il y a deux reformes à faire de toute urgence en France 1/le systeme judiciaire ubuesque ( trop de juges et avocats gratte papelards pas assez de bagnes et prisons low cost) 2/ le mamouth 100% du personnel devant éleves
https://news.contribuables-infos.org/index.php/component/acym/archive/41748-education-nationale-stop-a-40-ans-d-inefficacite
Car oui, l’école a renoncé à sa mission première d’apprentissage des savoirs.
En 2021, les compétences en lecture et compréhension d’un élève français de 10 ans étaient parmi les plus faibles d’Europe. France = bonnet d’âne !
Le budget de l’Éducation nationale n’a cessé d’augmenter depuis 40 ans. Et pour quel résultat ? Le système scolaire s’effondre lamentablement !
Plus on a mis d’argent sur la table, plus le niveau des élèves a périclité.
Mais comment avons-nous pu laisser notre système éducatif partir ainsi à vau-l’eau alors que nous avions l’un des meilleurs il y a encore 40 ans ? La France affiche des résultats honteux au classement PISA. Elle se classe 23e sur 79 pays évalués et la chute n’est pas terminée.
L’Éducation nationale, ce sont des milliards d’euros déboursés depuis 40 ans pour fabriquer plus de 40 000 illettrés par an et toujours plus d’échec scolaire.
Mais c’est aussi 40 ans de friche expérimentale !
Un ministre = une réforme !
Imaginez que la durée moyenne d’occupation du ministère est de 734 jours depuis 1958. Presque deux tiers des ministres n’ont pas eu le temps d’inscrire les réformes dans la durée. La preuve, Gabriel Attal à peine arrivé au ministère enterre la réforme Blanquer.
Nous arrivons à la deuxième génération d’enfants sacrifiée comme cobaye sur l’autel des hauts fonctionnaires du ministère de l’Éducation nationale et des syndicats. Des millions de petites victimes sacrifiées pour l’égo de ministres qui veulent tous laisser leur empreinte rue de Grenelle. Sans parler des enseignants, contraints de s’adapter à de nouvelles directives en permanence !
Tout cela dans une organisation unique au monde dans laquelle plus de 100 000 enseignants titularisés ne travaillent pas devant une classe d’élèves. Soit 12% des effectifs ! En « disponibilité », en détachement syndical, en formation, en mission, contraints à des tâches administratives….
Pourquoi des classes « surchargées » ? Parce que 12% des enseignants ne sont pas au poste pour lequel ils ont été embauchés.
Par ailleurs, le métier ne fait plus rêver. En dix ans le nombre de démissions a été multiplié par quatre et les concours d’intégration arrivent à avoir moins de candidats que de postes ouverts.