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projet pour la france
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Derniers commentaires
28 juillet 2020

Philippines: Duterte réclame la peine de mort pour les crimes liés à la drogue

je suis pour le rétablissement de la peine de mort pour les trafiquants de drogue il a 100% raison

Le président philippin Rodrigo Duterte appelle au rétablissement de la peine de mort pour les crimes liés à la drogue à l'occasion de son discours annuel à la Nation.

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27 juillet 2020

harcelement du aux racailles de banlieues et de l'islam

“C’est comme ça qu’on nous traite régulièrement dans la rue, et ça concerne toutes les femmes"


Emanouela a beaucoup voyagé. "Aux États-Unis, en Bulgarie, en Italie... Il n'y a qu'en France que j'ai vu ça." 

Le harcèlement de rue, un mal made in France ? Peut-être.

et ho arreter la novlangue et le deni de la  réalite les petites boboides c est le fait des racailles de banlieues et de l islam bref arretée de jouer aux autruches

instauront vite le zero immmigration

27 juillet 2020

insécurite de la com de la com et rien dautre

il faut reformer le systeme judiciaire ubuesque top de jugeotte top d'avocaillon  pas assez de bagnes et prisions low cost et envoyer chier la cour europeenne des droits de l homme main mise de la pute soros qui veut nous detruire

micron nest que le suce boule des ultrariches rien d'autre

28 juin 2020

racailles à vaux en velin

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/vaulx-en-velin-un-enfant-de-cinq-ans-grievement-blesse-par-un-motard-lors-d-un-rodeo-20200625

la réponse des abrutis qui gouvernent :une nouvelle loi une de plus!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

bref on demande à un députard de chier une nouvelle loi  ( qui au final ne sera jamais appliquée cf la loi sur les pittbulls)

alors qu il existe deux lois  qui permettent de traiter tous les cas: trouble à l ordre publique et mis en danger de la vie d'autrui.

c'est pas de chier des lois qui va résoudre le probleme de la délinquance mais de reformer le systeme judiciaire ubuesque !: trop de jugeotes trop d'avocaillons grattes papiers pas assez de bagnes et prisons low cost

25 juin 2020

terroristes toujours dangereux vont sortir de prison d'ici 2022 et circuler librement !!!

on est gouverne par des collabos il faut enfermer en taule la vieille sorciere belloubete comme ses fesses et moche comme un poil d'anus d emorpion

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16 juin 2020

racailles de merde qui puent à dijon

la 1er chose urgente a faire c'est reformer le systeme judiciaire ubuesque il y a beaucoup trop de jugeottes et avocaillons grattes papiers et pas assez de bagnes et prisons low cost et confier la gestion des prisons au ministere de l interieure et l enlever à la justice.

ensuite on fait le menage et on expulse massivement

j attend d'un politicard une réforme totale de ce systeme judiciaire ubuesque et ultra laxiste qui nous coute une fortune pour une efficacité proche du zero absolu

15 juin 2020

justice ultra laxiste

il faut reformer le systeme judiciare de la tete au pied, methode de recrutement controle des juges .....................

une bombe atomique sur ce systeme ubuesque et on repart de zéro

14 juin 2020

on voit de plus en plus de pittbulls

trainé par des racailles et la police ne les arrete jamais pourtant il existe un loi qui dit que sales clébards doivent etre castrés et porter une museliere

a quoi sa sert que nos couteux députards chient des lois si elles ne sont jamais appliquées?????

 

n 'hésiter pas à ecrire à l abruti qui sert de ministrede l interieure en demandant que la polcie fasse la chasse  aux proprietaire de ces chiens méchants  qui les promenes sans museliere et que la police verifient si ils sont castrés  et si non euthanasie et bon débaras

Une femme dans un état critique après avoir été attaquée par un pitbull

https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-irresponsabilite-maitres

14 juin 2020

gouvernement complice des racailels et délinquants

la vieille sorciere belloubete comme ses fesses libere massivement la racaille trop de juges trop d'avocaillons et pas assez de bagnes et prisons low cost

