Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
projet pour la france
projet pour la france
Derniers commentaires
enarque
19 juin 2013

4 923,8 milliards d'euros de défici

et la bombe dexia qui etait gerer par un maffieux x enarque toujours la

La Cour des Comptes a publié le 30 mai dernier, un rapport sur le vrai visage de la dette française. Ce rapport des sages de la rue Cambon révèle le montant réel du déficit français, si l'on comptabilise les engagements hors bilan de l'Etat.

Le poids de ces engagements
Fin 2012, le déficit budgétaire était à 1 833,8 milliards d'euros (90,2% du PIB) d'après les calculs de l'Insee.
Lorsqu'on y ajoute les engagements hors bilan de l'Etat que sont les retraites, les mécanismes européens de stabilité financière ou la garantie des épargnants, le déficit français atteint des sommets. Il serait de 4 923,8 milliards d'euros selon la Cour des Comptes, soit 242,2% du PIB.
Bien que l'Etat ne soit pas obligé d'intégrer ces engagements dans son bilan des comptes publics, cette partie cachée de la dette française aurait un impact significatif sur sa crédibilité financière, d'après ce rapport cité par Challenges.fr

Une " surveillance active "
La Cour des Comptes note par ailleurs la forte augmentation de ces engagements hors bilan entre 2006 et 2012, même s'ils méritent une appréciation de " meilleure qualité que celle des autres pays européens ", écrit le journal.

Afin de mieux contrôler l'évolution des engagements hors bilan de la France, les sages préconisent une " surveillance active " de la part de l'exécutif français. Il pourra ainsi mieux analyser et encadrer les potentiels risques qui peuvent découler de ces engagements, qui n'ont pour le moment pas d'incidence majeure sur le solde budgétaire.

Publicité
Publicité
26 avril 2013

chronique de l insecurite quotidienne sous l umps

http://www.lyonmag.com/article/52399/un-sdf-passe-a-tabac-par-un-adolescent-a-lyon

voila on nous a mener 30 ans d'umps et de gestion par les merdes de  l ena

on retablit la peine de mort et les bagnes

dans les prisons privation de sommeil pour les fouteurs de merde

7 avril 2013

ce mec est lamentable tout simplement

un énarque lamentable d'un parti lamentable dans une céromonie lamentable  pour résumer

d'un autre coté monsieur egout et monsieur plaque d'égout ont fait 10 millions de fois plus pour notre confort et qualité de vie que le bretzel de service de cette cérémonie pompeuse et sans interet

quand je serais president de la république je ne rendrais hommage qu aux scientifiques ingénieurs médecins créateurs d'entreprises chercheurs qui ont veritablement améliorer notre qualité de vie les autres  hop à la trappe sans interet.

PxytIFOArP0lheaUcBLd0zl72eJkfbmt4t8yenImKBVaiQDB_Rd1H6kmuBWtceBJ

8 mars 2013

trou de ball mollande 1ere en chute libre

au moins on verra plus ca trocnhe en 2017 il n a aucune chance de remonter ( ni celle du sombre zayrault aussi d'ailleurs)

un president a un an pour plaire et avoir des chances d'etre reelu

Hollande perd 5 points de confiance à 30%, record pour TNS Sofres:

François Hollande a perdu en un mois cinq points de confiance dans le baromètre TNS Sofres pour le Figaro Magazine, atteignant le taux de 30%, le plus bas jamais enregistré depuis 1981 par un chef de l'Etat au 10e mois de son mandat, dans ce sondage.

Son Premier ministre Jean-Marc Ayrault perd aussi cinq points de confiance mais avec 28%, il fait mieux qu'Edith Cresson, chef du gouvernement en 1991/1992, descendue jusqu'à 22% dans cette enquête d'opinion réalisée pour l'hebdomadaire à paraître vendredi.

Le chef de l'Etat, crédité de 35% de confiance il y a un mois, est à 30%, ceux qui ne lui font pas confiance passant de 61 à 66%.

