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projet pour la france
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12 janvier 2013

hihi acheter carrefour

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12 janvier 2013

hihi

lang

12 janvier 2013

hihi

nkm la france droite ump humour

je n apprecie pas du tout cette nkm

nkm la france droitepx

12 janvier 2013

les racailles ca se flinguent et retour au bled

les racailles ca se flinguent et retour au bled pour le reste de la famille avec interdiction de remettre les pieds en france

quand a valls c est juste un troudeballs.com

 

11 janvier 2013

Des familles de dealers expulsées de leur HLM

et ils vont atterir où?

perso je les logerais chez des gaugaus boboides tiers mondiste defenseur des racailles genre les troudeballs d'extreme galuque chez le melenchion for example

Quatre familles de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) vont être expulsées en raison de troubles occasionnés par le trafic de drogue organisé par leurs enfants.

L'affaire est censée être une première. Selon Le Parisien-Aujourd'hui en France, quatre familles de dealers d'une cité de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) vont être expulsées de leur HLM en raison des troubles occasionnés par le trafic de drogue orchestré localement par leurs enfants. Le voisinage n'en peut plus des menaces et des violences.

Le bailleur HLM a saisi la justice et, après de longues années de procédure, la cour d'appel de Versailles a tranché: les familles seront expulsées après la trêve hivernale. Les magistrats ont parfaitement pointé du doigt «l'enfer quotidien que constitue pour les riverains l'existence d'un trafic de stupéfiants dans l'enceinte même de la résidence».

Troubles de jouissance

Les associations proches de l'extrême gauche s'émeuvent. Le porte-parole de Droit au logement, Jean-Baptiste Eyraud, interroge: est-ce à la famille de «supporter les conséquences de ces délits?» Pour la justice, l'affaire est pourtant limpide: les parents locataires ne pouvaient ignorer l'existence du trafic qui se déroulait jusque dans les appartements. La police a ainsi saisi 1,3 kg de résine de cannabis dans l'un d'eux, le 8 juin 2009.

Pour le député UMP des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, à qui l'on doit un dispositif novateur visant à responsabiliser les parents en cas d'absentéisme scolaire, cette mesure judiciaire n'a «rien de choquant dès lors qu'il peut être démontré que les adultes étaient complices et qu'ils n'ont rien fait pour que cesse le trouble».

Plus de 300 demandes d'expulsion sont formulées par les HLM pour «trouble de jouissance» chaque année, mais l'essentiel des milliers d'expulsions ordonnées en France est surtout motivé par les impayés de loyers. Faudrait-il trouver ces dernières normales lorsqu'elles témoignent de la simple précarité et s'offusquer de voir expulser des familles qui pourrissent la vie des quartiers mais paient leurs loyers rubis sur l'ongle, avec de l'argent dont on peut légitimement s'interroger sur la provenance?

Allocations familiales

L'affaire des expulsés des Boulogne-Billancourt tombe à point nommé. Car le débat sur la responsabilisation des parents va rebondir. Dans la nuit de mercredi à jeudi prochain, à l'Assemblée nationale, la gauche se prépare à rayer d'un trait de plume la loi Ciotti sur le contrat de responsabilisation des parents en cas d'absentéisme scolaire.

Ce dispositif intégré à la dernière loi Sarkozy sur la sécurité (dite Lopsi 2), contraignait les parents volontaires à suivre un parcours de formation à l'éducation de leurs enfants et surtout à mieux les surveiller. La suppression temporaire des allocations familiales était prévue comme sanction ultime en cas de démission totale des adultes. Éric Ciotti assure que ce système d'assistance éducative commençait à porter ses fruits et était «salué partout où il était mis en place».

 

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8 janvier 2013

tiens encore un enarque dingue comme ils sont mega nul quand meme

virgin megastore,champ elysée,enarque,edouard balladur,walter butler goldmans sachs,ump,banque,raffarin,

(...)
Caricature parfaite du petit oligarque à la française, Walter Butler, devenu inspecteur des finances à sa sortie de l’École nationale d’administration en 1983 (promotion Solidarité, en hommage à Lech Walesa), n’aura pas servi l’État bien longtemps… avant d’aller se servir à l’occasion, bien souvent, des vagues successives de privatisation.

