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projet pour la france

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Derniers commentaires
5 février 2020

Lettre ouverte à MM. Blanquer et Villani - Réforme première spécialité mathématiques

plusieur choses

deja la débacle du mamouth à commencé bien avant micron et blanquer ( dans les années 1980)

les pedagogos qui officient au ministere et rectorat et iufm ( espe)  et qui sont pour la pluspart de gauche ou d'extreme gauche  ont enleve le sens de l effort les notes la selection ( le 80% au niveau bac etait une hérésie) resultat le mamouth forme des cancres et les profs sont devenus gentils animateurs assistante social flic bref tout sauf enseignant

la on se dirige vers une systeme comme aux usa   un enseignement de haut niveau excellent avec sélection

des individus avec aucune formation  qui savent a peine lire et ecrire et compter qu on envoit dans uen grosse garderie nationale

et entre les deux plus rien

la destruction des classes moyennes

pour s'n sortir il faut revenir a un enseignement sélectif avec le sens de l effort et du travail de la sélection inculque aux eleves

bref revenir aux années 1950

et virer tous les pedagogos nusibles des ministeres des rectorats et iufm (espe)

2eme chose 80% des gants gnants ont du voter micron à cause des zureslespluszombres donc bienfait pour leur gueule ils n'ont qu alire les programmes ces abrutis.

 Suicide de Christine Renon : des professeurs sanctionnés pour lui avoir rendu hommage


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4 février 2020

pétitions contre les chiens méchants type pittbulls et autres

normalement il existe une loi qui dit que ces cheins doivent etre castrés et tenus en laisse avec museliere et malheureusement cette loi n'est pas appliquée

que le ministre de l'interieure et les prefets fasse appliquer cette loi et que ce type de chien disparaisent à jamais  du paysage français

https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-irresponsabilite-maitres

4 février 2020

30€ par mois pour 6 jours sur 7 de travail!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ethiopie: les ouvriers en colère menacent la révolution industrielle >AFP04/02/2020 à 08:43

Des employées d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, le 1er octobre 2019 dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Des employées d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, le 1er octobre 2019 dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Zemen Zerihun pensait avoir gagné un ticket pour une vie meilleure quand, arrivant de sa ferme natale, il a décroché un emploi d'ouvrier du textile dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie.

Mais au bout de quelques mois, le jeune homme de 22 ans a claqué la porte, las de travailler dans des conditions stressantes pour assurer la productivité, huit heures par jour, six jours par semaine, sans pouvoir vivre décemment avec un salaire de 31 euros par mois.

Là-bas, "les superviseurs vous traitent comme des animaux", explique-t-il. "Trop lent", "Paresseux", lui hurlaient-ils si la cadence de la chaine de production ralentissait. Ils étaient si stricts qu'ils suivaient les ouvriers aux toilettes pour s'assurer qu'ils ne perdent pas plus de temps que nécessaire. "J'ai souffert", dit-il à l'AFP.

 

Cet exemple illustre un des principaux défis auxquels doivent faire face les autorités éthiopiennes qui veulent industrialiser le pays pour le rendre moins dépendant de l'agriculture.

L'idée est de suivre le modèle de la Chine et d'autres nations asiatiques en attirant des investissements étrangers grâce à une main d'oeuvre bon marché, en bâtissant un robuste secteur manufacturier à même de fournir des emplois aux jeunes.

De fait, l'activité industrielle dans les douze parcs existants a créé des dizaines de milliers d'emplois.

 

Zemen Zerihun lors d'une interview avec l'AFP, le 2 octobre 2019 à Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Zemen Zerihun lors d'une interview avec l'AFP, le 2 octobre 2019 à Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Zemen Zerihun lors d'une interview avec l'AFP, le 2 octobre 2019 à Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Mais en dépit d'un taux de chômage élevé, les jeunes refusent de travailler pour un salaire de misère dans des conditions déplorables: des milliers d'entre eux ont préféré démissionner.

A Hawassa, le taux de renouvellement du personnel avoisinait les 100% en 2017-2018, selon un rapport du Stern Center for Business and Human Rights de l'université de New York, publié en mai 2019.

- Industrialisation à tout prix -

Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Les coûts additionnels liés au recrutement et à la formation des nouveaux employés se sont "révélés considérablement plus élevés que ce que le gouvernement avait initialement évoqué", poursuit le rapport.

Le Premier ministre Abiy Ahmed considère ces parcs industriels comme un moteur de croissance qui pourrait permettre d'éviter les troubles avant les élections prévues en août 2020.

Dès 2014 - quatre ans avant son arrivée au pouvoir - le gouvernement a réalisé que le secteur agricole, principal pourvoyeur d'emplois du pays, ne pourrait pas produire assez de postes pour une population en augmentation constante, analyse Arkebe Oqubay, un des architectes de la stratégie.