Ceux qui font en confiance à M. Ayrault passent de 33 à 28%, et les défiants de 59 à 64%.

Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls reste en tête du palmarès des "cotes d'avenir des personnalités politiques", mais en chutant lourdement de 7 points à 39%. Il est talonné par l'ancien Premier ministre François Fillon, stable à 38% qui fait jeu égal avec M. Sarkozy (+4 points).

Sondage réalisé du 21 au 25 février auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de la population de 18 ans et plus (méthode des quotas) interrogées en face-à-face à leur domicile.

et n oublions pas hollande n est qu un trou de ball d'enarque ces gens la sont l incompetence personnifié

1362723110-598590-490971687604674-2120552822-n

 

20 janvier 2013

lol again

humour islam bobo ps hollande enarque technocrate98_n

Publicité
Publicité
8 janvier 2013

tiens encore un enarque dingue comme ils sont mega nul quand meme

virgin megastore,champ elysée,enarque,edouard balladur,walter butler goldmans sachs,ump,banque,raffarin,

(...)
Caricature parfaite du petit oligarque à la française, Walter Butler, devenu inspecteur des finances à sa sortie de l’École nationale d’administration en 1983 (promotion Solidarité, en hommage à Lech Walesa), n’aura pas servi l’État bien longtemps… avant d’aller se servir à l’occasion, bien souvent, des vagues successives de privatisation.

Lors de la première cohabitation, entre 1986 et 1988, il entre au ­cabinet de François Léotard, le ministre de la Culture, en tant que conseiller pour l’audiovisuel : il conduira notamment le processus de privatisation de TF1. Pour celui que ­Dominique de Villepin a aidé à préparer le concours d’entrée à l’ENA, voilà de quoi étayer encore son carnet d’adresses: Francis Bouygues, Jean-Marie Messier qui s’occupe des privatisations au cabinet d’Édouard Balladur, Dominique Bussereau et ­Dominique Ambiel, tous les deux proches de Jean-Pierre Raffarin… Après la défaite de la droite, Walter Butler part se ­réfugier dans la banque d’affaires Goldman Sachs aux États-Unis. C’est dans cet établissement extrêmement célèbre désormais que le haut fonctionnaire se transformera en pur financier. 
« Goldman, c’est là que j’ai ­appris à lire, à écrire et à ­compter dans les affaires », glissera-t-il quelques années plus tard dans l’Expansion.

Revenu en France au début des années 1990, il fonde avec le concours de l’un des parrains du capitalisme français de l’époque, Bernard Esambert, le patron de la banque d’affaires Roth
schild, son propre fonds d’investissement. Très vite, Walter ­Butler devient un spécialiste du 
« retournement »: selon la ­légende, il achète des entreprises en difficulté, les redresse et les revend en faisant la culbute; en pratique, il s’empare aussi de lambeaux d’entreprises publiques à prix cassés qu’il revend ensuite à prix d’or. L’homme est bien introduit dans les rouages du capitalisme d’État: il bénéficie des conseils d’Alain Minc et surtout de la protection de François Pinault, le puissant patron de PPR qui le fera rentrer au conseil d’administration de la Fnac et lui remettra la Légion d’honneur en 2004.

Les cercles du pouvoir

Dans ses opérations, opaques pour la plupart, ­Walter Butler profite de sa proximité avec les cercles du pouvoir. En 2006, alors que de nombreux observateurs dénoncent un bradage, il devient l’actionnaire majoritaire de la SNCM, la compagnie privatisée qui assure les liaisons entre la Corse et le continent, et quelques années plus tard, il revend en empochant cinq fois sa mise de départ.