Lors de la première cohabitation, entre 1986 et 1988, il entre au ­cabinet de François Léotard, le ministre de la Culture, en tant que conseiller pour l’audiovisuel : il conduira notamment le processus de privatisation de TF1. Pour celui que ­Dominique de Villepin a aidé à préparer le concours d’entrée à l’ENA, voilà de quoi étayer encore son carnet d’adresses: Francis Bouygues, Jean-Marie Messier qui s’occupe des privatisations au cabinet d’Édouard Balladur, Dominique Bussereau et ­Dominique Ambiel, tous les deux proches de Jean-Pierre Raffarin… Après la défaite de la droite, Walter Butler part se ­réfugier dans la banque d’affaires Goldman Sachs aux États-Unis. C’est dans cet établissement extrêmement célèbre désormais que le haut fonctionnaire se transformera en pur financier. 
« Goldman, c’est là que j’ai ­appris à lire, à écrire et à ­compter dans les affaires », glissera-t-il quelques années plus tard dans l’Expansion.

Revenu en France au début des années 1990, il fonde avec le concours de l’un des parrains du capitalisme français de l’époque, Bernard Esambert, le patron de la banque d’affaires Roth
schild, son propre fonds d’investissement. Très vite, Walter ­Butler devient un spécialiste du 
« retournement »: selon la ­légende, il achète des entreprises en difficulté, les redresse et les revend en faisant la culbute; en pratique, il s’empare aussi de lambeaux d’entreprises publiques à prix cassés qu’il revend ensuite à prix d’or. L’homme est bien introduit dans les rouages du capitalisme d’État: il bénéficie des conseils d’Alain Minc et surtout de la protection de François Pinault, le puissant patron de PPR qui le fera rentrer au conseil d’administration de la Fnac et lui remettra la Légion d’honneur en 2004.

Les cercles du pouvoir

Dans ses opérations, opaques pour la plupart, ­Walter Butler profite de sa proximité avec les cercles du pouvoir. En 2006, alors que de nombreux observateurs dénoncent un bradage, il devient l’actionnaire majoritaire de la SNCM, la compagnie privatisée qui assure les liaisons entre la Corse et le continent, et quelques années plus tard, il revend en empochant cinq fois sa mise de départ.

À la Sernam, l’issue est un peu différente, même si, là aussi, ça sent le pactole pour Butler: après avoir racheté pour une bouchée de pain (on parle de 10 millions d’euros) le secteur messageries de la SNCF, non sans que l’entreprise publique ne le renfloue à hauteur de 500 millions d’euros, le spéculateur finira par transférer à la collectivité la charge du plan de social en mettant la boîte en redressement judiciaire, avant que la SNCF, via sa filiale de logistique Geodis, ne vienne, début 2012, racheter les derniers morceaux… Chez Virgin, Walter Butler se sauvera-t-il encore sans payer l’addition ?

Virgin déjà retoqué en justice. C’est une épine dans le pied du fonds d’investissement Butler. En mai dernier, le tribunal de grande instance de Paris a donné raison au comité d’entreprise et au syndicat SUD, qui contestaient la façon dont Virgin avait lancé des plans de licenciement distincts pour la fermeture de ses magasins de Metz (janvier 2012) et Toulouse (mars 2012). Le tribunal a estimé que Virgin devait reprendre la procédure à zéro et fournir une « information complète et loyale » sur la stratégie de l’entreprise. Il a aussi souligné que la situation économique justifiant ce plan devait s’apprécier au niveau du groupe Butler, et non de la seule entreprise Virgin. L’affaire sera examinée en appel le 28 janvier.

8 janvier 2013

un peu de musique et le groupe a fillon

7 janvier 2013

Le gouvernement égyptien face à un mur de défis économiques

en plus avec les nouvelles routes de commerce entre l'allemagne et la chine  qui vont passer par la russie l 'egypte est vraiement mal barrée

il va falloir mettre rapidement en place un rideau de fer sur la méditerranée pour se préserver des violents troubles qui vont eclater dans cette region du monde....

d'ailleurs les emirs du golfe ont planqué des milliards en suisse en previson des futurs révolutions qui vont eclater la bas

 

Déficit budgétaire en hausse, réserves de change en baisse, monnaie sous pression: le gouvernement égyptien, remanié pour mieux affronter la crise économique, fait face à une accumulation de défis dans un contexte politique et social délicat, soulignent des analystes.

