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islam
16 mai 2022

il est completement dingo se gugusson de piolle allez hop dans le mur des cons

Vous vous habillez comme vous êtes, c'est la laïcité" (Eric Piolle sur le burkini)

on ne pourra tolerer les sacs a patate de l islam  que lorsqu il y aura des camps naturistes des gay pride et  des femmes en minijupe à kaboul pas avant

eelv c'est une une veritable imposture ce parti de débile profond n'est pas un parti ecologiste.

eelv collabosphere nazislam islamiste islam femme petasse voilée burkini burka projet pour la france

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10 mai 2022

Union de la gauche et législatives : Taha Bouhafs retire sa candidature

y devrait se presenter à Kaboul il aurait certainement plus de chance ce gugussons🤣🤣🤣

20 avril 2022

islam is nazism

tolérance zero pour l islam et les collabos de l islam

23 mars 2022

islam is nazisme

les talibans c'est de la merde faudra bien un jour les atomiser et les eradiquer.

>Fermeture des écoles : les jeunes Afghanes témoignent de leur tristesse et de leur colère

Notre liberté nous manque": les lamentations des Afghanes privées d'école

information fournie par AFP25/03/2022 à 14:42

Malahat Haidari(d), sa soeur Adeeba (c) et leurs deux jeunes soeurs étudient chez elles avec leur mère, le 24 mars 2022 à Kaboul, au lendemain de la fermeture par les talibans des écoles secondaires pour les filles ( AFP / Ahmad SAHEL ARMAN )

"L'Afghanistan est devenu une prison pour nous": comme toutes les filles de leur âge, Malahat, Adeeba et Nargis n'aiment rien d'autre que d'aller à l'école et de jouer avec leurs copines.

Mercredi, comme des milliers d'adolescentes dans le pays, elles étaient heureuses de pouvoir enfin retourner étudier en classe et retrouver camarades et professeures.

Mais, par une décision aussi brutale qu'inattendue, les talibans ont ordonné la fermeture des collèges et lycées, et aux élèves de retourner chez elles, quelques heures après la réouverture des établissements pourtant annoncée de longue date par le ministère de l'Education.

"L'Afghanistan est devenu une prison pour nous", lâche Malahat Haidari, du haut de ses 11 ans, au lendemain d'avoir dû quitter sur le champ son école pour filles Al Fatah, à Kaboul.

"J'ai beaucoup pleuré", ajoute l'adolescente en essuyant des larmes, interrogée par l'AFP dans sa maison familiale d'un quartier huppé de la capitale.

"Nous sommes traitées comme des criminelles simplement parce que nous sommes des filles. Voilà pourquoi ils nous ont renvoyées de l'école", explique-elle.

Avec cette décision, les talibans renforcent les inquiétudes des observateurs qui craignent que les nouveaux maîtres du pays n'interdisent à nouveau l'école pour les filles, comme ils l'avaient fait lors de leur premier règne, de 1996 à 2001.

Des jeunes Afghanes quittent leur école, le 23 mars 2022 à Kaboul, après la fermeture des écoles secondaires pour les filles par les talibans, quelques heures seulement après leur réouverture ( AFP / Ahmad SAHEL ARMAN )

Cette rentrée dans le secondaire suivait celle des garçons, ainsi que des filles mais uniquement dans le primaire, qui avaient eux été autorisés à reprendre les cours, deux mois après la prise de Kaboul en août dernier par les fondamentalistes islamistes.

Aucune explication claire n'a été donnée par le gouvernement à sa volte-face.

Mais, selon des informations qui ont filtré après une réunion secrète, mardi soir, de hauts dirigeants talibans dans leur fief de Kandahar (Sud), les raisons iraient de la nécessité d'avoir des uniformes standardisés, au rejet pur et simple du besoin d'éducation pour les adolescentes.

Le ministère répète que les écoles vont bien rouvrir, mais uniquement quand de nouvelles directives seront définies.

"Jusqu'à hier, non seulement moi, mais tous ceux à qui vous auriez posé la question croyaient qu'ils (NDLR les talibans) avaient changé", relève Adeeba, 13 ans, la sœur de Malahat.

"Quand ils ont renvoyé tout le monde à la maison, nous avons compris que ces talibans étaient les mêmes qu'il y a 25 ans", abonde Malahat.

"Notre liberté nous manque. Nos camarades de classe et nos professeurs nous manquent", ajoute Adeeba.

Issues d'une famille aisée, avec des parents instruits, les soeurs ont toujours été encouragés à étudier.

- "Peur" des femmes instruites -

A l'autre bout de la ville, Nargis Jafri, 14 ans, dont la famille appartient à la communauté minoritaire chiite hazara, estime que les talibans se sentent menacés par les femmes instruites.

