Violences urbaines : "Rien ne restera impuni", promet Jean Castex🤣😂🤣
lol mort de rire
Rappelant que les effectifs nationaux des forces de sécurité devaient être augmentés de 10.000 sur le quinquennat, Jean Castex a annoncé que "dix policiers supplémentaires" seraient déployés à Beauvais, et a rappelé que le budget annuel de la justice avait été augmenté de 8%.
je me répete mais ca sert a rien de mette des flics si les jugeottes remettent racailles en liberté le lendemain
idem ca sert a rien de payer des jugeotes grattes papiers alors que la seul chose à faire c'est construire prisons low costs
bref du blabla as usual ca changera que quand ces bouffons se prendrons un bon coup de pompe au cul
de toute facons plus personne ne croient ces guignoles
tu parles d'un scoop de toute facons mini minusule micron n'a rien fait.
les constructeurs de voitures font toujours des voitures de plsu en plus lourdes et grosses
on bitume betonne de plus en plus
les gros pégouzes productivistes de la fnsea déversent toujours des tonnes de poisons dans les prés
on met de plus en plus des lampadaires ( 80% de l éclairage publique est inutile)
bref la france est gouverné par les lobbys industrielles qui détruisent l environnement grace à leur députards suce boule
par contre la seul chose qui augment c est la com sur l environnement la on a largement dépassé le niveau d'ultra saturation
La situation de la faune et de la flore sauvages s'est dégradée en 13 ans en France, avertissent mercredi l'Office français de la biodiversité, le Muséum national d'histoire naturelle et l'Union internationale de conservation de la nature, appelant à protéger les espèces mais aussi à diminuer les pressions anthropiques.
A l'occasion de la journée mondiale de la vie sauvage, l'OFB, le MNHN et l'UICN font le bilan de la Liste rouge des espèces menacées en France qui établit le "degré de menace pesant sur les espèces de la faune et de la flore" depuis 2008, selon un communiqué.
En 13 ans 13.842 espèces ont été évaluées, dont 17,6% sont menacées. Ce pourcentage augmente chez les oiseaux nicheurs (32%), les crustacés d'eau douce (28%) ou les amphibiens (23%). La situation est particulièrement inquiétante en Outre-mer.
Nombre d'espèces évaluées en France selon leur statut de conservation, selon l'UICN ( AFP / )
187 espèces ont complètement disparues. Pour plus de 2.100 autres, les données sont insuffisantes. L'objectif à terme est d'évaluer toutes les espèces.
D'autres espèces sont "quasi-menacées": "c'est une préoccupation importante à avoir, ce sont les menacées de demain mais ce sont des espèces sur lesquelles ont peut encore agir facilement", souligne Laurent Poncet du MNHN.
Certains groupes d'espèces - les reptiles, amphibiens, mammifères, oiseaux et poissons d'eau de métropole - ont été évalués deux fois depuis 2008. "Nous pensions qu'en huit ou neuf ans, on ne verrait pas beaucoup d'évolution. La surprise est qu'on assiste à une nette dégradation de la situation", explique Florian Kirchner, de l'UICN France, à l'AFP. "Pour les oiseaux nicheurs, on avait un quart d'espèces menacées en 2008, un tiers huit ans après", donne-t-il comme exemple.
Plus inquiétant encore, "nous parlons des espèces qui bénéficient le plus d'effort de conservation, les vertébrés, et pas des insectes ou des mollusques".
"Cela nous renvoie aux principales menaces en métropole: l'aménagement du territoire qui reste incontrôlé et l'intensification des pratiques agricoles", avec des zones uniformes et l'usage important de pesticides, explique le scientifique.
"Si nous avions plus de données, nous pensons que nous mettrions plus d'espèces dans ces catégories menacées", complète Laurent Poncet.
Il y a toutefois des "bonnes nouvelles" dans la protection des espèces comme dans le cas de la loutre, du bouquetin des Alpes ou du vautour moine ( AFP / SEBASTIEN BOZON )
"Les dégradations de la nature restent bien plus fortes que tous les efforts qu'on peut déployer", avertit Florian Kirchner. "Il faut vraiment changer de braquet", insiste-t-il.
Il voit pourtant "deux sources d'espoir: l'opinion est en train d'évoluer et il y a des "bonnes nouvelles" dans la protection des espèces comme dans le cas de la loutre, du bouquetin des Alpes ou du vautour moine.
"Nous pensions qu'en huit ou neuf ans, on ne verrait pas beaucoup d'évolution". Et pourtant, sur la décennie qui vient de s'écouler, la situation de la faune et de la flore sauvages s'est nettement dégradée en France, avertissent mercredi 3 mars l'OFB, le Muséum d'histoire naturelle et l'UICN, qui appellent à protéger les espèces mais aussi à diminuer les pressions anthropiques.
À l'occasion de la journée mondiale de la vie sauvage, l'Union internationale de conservation de la nature, l'Office français de la biodiversité et le MNHN font le bilan de la Liste rouge des espèces menacées en France, qui établit le "degré de menace pesant sur les espèces de la faune et de la flore" depuis 2008, selon un communiqué.