À la Sernam, l’issue est un peu différente, même si, là aussi, ça sent le pactole pour Butler: après avoir racheté pour une bouchée de pain (on parle de 10 millions d’euros) le secteur messageries de la SNCF, non sans que l’entreprise publique ne le renfloue à hauteur de 500 millions d’euros, le spéculateur finira par transférer à la collectivité la charge du plan de social en mettant la boîte en redressement judiciaire, avant que la SNCF, via sa filiale de logistique Geodis, ne vienne, début 2012, racheter les derniers morceaux… Chez Virgin, Walter Butler se sauvera-t-il encore sans payer l’addition ?

Virgin déjà retoqué en justice. C’est une épine dans le pied du fonds d’investissement Butler. En mai dernier, le tribunal de grande instance de Paris a donné raison au comité d’entreprise et au syndicat SUD, qui contestaient la façon dont Virgin avait lancé des plans de licenciement distincts pour la fermeture de ses magasins de Metz (janvier 2012) et Toulouse (mars 2012). Le tribunal a estimé que Virgin devait reprendre la procédure à zéro et fournir une « information complète et loyale » sur la stratégie de l’entreprise. Il a aussi souligné que la situation économique justifiant ce plan devait s’apprécier au niveau du groupe Butler, et non de la seule entreprise Virgin. L’affaire sera examinée en appel le 28 janvier.

21 décembre 2012

Une page se tourne pour Dexia, autorisée à mener à bien son démantèlement

et oui comme dit la blague la methode la plus efficace pour se ruiner c'est de confier la gestion de son entreprise à un maffieu  x enarque

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dexia

Pierre Richard est un banquier français né le 9 mars 1941, fondateur et président de 1987 à 2008 de Dexia, leader mondial du financement des collectivités locales et services public qui a dû être sauvé par des fonds publics à deux reprises, en 2008 et en 2011.

D'abord haut fonctionnaire, il a participé au projet de loi sur les décentralisations en 1981-1982. Il a notamment présidé le conseil d'administration de l’École nationale des Ponts et Chaussées (1994-1999) et préside actuellement entre autres Le Monde Investisseurs, structure de financement du journal Le Monde. Il est vice-président de l’Association française des banques (syndicat des banques privées françaises).

Selon le quotidien Le Figaro, Pierre Richard perçoit chaque année près de 600.000 euros de retraite-chapeau, entraînant dans les comptes de la banque une provision de plus de 11 millions d'euros. En février 2012, le représentant de l'État français au conseil d'administration de Dexia aurait demandé à ce dernier d'envisager les moyens possibles pour réclamer à l'ancien président du groupe les sommes versées3.

 

Une page décisive s'est tournée vendredi pour Dexia avec la validation par les actionnaires de l'augmentation de capital de 5,5 milliards d'euros qui va permettre à la banque de poursuivre son démantèlement avec l'assentiment de la Commission européenne.

Au terme d'une assemblée générale plus morose que tendue, les actionnaires se sont prononcés à 99,40% en faveur de la recapitalisation, qui sera réservée aux Etats belge et français.

Cet apport d'argent frais avait été rendu nécessaire par les pertes importantes engendrées par les cessions d'actifs réalisées au cours de l'année par Dexia, qui ont largement entamé ses fonds propres.

Pour les actionnaires existants, notamment les petits porteurs, l'opération induit que la valeur de leurs titres sera réduite quasiment à néant, sans perspective réaliste de percevoir de nouveau un dividende.

La banque prévoit bien un retour à l'équilibre à l'horizon 2018, mais les bénéfices éventuellement dégagés après cette date devraient être intégralement versés aux Etats.

"Il faut choisir entre la guillotine ou la chaise électrique", a commenté un actionnaire, dépité.

Lors de son allocution liminaire, le président Robert de Metz a défendu le principe d'une poursuite d'activité de la banque, qui demeure, selon lui, un établissement systémique, c'est à dire susceptible de déstabiliser le système financier tout entier en cas de disparition brutale.

"Si Dexia devait être liquidé (...), le marché européen serait profondément perturbé", a fait valoir la banque dans une réponse à une question écrite d'un actionnaire.

