face-a-la-crise-du-coronavirus-dix-neuf-presidents-de-departements-ps-reclame le revenu universel
pour rappl je suis pour le revenu universel
pour rappl je suis pour le revenu universel
ben ils sont pas gouverné par un petit con ridicule et minuscule et une bande de bon à rien
en france on a des politicards en dessous de tout
bon ok on peut pas comparer épidémis en ces temps la ( aucune hygiene pour les pauvres entassés dans lieux sordides medecine inexistante)
lol ils ont fait massacrer les chiens et chats qui tuaient les rats porteurs de la peste à croire que londre etait gouverné par un ancetre ne notre minuscule mini microscopique micron le tout petit et ses bon à riens
macron,puites ne marche ,belloubete ,prisons,racailles,racailles du haut,agressions,systeme judiciaire ubuesque,justice laxiste,multirecidiviste
les racailles du haut s'entendent tres bien avec les racailles du bas
ecouter a 3 minutes c est totalement ubuesque ce que fait le gouvernement de la merde micron et de ses putes en marche
bef un gouvernement de merdes et d'incomptents absolus
vivement la destitution du minuscule mini microscopique microns et de sa bande de bon à rien
la macronie et ses putes en marche c'est de la merde à l etat pure
moi ce qui me fait marré chez les putes suceuses des labos microniennes c est qu ils osent parler effet secondaire d'un médicament qui a ete donné a des millions de personnes les cons microniens ca osent tout
Alors que des citoyens se font verbaliser pour avoir porté une assistance vitale à des animaux, des chasseurs bénéficient de dérogations injustifiables scientifiquement pour nourrir ou tuer des sangliers, détruire des oiseaux ou d’autres espèces jugées indésirables. Nous demandons l’arrêt immédiat de cette justice à deux vitesses.
Les mesures de confinement et de limitation des déplacements décidées le 17 mars et visant à freiner la propagation du virus doivent être respectées. Par tous. Même si elles exigent des efforts et des renoncements sans précédent.
L’interdiction de tout acte de chasse, collective ou individuelle, fait partie de ces mesures en vigueur et, en principe, elle s’étend à la destruction des ESOD (espèces susceptibles d’occasionner des dégâts, ex-nuisibles). Sur le terrain pourtant, dans les départements, nous constatons que la trêve n’est pas de mise partout.
Dans les Landes par exemple, si toute chasse collective est proscrite, la chasse individuelle par tir et par piégeage est possible, en particulier celle aux sangliers pour prévenir les dégâts aux cultures. L’arrêté préfectoral (AP n°2020/429 du 20.03.20) permet aux agriculteurs et aux chasseurs landais de déroger, la fédération départementale de chasse précisant même les gestes barrières à respecter lors du dépeçage d’un animal à deux ! Ailleurs, dans le Jura par exemple, c’est la chasse collective aux corvidés qui est prévue par arrêté préfectoral (AP n°39-2020-03-20-001), une chasse d’autant plus abjecte et cruelle que les oiseaux sont en pleine période de reproduction : les adultes tués ne retournant pas au nid, les petits agoniseront lentement et sûrement.
D’un département à l’autre, les modalités d’instruction de la demande et les pratiques susceptibles d’être autorisées ou interdites varient. Ici, jusqu’à 100m des cultures, le tir peut être admis sous réserve d’être seul sur le site ; ailleurs encore, le déplacement doit s’effectuer seul, sans précision de l’obligation ou non d’être seul sur le site. Dans la Somme, on peut obtenir l’autorisation de nourrir les appelants de chasse, alors que ces oiseaux enfermés devraient simplement être libérés ; en Côte d’Or, celle d’agrainer... et donc d’entretenir des sangliers pourtant accusés d’être les plus gros destructeurs de cultures !
Ici et là, invoquer un risque sanitaire ou des dégâts particuliers aux cultures permet donc de déroger à l’interdiction nationale de la chasse. Les déplacements dérogatoires, quand ils ne sont pas professionnels mais individuels, entrent dans la case « participation à des missions d’intérêt général sur demande de l’autorité administrative ». Cette option, apparue lors de la dernière actualisation de la feuille des déplacements dérogatoires, apporte la souplesse nécessaire à la planification d’opérations de destruction.
Sauf mobilisation massive, la mort va continuer à être donnée et, ce, d’autant plus tranquillement que dans les médias et sur les réseaux sociaux, beaucoup se sont réjouis de la trêve imprévue pour la vie sauvage que promettait l’interdiction de la chasse. C’était sans compter sur les opérations de « nettoyage » ... et la puissance du lobby des chasseurs, qui se croit au-dessus de tout.
En tout état de cause, nos associations considèrent que la destruction d’animaux sauvages ne revêt aucun caractère de nécessité, ni d’urgence, et que le risque sanitaire ne saurait être invoqué pour justifier de telles opérations. Au contraire, nous soulignons que les opérations de destruction sont susceptibles de contribuer à la propagation du coronavirus lequel représente un risque sanitaire majeur et avéré, justifiant que nous demandions l’interdiction totale de la chasse et des opérations de destruction, sans dérogation possible.