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projet pour la france
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Derniers commentaires
18 avril 2019

Reconstruire Notre-Dame en 5 ans : "irréaliste" pour une spécialiste normande

en voulant la rénover ils en ont fait bruler la moitié

en voulant  la reconstruire  en 5 ans ils font faire tomber ce qui en reste lol

gouvernement de branquignoles rien d'autre

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17 avril 2019

elle a 100% raison zero immigration vite

et retour au bled pour les sans papiers et suppressions du droit de vote pour les doubles nationalites et peine de prisons pour ceux qui aident les migrants ( en faite ils participent à la traite des etres humains donc doivent etre sanctionnés severement)

https://www.valeursactuelles.com/politique/pour-marine-le-pen-les-migrants-cest-comme-les-eoliennes

17 avril 2019

de toute facons ca continura

tran qu on aura pas reformé le systeme judiciaire ubuesque et ultra laxiste: trop de jugeottes trop d'avocaillons pas assez de bagnes et prisons

construisons des bagnes et des prisons low cost  ou les racailles devront casser des cailloux si elles veulent boire et avoir de quoi bouffer

https://amp.lefigaro.fr/actualite-france/93-sideration-apres-l-agression-d-une-enseignante-au-cri-de-c-est-un-attentat-20190413

16 avril 2019

Les cathédrales dévoilées : histoire de la construction des chefs-d’œuvre de l'art gothique dont Notre-Dame de Paris

16 avril 2019

notre dame de paris

projet pour la France notre dame de paris

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16 avril 2019

À quoi me sert encore de prier Notre-Dame

Ô Fleur-de-Lys, Je ne suis pas homme de foi

16 avril 2019

Des pro-Macron soupçonnés de manipuler les réseaux sociaux

16 avril 2019

incendie de notre dame de paris

Notre drame de Paris ,serait du à une clope mal éteinte d'un ouvrier bulgare payé deux cents euros par mois, embauché par un sous-traitant moldave qui oeuvre pour un donneur d'ordre, dont la boîte aux lettres est située à St Domingue .

La Macronie en pleine effervescence. [smilie=_banker.gif]

l'effondrement d'un systeme dans toute sa splendeur c'est bientot la fin de mini minuscule micron et de ces putes en marche

La dernière fois qu'elle a cramé, c'est pendant la révolution.

Doit on y voir un signe. [smilie=icon_smile035.gif]

Le gros bourdon de ND de Paris qui s'appelle Emmanuel, risque de tomber.
Tombera, tombera pas ?

tiens l'enfer à fusionné avec le paradis pour faire des économies et virér les anges cgt lol

Il est prévu de construire une mosquée en lieu et place.

c'est bien la 1er fosi qu 'une eglise est surchauffée.

 

 

L’hommage de Victor Hugo à Notre-Dame de Paris
« Sans doute, c’est encore aujourd’hui un majestueux et sublime édifice que l’église de Notre-Dame de Paris. Mais, si belle qu’elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s’indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument, sans respect pour Charlemagne qui en avait posé la première pierre, pour Philippe-Auguste qui en avait posé la dernière.

Sur la face de cette vieille reine de nos cathédrales, à côté d’une ride on trouve toujours une cicatrice. Tempus edax, homo edacior. Ce que je traduirais volontiers ainsi : le temps est aveugle, l’homme est stupide.

Si nous avions le loisir d’examiner une à une avec le lecteur les diverses traces de destruction imprimées à l’antique église, la part du temps serait la moindre, la pire celle des hommes, surtout des hommes de l’art. Il faut bien que je dise des hommes de l’art, puisqu’il y a eu des individus qui ont pris la qualité d’architectes dans les deux siècles derniers.

Et d’abord, pour ne citer que quelques exemples capitaux, il est, à coup sûr, peu de plus belles pages architecturales que cette façade où, successivement et à la fois, les trois portails creusés en ogive, le cordon brodé et dentelé des vingt-huit niches royales, l’immense rosace centrale flanquée de ses deux fenêtres latérales comme le prêtre du diacre et du sous-diacre, la haute et frêle galerie d’arcades à trèfle qui porte une lourde plate-forme sur ses fines colonnettes, enfin les deux noires et massives tours avec leurs auvents d’ardoise, parties harmonieuses d’un tout magnifique, superposées en cinq étages gigantesques, se développent à l’œil, en foule et sans trouble, avec leurs innombrables détails de statuaire, de sculpture et de ciselure, ralliés puissamment à la tranquille grandeur de l’ensemble ; vaste symphonie en pierre, pour ainsi dire ; œuvre colossale d’un homme et d’un peuple, tout ensemble une et complexe comme les Iliades et les Romanceros dont elle est sœur ; produit prodigieux de la cotisation de toutes les forces d’une époque, où sur chaque pierre on voit saillir en cent façons la fantaisie de l’ouvrier disciplinée par le génie de l’artiste ; sorte de création humaine, en un mot, puissante et féconde comme la création divine dont elle semble avoir dérobé le double caractère : variété, éternité.

