Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
projet pour la france
projet pour la france
Derniers commentaires
17 décembre 2018

comment preserver notre droit à la mobilité personnelle en polluant moins

au niveau de la mobilité personnelle qui est un droit qui doit etre inscrit dans la constitution  le probleme numero un est le trajet boulot dodo

c est une abération d'utiliser un engin de plus d'une tonne pour faire 30km à 30km/h de moyenne pour 80kg de bidoche ( statistique 90% des trajets automobile sont les trajets boulot dodo  avec une personne par véhicules) et ce qu il soit électrique ou à essence

et tous coupables: les constructeurs automobiles,les assureurs,les consommateurs ,l'etat,mairie

il faut utiliser des engins de moins de  200kg

pour des raisons de sécurité la vitesse doit etre limité  à 70km/h  et le trafique informatisé les parkings doivent etre gratuit et vidéo surveiller pour petites voiturettes et 2 roues

les assureurs doivent assurer pour le prix un véhicules un véhicules boulot et un véhicules famille

les constructeurs doivent reflechir à véhicules modulable  ( en semaine 1 place et le weekend ou vacances on peur rajouter remorque derriere)

bref l etat ne sait pas vendre la mobilité personnelle de demain et fait surtout de la répression avec radar ( meme si ca me gene pas qu on limite la vitesse je comprend  conducteur non racailles de la routes qui se prend pv pour un petit dépassement de vitesse) au lieu essayer de nosu faire rever avec un projet de mobilité individuelle  et viable economiquement et environnmentalement parlant ( on pourrait creer zone de test grandeur reel)

bref le véhicule de mobilite boulot dodo ca sera un peu ca ( en moins de  200kg vitesse max 70km/h )avec une bulle pour proteger pluie

voiture du futur mobilité droit aux déplacement individuel projet pour la France

Publicité
Publicité
17 décembre 2018

Napoléon, la campagne de Russie

17 décembre 2018

l'industrie textile détruit la planete

17 décembre 2018

« 86 % des poissons » de grandes surfaces « sont pêchés selon des méthodes non durables »

micron et ses putes en marche n arrete pas de nous gonfler avec leur rechauffement climatique et en meme temps ils signent a tour de bras des traites de libre echange  avec des pays d'agriculture productiviste  ( usa,canada,argentine,bresil,allemagne...) qui détruisent toute la biodiversité

Les oiseaux marins affamés par la surpêche

UFC-Que choisir a publié les résultats d’une enquête menée dans plus de 1 000 supermarchés.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 08h34, mis à jour à 09h03

L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud.L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud. CHARLY TRIBALLEAU / AFP

Au moment où les ministres de la pêche sont réunis à Bruxelles pour négocier les quotas de 2019, UFC-Que choisir publie les résultats sans appel de son enquête sur la pêche durable dans la grande distribution, lundi 17 décembre, pressant les pouvoirs publics de durcir les quotas de pêche mais aussi de rendre l’étiquetage sur la durabilité de la pêche enfin explicite.

L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud. Le constat est accablant : « 86 % des poissons présents dans les étals des grandes surfaces visitées sont pêchés selon des méthodes non durables ou dans des stocks surexploités », peut-on lire dans l’étude réalisée entre le 20 janvier et le 3 février derniers. Or, précise l’association dans un communiqué, « 88 % des stocks de poissons européens sont actuellement surexploités ou voient leur capacité à se reconstituer menacée, induisant dès lors un risque d’effondrement des stocks pour des espèces particulièrement menacées telles que le bar ».

« Aucune politique d’approvisionnement durable »

PHILIPPE HUGUEN / AFP

L’enquête avait un double objectif, souligne UFC-Que choisir : vérifier le respect des mentions obligatoires sur les méthodes de pêche et les zones de capture et analyser les résultats sur la durabilité des ressources exploitées, tant en termes de méthodes de pêche que de zones de capture.

« Le résultat est malheureusement tristement sans appel : la grande distribution n’a aucune politique d’approvisionnement durable pour les trois espèces étudiées », affirme l’association. Or, trois quarts des achats de poissons frais et autres produits de la mer des consommateurs français sont réalisés dans la grande distribution, selon une étude de l’institut FranceAgrimer datant de septembre 2018.