8 juin 2020

portrait de collabos à racailles

bien évidement je n ai pas signé cette petition débile faite par des cretins d'extreme gauche ( qui je le rappel sont poil de cul dans les urnes) et complices des racailels et délinquants

la démocratie c est la loi des urnes pas de la rue  et il est grand temps de faire comprendre à ces bouffons que la majorité des français soutiennent la police et demande plus de répression contre les racailles

n'hésité pas à ecrire a change .org pour qu il retire cette petition odieuse

adama traore etait un trafiquant de drogue une racaille de banlieue ce qui lui est arrive etait largement mérite personne ne le plaindra à part des complice de racailels et délinquant

les Français doivent defendre leur police face aux racailels et aux cretins tierns mondiste complicent des racailles

Appel des familles contre l’impunité des violences policières,
pour l’interdiction des techniques d’immobilisation mortelles 
et des armes de guerre en maintien de l’ordre

Cette initiative est lancée par le collectif Vies Volées, le comité Adama, la famille Dieng et le comité Vérité et Justice pour Lamine Dieng (Paris, 20e), la famille d’Abou Bakari Tandia (Courbevoie, 92), la famille de Tina Sebaa (Saint-Fons, 69), la famille de Baba Traoré (Joinville-le-Pont, 94), la famille d’Abdelhakim Ajimi (Grasse, 06), la famille de Mahamadou Marega (Colombes, 92), la famille de Mahamadou Marega (Ivry, 94), la famille de Youcef Mahdi (Melun, 77), la famille d’Angelo Garand et le collectif Justice pour Angelo (Blois, 41), Awa Gueye et le collectif Justice et Vérité pour Babacar Gueye (Rennes, 35), le comité Justice et Vérité pour Wissam El Yamni (Clermont-Ferrand, 63), le comité Vérité et Justice pour Gaye Camara (Champs-sur-Marne, 77), le collectif Selom et Matisse (Lille, 59), le comité Justice pour Ibrahima Bah (Villiers-le-Bel, 95), le comité Vérité pour Curtis (Massy, 91), le comité Vérité et Justice pour Morad Touat (Marseille, 13), le comité Justice pour Liu Shaoyao (Paris, 19e), le comité Vérité et Justice pour Ali Ziri (Argenteuil, 95), Haby Koumé sœur d’Amadou Koumé (Saint-Quentin, 02), les parents et la sœur de Rémi Fraisse, le collectif Vérité et Justice pour Mehdi (Vaux-en-Velin, 69), Florica Floarea et le comité Vérité et Justice pour Dorel (Vigneux-sur-Seine, 91), Salah Zaouiya et l’association Mémoire Jawad Zaouiya (Mantes-la-Jolie, 78), Justice pour Mehdi Bouhouta (Vaux-en-Velin, 69), la famille Touré et le comité Vérité et Justice pour Zakaria (Troyes, 10), Siaka Traoré, frère de Bouna (Clichy-sous-Bois, 93), Geneviève Legay (Nice, 06), Franck Lambin, père d’Allan (Saint-Hilaire-des-Landes, 35), Vérité et Justice 31 (31), Fatiha, mère d’Hocine et le comité Vérité et Justice pour Hocine Bouras (Colmar, 68), Milfet, fille de Zineb Redouane, la famille de Cédric Chouviat (Levallois-Perret, 92), Marie-Paule Chenevat, en hommage à Romain (91), Carenne Levy, femme de Philippe Ferrières (Drancy, 93), Fatima Zerroukhi, mère de Joail et le comité Justice et Vérité pour Joail (Vienne, 38), l’Assemblée des Blessés et les Mutilés pour l’exemple.

Cédric Chouviat est le premier mort de l’année à cause de violences policières. Sera-t-il le dernier de la longue liste des personnes tuées par les forces de l’ordre ? Les statistiques des années précédentes nous font craindre que ce ne soit pas le cas. 26 décès en 2019, combien en 2020 ?

Nous apportons tout notre soutien et notre entière solidarité à la famille de Cédric pour qu’ils obtiennent la paix et la justice qu’ils demandent.

