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projet pour la france
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2 mars 2020

non à la réforme des retraites

macron humour retraite 49

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14 février 2020

183 jours dans la barbarie ordinaire, En CDD chez Pôle emploi

Embauchée en CDD chez Pôle Emploi, une jeune femme de 25 ans raconte. Plongée au cœur de la crise, récit du naufrage de l’administration,

immersion dans la violence quotidienne, tableau d’une jeunesse brisée par le travail précaire... Le juste reflet de la réalité crue.

Avril 2009, France, banlieue parisienne. Au cœur de la crise qui explose, une jeune femme franchit la porte de Pôle Emploi, fraîchement

embauchée par ce nouvel organisme qui se charge de l’indemnisation et du conseil des chômeurs.
Plongée dans les entrailles du système, les deux mains dans la boue, elle raconte l’envers du décor. La violence de la misère. L’apprentissage

de l’impuissance. Le naufrage d’une administration qui détruit, sans remords, ses usagers et son personnel.
Prisonnière de son guichet d’accueil, méprisée et épuisée, elle raconte ce travail qui balaie sa vie privée, emporte ses principes et brûle ses

dernières illusions.
Ce livre n’est pas une compilation d’anecdotes. Ce n’est pas un ultime état des lieux du marché de l’emploi et de l’Administration française. C’est

le récit de six mois de travail précaire. Une réalité crue, bouillonnante de souffrance et de désespoir. Bienvenue en enfer. Bienvenue à Pôle

Grandeur du petit peuple - Michel Onfray (2020)

« La France est plus que jamais coupée en deux : non pas la droite et la gauche, non pas les libéraux et les anti-libéraux, non pas les progressistes et les souverainistes, mais d’une part ceux sur lesquels s’exerce le pouvoir, que je nomme le peuple, et d’autre part ceux qui exercent le pouvoir, les élites comme il est dit.
Soyez résolus de ne plus servir et vous voilà libres ! Ce mot de La Boétie doit devenir l’impératif catégorique d’une gauche libertaire et populaire, populiste même si l’on veut, car il n’y a que deux côtés de la barricade, et je ne crains pas de dire que j’ai choisi le camp du peuple contre le camp de ceux qui l’étranglent. »

4 février 2020

30€ par mois pour 6 jours sur 7 de travail!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ethiopie: les ouvriers en colère menacent la révolution industrielle >AFP04/02/2020 à 08:43

Des employées d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, le 1er octobre 2019 dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Des employées d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, le 1er octobre 2019 dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Zemen Zerihun pensait avoir gagné un ticket pour une vie meilleure quand, arrivant de sa ferme natale, il a décroché un emploi d'ouvrier du textile dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie.

Mais au bout de quelques mois, le jeune homme de 22 ans a claqué la porte, las de travailler dans des conditions stressantes pour assurer la productivité, huit heures par jour, six jours par semaine, sans pouvoir vivre décemment avec un salaire de 31 euros par mois.

Là-bas, "les superviseurs vous traitent comme des animaux", explique-t-il. "Trop lent", "Paresseux", lui hurlaient-ils si la cadence de la chaine de production ralentissait. Ils étaient si stricts qu'ils suivaient les ouvriers aux toilettes pour s'assurer qu'ils ne perdent pas plus de temps que nécessaire. "J'ai souffert", dit-il à l'AFP.

 

Cet exemple illustre un des principaux défis auxquels doivent faire face les autorités éthiopiennes qui veulent industrialiser le pays pour le rendre moins dépendant de l'agriculture.

L'idée est de suivre le modèle de la Chine et d'autres nations asiatiques en attirant des investissements étrangers grâce à une main d'oeuvre bon marché, en bâtissant un robuste secteur manufacturier à même de fournir des emplois aux jeunes.

De fait, l'activité industrielle dans les douze parcs existants a créé des dizaines de milliers d'emplois.

 

Zemen Zerihun lors d'une interview avec l'AFP, le 2 octobre 2019 à Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Zemen Zerihun lors d'une interview avec l'AFP, le 2 octobre 2019 à Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Zemen Zerihun lors d'une interview avec l'AFP, le 2 octobre 2019 à Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Mais en dépit d'un taux de chômage élevé, les jeunes refusent de travailler pour un salaire de misère dans des conditions déplorables: des milliers d'entre eux ont préféré démissionner.

A Hawassa, le taux de renouvellement du personnel avoisinait les 100% en 2017-2018, selon un rapport du Stern Center for Business and Human Rights de l'université de New York, publié en mai 2019.