Par ailleurs, poursuit l’association, dans deux tiers des cas, les mentions obligatoires sont « absentes, fantaisistes ou trop vagues ». Ainsi, « avec plus de trois poissons sur quatre mal étiquetés, Intermarché décroche la palme, talonné par Système U et Leclerc qui totalisent respectivement 76 % et 67 % d’étiquetages non conformes ». S’agissant des zones de capture, l’association a relevé des mentions vagues du type « Atlantique » ou « Méditerranée » : « or, en l’absence de zone maritime précise, on ne peut pas identifier les poissons provenant de stocks surexploités », estime-t-elle. Quant à l’information sur les méthodes de pêche, elle est absente pour un poisson sur quatre, précise UFC-Que choisir.

Compte tenu des résultats de cette enquête, l’association demande à ce que les ministres européens de la pêche alignent « strictement les futurs quotas sur les recommandations émises par les experts du Conseil international pour l’exploration de la mer » et que « l’étiquetage réglementaire intègre un indicateur explicite de la durabilité du poisson ». Elle annonce qu’elle saisira la répression des fraudes afin qu’elle réalise des contrôles sur le respect des dispositions réglementaires d’étiqueta

16 décembre 2018

On vous raconte le plus violent réchauffement climatique que notre planète ait connu... jusqu'à aujourd'hui

https://mobile.francetvinfo.fr/meteo/climat/on-vous-raconte-le-plus-violent-rechauffement-climatique-que-notre-planete-a-connu-jusqu-a-aujourd-hui_3098489.amp

le monde est sans glace, sans calotte, sans neige éternelle. Les paysages blancs de l'Antarctique ont cédé la place à des forêts. Des palmiers ont même pris racine au pôle Nord. On ne vous décrit pas là le futur que nous promet le réchauffement climatique, mais un passé très lointain. Il y a 56 millions d'années, la température a grimpé de 6°C en seulement 10 000 à 20 000 ans,

Publicité
Publicité
16 décembre 2018

Shenzhen, de labo des réformes chinoises à fer de lance de l'innovation

AFP16/12/2018 à 09:04

Un homme prend une photo avec son téléphone à Shenzhen (Chine) le 7 novembre 2018. ( AFP / WANG Zhao )

Un homme prend une photo avec son téléphone à Shenzhen (Chine) le 7 novembre 2018. ( AFP / WANG Zhao )

C'était un gros village de pêcheurs, perdu aux portes de Hong Kong. Aujourd'hui, la métropole de Shenzhen, symbole des 40 ans de réformes qui ont fait de la Chine l'usine du monde, ambitionne d'être le phare mondial de l'innovation technologique.

Pour cela, il faudra effacer une image de paradis des copieurs. "Nous sommes désormais très attachés à la propriété intellectuelle et aux brevets", assure Wu Yebin dans son bureau situé au 35e étage d'un rutilant gratte-ciel.

Jadis imitateur de grandes marques, il a créé MeegoPad, une florissante entreprise d'électronique.

La Chine a décidé en décembre 1978 de s'ouvrir à l'économie de marché pour nourrir sa population miséreuse. Shenzhen, où 310.000 habitants vivaient de la pêche et de la culture du riz, fut le laboratoire de ces réformes.

Elle a prospéré en produisant les articles de géants comme Apple ou Samsung, a vu émerger des mastodontes locaux tels Huawei (téléphonie) ou Tencent (internet), et fleurir des dizaines de milliers d'usines qui produisent composants, puces ou écrans tactiles, ce qui lui vaut le surnom de "Silicon Valley du hardware".

Issu d'une famille rurale pauvre, Wu Yebin, 35 ans, est arrivé en 2005 dans la ville qui compte désormais 13 millions d'habitants. Il a commencé en fabriquant comme des milliers d'autres jeunes du "shanzhai", ces copies pirates, parfois créatives, inspirées des produits électroniques de marques étrangères.

"L'Allemagne, les États-Unis, le Japon... Tous les pays développés ont fait ça pour développer leur industrie manufacturière. C'est un passage obligé pour accumuler de l'expérience", estime M. Wu.

Mais si ce modèle économique était "très en vogue" il y a encore quelques années pour les usines locales, il "n'est plus viable aujourd'hui", reconnaît-il.

