deja pour moi
1/la constitution n est pas gravée dans le marbre elle doit evoluer et etre modifiable tous les 7 ans
2/le conseil constitutionel n'a plus de raison d'etre il sera suprimer
3/la france aux francais ce qui veut dire qu il n y aura plus d'argent du contribuable francais qui ira aux institutions internationales:onu,ue..............ni a l' etranger aide dilapider a letranger ( palestine afrique maroc algerie.................)
4/allocation familliale reduite à deux enfants pour immigrés
La présidente du Front national Marine Le Pen reste attachée au projet phare de son parti, la "préférence nationale", qu'elle espère banaliser pour 2012 sans modifier son contenu, qui va à l'encontre du principe constitutionnel d'égalité.
Le premier signe de ce travail est lexical: désormais, les termes de "priorité nationale", voire de "priorité citoyenne", sont couramment utilisés par des leaders frontistes dans les médias.
Selon Marine Le Pen, c'est parce que le terme de "préférence nationale a été dévoyé par ceux qui font croire qu'il s'agit d'une préférence raciale, ethnique ou religieuse".
"C'est la nationalité française qui donne une priorité d'accès à l'emploi, aux logements sociaux" et aux aides sociales comme les allocations familiales, explique-t-elle, une manière moins abrupte de reprendre le slogan historique du FN, "les Français d'abord", qui a alimenté les accusations de xénophobie à l'encontre du mouvement.
Le spécialiste de l'extrême droite Jean-Yves Camus voit dans ce travail un "retour à la stratégie mégrétiste des années 1990 qui consistait à miser sur une victoire dans la bataille des mots avant la victoire politique".
Malgré ces efforts, les constitutionnalistes interrogés par l'AFP estiment que c'est bien l'instauration d'un traitement discriminatoire entre nationaux et étrangers qui pose problème.
Outre les textes, comme la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789, la Constitution de 1958 ou son préambule de 1946, "la jurisprudence du Conseil constitutionnel est assez claire: les étrangers en situation légale doivent être traités absolument comme des nationaux du point de vue des droits sociaux", explique Didier Maus, professeur de droit constitutionnel à l'université d'Aix-Marseille III.
"Ce serait une rupture du principe d'égalité devant les charges publiques", ajoute Guy Carcassonne, professeur de droit public à Paris-X, qui rappelle que "les étrangers cotisent comme les Français".
En 1998, la maire FN de Vitrolles Catherine Mégret avait tenté de mettre en place une allocation de naissance de 5.000 francs, réservée aux parents français ou de l'Union européenne.
Trois mois plus tard, l'allocation était jugée illégale par le tribunal administratif de Marseille. En 2000, l'épouse de Bruno Mégret était aussi condamnée au pénal, peine confirmée en appel puis en cassation.
Selon Marine Le Pen, l'obstacle serait levé en "inscrivant la préférence nationale dans la Constitution", dont l'article 1er proclame que la France "assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion".
Mais ce principe va aussi à l'encontre de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne (article 21).
"La France demandera la refonte de tous les traités européens" si le FN est au pouvoir, répond son vice-président Louis Aliot, qui ajoute que "les ressortissants des Etats qui auront notre vision de l'Europe pourront éventuellement bénéficier d'un certain nombre de droits".
Selon Jean-Yves Camus, si le terme de "préférence nationale" reste un tabou, "l'on entend de plus en plus de voix en dehors du FN qui tiennent un langage convergent".
Lors de sa convention sur l'immigration en juillet dernier, l'UMP avait proposé "de conditionner les prestations sociales au respect des obligations scolaires ou de celles des contrats d'accueil et d'intégration" et de "renforcer les sanctions existantes en cas de non-respect".
en tous cas elle va dans le bon sens contrairement aux liberaux de l umps qui nous ruinent chaque jour d'avantage et nous font aller droit dans le mur.