Et ce que nous disons ici de la façade, il faut le dire de l’église entière ; et ce que nous disons de l’église cathédrale de Paris, il faut le dire de toutes les églises de la chrétienté au moyen âge. Tout se tient dans cet art venu de lui-même, logique et bien proportionné. Mesurer l’orteil du pied, c’est mesurer le géant.

Revenons à la façade de Notre-Dame, telle qu’elle nous apparaît encore à présent, quand nous allons pieusement admirer la grave et puissante cathédrale, qui terrifie, au dire de ses chroniqueurs : quæ mole sua terrorem incutit spectantibus (« Dont la masse suscite la terreur de ceux qui la regardent », Jacques Du Breul, Le Théâtre des Antiquités de Paris, Paris, Chevalier, 1612).

Trois choses importantes manquent aujourd’hui à cette façade. D’abord le degré de onze marches qui l’exhaussait jadis au-dessus du sol ; ensuite la série inférieure de statues qui occupait les niches des trois portails, et la série supérieure des vingt-huit plus anciens rois de France, qui garnissait la galerie du premier étage, à partir de Childebert jusqu’à Philippe-Auguste, tenant en main « la pomme impériale ».

Le degré, c’est le temps qui l’a fait disparaître en élevant d’un progrès irrésistible et lent le niveau du sol de la Cité. Mais, tout en faisant dévorer une à une, par cette marée montante du pavé de Paris, les onze marches qui ajoutaient à la hauteur majestueuse de l’édifice, le temps a rendu à l’église plus peut-être qu’il ne lui a ôté, car c’est le temps qui a répandu sur la façade cette sombre couleur des siècles qui fait de la vieillesse des monuments l’âge de leur beauté.

Mais qui a jeté bas les deux rangs de statues ? qui a laissé les niches vides ? qui a taillé au beau milieu du portail central cette ogive neuve et bâtarde ? qui a osé y encadrer cette fade et lourde porte de bois sculpté à la Louis XV à côté des arabesques de Biscornette ? Les hommes ; les architectes, les artistes de nos jours.

Et si nous entrons dans l’intérieur de l’édifice, qui a renversé ce colosse de saint Christophe, proverbial parmi les statues au même titre que la grand-salle du Palais parmi les halles, que la flèche de Strasbourg parmi les clochers ? Et ces myriades de statues qui peuplaient tous les entrecolonnements de la nef et du chœur, à genoux, en pied, équestres, hommes, femmes, enfants, rois, évêques, gendarmes, en pierre, en marbre, en or, en argent, en cuivre, en cire même, qui les a brutalement balayées ? Ce n’est pas le temps.

Et qui a substitué au vieil autel gothique, splendidement encombré de châsses et de reliquaires ce lourd sarcophage de marbre à têtes d’anges et à nuages, lequel semble un échantillon dépareillé du Val-de-Grâce ou des Invalides ? Qui a bêtement scellé ce lourd anachronisme de pierre dans le pavé carlovingien de Hercandus ? N’est-ce pas Louis XIV accomplissant le vœu de Louis XIII ?

Et qui a mis de froides vitres blanches à la place de ces vitraux « hauts en couleur » qui faisaient hésiter l’œil émerveillé de nos pères entre la rose du grand portail et les ogives de l’abside ? Et que dirait un sous-chantre du seizième siècle, en voyant le beau badigeonnage jaune dont nos vandales archevêques ont barbouillé leur cathédrale ? Il se souviendrait que c’était la couleur dont le bourreau brossait les édifices scélérés ; il se rappellerait l’hôtel du Petit-Bourbon, tout englué de jaune aussi pour la trahison du connétable, « jaune après tout de si bonne trempe, dit Sauval, et si bien recommandé, que plus d’un siècle n’a pu encore lui faire perdre sa couleur ». Il croirait que le lieu saint est devenu infâme, et s’enfuirait.
15 avril 2019

ce n est pas aux contribuable de payer pour les cassos mere célibataire

je ne vois pas en quoi une agence gouvernementale arriverait à mieux recouvrer l argent non versé des pensiosn alimentaires

faudra embaucher plein de fonc gratte papiers

bref encore une ardoise salées pour les contribuables et les classes moyennes

Grand débat : vers la fin des pensions alimentaires impayées ?

15 avril 2019

il n y a que des ordures qui ont la légion d'honneur donné par d'autres ordures

c'est plus la légion d'honneur mais la légion d'horreur

ceci dit il existe des moyens de pression interdire à cette ignoble personnage de sejourner en europe lui mettre tous ces biens sous sequelles bref il existe vraiement des moyens de pressions contre de telle ordure

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