Impopularité record pour Hollande, à 27% de cote de confiance:
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et ce n'est que le début lol lui et le nabot sarko font pouvoir jouer au grand bleu
et ce n'est que le début lol lui et le nabot sarko font pouvoir jouer au grand bleu
si ca continu ils vont juste nous declarer leur brosse a dent electrique nos amis les députard umps.bref un gentil petit coup de com pour essayer de noyer l affaire cahuzac
ils continuent a nous prendre pour des cons quoi
et pendant ce temps on doit engraisser senateurs deputes conseil regional conseil general metropole mairie........
ce projet ridicule juste pour faire plaisir a vinci doit etre abandonnée
tiens d'ailleurs dans mes grands projet d'aménagement la plantation d'arbre le long des routes et autoroutes sera une priorité
De vifs affrontements se sont déroulés lundi sur le site du projet d'aéroport contesté de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) après plusieurs mois de calme relatif, mais aucune opération d'évacuation n'avait débuté soulignaient les autorités qui indiquaient juste "rétablir la circulation".
Trois gendarmes ont été blessés, dont l'un a été hospitalisé après avoir été atteint pas un cocktail Molotov, et au moins un opposant anti-aéroport a été pris en charge par les secours. Deux manifestants ont été interpellés, selon la préfecture.
Les heurts ont éclaté vers 07H00, non loin du carrefour de la Seaulce, l'habituel point de contrôle, central, que les forces de l'ordre occupaient jour et nuit depuis fin novembre. Elles s'en étaient retirées à la veille d'une manifestation pacifique qui s'est tenue samedi.
Les opposants affirment que les gendarmes ont voulu reprendre leur position habituelle sur ce carrefour.
De leur côté, la préfecture et les officiers de gendarmerie sur place déclarent que leurs hommes ont été pris à partie en début de matinée et qu'ils ont riposté. Selon un officier de gendarmerie sur place les opposants divisés en quatre groupes, les ont assaillis "50 de l'est, 50 du nord, 50 du sud et 200 à l'ouest".
Effectuant plusieurs charges précédées de sommations, puis de tirs nourris de grenades lacrymogènes, les gendarmes ont essuyé des tirs de cailloux et de cocktail Molotov, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Sur le "Chemin de Suez", barré et tenu par les opposants depuis fin décembre, la première barricade a été enfoncée. "Il ne s'agit pas de procéder à des expulsions mais de se donner du champ par rapport au carrefour", a aussitôt précisé sur place le colonel François Alegre de la Soujeole commandant la gendarmerie des Pays-de-la-Loire.
A la mi-journée, plusieurs dizaines de véhicules de gendarmerie et quelque 200 gendarmes mobiles, étaient présents sur place. Les forces de l'ordre ont entrepris d'enfoncer les barricades sur la route départementale 81, un axe qui traverse la zone du nord au sud. "Nous rétablissons la circulation", a précisé le colonel Alegre de la Soujeole.
Ces barricades avaient été construites ce week-end au moment d'une manifestation de "remise en culture" sur la zone du projet d'aéroport.
En début d'après-midi il restait encore une barricade, a constaté l'AFP. Et peu après 14H00, un calme relatif était revenu.
"Points de suture"
Au moment de la charge sur le Chemin de Suez, un homme d'une soixantaine d'année est venu au contact des gendarmes et des journalistes, demandant un arrêt de l'intervention et des "destructions". "Nous avons travaillé pendant quatre mois sur ces terres, pendant tout l'hiver n'essayez pas d'avancer, prenez votre carrefour et faites ce que vous voulez de votre carrefour", a-t-il demandé en se mettant à genoux dans l'herbe devant gendarmes et caméras.
Dans un communiqué, le Préfet de Loire-Atlantique, Christian de Lavernée, a "regretté profondément ces incidents qui interviennent alors qu'il engage des discussions avec les différentes catégories d'opposants au projet, pour évoquer les modalités de mise en oeuvre des préconisations des différentes commissions qui ont rendu leurs conclusions la semaine dernière".
