et une promesse de plus enterrée
Bercy renonce à limiter les salaires des grands patrons:
mollande n est plus à ca pret en tous cas il aura bien cocufié ses electeurs
mollande n est plus à ca pret en tous cas il aura bien cocufié ses electeurs
les gagnants ne sont ni les employes ni le consommateur ni les petits porteurs d'action mais uniquement le pdg qui en profitent pour se verser des salaires royaux
Et Didier Lombard vient d'être recruté dans la toute nouvelle commission "Innovation 2030" inaugurée à l'Élysée par François Hollande le 19 avril... Super :-(
Un document interne de France Télécom datant de 2006 et relayé mardi par Le Parisien, témoigne de la violence sociale à l'époque au sein de l'entreprise marquée par une vague de suicides en 2008 et 2009.
Alors que l'enquête judiciaire sur les drames qu'a connu le groupe se poursuit au pôle de santé public du Tribunal de grande instance de Paris, le quotidien rend public un fac-similé d'un compte-rendu d'une réunion d'octobre 2006 de l'Acsed, l'association des cadres de France Télécom.
Selon ce document, l'ancien PDG Didier Lombard, aurait déclaré: "Il faut qu'on sorte de la position mère poule. (...) Ce sera un peu plus dirigiste que par le passé. C'est notre seule chance de faire les 22.000" suppressions de postes programmées dans le cadre du plan Next qui visait à réduire les effectifs entre 2006 et 2008.
Selon Le Parisien, il existe deux versions de ce document. Dans la version originale, M. Lombard indique: "en 2007, je ferai les départs d'une façon ou d'une autre, par la fenêtre ou par la porte". Cette version a ensuite été édulcorée pour devenir "en 2007, je ferai les départs d'une façon ou d'une autre".
D'après le quotidien, la secrétaire de l'Acsed aurait indiqué aux policiers en décembre ne plus posséder la version originale car ses responsables lui auraient demandé de la détruire. Elle ajoute avoir pris elle-même l'initiative d'atténuer les propos tenus lors de la réunion.
La Parisien rapporte que les anciens dirigeants de France Télécom assurent n'avoir donné aucune directive pour détruire les documents et estiment qu'il ne sont pas crédibles.
"Ces documents sont la transcription de la violence sociale que nous avons vécue et c'est ça qui est nouveau", a réagi de son côté Sébastien Crozier (CFE-CGC), après avoir pris connaissance du document dans la presse.
Il y avait "beaucoup d'éléments" illustrant le déni de la direction de l'époque au sujet du malaise social, mais peu illustrant la violence, a-t-il ajouté, jugeant "interpellant le fait qu'il y ait une atténuation des propos" car cela montre "qu'il y a des gens qui ont pris conscience de l'étendue des dégâts" à l'époque.
Un rapport de l'Inspection du travail mettant en cause la gestion du personnel et une plainte de Sud avaient conduit à une information judiciaire en avril 2010. La CFDT, la CFE-CGC/Unsa, la CFTC, la CGT et FO s'étaient constituées partie civile.
Dans le cadre de cette enquête, Didier Lombard, deux autres responsables et France Télécom en tant que personne morale ont été mis en examen pour harcèlement moral en juillet dernier.
En 2008 et 2009, le nombre des suicides de salariés s'est établi à 35, selon direction et syndicats.
8,6 millions de francais vivent avec 964€ par moi ( chiffre 2010)
la rémunération annuelle des grands patrons du cac 40 est de 4,2 millions d'euros ( 2011)
innaceptable ils ne meritent pas leur salaires ses pretendus grands patrons on est revenu a 1793 avec une caste de nobliaux qui avaient tous les biens et la misere pour les autres pourtant je ne suis pas bas du front de gauche il est normal qui il y est difference salaires si l'on veut que la france est de bon ingénieur chercheurs chirurgiens entrepreneurs mais la ils font un mal fou aux pays car les gugusses qui sont justes en dessous d'eux voient bien qu ils ne meritent pas se salaire et ils se disent ben moi je vais faire pareil et idem en dessous et c est comme cela que l on corrompe un pays et entreprises
sinon vient de lire que lauvergon dit que l insufisante monté en gamme du secteur automobile etait une erreur strategique!!!!
et non la france doit produire pour les classes moyennes par poiur quelques richards
decidement deconnection totale avec la france reelle
ump ou ps aucun changement les crapules sont toujours la
L'ex-PDG de l'opérateur SFR (groupe Vivendi), Franck Esser, qui a quitté ses fonctions en mars 2012, et l'ancien président du directoire de Vivendi Jean-Bernard Levy qui a quitté le groupe en juin, ont chacun touché une indemnité de départ de 3,9 millions d'euros.
et pendant ce temps les abrutis du gouvernement hollande veulent taxer le livret a
en construction:suis d'accord sur certain point par sur tous
qui sont donc les collabos à cette immigration invasive et inutile à la France
en ce qui me concerne je fais mettre un rideau de fer sur la méditerranée et instaure le zéro immigration et la décroissance et stabilisation en population
Afin de bien comprendre l'impact de l'immigration sur la situation démographique de notre pays, il me semble important d'opposer ta statistique a celle la:
http://fr.novopress.info/128114/une-etude-indique-lampleur-du-remplacement-de-population-a-loeuvre-en-france/#prettyPhoto
Le gouvernement s'attaque aux rémunérations très élevées dans les grandes entreprises où l'Etat français possède des participations, une promesse électorale symbolique qui est aussi l'une des plus faciles à mettre en oeuvre.