Le président islamiste Mohamed Morsi a lui-même fixé un lourd cahier des charges à la dizaine de nouveaux ministres en majorité titulaires de portefeuilles économiques, dont celui des Finances, qui ont fait leur entrée dimanche dans le gouvernement de Hicham Qandil.

Le gouvernement doit "accélérer les efforts pour relancer l'économie et la croissance, attirer les investissements, consolider les exportations, encourager le tourisme, créer de nouveaux emplois et améliorer les services publics", a-t-il déclaré.

Des discussions avec le Fonds monétaire international pour un prêt de 4,8 milliards de dollars devaient reprendre lundi au Caire avec le responsable du Fonds pour le Moyen-Orient, Masood Ahmed. L'obtention de ce prêt est considérée par beaucoup comme une condition indispensable au redressement, mais pas sans dangers sur le plan social.

"Les indicateurs sont alarmants", estime Ahmed el-Naggar, économiste auprès du Centre d'études al-Ahram. "Le tourisme, qui rapportait autrefois 13 milliards de dollars par an, ne rapporte plus que 8,8 milliards".

Chômage en hausse

Quant au chômage, il a progressé de 9 à 12% de la population active en deux ans, ajoute-t-il en considérant toutefois ces chiffres très en deçà de la réalité dans un pays où 40% de la population vit avec deux dollars ou moins par jour.

Devant la Bourse du Caire, le 6 janvier 2013

Dernier signe d'inquiétude en date, la monnaie égyptienne vient de tomber en quelques jours de 6 à 6,4 livres pour un dollar, une dépréciation encore modérée mais dont la soudaineté a mis en exergue la fragilité du pays.

La Banque centrale a reconnu que ses réserves de change, passées en deux ans de 36 à 15 milliards de dollars -soit de quoi couvrir théoriquement trois mois d'importations- avaient atteint un niveau "critique", et a pris des mesures pour limiter les sorties de devises du pays.

L'Egypte a elle aussi son "mur budgétaire".

Le ministre du Plan, Achraf Abdel Fattah al-Arabi, vient de déclarer dans la presse que le déficit pourrait bondir de 50% à 200 milliards de livres (31 milliards de dollars) par rapport aux prévisions pour l'année fiscale 2012-2013 "si de strictes mesures économiques ne sont pas mises en place".

Accord avec le FMI

"Pour que le système marche, la confiance doit revenir rapidement, et il faut commencer par un accord avec le FMI", souligne l'agence de notation Fitch dans un récent communiqué sur la réforme du régime des changes égyptien.

Le nouveau ministre des Finances, El-Morsi El-Sayed Hegazy, un universitaire spécialiste de finance islamique, s'est dès son investiture déclaré "disposé à parachever les consultations avec le FMI pour conclure le prêt".

Ce prêt est jugé décisif pour débloquer d'autres financements internationaux et accompagner des réformes difficiles.

Mais des mesures de rigueur y sont associées, en particulier une révision des coûteuses subventions d'Etat aux carburants ou à des produits alimentaires, qui permettent de garder des prix très bas sur beaucoup de produits de base.

En décembre, M. Morsi a dû geler quelques heures avant leur entrée en vigueur des hausses de taxes sur de nombreux produits de consommation courante, sacrifiant au moins provisoirement le redressement des finances publiques pour éviter des tensions sociales.

La proximité d'élections législatives, prévues dans deux mois environ, risque aussi de peser sur la capacité à mener des réformes.

"Les tout prochains mois vont être critiques", estime l'économiste Angus Blair, qui dirige au Caire le Signet Institute. "On peut espérer que le nouveau ministre des Finances arrive avec un plan créatif, mais force est de constater qu'il va devoir travailler dans un contexte qui impose des limites étroites".

7 janvier 2013

les collabos à islamistes

AcNws

6 janvier 2013

Un syndicaliste routier exclu pour avoir vanté le projet de Marine Le Pen

http://www.leparisien.fr/economie/un-syndicaliste-routier-exclu-pour-avoir-vante-le-projet-de-marine-le-pen-06-01-2013-2457737.php

 

vous inquietez pas les collabos salete merdique umps  vont le payer tres cherement ils vont partir en courant  si ils tiennent a leur petite vie miserable de collabo

preparer vos valises mes cheries vous allez etre tondus

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