Selon la Banque mondiale, deux millions de nouvelles personnes entrent chaque année sur le marché du travail en Ethiopie, qui connaît une des croissances économiques les plus rapides du continent.

Mais malgré les efforts, la manufacture ne représente toujours que 10% environ des activités économiques du pays.

 

Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

 

Une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Le projet phare du parc Hawassa, un site rassemblant 52 usines textiles américaines, européennes et asiatiques, a ouvert en 2017. Environ 30.000 travailleurs y cousent nuit et jour des t-shirts, des vêtements de sport.

Vingt-neuf autres parcs industriels doivent voir le jour à travers le pays d'ici la fin de l'année, dans des secteurs comme la production de machines ou les technologies de l'information et de la communication, note M. Arkebe.

Cette politique a déjà porté ses fruits: les investissements étrangers directs ont atteint 4,3 milliards de dollars (3,9 milliards d'euros) en 2017, quatre fois plus que cinq ans auparavant.

- Les plus mal payés au monde -

Mais les bas salaires restent sous le feu des projecteurs.

Les travailleurs d'Hawassa sont les ouvriers du textile les plus mal payés au monde, avec un salaire de base de 23,4 euros, selon le Stern Center.

 

Une employée d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, montre la chambre qu'elle partage avec quatre collègues, le 2 octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Une employée d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, montre la chambre qu'elle partage avec quatre collègues, le 2 octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Gagner si peu n'est pas rare dans un pays qui n'a pas instauré de salaire minimum. Mais les ouvriers expliquent qu'ils peuvent à peine se payer de quoi acheter à manger, prendre les transports et régler leur loyer. Même en partageant de minuscules appartements où ils dorment à tour de rôle en fonction de leurs horaires.

Huit mois après avoir démissionné, Zemen Zerihun n'a toujours pas d'emploi mais il n'a aucun regret. Il préfère retourner cultiver la terre sur la ferme familiale plutôt que peiner à l'usine qui au départ représentait pour lui l'espoir d'une ascension sociale.

Même chose pour Medihant Fehene, qui a elle aussi quitté son travail à Hawassa.

"Je devais me lever pour prendre le bus à 05H30 du matin pour commencer le travail à 06H00, ou alors si j'avais un horaire d'après-midi, je ne rentrais pas avant 23H30, lorsqu'il fait nuit et que ce n'est plus sûr pour une femme d'être à l'extérieur", raconte-t-elle.

 

Un employé d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Un employé d'une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Passer de l'agriculture à la manufacture est compliqué pour ces travailleurs, relève Tony Kao, un responsable de JP Textile.

"Cela a pris du temps simplement pour qu'ils apprennent le travail industriel", dit-il. "Maintenant, ils doivent arriver à l'heure, apprendre de nouvelles compétences, comment manier des machines. C'est un nouveau chapitre de leur vie".

Le gouvernement a tenté de répondre aux frustrations des employés, en donnant par exemple des terres aux entreprises pour construire des dortoirs à loyers subventionnés, souligne M. Arkebe.

Mais ce fonctionnaire, maintenant conseiller spécial du Premier ministre, défend les bas salaires, qui encouragent selon lui les investissements en Ethiopie plutôt que dans des pays où le secteur manufacturier est plus établi.

- Organiser les ouvriers -

 

Une jeune femme s'entraîne à enfiler des aiguilles avant un test pour un emploi dans une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

Une jeune femme s'entraîne à enfiler des aiguilles avant un test pour un emploi dans une usine de confection dans le parc industriel de Hawassa, dans le sud de l'Ethiopie, le 1er octobre 2019 ( AFP / Eyerusalem JIREGNA )

"Si les salaires sont élevés et que les investissements n'arrivent pas, il n'y aura pas de créations d'emplois", argue-t-il. "Les moyens de subsistance des travailleurs peuvent s'améliorer avec leur productivité", affirme M. Arkebe, en évoquant le processus d'industrialisation en Angleterre et aux États-Unis.

Les patrons du secteur textile y trouvent leur compte. "L'Ethiopie est l'avenir du vêtement. Tout le monde regarde par ici maintenant", s'enthousiasme ainsi Raghavendra Pattar, directeur de la Nasa Garment Plc à Hawassa.

A Hawassa, personne ne représente vraiment les ouvriers - à part des conseils de travailleurs considérés comme un outil de contrôle des patrons sur les employés.

Mais la Confédération des syndicats éthiopiens prévoit de commencer à les organiser au début de cette année, selon son vice-président Ayalew Ahmed. "Si les employeurs acceptent des syndicats dans l'entreprise, ce sera bien. Sinon, on les établira en dehors".

Le gouvernement soutient le droit des travailleurs à s'organiser tant que ce processus ne cause pas trop de perturbations, prévient le ministre des Finances Eyob Tekalign Tolina.

En attendant, à Hawassa, le turn-over se poursuit.