"Ils croient que si nous étudions, nous allons acquérir des connaissances et nous battre contre eux", dit-elle à l'AFP.

"Ils ont peur de ça", lâche-t-elle en retenant ses larmes, assise à un bureau devant ses livres étalés, dans la maison familiale.

Elève du lycée Marafat à Kaboul, elle trouve aussi particulièrement injuste de voir des garçons de son âge aller à l'école alors qu'elle est obligée de rester à la maison.

"C'est vraiment dur", dit-elle.

Elle est maintenant hantée par les histoires relatées par sa mère, Hamida, sous le premier règne des talibans.

"Avant, je me sentais bizarre quand elle nous racontait comment elle portait une burqa ou un tchador, ou comment une femme n'était pas autorisée à sortir sans être accompagnée d'un homme" de son entourage, explique-t-elle.

"Tout cela me revient maintenant à l'esprit", dit l'adolescente.

En sept mois de gouvernance depuis l'été dernier, les talibans ont imposé une multitude de restrictions aux femmes. Elles sont exclues de nombreux emplois publics, contrôlées sur la façon de s'habiller et interdites de voyager seules en dehors de leur ville.

Les islamistes ont aussi arrêté et détenu plusieurs militantes qui avaient manifesté pour les droits des femmes.

Hamida avait 10 ans quand elle a été obligée de quitter l'école. Elle s'inquiète désormais pour l'avenir de sa fille.

"Les rêves qu'elle a dans son cœur vont être brisés", se désole-t-elle.

Afghanistan: les femmes ne peuvent plus voyager seules en avion

information fournie par AFP28/03/2022 à 12:27

Les talibans ont ordonné aux compagnies aériennes en Afghanistan de refuser d'embarquer des femmes si elles ne sont pas accompagnées d'un homme de leur famille, une nouvelle restriction aux libertés des Afghanes mises à mal en sept mois de gouvernance.

Depuis leur retour au pouvoir le 15 août dernier, les talibans ont progressivement balayé 20 ans de liberté conquise par les femmes, en dépit des promesses de se montrer plus souples que lors de leur premier régime (1996- 2001), quand les femmes étaient privées de presque tous leurs droits.

Ils ont rapidement exclu les Afghanes de nombreux emplois publics et ont contrôlé leur façon de s'habiller. Ils ont aussi arrêté et détenu des militantes - certaines pendant plusieurs semaines - qui avaient manifesté pour les droits des femmes.

Dimanche soir, deux responsables des compagnies Ariana Afghan Airlines et Kam Air ont indiqué à l'AFP avoir reçu l'interdiction par les talibans de délivrer des billets aux femmes afghanes si elles ne sont pas accompagnées d'un homme de leur famille pour leur voyage.

"Aucune femme n'est autorisée à voler sur des vols intérieurs ou internationaux sans un parent masculin", indique une lettre envoyée par un haut responsable d'Ariana Afghan Airlines au personnel de la compagnie, et dont l'AFP a obtenu copie.

Deux agents de voyage ont également confirmé à l'AFP avoir cessé de délivrer des billets aux femmes voulant voyager seules.

Certaines "qui voyageaient sans un parent de sexe masculin n'ont pas été autorisées à embarquer sur un vol Kam Air de Kaboul à Islamabad vendredi", a déclaré à l'AFP une passagère de ce vol.

La nouvelle directive ne devrait pas concerner les étrangères, même si des médias locaux ont rapporté le cas d'une Afghane disposant d'un passeport américain et qui a été empêchée de voler la semaine dernière.

Fin décembre, les fondamentalistes talibans avaient déjà interdit aux Afghanes d'effectuer des voyages de plus de 72 kilomètres dans le pays si elles n'étaient pas accompagnées par un membre masculin de la famille.

- "Ordre de notre Dieu" -

Cette nouvelle restriction intervient quelques jours après la décision des talibans de fermer les écoles secondaires pour les filles, juste après leur réouverture qui avait pourtant été annoncée de longue date.

Des associations afghanes de défense des droits des femmes ont prévu de manifester si les talibans ne rouvraient pas ces écoles cette semaine.

La répression des femmes et des filles afghanes "n'est pas un substitut à la gouvernance" a réagi sur Twitter Rina Amiri, l'envoyée spéciale des États-Unis en Afghanistan.

"Créez une culture d'espoir plutôt qu'une culture de peur", a-t-elle lancé à l'adresse de talibans.

Une autre restriction a été annoncée dimanche par le redouté ministère de la Promotion de la vertu et de la prévention du vice: la séparation des femmes et des hommes dans les parcs publics de Kaboul, avec jours de visites imposés pour chaque sexe.