187 espèces ont disparu
En 13 ans 13.842 espèces ont été évaluées, dont 17,6% sont menacées. Ce pourcentage augmente chez les oiseaux nicheurs (32%), les crustacés d'eau douce (28%) ou les amphibiens (23%). La situation est particulièrement inquiétante en Outre-mer. 187 espèces ont complètement disparues. Pour plus de 2.100 autres, les données sont insuffisantes. L'objectif à terme est d'évaluer toutes les espèces.
D'autres espèces sont "quasi-menacées": "c'est une préoccupation importante à avoir, ce sont les menacées de demain mais ce sont des espèces sur lesquelles ont peut encore agir facilement", souligne Laurent Poncet du MNHN.
Certains groupes d'espèces - les reptiles, amphibiens, mammifères, oiseaux et poissons d'eau de métropole - ont été évalués deux fois depuis 2008. "Nous pensions qu'en huit ou neuf ans, on ne verrait pas beaucoup d'évolution. La surprise est qu'on assiste à une nette dégradation de la situation", explique Florian Kirchner, de l'UICN France, à l'AFP. "Pour les oiseaux nicheurs, on avait un quart d'espèces menacées en 2008, un tiers huit ans après" , donne-t-il comme exemple.
Des efforts insuffisants
Plus inquiétant encore, "nous parlons des espèces qui bénéficient le plus d'effort de conservation, les vertébrés, et pas des insectes ou des mollusques".
"Cela nous renvoie aux principales menaces en métropole: l'aménagement du territoire qui reste incontrôlé et l'intensification des pratiques agricoles", avec des zones uniformes et l'usage important de pesticides, explique le scientifique. "Si nous avions plus de données, nous pensons que nous mettrions plus d'espèces dans ces catégories menacées", complète Laurent Poncet.
"Les dégradations de la nature restent bien plus fortes que tous les efforts qu'on peut déployer", avertit Florian Kirchner. "Il faut vraiment changer de braquet", insiste-t-il.
Il voit pourtant "deux sources d'espoir : l'opinion est en train d'évoluer et il y a des bonnes nouvelles" dans la protection des espèces comme dans le cas de la loutre, du bouquetin des Alpes ou du vautour moine.
ceci dit malgré la loi qui dit que les pittbulls doivent etre castrés et portés museliere on voit de plus en plus de racailles ( et non racailles ) avec ce type de clébards et sans museliere et les flics passent à coté et ne moufftent pas
Mort d'Elisa Pilarski par morsures canines: son compagnon mis en examen pour homicide involontaire
et pendant ce temps la les faces de collabos de notre gouvernement de minables font retrer toutes ces merdes en France
En Afghanistan, les talibans s'en prennent aux ONG venant en aide aux femmes
Une femme en burqa assise derrière un homme en moto dans le district d'Arghandab, dans le sud de l'Afghanistan, le 22 février 2021 ( AFP / JAVED TANVEER )
A Doha, où ils négocient avec le gouvernement afghan un accord de paix, les talibans se disent prêts à garantir les droits des femmes. Mais en Afghanistan, les ONG constatent au contraire ces derniers mois qu'ils ont durci leur position.
Les insurgés ont rendu l'accès aux territoires qu'ils contrôlent plus difficile, ordonné la fermeture de programmes promouvant l'autonomie des femmes et interdit par endroits aux ONG d'employer du personnel féminin, ont indiqué plusieurs de ces organisations.
Les talibans "donnent l'impression d'avoir changé et c'est un exemple vraiment concret que ce n'est pas le cas", déplore un responsable afghan d'une grande organisation internationale.
L'AFP a parlé à des représentants d'une dizaine d'ONG, qui ont tous requis l'anonymat par peur de représailles.
Tous décrivent une détérioration de la situation, depuis la signature à Doha en février 2020 de l'accord entre Washington et les talibans sur le retrait total des forces américaines d'ici mai, et plus encore ces derniers mois.
Les talibans espèrent revenir au pouvoir et instaurer un régime fondé sur la loi islamique, encadrant les droits des femmes.
"L'Islam a offert aux femmes tous les droits basiques comme l'éducation, le travail, la possession, le commerce", assurait en décembre devant un centre de recherche qatari le mollah Abdul Ghani Baradar, leur co-fondateur.
Mais la communauté internationale se rappelle que quand ils étaient au pouvoir, entre 1996 et 2001, les femmes ne pouvaient ni travailler, ni étudier, et celles accusées d'adultère étaient lapidées.
Des femmes apprennent à créer des sites internet dans les locaux d'une ONG à Hérat, dans l'ouest de l'Afghanistan, le 23 février 2021 ( AFP / HOSHANG HASHIMI )
Elle a donc fait du respect des droits des femmes un élément clé des négociations inter-afghanes, qui ont débuté en septembre au Qatar mais sont aujourd'hui au point mort.