- Industrialisation à tout prix -

Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Les coûts additionnels liés au recrutement et à la formation des nouveaux employés se sont "révélés considérablement plus élevés que ce que le gouvernement avait initialement évoqué", poursuit le rapport.

Le Premier ministre Abiy Ahmed considère ces parcs industriels comme un moteur de croissance qui pourrait permettre d'éviter les troubles avant les élections prévues en août 2020.

Dès 2014 - quatre ans avant son arrivée au pouvoir - le gouvernement a réalisé que le secteur agricole, principal pourvoyeur d'emplois du pays, ne pourrait pas produire assez de postes pour une population en augmentation constante, analyse Arkebe Oqubay, un des architectes de la stratégie.

Selon la Banque mondiale, deux millions de nouvelles personnes entrent chaque année sur le marché du travail en Ethiopie, qui connaît une des croissances économiques les plus rapides du continent.

Mais malgré les efforts, la manufacture ne représente toujours que 10% environ des activités économiques du pays.

 

Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

 

Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Le projet phare du parc Hawassa, un site rassemblant 52 usines textiles américaines, européennes et asiatiques, a ouvert en 2017. Environ 30.000 travailleurs y cousent nuit et jour des t-shirts, des vêtements de sport.

Vingt-neuf autres parcs industriels doivent voir le jour à travers le pays d'ici la fin de l'année, dans des secteurs comme la production de machines ou les technologies de l'information et de la communication, note M. Arkebe.

Cette politique a déjà porté ses fruits: les investissements étrangers directs ont atteint 4,3 milliards de dollars (3,9 milliards d'euros) en 2017, quatre fois plus que cinq ans auparavant.

- Les plus mal payés au monde -

Mais les bas salaires restent sous le feu des projecteurs.

Les travailleurs d'Hawassa sont les ouvriers du textile les plus mal payés au monde, avec un salaire de base de 23,4 euros, selon le Stern Center.

 

Une employée d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, montre la chambre qu'elle partage avec quatre collègues, le 2 octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Une employée d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, montre la chambre qu'elle partage avec quatre collègues, le 2 octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Gagner si peu n'est pas rare dans un pays qui n'a pas instauré de salaire minimum. Mais les ouvriers expliquent qu'ils peuvent à peine se payer de quoi acheter à manger, prendre les transports et régler leur loyer. Même en partageant de minuscules appartements où ils dorment à tour de rôle en fonction de leurs horaires.

Huit mois après avoir démissionné, Zemen Zerihun n'a toujours pas d'emploi mais il n'a aucun regret. Il préfère retourner cultiver la terre sur la ferme familiale plutôt que peiner à l'usine qui au départ représentait pour lui l'espoir d'une ascension sociale.

Même chose pour Medihant Fehene, qui a elle aussi quitté son travail à Hawassa.

"Je devais me lever pour prendre le bus à 05H30 du matin pour commencer le travail à 06H00, ou alors si j'avais un horaire d'après-midi, je ne rentrais pas avant 23H30, lorsqu'il fait nuit et que ce n'est plus sûr pour une femme d'être à l'extérieur", raconte-t-elle.

 

Un employé d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Un employé d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Passer de l'agriculture à la manufacture est compliqué pour ces travailleurs, relève Tony Kao, un responsable de JP Textile.

"Cela a pris du temps simplement pour qu'ils apprennent le travail industriel", dit-il. "Maintenant, ils doivent arriver à l'heure, apprendre de nouvelles compétences, comment manier des machines. C'est un nouveau chapitre de leur vie".

Le gouvernement a tenté de répondre aux frustrations des employés, en donnant par exemple des terres aux entreprises pour construire des dortoirs à loyers subventionnés, souligne M. Arkebe.

Mais ce fonctionnaire, maintenant conseiller spécial du Premier ministre, défend les bas salaires, qui encouragent selon lui les investissements en Ethiopie plutôt que dans des pays où le secteur manufacturier est plus établi.

- Organiser les ouvriers -

 

Une jeune femme s'entraîne à enfiler des aiguilles avant un test pour un emploi dans une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Une jeune femme s'entraîne à enfiler des aiguilles avant un test pour un emploi dans une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

"Si les salaires sont élevés et que les investissements n'arrivent pas, il n'y aura pas de créations d'emplois", argue-t-il. "Les moyens de subsistance des travailleurs peuvent s'améliorer avec leur productivité", affirme M. Arkebe, en évoquant le processus d'industrialisation en Angleterre et aux États-Unis.