"Ils étaient là pour agresser des gendarmes", a souligné sur place le colonel Frédéric Boudier, commandant du groupement de Loire-Atlantique. "Un gendarme mobile a été bousculé par un groupe dans un fossé, il a fait l'objet d'un jet à tir tendu et a bout portant d'un cocktail Molotov alors qu'il se trouvait à terre", a-t-il assuré. Protégé par ses équipements le gendarme a été évacué à l'hôpital pour des points de suture. "On a eu à faire à une agression extrêmement violente", a dit le colonel Boudier.
Les opposants ont aussi annoncé une manifestation à Nantes à 16H00.
Dans un communiqué dimanche à l'issue du week-end de remise en culture baptisé "Séme ta zad" du nom de la zone d'aménagement différé du projet, les opposants avaient déclaré en parlant des gendarmes qui avaient quitté leurs positions: "Soit ils nous virent, soit ils se cassent!", avant d'ajouter: "(et s'ils nous virent, on revient!)".
Le projet d'aéroport, confié au groupe Vinci, prévoyait à l'origine que le transfert d'aéroport de Nantes vers Notre-Dame-des-Landes, soit mis en oeuvre en 2017, une date que même les partisans du projet admettent désormais voir glisser vers 2018.
on voyait toute la chaine des alpes enneigée, chalmazel sommet encore blanc et le lizieux et le mezenc. et premier bronzage torse nu aussi tiens un petit peu de musique
la justice met en prisons des innocent cf le desastre d'outreau
libere des délinquants et trafiquants de drogue multirécidivistes cf le juge liberator de bobigny la mise en liberté de malfrat sous pretexte qu il manque une virgule dans un courrier.........................
et laisse un enfant se faire tuer
la-mort-de-marina-enfant-battue-erigee-en-symbole-des-defaillances-de-la-justice
cette institution ubuesque est démolir completement à coup de buldozzer et à rebatir sur des bases saines.des tetes doivent tombées dans les syndicats de la magistrature.
en construction
j ai trouve un article sur samsung dans le magasine capital : comment le coreen a gagner la guerre du smartphone et sur les conditions de travail qui n ont rien ce comparable avec chez nous
comme vous le savez je suis pour l'instauration de la semaine de 4 jours et 2 mois de vacances
la question est comment rester compétitif face à d'autre économie?le protectionisme oui bien sur il est necessaire mais il ne fait pas tout
on doit maintenir la compététivité et vendre de la technologie associé a un niveau de vie meilleur qu il y a en chine en corée en inde au brésil aux usa.........
tiens il y a un crétin de modo de fopo le sieur solferino poil au dos un juif rose bon socialiste bon teint modéle réduit( dans tous les domaines ) du dskk qui m a censure sur fopo
(etre censurer par ce type d'individu est un honneur)
lui et le sieur spitfire dit spit yoable pour les intimes un robot.com payé par l'ump à la mauvaise fois legendaire commencent à serieusement taper sur le systeme c'est à cause de bouffons de cette espece qui pourrissent la vie des gens que je fais de la politique car ne pas reconnaitre son talent c'est favoriser la reussite de ces mediocres et malfaisants personnages .
pour en revenir au parasite roms
on les mets dans wagons a bestiaux et retour au bled a vitesse grand v
l europe sans frontiere est uen veritable nuisance pour la france et les francais retablissons des frontieres et envoyons ballader les technocrates europeens a la solde des milliardaire amerlocks
Le Louvre a rouvert jeudi mais en présence de policiers en uniforme, après une grève de ses agents la veille, pour protester contre la recrudescence d'agressions et de pick-pockets dans le plus grand musée du monde.
En milieu de matinée, des centaines de visiteurs étaient déjà sous la pyramide et d'autres à l'intérieur du musée, qui a ouvert à 9H00. La sécurité a été renforcée: une vingtaine de policiers en uniforme patrouillaient dans l'enceinte du musée, selon la direction. Cinq d'entre eux étaient postés jeudi matin sous la Pyramide, principale entrée du Louvre.
