bref les casseurs ne sont pas policiers infiltre mais petites merdes d'extreme gauche racaillique
le gouvernement n interdit pas et ne dissous et ne met pas a l ombre pour quelques temps pas ces corpuscules pourtant facilement identifiable dans le but de discridité manifestation
bref le probleme de la france c'est ce gouvernement de la pute hollande et ses branquignoles
démission de case vide démission de hollande et démission de trou de balls valls
J'ai participé à la manif de Paris hier, avec notre syndicat. Nous sommes venu spécialement de province en car, pour manifester dans la bonne humeur et la détermination pour infléchir les décisions de ce gouvernement qui ne veux pas de dialogue. Nous étions des centaines de milliers de manifestants
Etant en milieu de cortège, je n'ai pas vu de casseurs, 700 à 800 fachos gauchistes de type antifas et anarchistes, en effet ils avaient pris la tête de la manif. Le cortège s'étirait de la Place d'Italie aux Invalides. Par contre au fur et à mesure que nous approchions des Invalides de plus en plus de casse. Des commerces aux vitres détruites et des tags de partout. Arrivant devant l'hôpital d'enfants de la casse quelque vitres brisées, on voyait les traces de l'affrontement, notamment un car de militants à côté complètement détruit, comble de la connerie humaine, preuve que les casseurs se moquent bien des manifestants venus de si loin!
Navrant spectacle, résultat de c--rd qui ne feraient pas mieux pour decridibiliser un mouvement. Il n'y a pas de complot.
Par leurs actions ces casseurs vont dans le sens du gouvernement heureux qu'il y ai le feux au poudre et qui peux désormais exercer son chantage: "c'est de votre faute, vous êtes débordés etc..." Et les violences liées à l'Euro? même incurie gouvernementale! Pas foutus d'interdire des groupuscule liés aux casseurs!
Les médias officiels ont ainsi pu allègrement parler des casseurs au lieu de parler de notre extraordinaire mobilisation.
J'exprime un soutient particulier aux forces de l'ordre (dont beaucoup sont syndiqués chez nous) surtout vu le contexte.