Les patrons du secteur textile y trouvent leur compte. "L'Ethiopie est l'avenir du vêtement. Tout le monde regarde par ici maintenant", s'enthousiasme ainsi Raghavendra Pattar, directeur de la Nasa Garment Plc à Hawassa.

A Hawassa, personne ne représente vraiment les ouvriers - à part des conseils de travailleurs considérés comme un outil de contrôle des patrons sur les employés.

Mais la Confédération des syndicats éthiopiens prévoit de commencer à les organiser au début de cette année, selon son vice-président Ayalew Ahmed. "Si les employeurs acceptent des syndicats dans l'entreprise, ce sera bien. Sinon, on les établira en dehors".

Le gouvernement soutient le droit des travailleurs à s'organiser tant que ce processus ne cause pas trop de perturbations, prévient le ministre des Finances Eyob Tekalign Tolina.

En attendant, à Hawassa, le turn-over se poursuit.

Un récent matin, l'AFP a vu des dizaines de candidats faire la queue pour passer des tests d'enfilage d'aiguilles ou de pose de clous.

Dans le parc industriel, Tekle Baraso Bonsa, 22 ans, interrompt un instant son travail consistant à teinter des fils de laine pour expliquer qu'il économise afin d'étudier à l'université et que les quelque 30 euros qu'il gagne à l'usine sont sa meilleure option.

"Si je ne faisais pas ça, je serais en train de cirer des chaussures".

6 août 2019

désindustrialisation de la France

28 juillet 2019

destruction des acquis sociaux

par le minuscule mini miocron et ses putes en marche

assurance-chomage-les-nouvelles-regles-d-indemnisation-a-partir-du-1er-novembre

"La ministre du Travail Muriel Pénicaud présente la réforme de l'assurance chômage lors d'une conférence de presse à Matignon, le 18 juin 2019 ( AFP / Lucas BARIOULET )La ministre du Travail Muriel Pénicaud présente la réforme de l'assurance chômage lors d'une conférence de presse à Matignon, le 18 juin 2019 ( AFP / Lucas BARIOULET )La ministre du Travail Muriel Pénicaud présente la réforme de l'assurance chômage lors d'une conférence de presse à Matignon, le 18 juin 2019 ( AFP / Lucas BARIOULET ) >Voici les nouvelles règles d'indemnisation pour les demandeurs d'emploi qui s'appliqueront à partir du 1er novembre (sauf le mode de calcul de l'allocation au 1er avril), selon le décret publié dimanche au Journal officiel.

- Six mois de travail requis -

Pour ouvrir des droits à indemnisation, il faudra avoir travaillé six mois ("130 jours ou 910 heures") sur les 24 derniers mois ("la période de référence"). Aujourd'hui, cette condition est de quatre mois sur les 28 derniers (sauf pour les plus de 53 ans où la période de référence restera de 36 mois). 

En conséquence, la durée minimale d'indemnisation passe aussi de quatre à six mois. La durée maximale reste de deux ans pour les moins de 53 ans, deux ans et demi pour les 53-55 ans, trois ans pour les plus de 55 ans.

Le seuil permettant un rechargement des droits, lorsqu'on travaille pendant sa période de chômage, sera également de six mois (910 heures) contre un mois (150 heures) aujourd'hui.

- Une allocation mensuelle plus faible pour les "permittents" -

Actuellement, la durée d'indemnisation est calculée sur le nombre de jours travaillés pendant la période de référence (multipliés par 1,4 pour obtenir des jours calendaires). Au 1er novembre, cette durée sera égale au nombre de jours calendaires, travaillés ou non, à partir du premier jour d'emploi pendant la période de référence jusqu'au terme de celle-ci.

Conséquence, les personnes qui ont travaillé de manière fractionnée pendant leur période d'affiliation (en alternant CDD courts et inactivité) auront une indemnisation potentiellement plus longue mais aussi d'un montant mensuel plus faible.

En effet, à partir du 1er avril, le "salaire journalier de référence", base de calcul de l'allocation chômage, sera obtenu en divisant les salaires de la période de référence par l'ensemble des jours à partir du premier jour d'emploi, et non plus les seuls jours travaillés.

Pour un même travail, ce salaire journalier sera donc désormais identique entre une personne ayant travaillé en continu et une personne ayant alterné contrats courts et inactivité, alors qu'il était jusqu'ici plus favorable à la deuxième. "A travail égal, allocation égale", selon le gouvernement.

Selon le gouvernement, l'allocation chômage sera toujours comprise entre 65 et 96% du salaire net mensuel moyen de la période de référence.