"La présence de fonctionnaires de police en tenue a un effet dissuasif important", a affirmé à des journalistes l'administrateur général du Louvre Hervé Barbaret.
"Nous espérons qu'ils vont rester le plus longtemps possible, plusieurs mois, jusqu'à ce que la situation revienne à la normale", a-t-il poursuivi. Des policiers en civil étaient déjà présents, avant même le mouvement social, au Louvre, y compris dans les salles du musée.
Les caméras de surveillance quant à elles sont utiles, mais pour l'enquête, a précisé M. Barbaret, qui explique que le Louvre travaille avec les services du Parquet. "Nous voulons un démantèlement des réseaux", a-t-il dit.
Un mouvement "légitime"
Les voleurs achètent des billets pour pénétrer dans les salles d'exposition, alors que les jeunes de moins de 26 ans, eux, peuvent rentrer gratuitement. Des agents mettent en cause des mineurs d'Europe de l'Est.
"Dans l'aile Denon, où il y a la Joconde, il y a beaucoup d'affluence et beaucoup de pickpockets", a raconté à l'AFP Eric, un agent d'accueil qui n'a pas voulu donner son nom. Les voleurs "sont agressifs", a-t-il poursuivi. "Quand il y a un vol, nous appelons les forces d'intervention, qui les mettent dehors, puis ils reviennent", a affirmé l'agent qui avait cessé le travail mercredi.
"Ils s'attaquent surtout aux Asiatiques", selon un autre agent. "Ce sont des touristes particulièrement vulnérables", a confirmé la direction, qui explique que "les Chinois, par exemple, ont pour habitude d'avoir beaucoup d'argent sur eux". "Nous sommes en contact avec les consulats pour qu'ils mettent bien en garde les touristes".
Des touristes asiatiques avaient visiblement été sensibilisés à la situation car, jeudi matin, certains portaient leur sac à dos collé contre leur buste.
"Le mouvement de grogne des agents est tout à fait légitime", pour Hervé Barbaret. "Il y a un vrai problème sur lequel nous travaillons, mais hier, avec leur mouvement, ils nous ont dit qu'on n'allait pas assez vite", a-t-il analysé. Le musée doit "être un lieu de sérénité", a souligné l'administrateur du Louvre, avant de rappeler qu'ils s'agissait "du musée le plus fréquenté au monde".
Une femme travaillant à l'accueil du musée, sous la Pyramide "doute que la présence de policiers en uniforme suffise à résoudre le problème". "Si ce n'est pas le cas, nous nous remettrons en grève", a mis en garde l'employée. Elle dit réconforter "plusieurs fois par jour" des victimes de vol et les aider à faire des démarches administratives, "alors que ce n'est pas (son) travail".
"Et si le Louvre n'arrive pas à résoudre ce problème, cela va poser un sérieux problème d'image", souligne-t-elle.
le seul homme politique qui avait des couilles autre chose que nos deux merdes sarko et hollande
il nous faudrait une dame de fer pour resoudre les problemes des banlieues
apres bien sur comme tout grand homme politique elle a fait des choses bien et des choses moins bien
les profiteurs de l ultraliberalisme qui ont proliférés apres son passage a la tete de l angleterre font partis de ces echecs
elle n avait pas compris le role du travail et la fierté de travailler dans une mine qui na strictement rien a voir avec les boulots merdiques type serveur,assistance a la personne eduquateur social de racaille qu on nous proposent comme la panacé face a la desins dustriallisation massive de notre pays par les trous de balls de technocrates europeens
Il suffit de mentionner le décès de Margaret Thatcher dans un "working men's club", ces cercles fréquentés par les anciens mineurs du nord de l'Angleterre, pour réveiller les passions et souvent les invectives.
Cela fait 28 ans que la "Dame de fer" a écrasé la grande grève des mineurs, un des plus importants conflits sociaux qu'ait connus la Grande-Bretagne.
Mais à Armthorpe, dans le Yorkshire, comme dans beaucoup d'autres villages, la rancoeur est tenace.