Une lettre, datant de novembre, de la commission talibane dédiée aux organisations humanitaires, dont l'AFP a obtenu copie, tend à montrer que les talibans manient le double langage. "Les ONG qui sortent les femmes de leur maison au nom de l'indépendance économique, de l'éducation ou du sport (...) ne sont en aucun cas acceptables", y est-il écrit.
- "Comme une gifle" -
Ce ton a déstabilisé les ONG, qui avaient graduellement trouvé un modus vivendi avec les talibans leur permettant d'aider dans certains endroits les femmes, parfois même avec des projets éducatifs.
"C'est comme une gifle de lire ça", réagit une employée d'une organisation étrangère venant en aide aux communautés isolées.
Des femmes portant la burqa dans une rue du district d'Arghandab, dans le sud de l'Afghanistan, le 22 février 2021 ( AFP / JAVED TANVEER )
Si la pression contre ce type d'activités n'a "rien de nouveau", observe un haut responsable humanitaire, le changement tient au fait que cela devient "bien plus officiel et répandu".
Dans cette lettre, la commission se dit prête à "prendre les mesures nécessaires" à l'encontre des ONG qui contreviendraient à ses consignes.
Le message a été bien reçu et plusieurs travailleurs humanitaires ont déclaré avoir été contraints d'abandonner des programmes dans certaines zones.
"Quand tu reçois une lettre des talibans, ce ne sont pas des rigolos du tout, il faut l'appliquer", assure un haut responsable d'une autre organisation étrangère.
Parallèlement, les talibans ont bloqué l'accès de certaines zones au personnel féminin des ONG. Selon deux organisations, les insurgés ont dit avoir reçu ces ordres de leur bureau politique au Qatar.
"Nous avons tout fait pour les convaincre, mais ils ont dit non", précise un responsable humanitaire œuvrant dans le nord du pays.
Sans personnel féminin, les ONG ne peuvent plus travailler avec les femmes, car les talibans refusent qu'elles soient vues par des hommes n'étant pas membres de leur famille.
Une employée d'une autre organisation internationale regrette ainsi de n'avoir pu "atteindre que les hommes" dans des zones talibanes au nord.
- "Des mots sensibles" -
Son ONG a dû se résoudre, pour un nouveau projet, à ne pas recruter de femmes, car "il n'y a aucun intérêt à engager quelqu'un pour rester assis au bureau".
Si l'accès des humanitaires aux femmes n'a jamais officiellement été autorisé par les talibans, il se discutait jusqu'ici à l'échelon local entre les communautés et les chefs insurgés du coin.
Les membres d'une ONG venant en aide aux femmes discutent d'un nouveau projet à Hérat, dans l'ouest de l'Afghanistan, le 23 février 2021 ( AFP / HOSHANG HASHIMI )
Dans les zones où les talibans sont plus flexibles, les employées afghanes des ONG doivent porter la burqa et être accompagnées d'un "mahram", un chaperon masculin de leur famille.
Pour elles, la pression est constante. "Nous n'utilisons pas les termes +droits humains+ ou +droits des femmes+, car ce sont des mots sensibles", raconte une jeune femme qui se dit terrifiée à chaque fois qu'elle se rend en territoire taliban.
"Je peux voir (la peur) sur le visage de toutes mes collègues", ajoute une autre salariée afghane d'une organisation internationale.
D'autres projets humanitaires ont récemment dû être annulés, les talibans ayant multiplié les tracasseries administratives.
Comme plusieurs humanitaires, Andrew Watkins, analyste à l'International Crisis Group, établit un lien avec le processus de paix. Leur "légitimité" en ayant été renforcée, les talibans tentent "de se présenter comme une entité gouvernante".
Cette attitude ne préjuge toutefois pas de leur politique future, pense Rahmatullah Amiri, un expert indépendant afghan, pour qui ils devraient se montrer plus permissifs que par le passé s'ils reviennent au pouvoir.
Ils "autoriseront les femmes à aller à l'université et étudier (...) mais sous certaines conditions", comme l'absence de classes mixtes et le port obligatoire du hijab, prévoit-il.
Ils seraient aussi prêts à les laisser tenir des emplois de médecins, sages-femmes, infirmières, commerçantes ou fonctionnaires, pour peu qu'ils soient non-mixtes. Mais tout cela, dit-il, ne sera décidé qu'après la guerre.
sont taches ces parigos tete de veau ils payent une fortune leur logement se farcisse toute la merde de la terre et votent pour une dingote à la ramasse
faudrait savoir si il y a le rechauffement climatique ou pas hein
parceque si il fait plus 40 en hiver je vois pas l interet de gaspiller du pognon la dedans
L'Etat compte interdire la mise en location des biens énergivores à l'horizon 2028. Pour les aider à se mettre aux normes, le gouvernement met à la disposition des propriétaires des aides à la rénovation énergétique. Dans le même temps, de nouvelles règles de construction devraient permettre de livrer des logements neufs plus performants et moins gourmands en énergie.
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