- Dégressivité pour les hauts revenus -

Les salariés qui avaient un revenu du travail supérieur à 4.500 euros brut par mois verront leur indemnisation réduite de 30% au début du 7e mois d'indemnisation, avec un plancher à 2.261 euros net. 

Les salariés âgés de 57 ans ou plus ne seront pas concernés par la mesure. Le plafond de l'indemnisation maximale restera de 6.615 euros net. 

- Des droits pour les démissionnaires et indépendants -

Promesse de campagne du candidat Macron, l'indemnisation sera ouverte aux démissionnaires ayant travaillé dans la même entreprise au cours des cinq dernières années. Elle sera conditionnée à "un projet de reconversion professionnelle nécessitant le suivi d'une formation ou un projet de création ou de reprise d'une entreprise".

Ce projet sera évalué par "la commission paritaire interprofessionnelle" (qui succède aux Fongecif) de la région du salarié qui jugera notamment de la "cohérence du projet de reconversion", la "disponibilité et la pertinence de la formation identifiée, la pertinence des modalités de financement envisagées". En cas d'acceptation, le salarié aura six mois pour déposer une demande d'allocation de chômage.

Les indépendants bénéficieront eux d'une allocation forfaitaire (800 euros par mois pendant six mois) en cas de liquidation judiciaire. L'activité professionnelle devra avoir généré un revenu minimum de 10.000 euros par an sur les deux dernières années avant la liquidation.

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29 juin 2019

L'Ethiopie, nouvel Eldorado du textile

Pour découvrir comment les vêtements à petits prix sont aujourd'hui fabriqués, il faut prendre l'avion et partir loin de France. Mais surprise, ce n'est pas en Asie que nous allons nous rendre. Cap au Sud, à 7 heures de vol de Paris, direction l'Ethiopie, un pays immense, aussi vaste que la France et l'Espagne réunies. L'Ethiopie qui a décidé de tout mettre en œuvre pour concurrencer la Chine, afin de devenir le prochain atelier du monde, et vous allez voir avec quelles armes redoutables( cherchez pas salaire 20€ par mois) le pays compte s'y prendre.

24 juin 2019

Canicule : short, chemisette… Comment s’habiller au travail sans froisser son employeur

perso quand il fait tres chaud chemise hawaienne et short et je vois pas où est le probleme

ce qui compte c est que le boulot soit fait  le reste c est blabla

http://www.leparisien.fr/societe/canicule-short-chemisette-comment-s-habiller-au-travail-sans-froisser-son-employeur-24-06-2019-8101416.php#xtor=AD-32280599

 

sur bfmtv L'idée du ministre de la Transition écologique : laisser la cravate à la maison " ... j'adore !!! les medias et les ministres pensent qu'en france, il n'y a que des travailleurs et travailleuses a cravatte dans des bureaux >>> ahahaha ,et tous les autres dans les usines, a l'exterieur, sur les toits , ca n'existe pas pour ce gouvernement ? je comprends de + en + les gilets jaunes

18 juin 2019

lol tellement vrai: tres cheres élites

lrem,putes en marche,macron,bourgeois,immigration,cac 40,élites,enarque,sénateurs,travail,bourgeoises,figaro madame,travail à domicile,philosophes,bhl

l'électeur typique putes en marches

élites bourgeois cac 40 macron lrem putes en marche humour

20 mai 2019

chomage-historiquement-bas-mais-travailleurs-pauvres--le-match-royaume-uni--allemagne

16 mai 2019

les racailles du haut: carlos ghosn

Carlos Ghosn : les images de son anniversaire « royal » au château de Versailles

Maintenant, je sais ce qu'ils font avec les 18 jours de rtt qui nous suppriment tous les ans depuis 2013.(salarié Renault)

Elle répond à tout ceux qui disaient qu'il était innoncent... Les Japonais sont réputés pour être extrêmement honnêtes et de fait ne supportent pas les escrocs quels qu'ils soient.

Merci les japonais de l’avoir foutu en tôle. Notre justice n’aurait jamais osé.

Vive le Japon ! On peut les remercier ! Ce mec était en train de voler dans les caisses et en France il ne risquait absolument rien!

Carlos Gosh aimait la belle vie. Au frais de la princesse. Il était très généreux. Mais oui avec l argent des autres c est facile. Il mérite la prison à vie. Escroc!!!!

Voilà qui sont les seigneurs de notre époque : les dirigeants des grandes entreprises

C'est le défilé des oligarques qui ont financé la campagne de Macron 😊

 

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