Un récent matin, l'AFP a vu des dizaines de candidats faire la queue pour passer des tests d'enfilage d'aiguilles ou de pose de clous.

Dans le parc industriel, Tekle Baraso Bonsa, 22 ans, interrompt un instant son travail consistant à teinter des fils de laine pour expliquer qu'il économise afin d'étudier à l'université et que les quelque 30 euros qu'il gagne à l'usine sont sa meilleure option.

"Si je ne faisais pas ça, je serais en train de cirer des chaussures".

3 février 2020

Et si on laissait nos forêts tranquilles ?

c'est vrai que la nature se débrouille tres bien sans les hommes

et les animaux aussi regarder tchernobyle et les atolls où ont eu lieu les essais atomiques : la faune est florisante

bref pas besoin d etre lecteur du monde ou sortir de st cyr pour s'en rendre compte

2 février 2020

Grande soirée du Brexit à Paris

perso ras le bol des technocrates de bruxelles qui nous imposent plein de conneries

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2 février 2020

2 Attaque "terroriste" à Londres, deux blessés, l'assaillant abattu

le coté positif c est que maintenant on les flinguplus d'avocaillon à payer plus de jugeottes a payer plus à les nourrir en taule  pas les gémissement  de la cedh qui veut des priusons club med alors que nous on vit dans la misere

(Actualisé avec bilan, précisions, témoin, Johnson)
    LONDRES, 2 février (Reuters) - Un homme armé d'un couteau a
blessé deux personnes avant d'être abattu par des policiers
dimanche dans le sud de Londres, au cours d'une attaque
qualifiée de "terroriste" par la police britannique.
    Selon des sources proches des services de sécurité citées
par la chaîne Sky News, la piste d'une "attaque liée à
l'islamisme" est privilégiée.
    "Un homme a été abattu par des officiers armés à Streatham
(sud de Londres). A ce stade, il apparaît qu'un certain nombre
de personnes ont été poignardées. Les circonstances sont en
cours d'évaluation, l'incident est déclaré en lien avec le
terrorisme", a écrit la police sur Twitter.
    La police, qui a demandé aux habitants d'éviter la zone, sur
la rive Sud de la Tamise, a par la suite précisé que deux
personnes avaient été blessées à l'arme blanche.
    Sur des vidéos circulant sur les réseaux sociaux, que
Reuters n'a pu authentifier, on voit un homme à terre dans
Streatham High Road, une rue commerçante, et plusieurs policiers
pointer leur arme dans sa direction.
    Un témoin, Karker Tahir, qui travaillait à proximité, a
déclaré à Sky News que les policiers avaient tiré à trois
reprises sur l'assaillant.
    La police a demandé aux personnes se trouvant à proximité de
s'éloigner car elle soupçonnait le suspect d'avoir une bombe
dans son sac, a-t-il ajouté.
    Le Premier ministre britannique Boris Johnson a remercié sur
Twitter "tous les services d'urgence pour leur réponse à
l'incident à Streatham, dont la police a déclaré qu'il était lié
au terrorisme". 
    La dernière attaque "terroriste" au Royaume-Uni remonte au
30 novembre dernier. Un homme avait tué deux personnes et en
avait blessé trois autres à l'arme blanche sur le London Bridge,
dans le centre de Londres, avant d'être abattu par la police. Le
London Bridge avait déjà été le théâtre d'un attentat djihadiste
en juin 2017.   
29 janvier 2020

lol grippe chinoise

Source: Externe

29 janvier 2020

Le prince Charles parcourt 25 000 km en jet privé avant de poser avec... Greta Thunberg

29 janvier 2020

mensonges mensonges

tous les pays du monde seront obligés de rentrer en décroissance en population sinon guerres maladie famines

le pretendu besoin en immmigration est le plus grand mensonge du 21 eme siecle véhicules par les putes du medef et les ultrariches

je propose de nationaliséer tous les biens des riches qui sont pour l immigration et de les envoyer vivre en banlieu immigrés

zero immigration et décroissance sont le seul avenir valable pour la France l Europe et le monde

L'Europe face à la bombe retardement du vieillissement démographique?????


29 janvier 2020

quelle démocratie?????????????

Une députée LREM raconte une agression, Philippe en appelle à la "défense de la démocratie"!!!!


mais vous n etes pas la démocratie messieurs et dindes des putes en marche

micron le suce boule des richards  vends la France aux milliardaires  et apres meme si il n est pas réelus ils lui trouveront un placard dorée donc il s'en tape d'etre réelu ou pas  c est pas uen sanction pour se traitre.

la démocratie c est la proportionelle en un tour pas vos magouilles entre pourris

pour moi la violence est justifié les français doivent se defendre contre les pourris que vous etes

et rien de tel qu un bon guillotinage pour refroidir les ardeurs des prochains micron

mort au tyran macron et sa marie antoinette la vioque trogneux

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