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projet pour la france
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25 avril 2021

Joe Biden a reconnu samedi le génocide arménien, devenant le premier président des Etats-Unis à qualifier ainsi la mort d'un mil

Joe Biden a reconnu samedi le génocide arménien, devenant le premier président des Etats-Unis à qualifier ainsi la mort d'un million et demi d'Arméniens massacrés par l'Empire ottoman en 1915.

bonne nouvelle

il fait des trucs bien quand meme ce biden

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15 avril 2021

les maux de l afrique

quelques remarques:

1/c'est la qu on se rend compte que les vrais misereux d'afrique  restent dans leur pays et ne viennent pas en europe ( ceux qui viennent sont les profiteurs aidés par nos collabos de service)

2/l afrique doit se debarasser de ces dictateurs de ces religions  qui maintiennent les africains dans le sous developpement mais c est leur probleme pas le notre si on donne de l argent ca ira dans la poche des dictateurs

L'enfer des femmes et des enfants qui concassent des gravats au Tchad .A N'Djamena, avril 2021, des femmes concassent des blocs de béton à longueur de journée pour survivre en gagnant quelques dizaines de centimes par jour. Le regard vide d'Idjélé est comme figé en direction de l'horizon. Comme un robot, elle frappe avec un lourd marteau un petit morceau de béton qu'elle tient de l'autre main. Un miracle qu'elle ne se blesse pas. Ou le résultat d'une terrible routine...

Au cœur de N'Djamena, la capitale du Tchad, des dizaines de femmes concassent 12 heures par jour, par 45 degrés de chaleur, des blocs de béton, de ciment ou de briques. Elles sont entourées d'une nuée d'enfants dépenaillés et squelettiques, le long d'une route et sur un terrain vague sans ombre, au pied des bâtiments modernes de la Cité internationale des affaires. 

Comme Idjélé, 38 ans, elles en paraissent 20 ou 30 de plus. Le visage recouvert d'une poussière blanchâtre qui leur rougit les yeux, les lèvres bouffies et craquelées par la sécheresse extrême, les doigts déformés et écorchés par le sable qu'elles raclent et tamisent pour récupérer le moindre caillou.

 

A N'Djamena, la capitale tchadienne, le 12 avril 2021, des femmes concassent à longueur de journée des blocs de béton

 

A N'Djamena des femmes concassent des blocs de béton et ciment pour gagner quelques centimes d'euros pour jour.

Elles sont au cœur d'une sorte de cercle vertueux, s'il n'était pas tragique, de l'économie souterraine de ce Tchad classé par l'ONU troisième pays le moins développé au monde: des hommes achètent des gravats sur les chantiers de démolition et les revendent à ces femmes. Elles les concassent pour en revendre les morceaux à ceux qui n'ont pas les moyens de se payer du ciment pur ou du béton armé; ces briquaillons sont ensuite amalgamés, pour les solidifier, à un peu de boue ou de ciment pour les murs d'une nouvelle demeure.

- Malnutrition -

Idjélé concasse comme une machine. Sa tante de 80 ans derrière elle a cessé depuis qu'elle est devenue aveugle et lui tient compagnie en lui servant le thé.

"J'ai six enfants de 2 à 13 ans et je fais ça depuis que mon mari est mort", il y a trois ans, souffle-t-elle en soulevant sa lourde massette. Ses plus grands enfants travaillent avec elle. 

"Après la mort de mon mari, militaire, je n'ai pas pu toucher sa retraite, je n'avais plus rien, alors c'est tout ce que j'ai trouvé pour nourrir mes enfants", lâche-t-elle. Un tout petit, fesses et pieds nus, passe sur les gravats, le visage blanchi par les poussières de plâtre et de ciment.

 

Mamadou Youssouf, 42 ans, pousse péniblement sa brouette faite de bric et de broc chargée d'une centaine de kg de gravats. Il les achète 1000 francs CFA (1,50 euros) la brouette et la revend aux femmes 2.000 (3 euros). Idjélé remplit des sacs de cailloux qu'elle cède entre 500 et 600 francs le sac (70 à 90 centimes d'euros) à des hommes qui viennent les charger sur leurs pick-ups. Pour un bénéfice quotidien de 500 à 600 francs seulement : moins d'un euro.

Mamadou déverse le contenu de sa brouette dans un nuage blanc, déclenchant l'hilarité des petits qui jouent, insouciants, autour des mamans. La plupart sont malingres et difficile de dire si la rousseur des cheveux est due à la poussière de briques ou à la décoloration symptomatique de la malnutrition infantile.