Les mercredis, jeudis, vendredis et samedis sont désormais réservés aux hommes et les dimanches, lundis et mardis aux femmes.

"Ce n'est pas un ordre de l'Emirat islamique mais l'ordre de notre Dieu que les hommes et les femmes sans lien de parenté ne se réunissent pas au même endroit", a expliqué à l'AFP Mohammad Yahya Aref, un responsable du ministère.

Heather Barr, directrice adjointe de Human Rights Watch pour les droits des femmes, a qualifié ces restrictions d'"effrayantes".

"Chaque jour nous voyons l'étau se resserrer sur les femmes et les filles", a-t-elle commenté à l'AFP.

"Ils ont abandonné - du moins pour l'instant - tout effort pour parvenir à un accord avec la communauté internationale", dont aucun pays n'a jusque-là reconnu le nouveau régime, a-t-elle ajouté.

Les talibans semblent également avoir jeté leur dévolu sur les médias locaux, qui ont prospéré sous les régimes précédents, soutenus par les États-Unis.

Lundi, dans la province de Kandahar (Sud), les services de renseignement talibans ont perquisitionné quatre radios qui diffusaient de la musique, et interpellé six journalistes.

Dimanche, les islamistes ont ordonné aux partenaires télévisuels afghans de la BBC de cesser de diffuser ses programmes.

"Etant donné que les chaînes de télévision étrangères sont diffusées depuis l'étranger, l'Émirat islamique n'a aucun accès pour contrôler leur contenu, notamment en ce qui concerne les tenues vestimentaires des journalistes", a expliqué à l'AFP Inamullah Samangani, porte-parole des talibans.

"Parfois, ils diffusaient également des contenus qui avaient des problèmes avec nos valeurs religieuses, la culture afghane et les intérêts de sécurité nationale", a-t-il ajouté.

"Une autre mesure répressive contre le peuple afghan", a dénoncé sur Twitter la mission d'assistance des Nations unies en Afghanistan, au sujet de l'arrêt de ces programmes.

16 octobre 2021

un député roosbeff tue par un migrant de l'islam

je le plains pas c'est une bonne chose que ces députés est le nez dans leur caca immmigratif.bref fait divers sans interet

boris-johnson-confie-sa-tristesse-apres-le-meurtre-du-depute-david-amess

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16 octobre 2021

Hommages à Samuel Paty : 98 incidents dont 7 menaces constatés dans les établissements scolaires vendredi

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/samuel-paty-en-direct-histoire-famille-mort-cycle3-commemoration-eduscol-hommage-ecole-brahim-chnina-20211016

il est plus que temps de passer à l expulsion massive et à enlever la nationalité française à ces grosses merdes puantes de l'islam

14 octobre 2021

il y aura d'autre samuel pathy malheureusement

de toute facons rien ne change on continu à les faire rentrer massivement en France les fonctionnaires qui ont permis l'installation de ces tchetchenes en france meme pas inquiété!!!!

il faut instaurer le zero immigration expulser massivement les familles qui refusent la laicite et enlever les droits civiques aux assos de collabo à migrants illegaux car des samuel pathy il va y en avoir d'autre à cause de la collabosphere bien planqué

je suis pour une laicité ultra dure les religions doivent rester du domaine privé et n avoir aucun acces à la vie publique.

en un mot je ne m associe pas à l hommage a sameul pathy tant que:

les asso de collabos à migrants ne sont pas disoutes

les fonctionnaire qui ont fait rentrer ces familles de tchtchenes débiles et abrutis de l islam ne sont pas licencié pour faute grave

qu'on interdise pas la contruction de mochequetée en France et qu on n expulse pas les familles de voilés et burkakisé

28 septembre 2021

La vie brisée de Radwin, femme trans en Afghanistan

28/09/2021

Radwin, une femme afghane transgenre, lors d'une interview avec l'AFP dans un endroit non déterminé ( AFP / - )

"Dieu m'a créé comme ça, c'est ma nature, personne ne le comprend". Pour Radwin, femme transgenre en Afghanistan, après des années de persécutions, l'avènement des talibans ne lui laisse que trois options: se cacher, fuir ou mourir.

"Personne ne nous aide, personne n'entend notre cri. Avant que les talibans ne nous tuent, il faudra partir", déclare-t-elle dans un entretien à l'AFP.

Depuis l'arrivée au pouvoir du mouvement islamiste à la mi-août, "il m'est strictement impossible de sortir de chez moi", explique depuis un endroit en Afghanistan tenu secret, Radwin, un nom d'emprunt choisi pour protéger sa sécurité.

"Si je sors, je dois être entièrement couverte et personne ne doit pouvoir m'identifier", ajoute-t-elle.

Dans la très conservatrice société afghane, les personnes trans ne peuvent compter sur aucune forme de reconnaissance. L'homosexualité et toutes les questions liées à la communauté LGBTQ (lesbienne, gay, bi, trans et queer) restent un tabou absolu.

Sous le précédent régime, les relations sexuelles entre personnes de même sexe étaient "illégales", et la communauté LGBTQ s'exposait à des persécutions et discriminations constantes, dans l'accès aux soins comme au travail.

Avec l'arrivée des talibans au pouvoir, la menace s'est aggravée. Ils prônent une interprétation stricte de la charia, la loi islamique. Sous leur précédent régime, entre 1996 et 2001, les relations homosexuelles étaient passibles de la peine de mort.

- 'Me violer' -

Radwin a fait son coming out il y a cinq ans, apparaissant en femme en public. Depuis elle a vécu un quotidien de menaces et d'agressions sexuelles, certaines d'une extrême violence. 

"On a essayé de me violer plusieurs fois", dit-elle. "C'est arrivé plusieurs fois, parfois ils n'y sont pas arrivés", poursuit-elle avec pudeur.

 

islam nazisme homosexualite gay right discrimination

 

Sélection de pays où est ou a été appliquée la charia, loi islamique variant selon les pays ( AFPAFP / )

Il y a deux ans, alors qu'elle marchait dans la rue avec une amie, des hommes à moto et armés, l'ont attaquée au couteau, la forçant à les suivre loin de la ville. Après l'avoir droguée de force, "ils ont fait ce qu'ils voulaient faire avec nous", poursuit-elle. 

Après ce viol et ces supplices, Radwin a été hospitalisée pour de multiples blessures. La police a ouvert une enquête et constaté la présence de drogue. La famille de Radwin a été prévenue, mais les coupables n'ont jamais été retrouvés. 

Puis il y a quelques semaines, alors qu'elle marchait le long d'une route, elle a reçu des coups de crosse sur la tête. En relevant son voile, elle montre les cicatrices de cette dernière agression en date. 

Mais dans cette vie de peur constante, Radwin avait trouvé quelques bouffées de liberté et de joie, notamment lorsque certains de ses proches ont accepté qu'elle apparaisse en femme en leur présence. 

"Avant l'arrivée des talibans, je me rendais chez mes amis habillée en femme, et je me sentais tellement bien", se souvient-elle.

- 'Obscurité' -

Radwin redoute de ne plus jamais pouvoir retrouver cette liberté, de ne plus pouvoir échapper à son genre d'assignation.  

"Je veux pouvoir porter de beaux habits que je choisirai moi-même. Je voudrais faire du mannequinat et aussi enseigner la danse", se prend à rêver la jeune femme. Mais "ça ne se passera jamais", se referme-t-elle immédiatement. 

 

A moins que Radwin ne réussisse à partir. "Je ne peux pas rester là et détruire ma vie, parce que ce que je n'aurai jamais ici la vie que je veux", dit-elle. 

Mais comment partir? De la très petite communauté transgenre d'Afghanistan, ne reste pratiquement aucun réseau de soutien. La plupart de ses membres ont déjà fui à l'étranger, dont plusieurs en Iran.

"Il ne reste personne pour nous aider ici", résume-t-elle. Radwin dit avoir contacté une ONG en Europe, sans résultats. 

Alors que les talibans affirment que leur régime sera plus enclin à la modération, notamment sur les questions de mœurs que le précédent, Radwin n'y voit elle "qu'une façade". 

"D'ici quelques jours, on verra qu'ils sont bien pires encore qu'avant", assure-t-elle. "Je ne vois pas comment ça pourrait s'arranger. Je ne vois que l'obscurité. Il n'y a plus de lumière". 

3 juin 2021

le petit nazillon maffieux turque erdoglan

mur des fils de pute erdogan maffieux turquie projet pour la France

3 juin 2021

le maroc une belle dictature

et le roi du maroc roule sur l'or!!!!!!!!

Ce jeune déscolarisé depuis deux ans et employé comme mécanicien à Tanger a passé la nuit dans un jardin près du passage frontalier. D'autres ont investi les ruelles de Fnideq, où les habitants leur ont donné à boire et à manger.

"Je n'ai aucun avenir ici, je veux travailler pour aider ma famille", peste Mohamed, arrivé mercredi à Fnideq après une longue marche.

Adossé sur un mur en bas d'un immeuble de la petite ville côtière marocaine, il ne regrette pas d'avoir abandonné ses études pour tenter sa chance. 

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