châtilllon ( AFP / "Incompréhensible", "choquant" et "inquiétant": le verdict, plus clément qu'en première instance et rendu sous haute tension, dans le procès en appel de la violente agression de policiers à Viry-Châtillon (Essonne) en 2016 a suscité dimanche l'indignation de plusieurs syndicats de policiers.
Dans la nuit de samedi à dimanche, la cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion criminelle et en a acquitté huit autres.
La lecture du verdict a été interrompue par une bagarre générale dans le box des accusés, nécessitant l'intervention d'une trentaine de policiers et gendarmes. Les heurts se sont ensuite étendus dans la salle d'audience, où étaient présentes les familles des accusés.
Ce verdict "est incompréhensible et laisse les victimes et de nombreux policiers très amers et en colère", a réagi le syndicat Unité SGP Police, partie civile.
Après cette décision "écœurante et inquiétante, qui va laisser des traces, les violences, les jets de cocktails Molotov, les tirs de mortiers vont continuer", a pour sa part regretté Guillaume Roux secrétaire départemental de l'Essonne du syndicat Unité SGP Police-FO.
Pour Claude Carillo, son homologue du syndicat Alliance, qui appelle à des rassemblements mardi devant tous les tribunaux de France, il s'agit également d'un "verdict choquant".
A l'issue de 14 heures de délibération et six semaines d'audience à huis clos, les cinq condamnés ont été reconnus coupables de tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l'autorité publique.
Trois d'entre eux ont été condamnés à 18 ans de prison, un à 8 ans de prison, et le dernier à 6 ans. Ils encouraient la réclusion criminelle à perpétuité. Les huit autres accusés ont été acquittés.
"Nous venons d'assister à un naufrage judiciaire (...) alors que l'on sait qu'il y avait 16 assaillants, on se retrouve avec cinq condamnations", a dénoncé Me Thibault de Montbrial, avocat de l'une des victimes qu'il a décrite comme "effondrée" par ce verdict en appel.
"C'est un naufrage car au moment du verdict, le naturel a repris le dessus, une bagarre générale a éclaté", a-t-il ajouté.
Au contraire des parties civiles, l'une des avocates de la défense, Sarah Mauger-Poliak, qui a annoncé son intention de porter plainte pour "faux en écriture publique" contre des enquêteurs, a salué "un soulagement pour la défense", et un "démenti cinglant de l'enquête".
"C'est la fin du cauchemar judiciaire pour mon client", déjà acquitté en première instance, a pour sa part déclaré Me Arnaud Simonard. Avec d'autres avocats de la défense, ils dénoncent une enquête marquée par de "graves irrégularités".
>- "Niquer des keufs"
Au premier procès, huit jeunes avaient été reconnus coupables et condamnés à des peines allant de 10 à 20 ans de prison. Cinq autres avaient été acquittés.
Dimanche, la cour n'a pas suivi les réquisitions de l'avocat général qui avait demandé mardi un acquittement et des peines de 12 à 25 ans de réclusion criminelle pour les 12 autres accusés, âgés aujourd'hui de 21 à 26 ans.
Les 13 jeunes, âgés de 16 à 21 ans au moment des faits, étaient accusés d'avoir fait partie de la vingtaine de personnes encagoulées qui, le 8 octobre 2016, avaient pris d'assaut en pleine journée deux voitures de police stationnées à proximité du quartier de la Grande Borne,vaste cité d'habitat social considérée comme l'une des plus sensibles d'Île-de-France.
En quelques secondes, ils avaient brisé les vitres et jeté des cocktails Molotov dans les habitacles.
Dans une première voiture, un adjoint de sécurité de 28 ans et une gardienne de la paix de 39 ans avaient pris feu.
Le pronostic vital de l'adjoint avait été un temps engagé et il avait été plongé dans le coma pendant plusieurs semaines. Plus de quatre ans après les faits, il porte encore les marques de l'agression sur son visage.
Me Thibault de Montbrial, conseil de l'une des victimes, arrive au palais de justice de Paris le 2 mars 2021 pour le procès en appel de 13 jeunes accusés d'avoir blessé quatre policiers en leur jetant des cocktails Molotov en 2016 ( AFP / Bertrand GUAY )
Deux autres agents avaient été blessés plus légèrement.
"Ces policiers qui étaient dans les voitures, on leur crache à la figure après les avoir brûlés une première fois", a dénoncé à la sortie de l'audience Me Laurent-Franck Lienard, avocat de deux des policiers.
Contacté par l'AFP, Jean-Marie Vilain, maire UDI de Viry-Chatillon, s'est dit "en colère et indigné" car "ces sanctions sont très loin de ce qu'on pouvait attendre" alors que des policiers sont aujourd'hui "traumatisés dans leur chair".( ben bibiche tu nas qu a dire a ton parti que ces députes demandent un referemdum sur le systeme judiciaire avec une refonte totale et complete de ce systeme ubuesque qui ne marche plus)
Les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous sur la rive-droite de Bordeaux, habitués à se retrouver dans les locaux techniques pour fumer des joints et boire de l’alcool.
Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant.
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelaise
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelaise
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelais
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelais
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