Interrogé par un actionnaire quant au coût éventuel d'une liquidation immédiate, la banque a indiqué que l'exercice était "difficile", mais l'a chiffré à "plusieurs dizaines de milliards d'euros".

"Il suffit de penser à Lehman Brothers et à tout ce que ceci (le dépôt de bilan de la banque américaine) a engendré" a expliqué l'administrateur délégué, Karel De Boeck, à une salle qui comptait à peine une centaine de personnes.

Il a rappelé que l'encours actuel des dettes émises sur le marché par Dexia avec la garantie des Etats atteignait 73 milliards d'euros, montant que devraient honorer ces Etats en cas de liquidation immédiate, avec de lourdes conséquences budgétaires.

Outre l'augmentation de capital validée par les actionnaires, l'autre obstacle majeur à un démantèlement étalé dans le temps avait été levé jeudi.

Le commissaire européen chargé de la Concurrence, Joaquin Almunia, a, en effet, annoncé qu'il proposerait, le 28 décembre, à la Commission d'approuver définitivement le plan de garanties publiques bénéficiant à l'établissement.

Dexia a déjà engagé la cession de la totalité des actifs qui pouvaient être vendus et n'assurera donc plus désormais quasiment que la gestion de portefeuilles d'actifs et de prêts, sans activité opérationnelle significative.

La Commission lui a seulement autorisé deux fenêtres, en 2013 et 2014, pour faire des prêts à des collectivités pour leur permettre de sortir de crédits dits "toxiques" (avec des formules déterminant le taux d'intérêt), précédemment accordés par Dexia.

Même si la banque ne présente désormais plus de risque majeur pour les Etats ou le système financier, elle est condamnée à survivre encore plusieurs décennies, le temps de laisser les engagements les plus longs arriver à échéance.

Seize ans après sa naissance, l'établissement dont ses créateurs voulaient faire la première vraie banque européenne n'est plus qu'une société de portefeuille.

"Comment est-il possible que Dexia soit devenu un monstre cinq ans après le début de cette crise?", a lancé, dans le vide, un actionnaire belge.

10 novembre 2012

dexia la banque cree par de spoliticards et gere par des enarques

projet pour la france,dexia,banque,ps,ump,politiciens,belge,belgique,contribuable,tonneau des dannaides,collectivités, saint etienne,hollande,sarkosy,europe,bruxelles,
banque cree par des politiciens et geré par des enarques

L'affaire Dexia n'est pas terminée pour la France et la Belgique qui vont tous deux injecter une nouvelle fois dans la banque binationale.

Les deux pays sont tombés d'accord pour apporter 5,5 milliards d'euros à l'établissement par le biais d'une augmentation de capital. La Belgique mettre 2,9 milliards et la France 2,6.

Le dossier de ce canard boiteux est donc sans fin depuis le renflouement de 6 milliards d'euros opéré en 2008.

Quant à la banque, elle a présenté encore une fois des résultats horribles sur son troisième trimestre avec une perte de 1,2 milliard d'euros, portant cette dernière à 2,4 milliards depuis le début de l'année. Elle continue de réaliser ses cessions d'actifs avec de lourdes pertes à la clef et le contribuable finance sans trop le savoir cette catastrophe économique.



laissons cette banque faire faillite tout simplement

8 novembre 2012

supprimons vite l ena

Le coût de la scolarité d’un élève de l’Ecole nationale d’admistration a augmenté et atteint 84.400 euros l’année. La promotion qui sortira en 2013 va coûter 13 millions à l’Etat.

http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/ac ... -etat-354/

Remarquez, c'est encore pendant leur formation que ces gugusses coûtent le moins cher à la société parce qu'après ce sont de véritables générateurs de gabegies.

enarque ane ena hollande

26 octobre 2012

lol tellement vrai

se hollande est un gros plouc d'enarque incompetent

hollande chomeur drogue enarque

 

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 > >>
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 342
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité