coup de pompe dans le cul et retour dans son pays ou elle pourra porter le voile et bon debaras ils nous pellent les couilles ses trous de balls de l islam
il faut faire des lois anticommunautaristes expulsér les islamistes integristes sans menagement
je suis pour mettre minimum 5000€ d'amende pour la burka et 1000€ pour le voile islamique
quand a lavocat qui la defend la honte un vrai petit collabo de service
Une employée d'un hypermarché Leclerc, qui estime avoir été discriminée à son retour de congé parental parce qu'elle portait le voile, a saisi le conseil des prud'hommes de Clermont-Ferrand qui doit examiner son cas mardi.
Engagée en 1997, Gulsen Ozturk, 33 ans, avait pris un congé parental d'éducation en 2001, puis enchaîné avec trois autres congés maternité et parentaux, pour s'occuper de ses enfants.
Durant ces neuf années, elle s'était investie dans la religion musulmane, choisissant de porter le voile.
A son retour chez Leclerc en 2010, elle est affectée à la réserve et ne retrouve pas son poste initial en rayon. Elle demande alors son licenciement, ce que la direction refuse.
"A un retour de congé parental, on doit retrouver le poste sur lequel on était affecté avant. La direction avait obligation de lui proposer un emploi similaire", affirme Me Patrick Roesch, l'avocat de Mme Ozturk.
Or, "on l'a envoyée à la réserve pour éviter qu'elle soit au vu et au su de la clientèle", estime-t-il.
L'avocat a donc engagé une procédure en discrimination devant les prud'hommes, afin d'obtenir la résiliation de son contrat de travail "aux torts de l'employeur".
"Nous demandons que le comportement de l'employeur soit jugé fautif en raison de la discrimination", souligne-t-il.
Pour Henri Trarieux, directeur de l'hypermarché, "on essaye de porter cette affaire sur le terrain du voile, alors qu'on est face à une personne qui refuse de travailler".
Selon lui, "l'entreprise l'a toujours acceptée avec son voile et ses fonctions en réserve faisaient déjà partie de ses missions d'employée commerciale avant".
"Cette affectation était temporaire. Beaucoup de choses ont évolué pendant son congé parental et elle devait d'abord travailler en réserve pour les assimiler avant de retrouver son poste en rayon", assure-t-il.
En raison du caractère sensible de cette affaire, les prud'hommes avaient mandaté le 22 mars 2011 deux conseillers rapporteurs chargés d'examiner le dossier.
Le 6 mai dernier, une conciliation entre les deux parties n'avait pas permis de parvenir à un accord