comment faire payer aux contribuables pour l irresponsabilités pendant que le géniteur se barre en afrique ou en algérie et sera pas emmerdé par les fonc de la caf on peut en etre sur
ce n'est pas à l'etat de prendre en charge les pensions alimentaires que les nanas qui se font engrossés par des enfoirés assument
Emmanuel Macron la tete de con est arrivé mardi après-midi à la Caisse d'allocations familiales (CAF) de Tours pour promouvoir la réforme des pensions alimentaires, une promesse faite après la crise des "Gilets jaunes" pour lutter contre les 30 à 40% de pensions impayées.
Avec ce premier déplacement de l'année, le chef de l'Etat veut montrer qu'il met en oeuvre des réformes sociales en dépit du Covid-19 et de la polémique sur la vaccination, omniprésente dans le débat public ces derniers jours.
Il doit passer deux heures à la CAF du centre de Tours, où il échangera avec cinq parents concernés. Il devait ensuite se rendre à la préfecture pour rencontrer des élus locaux.
L'organisation de la vaccination devrait s'inviter dans ces échanges. Le président du conseil départemental d'Indre-et-Loire, Jean-Gérard Paumier, lui a écrit une lettre, publiée sur le compte Twitter du département, dans laquelle il lui réclame une déconcentration de la campagne vaccinale en y associant davantage les préfets.
En fin de matinée, une centaine de manifestants, principalement des syndicalistes (Sud Solidaires, CGT et Sud Santé), ainsi que des aides à domiciles, des aides soignantes et quelques gilets jaunes, s'étaient rassemblés devant la mairie, dans une ambiance calme, a constaté un correspondant de l'AFP. Ils réclament principalement de meilleurs revenus pour les aides à domicile et les aides-soignantes. "Héroïnes exposées et méprisées, nous sommes invisibles", clamait une banderole.
Dans les locaux de la CAF, Emmanuel Macron devait rencontrer plusieurs bénéficiaires du nouveau dispositif de sécurisation des pensions alimentaires, qui permet à la Caisse de devenir l'intermédiaire pour les percevoir et les verser, et assurer leur versement en cas d'impayé.
"30 à 40% des pensions alimentaires sont impayées en France: une situation insupportable pour des centaines de milliers de parents célibataires", a-t-il twitté avant d'arriver.
Cette réforme vise les quelque 350.000 personnes - majoritairement des mères - victimes d'impayés ou de retard. L'objectif est d'en faire bénéficier 100.000 familles par an, grâce au recrutement de 450 agents supplémentaires dans la centaine de CAF françaises.