ben oui la France de micron
un systeme judiciaire complice des racailles on embauche des jugeottes grattes papelards au lieu construire prisons low cost pour enfermer les racailels
on nous fait envahir par l'immmigration bas de gamme africaine
donc il ne faut pas s'etonner de la délinquance dans ce pays la France est la risée du monde
pour s'en sortir reforme totale du systeme judiciaire trop de jugeottes et avocaillons pas assez de bagnes et prisons low cost
zero immigration avec interdiction des organisme de collabos à migrants
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Bagarre, vol... Situation chaotique au Stade de France pendant Liverpool-Real Madrid
la medicocrite micronienne dans toute sa splendeur et ce clown qui veut aider l urkraine alors qu il est meme pas foutu de faire respecter l ordre dans les banlieue couscouse zyva
Mauvais endroit, c'est la honte quand même. Incapable de recevoir un tel événement au stade de France. Donc des personnes qui avaient des billets et qui ont fait le déplacement n'ont pas eu accès et se sont faits gazer a la lacrymo. Bien ! Bravo ! Belle image ! C'est pire que honteux !
c'est un scandale que des gens avec leurs tickets n'ont pas pu rentrer regarder le match à temps. Certains sont rentrés avec 40 minutes de retard et d'autres n'ont même pas pu rentrer... quelle organisation pitoyable 🙄. ce sont des gens qui ont payés très cher leur ticket, qui ont fait de longs voyages et qui attendaient ce moment avec impatience... il y a de quoi être en colère !
une minsitre de l'environnement qui est contre l'environnement
c est beau la micronie
continuons a empoisonner et detruire la biodiversité pour faire plaisir aux gros et gras pegouzes de la fnsea
"Nous ne pouvons pas faire cavalier seul, sinon c'est notre économie, ce sont nos agriculteurs, que nous laissons dans la panade", a justifié Amélie de Montchalin, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, sur l'antenne de France Inter ce mardi 24 mai.
Amélie de Montchalin, ancienne ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, est désormais ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Un choix qui n'a pas laissé indifférentes les ONG et associations écologiques, qui n'ont pas oublié qu'elle a voté, il y a près de cinq ans, contre un amendement qui visait à interdire le glyphosate, classé comme "cancérogène probable" par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) en 2021.
Elle s'en est défendue sur l'antenne de France Inter ce mardi 24 mai. "Je ne regrette pas une chose : d'avoir considéré que ce sujet était européen. A l'époque, souvenez-vous, la France s'était battue pour que le glyphosate soit au maximum autorisé pour cinq ans - ça va arriver en 2023 - plutôt que pour dix ans. Oui, en tant que député, j'avais fait un choix tout à fait assumé : nous ne pouvons pas faire cavalier seul pour n'importe quel domaine que ce soit, sinon c'est notre économie, ce sont nos agriculteurs, que nous laissons dans la panade", a-t-elle justifié.
"Pendant des années, on a imposé à nos agriculteurs des normes qui n'étaient pas imposées ailleurs. Le résultat : on a importé des produits qui n'appliquaient pas les normes, les Français consommaient des choses qui contenaient des produits qui n'étaient potentiellement pas autorisés en France", a expliqué Amélie de Montchalin.
"Sur le glyphosate, j'assume. C'est précisément la méthode que nous voulons pousser : on agit en européen, on agit pour ne laisser personne sans solution. Oui, on fait de la recherche, on cherche des alternatives, on fait des investissements. Le plan France 2030, il y a des investissements en milliards pour qu'on ait des nouvelles techniques, pratiques, solutions, pour que nous puissions sortir des pesticides et autres", a continué la ministre de la Transition écologique.
Une étude cruciale sur le glyphosate reportée
Mi-mai, une étude cruciale sur les effets du glyphosate a été reportée à juillet 2023. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) ont en effet annoncé dans un communiqué commun "avoir dû réviser le calendrier des étapes restantes du processus de réévaluation" du glyphosate, en raison du "nombre sans précédent d'observations" reçues par les deux régulateurs, notamment de la part d'experts des Etats membres.
Afin de "prendre en considération" ces centaines de contributions, les deux agences repoussent à juillet 2023 les conclusions de l'EFSA sur "tous les risques possibles de l'exposition au glyphosate pour les animaux, les humains et l'environnement", un rapport initialement attendu au "second semestre 2022".
Cette évaluation est indispensable à la Commission européenne pour décider de la prolongation ou non de l'autorisation délivrée à l'herbicide dans l'UE. L'autorisation actuelle, étendue en 2017 pour cinq ans, expire le 15 décembre 2022, mais elle sera automatiquement prolongée jusqu'à la fin du processus d'évaluation, à moins qu'un risque particulier ne soit identifié entretemps.
La France s'est donnée pour objectif de sortir de l'essentiel des utilisations de ce désherbant, avant une interdiction totale en 2023. Des organisations agricoles s'y opposent, pointant l'absence de produit alternatif.
Cet avocat étrille le cabinet Mckinsey et son représentant qui a menti pendant l'enquête du Sénat!
1,050 milliard d'euros» : le rachat des turbines d'Alstom coûterait le double de leur prix de vente
micron devrait se presenter aux elections américianes il ferait un tres bon president américians mais c est un ultra mauvais president Français