"Un enfant sur cinq n'atteint pas sa 5e année au Tchad et 40% souffrent d'un retard de croissance", selon la Banque mondiale qui estime à 42% la part de la population vivant sous le seuil de pauvreté.

Habiba croit se souvenir qu'elle a "entre 50 et 60 ans". Ses yeux sont rouges et larmoyants. Il suffit de taper "poussière de ciment" sur internet pour comprendre pourquoi les ouvriers des chantiers en Europe portent obligatoirement masques FFP2 et gants, quand ces femmes se couvrent à peine le nez avec leur châle: l'inhalation de ces "particules fines" provoque "irritation oculaire", "rhinite", "atteintes pulmonaires" voire "cancer".

"Je fais ça depuis huit ans, j'étais femme de ménage avant mais quand j'ai pris de l'âge je ne pouvais plus travailler aussi bien, alors les patronnes m'engueulaient et me maltraitaient, me congédiaient, je ne pouvais plus nourrir mes sept enfants", se souvient-elle. "Aujourd'hui, je travaille 12 heures par jour mais pour moi, plus personne ne me dispute et je peux nourrir et envoyer mes enfants à l'école publique. Je suis libre", dit-elle en affichant un large sourire.

"Libres"

Elles revendiquent toute fièrement cette "liberté". Personne ne vient leur réclamer quoi que ce soit, mais personne non plus ne leur vient en aide. Aucune ONG, aucune association.

C'est cette "liberté" qui les unit, assure Haoua Mahamat, quels que soient leur clan, leur ethnie, leur religion dans ce vaste pays où ces innombrables communautés se font parfois la guerre.

Cette liberté et "le veuvage", ajoute Haoua, 30 ans, qui casse des gravats depuis 10 ans. Elles ont quasiment toutes perdu leur époux, et les revenus du ménage donc. "Moi, il était polygame et, quand j'ai vieilli, il est parti avec les deux plus jeunes", souffle tristement Mariam, 40 ans.


"On ne mange pas à notre faim", lâche cette femme cadavérique à propos de ses congénères, mais qui s'enorgueillit de réussir à nourrir les six enfants que son époux a abandonnés avec elle. Et d'être "libre".

"Libres ?", s'étrangle Thérèse Mékombé, présidente de l'Association des Femmes Juristes du Tchad, déplorant que ni l'Etat, ni l'ONU ni aucune ONG ne s'intéresse à leur sort.

"C'est pire que l'Enfer pour elles, cette liberté c'est une illusion, la satisfaction d'une mère de pouvoir nourrir ses enfants, mais au prix de quelles souffrances ?", dénonce-t-elle. 

30 mars 2021

les américains ne bougeront pas le petit doigt pour taiwan

arretons de croire qu ils feront quelque chose pour taiwan quand les chinois decideront de s'en emparer

ils leveront pas le petit doigt et ca ne serait pas la 1er fois qu ils laisseront tomber leur allié ( vietnam,afghanistant,...............)

je dirais meme plus ils se servent de   taiwan comme  pot de miel pour les chinois

A mon avis les ultrariches taiwanais ont du deja rapatrié leur pognon aux usa

quand aux autre ils seront les cocus de l'histoire

https://www.lefigaro.fr/international/taiwan-cristallise-les-crispations-entre-pekin-et-washington-20210328

4 mars 2021

islam=nazisme

et pendant ce temps la les faces de collabos de notre gouvernement de minables font retrer toutes ces merdes en France

 

En Afghanistan, les talibans s'en prennent aux ONG venant en aide aux femmes

Une femme en burqa assise derrière un homme en moto dans le district d'Arghandab, dans le sud de l'Afghanistan, le 22 février 2021 ( AFP / JAVED TANVEER )

A Doha, où ils négocient avec le gouvernement afghan un accord de paix, les talibans se disent prêts à garantir les droits des femmes. Mais en Afghanistan, les ONG constatent au contraire ces derniers mois qu'ils ont durci leur position.

Les insurgés ont rendu l'accès aux territoires qu'ils contrôlent plus difficile, ordonné la fermeture de programmes promouvant l'autonomie des femmes et interdit par endroits aux ONG d'employer du personnel féminin, ont indiqué plusieurs de ces organisations.

Les talibans "donnent l'impression d'avoir changé et c'est un exemple vraiment concret que ce n'est pas le cas", déplore un responsable afghan d'une grande organisation internationale.