"Bon débarras", s'exclame un ancien mineur au fond de la salle sombre du club local, où des hommes,visage buriné et mains tatouées, sont assis autour d'une bière.
Le portrait de l'ex-Premier ministre, décédée lundi à 87 ans, s'étale à la Une d'un journal qui traîne sur une table.
"On s'en servira comme papier toilette", lance un autre buveur, déclenchant une tempête de rires.
Des dizaines de milliers de mineurs avaient participé en 1984-1985 à cette grève, un des évènements marquants des années Thatcher.
La violence des affrontements entre les grévistes et la police, qui avaient dégénéré en véritables batailles rangées, avaient stupéfié l'opinion.
La locataire de Downing Street, qui voulait fermer des dizaines de puits déficitaires, s'est retrouvée engagée dans un véritable bras de fer avec Arthur Scargill, président à vie du syndicat des mineurs NUM rebaptisé "King Arthur" par ses troupes.
Ce conflit a également coûté la vie à plusieurs personnes, dont un chauffeur de taxi, assassiné au Pays de Galles pour avoir transporté un mineur non-gréviste jusqu'à un puits.
Les grévistes, "ennemis de l'intérieur" selon Margaret Thatcher, s'étaient retrouvés dans une situation désespérée après une année sans travail.
Et ils ont fini par perdre la partie: Margaret Thatcher les a acculés à la défaite en réussissant à approvisionner le pays en charbon.
Certains mineurs ont repris le chemin de la mine en pleurs.
Dans ses mémoires, l'inflexible "Dame de fer" écrira: les mineurs "avaient voulu défier les lois du pays et s'opposer aux lois de l'économie. Ils ont échoué".
Cette défaite, véritable coup de massue pour le très puissant NUM, a quasiment mis fin à l'extraction souterraine du charbon au Royaume-Uni: en 1984, la Grande-Bretagne avait 170 mines en activité, qui employaient 200.000 ouvriers. Il n'en reste aujourd'hui qu'une poignée, où travaillent environ 2.000 personnes.
Armthorpe a été une des victimes de cette hécatombe industrielle.
La grande roue du puits, installée le long de la route principale, est un des rares rappels de son passé minier.
Les anciens mineurs gardent un souvenir amer du moment où la police anti-émeutes a encerclé leur village et des affrontements qui ont suivi.
"Thatcher a détruit cet endroit", explique George Fletcher, 63 ans, ancien contremaître de la mine. "Mon père était mineur, mon grand-père aussi. Mais Thatcher n'aimait pas les ouvriers. Elle a transformé la vie de beaucoup de gens en enfer".
Derrière lui, un jeune homme arrache une photo de la "Dame de fer" d'un journal et la serre rageusement dans ses poings serrés.
Les mineurs sont fiers que le village soit resté si soudé pendant le conflit, développant une entraide à l'opposé de la vision individualiste de la Grande-Bretagne défendue par "Mrs T".
Le boulanger, se souviennent-ils avec gratitude, s'est notamment ruiné en servant les mineurs à crédit.
Mais aujourd'hui, l'humeur est sombre. Les ex-mineurs disent qu'il n'y a plus de travail depuis la fermeture de la mine en 1996.
"Les jeunes, ils n'ont rien à faire", explique George Kennedy, 55 ans, qui a travaillé dans la mine pendant 20 ans avant de perdre son emploi et qui souffre de problèmes respiratoires.
La fermeture des puits a "détruit le village", renchérit le gérant du club, Geoff Smith.
"C'est elle qui est responsable de tous les problèmes qu'on a eus depuis, la drogue, les bagarres", assure-t-il.
Il s'attend d'ailleurs à ce que les mineurs organisent une fête le jour des funérailles de Margaret Thatcher, mercredi prochain.
"S'ils en font une, je trinquerai avec eux", promet-il.
"Et si son corps est incinéré et qu'il n'y pas de charbon pour la crémation", "désolé, mais ce sera sa faute", ajoute-t-il avec un gloussement.