Car c’est aussi notre histoire. La vérité, la justice et la paix c’est aussi ce que nous demandons pour Lamine Dieng, 25 ans, décédé à la suite d’une clé d’étranglement et d’un plaquage ventral, tout comme Adama Traoré, 24 ans, Aboubacar Abdou, 31 ans, Abdelhakim Ajimi, 22 ans, Abou Bakari Tandia, 38 ans, Ricardo Barientos, 52 ans, Mohamed Boukrourou, 41 ans, Massar Diaw, 24 ans, Philippe Ferrières, 36 ans, Mariame Getu Hagos, 24 ans, Serge Partouche, 28 ans, Wissam El Yamni, 30 ans, Abdelilah El Jabri, 25 ans, Amadou Koumé, 33 ans, Mamadou Marega, 38 ans, Mohamed Saoud, 26 ans, Ali Ziri, 69 ans, mort après un pliage, Abdelhak Goradia, 51 ans, décédé par asphyxie dans un véhicule de police… et des dizaines d’autres « malaise cardiaque », « asphyxie », « mort naturelle » sans autre détail communiqués aux familles. Ce 3 janvier 2020, c’est Cédric Chouviat qui est décédé par asphyxie après une clé d’étranglement et un plaquage ventral.

Les témoins de cette interpellation ont confirmé ce que nous dénonçons depuis toujours : l’utilisation délibérée par les agents des forces de l’ordre de techniques extrêmement violentes et « potentiellement létales », selon la dénomination officielle. Clé d’étranglement, plaquage ventral et pliage, ces trois pratiques ont pour but d’immobiliser une personne en lui comprimant le thorax et le cou pour entraver la respiration. Mais plus la compression dure, plus l’interpellé manque d’oxygène et plus il se débat. Et plus les agents renforcent leur pression. Et plus cette violence tue.

Malgré les condamnations répétées de la France par la Cour européenne des Droits de l’Homme et par l’ONU, ces techniques continuent d’être pratiquées et de causer la mort. Malgré la condamnation de ces usages par la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International et l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture, l’Etat se contente de justifier le « travail » de ses agents.

Comme la femme, les enfants et le père de Cédric, nous avons fait confiance à la justice de notre pays. Mais notre expérience pour que la vérité soit faite sur les violences qui ont tué nos proches nous a fait découvrir la réalité d’un déni de justice systématique pour les victimes. Un déni entretenu par une véritable culture du mensonge qui entraîne une culture du non-lieu.

La famille Chouviat a déjà subi le même traitement de la part des autorités que celui que nous avons connu : non-information des proches puis mensonges sur les causes de la mort, mépris de toute compassion élémentaire, tentative de criminaliser la victime pour la déshumaniser et maintien en activité des responsables de la mort d’un homme. Autant de souffrances, d’insultes, de calomnies qui s’ajoutent à la douleur des familles.

Ces contre-vérités des premières heures justifient des années de procédures interminables, d’enquêtes administratives et d’instructions bâclées, voire conduites à charge contre les victimes et leur entourage. Et bien sûr des frais de justice considérables. C’est tout un système auquel sont confrontées les victimes et leurs familles, qui révèle une impunité permanente aux membres de forces de l’ordre qui blessent, mutilent et tuent. C’est une violence judiciaire qui excuse, absout et prolonge les violences policières.

Ces brutalités permanentes étaient auparavant « réservées » aux habitants des quartiers populaires, comme le Mouvement de l’Immigration et des Banlieues le dénonçait il y a plus de vingt ans. Aujourd’hui, elles débordent dans les centres-villes. Et tous les témoins du déchaînement furieux de la force publique contre les mouvements sociaux peuvent désormais comprendre la violence d’Etat qui nous est imposée.

Cette violence assermentée à présent visible jusque dans les quartiers bourgeois est également celle des armes classées armes de guerre, là aussi d’abord utilisées dans nos quartiers. Le flash-ball est apparu en 1999. Et il a aussitôt éborgné Ali Alexis, à Villiers-sur-Marne. Cette arme a été remplacée par le LBD qui a été « inauguré » en 2007, à Villiers-le-Bel, pour mater la révolte des habitants après la mort de Moushin et Laramy percutés par un véhicule de police. Et les grenades comme celle qui a tué Rémi Fraisse en 2014 ou celle qui a tué Zineb Redouane en 2018 ; comme celles qui ont mutilé des dizaines de personnes et grièvement blessé des centaines lors des dernières manifestations, sont les mêmes qui explosent dans nos quartiers depuis presque dix ans.