L'AFP a parlé à des représentants d'une dizaine d'ONG, qui ont tous requis l'anonymat par peur de représailles.

Tous décrivent une détérioration de la situation, depuis la signature à Doha en février 2020 de l'accord entre Washington et les talibans sur le retrait total des forces américaines d'ici mai, et plus encore ces derniers mois.

Les talibans espèrent revenir au pouvoir et instaurer un régime fondé sur la loi islamique, encadrant les droits des femmes.

"L'Islam a offert aux femmes tous les droits basiques comme l'éducation, le travail, la possession, le commerce", assurait en décembre devant un centre de recherche qatari le mollah Abdul Ghani Baradar, leur co-fondateur.

Mais la communauté internationale se rappelle que quand ils étaient au pouvoir, entre 1996 et 2001, les femmes ne pouvaient ni travailler, ni étudier, et celles accusées d'adultère étaient lapidées.

 

Des femmes apprennent à créer des sites internet dans les locaux d'une ONG à Hérat, dans l'ouest de l'Afghanistan, le 23 février 2021 ( AFP / HOSHANG HASHIMI )

Elle a donc fait du respect des droits des femmes un élément clé des négociations inter-afghanes, qui ont débuté en septembre au Qatar mais sont aujourd'hui au point mort.

Une lettre, datant de novembre, de la commission talibane dédiée aux organisations humanitaires, dont l'AFP a obtenu copie, tend à montrer que les talibans manient le double langage. "Les ONG qui sortent les femmes de leur maison au nom de l'indépendance économique, de l'éducation ou du sport (...) ne sont en aucun cas acceptables", y est-il écrit.

- "Comme une gifle" -

Ce ton a déstabilisé les ONG, qui avaient graduellement trouvé un modus vivendi avec les talibans leur permettant d'aider dans certains endroits les femmes, parfois même avec des projets éducatifs.

"C'est comme une gifle de lire ça", réagit une employée d'une organisation étrangère venant en aide aux communautés isolées.

 

Des femmes portant la burqa dans une rue du district d'Arghandab, dans le sud de l'Afghanistan, le 22 février 2021 ( AFP / JAVED TANVEER )

Si la pression contre ce type d'activités n'a "rien de nouveau", observe un haut responsable humanitaire, le changement tient au fait que cela devient "bien plus officiel et répandu".

Dans cette lettre, la commission se dit prête à "prendre les mesures nécessaires" à l'encontre des ONG qui contreviendraient à ses consignes.

Le message a été bien reçu et plusieurs travailleurs humanitaires ont déclaré avoir été contraints d'abandonner des programmes dans certaines zones.

"Quand tu reçois une lettre des talibans, ce ne sont pas des rigolos du tout, il faut l'appliquer", assure un haut responsable d'une autre organisation étrangère.

Parallèlement, les talibans ont bloqué l'accès de certaines zones au personnel féminin des ONG. Selon deux organisations, les insurgés ont dit avoir reçu ces ordres de leur bureau politique au Qatar.

"Nous avons tout fait pour les convaincre, mais ils ont dit non", précise un responsable humanitaire œuvrant dans le nord du pays.

Sans personnel féminin, les ONG ne peuvent plus travailler avec les femmes, car les talibans refusent qu'elles soient vues par des hommes n'étant pas membres de leur famille.

Une employée d'une autre organisation internationale regrette ainsi de n'avoir pu "atteindre que les hommes" dans des zones talibanes au nord.

- "Des mots sensibles" -

Son ONG a dû se résoudre, pour un nouveau projet, à ne pas recruter de femmes, car "il n'y a aucun intérêt à engager quelqu'un pour rester assis au bureau".

Si l'accès des humanitaires aux femmes n'a jamais officiellement été autorisé par les talibans, il se discutait jusqu'ici à l'échelon local entre les communautés et les chefs insurgés du coin.

 

Les membres d'une ONG venant en aide aux femmes discutent d'un nouveau projet à Hérat, dans l'ouest de l'Afghanistan, le 23 février 2021 ( AFP / HOSHANG HASHIMI )

Dans les zones où les talibans sont plus flexibles, les employées afghanes des ONG doivent porter la burqa et être accompagnées d'un "mahram", un chaperon masculin de leur famille.

Pour elles, la pression est constante. "Nous n'utilisons pas les termes +droits humains+ ou +droits des femmes+, car ce sont des mots sensibles", raconte une jeune femme qui se dit terrifiée à chaque fois qu'elle se rend en territoire taliban.