Jeudi, le gouvernement a ainsi annoncé qu'il s'opposait à une confortable prime de départ pour le PDG de l'équipementier aéronautique et de défense Safran, dont il détient 30% des droits de vote. Le "parachute doré" de ce dirigeant, Jean-Paul Herteman, a dans la foulée été rejeté par l'Assemblée générale des actionnaires.
Dans la même veine, il a indiqué qu'au nom de la "décence salariale", il voterait jeudi contre le versement d'une prime de non-concurrence de 400.000 euros à Pierre-Henri Gourgeon, l'ancien patron de la compagnie aérienne Air France/KLM, dont il est actionnaire minoritaire (15%).
Le président socialiste multiplie les mesures symboliques sur les salaires des dirigeants d'entreprises comme des responsables politiques, cherchant à marquer les esprits en début de mandat. Le maître-mot du nouvel exécutif est "l'exemplarité".
Le nouveau pouvoir avait donné le ton le 17 mai, en annonçant une baisse de 30% du salaire du chef de l'Etat et des ministres. Face à la crise, il s'agissait de montrer que les efforts demandés à la population concernent aussi le plus haut niveau de l'Etat.
Même cure d'amaigrissement pour les salaires des entreprises du secteur public ou dans lesquelles l'Etat possède une participation.
"La réduction de la hiérarchie des salaires au sein des entreprises publiques, de 1 à 20, pour les mandataires sociaux sera faite et, comme l'a dit (le Premier ministre) Jean-Marc Ayrault, elle sera faite rapidement", a martelé jeudi le ministre des Finances, Pierre Moscovici.
Selon ce calcul, la rémunération des patrons ne doit pas dépasser vingt fois le salaire le plus bas de ces entreprises. La question sera à l'ordre du jour du Conseil des ministres dans deux semaines.
"Cette moralisation des dirigeants des entreprises, elle doit intervenir maintenant, tout de suite, et il faut aussi que (l'écart des rémunérations) soit décent, surtout lorsqu'il y a des situations sociales et économiques difficiles", a souligné Pierre Moscovici.
La limitation des salaires des grands patrons est une mesure très populaire, approuvée par quatre Français sur cinq selon un récent sondage. Elle intervient dans un contexte de crise et de rigueur budgétaire, qui empêche toute politique de redistribution des revenus et toute relance par les salaires.
Mais la mesure risque surtout d'avoir une portée très limitée, en se bornant à quelques patrons de groupes détenus à plus de la moitié par l'Etat.
"Partout où l'Etat est majoritaire, il imposera notre politique, c'est-à-dire une politique de limitation de l'échelle salariale. Là où il est minoritaire, il cherchera à convaincre", avait d'ailleurs expliqué la semaine dernière le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg.
Six grands groupes sont contrôlés majoritairement par l'Etat: Aéroports de Paris, Areva (nucléaire), La Poste, la Française des Jeux, la SNCF (transport ferroviaire) et EDF (énergie).
Avec des situations très disparates: le salaire du président de la SNCF, Guillaume Pepy, serait au-dessous de la limite, selon une source proche du dossier. Mais celui d'EDF, Henri Proglio, déjà dans le collimateur pour sa proximité avec l'ancien président conservateur Nicolas Sarkozy, très largement au-dessus (64 fois le salaire de base).
Dans les conseils d'administration mixtes (associant Etat et privé), à l'instar de ceux de GDF Suez (énergie), Renault (automobile), EADS (aéronautique) ou Air France-KLM, tout sera histoire de négociations.
"Je crois au patriotisme des dirigeants, qui peuvent comprendre que la crise suppose l'exemplarité des élites politiques et économiques", a déclaré M. Ayrault.
quid des salaires des sportifs et notament des footeux?????????car la aussi faudrait voir a controler en les taxants un peu plus en taxant les transfert entre club car le salaire des footballeurs personnages totalement inutilkes a la societe est bien encore bien plus scandaleux que les salaires des grands patrons maffieux x enarques
Euro 2012 : le sacndale des primes
ce texte n est pas de moi mais rflete bien ce que je pense sur la com de ce petit etre mediocre hypocrite menteur voleur qu est sarkosy
marine a tout interet a rester à l ecart de se meprisant personnage elle a tout a y gagner
projet pour la france,ump,sarkosy,medef,salaire,rmi,chomage,chomeur,1793,guillotine,noble,caste,intouchable,inegalité,scandale,mérite
Le chiffre de la semaine : +34%
C'est le genre d'augmentation dont tout le monde rêve... En 2010, la rémunération moyenne des dirigeants du Cac 40 s'est envolée de 34%.
Selon le cabinet Proxinvest, les patrons des entreprises du CAC 40 ont touché en moyenne en 2010 une rémunération annuelle de 4,11 millions d'euros (dont 1/3 est constitué de stock-options). Soit un bond de 34% par rapport à 2009, après 3 années de diminutions (-17% en 2007, -25% en 2008 et -14% en 2009.)
Onze dirigeants des entreprises les plus riches dépassaient même en 2010, le plafond de 240 Smics par an, soit 4,6 millions d'euros.
Des rémunérations qui sont fixées sans aucune transparence, note Proxinvest qui regrette que les salaires des grands patrons ne soient pas soumis au vote des actionnaires, comme c'est le cas dans beaucoup d'autres pays développés.
aucun d'entre eux ne merite de tel salaire ils se comportent comme les nobliaux en 1793 il va falloir faire des lois retrocactives pour les forcer a rendre cet argent des francais qu ils volent tout simplement