Ce ne sont pas des « bavures » ni des « dérapages » mais des pratiques régulières autorisées par un État qui assume de pouvoir blesser grièvement, mutiler ou tuer un homme pour un contrôle d’identité.

C’EST POURQUOI NOUS EXIGEONS :

➡ L’interdiction totale de l’usage par les forces de l’ordre de toutes les techniques d’immobilisation susceptibles d’entraver les voies respiratoires.

➡ L’interdiction totale des armes de guerre en maintien de l’ordre (LBD, grenades GMD, GM2L et similaires).

➡ La création d’un organe public indépendant de la police et de la gendarmerie pour enquêter sur les plaintes déposées contre les agents des forces de l’ordre.

➡ La mise en place d’une réglementation qui associe la famille dès le constat de décès (autopsie autorisée seulement après un entretien de la famille avec les services de la médecine légale).

➡ La publication chaque année par le ministère de l’Intérieur :
• du nombre de personnes blessées ou tuées par l’action des forces de l’ordre,
• du nombre de plaintes déposées pour violence par les forces de l’ordre,
• du nombre de condamnations prononcées.
 

Et nous vous appelons toutes et tous à nous rejoindre
le 14 mars à Paris, pour la Marche de la Journée internationale
contre les violences policières.

 

 

LAISSEZ-NOUS RESPIRER !
Vérité et justice – Pas de justice, pas de paix !

Avec le soutien collectif de :

Ligue des Droits de l’Homme, Union syndicale Solidaires, CGT, Attac France, UNEF, SNJ-CGT, Union nationale lycéenne, revue Mouvements, Attac Isère, Cases Rebelles, Désarmons-Les, Collectif Faty Koumba, Association Libre Lucha, collectif Dar Harraga, LeMurJaune.fr. Et les médias indépendant : Reporters En Colère, Collectif Œil, LaMeute Photo, Le Petit ZPL, Source Média, Infoline Médias Indépendants, Militant.e.s.

Et aussi :