"Je peux voir (la peur) sur le visage de toutes mes collègues", ajoute une autre salariée afghane d'une organisation internationale.

D'autres projets humanitaires ont récemment dû être annulés, les talibans ayant multiplié les tracasseries administratives.

Comme plusieurs humanitaires, Andrew Watkins, analyste à l'International Crisis Group, établit un lien avec le processus de paix. Leur "légitimité" en ayant été renforcée, les talibans tentent "de se présenter comme une entité gouvernante".

Cette attitude ne préjuge toutefois pas de leur politique future, pense Rahmatullah Amiri, un expert indépendant afghan, pour qui ils devraient se montrer plus permissifs que par le passé s'ils reviennent au pouvoir.

Ils "autoriseront les femmes à aller à l'université et étudier (...) mais sous certaines conditions", comme l'absence de classes mixtes et le port obligatoire du hijab, prévoit-il.

Ils seraient aussi prêts à les laisser tenir des emplois de médecins, sages-femmes, infirmières, commerçantes ou fonctionnaires, pour peu qu'ils soient non-mixtes. Mais tout cela, dit-il, ne sera décidé qu'après la guerre.

16 novembre 2020

Qui est réellement Joe Biden ?

un vieux grabataire quoi on remplace un milliardaire sénile par un autre milliardaire sénile lol les usa ne sont pas une démocratie

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15 novembre 2020

la fumisterie des prix nobel de la paix

22 octobre 2020

Russie: Snowden obtient un permis de séjour permanent

une bonne nouvelle

et nos collabos politicards refusent l asile a snowden et font rentrer tchetchenes islamistes en France!!!!!!!

Source: Externe

RUSSIE: SNOWDEN OBTIENT UN PERMIS DE SÉJOUR PERMANENT RUSSIE: SNOWDEN OBTIENT UN PERMIS DE SÉJOUR PERMANENT MOSCOU (Reuters) - Les autorités russes ont accordé au lanceur d'alerte américain Edward Snowden un permis de séjour permanent, a annoncé jeudi son avocat, ce qui pourrait lui ouvrir la voie de la naturalisation. "Son permis de séjour expirait et nous avons demandé à le prolonger", a déclaré à Reuters Anatoli Koutcherena. "Nous avons remis les documents en avril et nous avons obtenu le permis de séjour permanent" ce jeudi, a-t-il poursuivi, ajoutant que son client n'avait pas l'intention pour le moment de demander un passeport russe. Edward Snowden, qui est âgé de 37 ans, a fui les Etats-Unis et a obtenu l'asile en Russie après avoir divulgué en 2013 des dossiers secrets qui ont révélé de vastes opérations de surveillance nationales et internationales menées par la NSA. Il a été inculpé d'espionnage et de vol de documents officiels. Donald Trump a déclaré en août qu'il envisageait de le gracier.

7 octobre 2020

Haut-Karabakh : le discret soutien d'Israël à l'Azerbaïdjan

30 juillet 2020

Black Lives Matter : Rudy Giuliani, l’ancien maire de New York, charge violemment le mouvement

Black Lives Matter : Rudy Giuliani, l’ancien maire de New York, charge violemment le mouvement

deja dit ce que j en pensais

l amérique n est plus une démocratie mais une richocratie

c est un pays avec d'enormes inegalités sociale

maintenant le communautarisme c est juste la continuité  de ce modele bref c'est no futur d ailleur je suis pour faire voter des lois anticommunautaristes et dissoudre les corpuscule type le cran ; sos arabe le truc juif les trucs mulsulmeuhhhh

et sinon les troudeballs qui osent comparer la situation aux usa avec la france sont juste des merdes au qi de moule hydrocéphale

30 mai 2020

lol emeutailles aux usa

hihi xi jinping doit etre tout content au moins trump se melera plus de hong kong mouarffff

les societes multiculturelles sont no futur de toute facons

aux derniere nouvelles le gugusse etait un camé

en France la police l aurait chopé la jugeottine l aurait remis en liberté  et avec l argent de la caf il continuait a se camé la tronche

aux usa il y a le probleme des armes a faux que n importe quel cassos peut avoir ce qui oblige les flics à etre moins tendre.

 

Des actes et non des mots: les patrons américains face aux tensions raciales

j adore tim la bite enfin tim cock le patron d'apple qui dit que les noireaux sont exploités au usa alors que sa boite de merde fait bosser les petits enfants chinois et congolais

les con ca osent tout

Trump menace de déployer l'armée si les violences continuent

il est bien se trumpinou c'est ca qu il nous faudrait en France

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