Abd-Al Malik (auteur, réalisateur), Mouloud Achour (journaliste, animateur télé), Arié Alimi (avocat), Guillaume Arnaud (avocat), Rodrigo Arenas, Manon Aubry (députée européenne FI), Clémentine Autain (députée FI), Hady Ba (philosophe EHESS, Université Cheikh Anta Diop de Dakar), Samir Baaloudj (ex-MIB), Bally Bagayoko (FI, adjoint au maire de Saint-Denis), Guillaume Balas (Génération.s), Julien Bayou (EELV), Ramzy Bedia (comédien et réalisateur), Alice Belaidi (comédienne), Akram Belkaïd (journaliste, écrivain), Esther Benbassa (sénatrice écologiste de Paris), Malik Bentalha (comédien), Eric Beynel (porte-parole de Solidaires), Jacques Bidet (philosophe, Université Paris 10), Black M (rappeur), Philippe Blanchet (linguiste, université Rennes II), Matteo Bonaglia (avocat), Saïd Bouamama (sociologue, FUIQP), Martine Boudet (conseil scientifique Attac France), Philippe Boursier (économiste, Fondation Copernic), Rachida Brakni (actrice et metteuse en scène), Youcef Brakni (comité Adama), Taha Bouhafs (journaliste), Cindy Bruna (mannequin), Marion Carrel (sociologue, Université de Lille), Leïla Chaïbi (député européenne FI), Souleymane Cissokho (boxeur), Vanessa Codaccioni (historienne et politologue, Université Paris 8), Eric Coquerel (député FI), David Cormand (député européen EELV), Robert Crémieux (ancien président du Mouvement national des chômeurs et précaires), Olivier Cyran (journaliste), Valérie Damidot (animatrice télé, actrice), Laurence De Cock (professeure), Christiane Dedryver (Ensemble !), Geoffroy de Lagasnerie (philosophe), Christian Delarue (syndicaliste DGFIP), Gilles Deloustal (retraité), Vincent Denorme (Ensemble! 80), Vikash Dhorasoo (footballeur professionnel et militant associatif), Waly Dia (humoriste, comédien), Rokhaya Diallo (journaliste et réalisatrice), Noom Diawara (comédien), Sadia Diawara (militant associatif), DJ Lord Issa (artiste, producteur), Djigui Diarra (acteur, réalisateur, journaliste), Eva Doumbia (metteuse en scène, autrice), Franck Dubosc (acteur), Alain Dru (membre de la CNCDH, conseiller au CESE), Mireille Fanon-Mendès-France (Fondation Frantz Fanon), Nadia Fares (comédienne), Eric Fassin (sociologue, Université Paris 8), Elsa Faucillon (députée PCF), Bruno Gaccio (auteur), Isabelle Garo (philosophe, Fondation Copernic), Franck Gaudichaud (historien, Université Jean-Jaurès, Toulouse), Pierre Gayral (Ensemble !, Droits devant !!), David Guiraud (porte-parole jeunesse FI), Abdellali Hajat (sociologue, Université libre de Bruxelles), Anis Harabi (avocat), Kaoutar Harchi (écrivaine et sociologue), Samuel Hayat (politologue, CNRS), Hollysiz/Cécile Cassel (chanteuse, comédienne), IAM (musiciens), Imany (auteure-compositeure-interprète), Nordine Iznasni (MIB-ien), Adélaïde Jacquin (avocate), Jok’Air (chanteur), Norma Jullien Cravotta (avocate), Kamel Le Magicien, Almamy Kanouté (activiste, comédien), Anasse Kazib (cheminot, délégué Sud-Rail), Jean-Riad Kechaou (professeur), Raphael Kempf (avocat), Pierre Khalfa (économiste, Fondation Copernic), Fahima Laidoudi (militante politique), Elise Languin (militante des droits humains), Mathilde Larrere (historienne), Yvan Le Bolloch (comédien), Olivier Le Cour Grandmaison, (politologue, Université d’Evry-Val d’Essonne), Les Réfractaires du 80 (gilets jaunes de la Somme), Edouard Louis (écrivain), Benjamin Lucas (Génération.s), Priscillia Ludosky (gilet jaune), Alain Mabanckou (écrivain, professeur à UCLA), Aïssa Maïga (actrice et réalisatrice), Jean Malifaud (syndicaliste SNESup-FSU), Adrien Mamere (avocat), Sofia Manseri (conseillère municipale, Gennevilliers), Vincent Maraval (producteur de cinéma), Eduardo Mariotti (avocat), Philippe Martinez (secrétaire général de la CGT), Blaise Matuidi (footballeur), Margaret Mechin (retraitée), Didier Mehl (Ensemble ! sud-Vienne), Madjid Messaoudène (élu de Saint-Denis), Mokobe (rappeur, acteur), Claire Monod (Génération.s), Bénédicte Monville (conseillère régionale Île-de-France), Héloïse Moreau (présidente de l’UNL), Corinne Morel Darleux (conseillère régionale, Auvergne-Rhône-Alpes), Charlotte Namura Guizione (journaliste, animatrice télé), Samir Nasri (footballeur), Thomas Ngijol (comédien, réalisateur), Nnoman (photographe), Josette Noyau, Danièle Obono (députée FI), Younous Omarjee (député européen FI), Anne-Sophie Pelletier (député européenne FI), Irène Pereira (philosophe), Jhon Rachid (vidéaste, comédien), Maurice Rajsfus (connu des services de police depuis le 16 juillet 1942), Kevin Razy (humoriste, comédien), Riadh (influenceur, comédien), Mathieu Rigouste (chercheur en sciences sociales), Rocé (rappeur), Karole Rocher (comédienne, réalisatrice), Boris Rosenthal (avocat), Mamadou Sakho (footballeur), Eros Sana (photographe), Bayou Sarr (humoriste), Patrick Silberstein (éditions Syllepse), Lucie Simon (avocate), Laura Slimani (Génération.s), Maboula Soumahoro (présidente de Black History Month), Stomy Bugsy (artiste), Hapsatou Sy (entrepreneuse, animatrice télé), Hélène Sy (présidente de CeKeDuBonheur/militante humaniste), Omar Sy (acteur), Farid Taalba (ex-MIB, président de l’Echo des cités), Audrey Tcheuméo (championne de judo), Laurent Thines (neurochirurgien, auteur de la pétition pour un moratoire sur les armes “sub-létales”), Camille Vannier (avocate), Marie-Christine Vergiat (vice-présidente LDH), Emmanuel Vire (secrétaire général SNJ-CGT), Youssoupha (rappeur).

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