- T-Shirt et autoroute -

Shenzhen reste un des coeurs manufacturiers du pays. Mais d'autres villes chinoises la rattrapent, et elle a dû se trouver un nouveau moteur de croissance.

Wu Yebin, PDG de Meegopad, lors d'un entretien le 8 novembre 2018 à Shenzhen ( AFP / WANG Zhao )<

Wu Yebin, PDG de Meegopad, lors d'un entretien le 8 novembre 2018 à Shenzhen ( AFP / WANG Zhao )

"Aujourd'hui, on mise sur l'innovation pour assurer le développement. La Chine devient un leader mondial dans ce domaine", déclare Wu Yebin, dont l'entreprise a atteint 25 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel. Elle vend d'ingénieux PC miniaturisés en clés HDMI et conçoit des lunettes à réalité augmentée.

"Shenzhen devient un point de rencontre pour des ingénieurs créatifs du monde entier", avance-t-il.

Parmi eux: Meng Jie, un Français qui a quitté la vraie Silicon Valley en 2017 pour créer Maybe, qui produit des enceintes intelligentes avec lesquelles on peut converser pour apprendre le mandarin.

"La Silicon Valley reste très en avance en matière d'intelligence artificielle. Mais à Shenzhen, tu trouves trois fois plus vite le composant électronique ou mécanique dont tu as besoin. C'est comme passer d'une nationale à une autoroute", s'émerveille le jeune trentenaire d'origine chinoise vêtu d'un T-Shirt.

"Les gens voient la Silicon Valley comme la Mecque de la tech. Et Shenzhen est une ville qu'ils sous-estiment beaucoup. Parce qu'ils ne savent pas ce qui est en train de se passer ici", souligne-t-il, en pointant la rangée de gratte-ciels depuis la fenêtre de son bureau.

Pékin a lancé en 2015 le programme industriel "Fabriqué en Chine 2025". Son ambition: ne plus être "l'usine du monde", mais un leader technologique: robots, voitures électriques, intelligence artificielle...

- Potentiel énorme -

"Les autorités, en matière d'innovation, définissent clairement les secteurs où elles souhaitent investir. Si votre entreprise est en phase avec ça, c'est la voie royale et vous obtenez des financements", déclare Duncan Turner, directeur général de HAX, incubateur de startups de Shenzhen.

c-thumb-lazy" data-thumb-lazy="" data-original-src="https://s.brsimg.com/static-000/cache/i/content/images/a/9/4/a9472dbc875eb39a68fde40b72aaaf23-768x512.jpg" data-image-class="c-thumb-lazy__img" data-image-alt="Duncan Turner, directeur général de HAX, incubateur de startups, le 9 novembre 2018 à Shenzhen ( AFP / WANG Zhao )"> ="cratio-auto="">Duncan Turner, directeur général de HAX, incubateur de startups, le 9 novembre 2018 à Shenzhen ( AFP / WANG Zhao )

Duncan Turner, directeur général de HAX, incubateur de startups, le 9 novembre 2018 à Shenzhen ( AFP / WANG Zhao )

Le président américain Donald Trump s'inquiète de cette concurrence. Il a lancé une guerre commerciale contre Pékin et augmenté les droits de douane sur les produits chinois liés à ce plan industriel, notamment l'informatique, l'aéronautique et la robotique.

Peine perdue? Pour M. Turner, installé à Shenzhen depuis 2009, "le plus grand changement" depuis son arrivée est que les jeunes Chinois qui autrefois faisaient de la copie "sont devenus des experts en recherche et développement incroyablement inventifs et entreprenants".

L'augmentation du niveau d'études a permis l'émergence d'une nouvelle génération d'ingénieurs. Comme Zhang Zhaohui, PDG de Youibot, installé dans l'incubateur HAX, d'où il conçoit le premier robot autonome de maintenance pour autobus du monde.

"Le potentiel de Shenzhen est énorme. La ville pourrait très vite rattraper la Silicon Valley", prédit l'entrepreneur de 26 ans à la tenue impeccable.

Le Français Meng Jie acquiesce: "Il y a 20 ans, à cet endroit, c'était du sable et de l'eau. Dans 10 ans, Shenzhen sera une ville très importante dans le monde. Ce sera la capitale de l'innovation."

15 décembre 2018

la chienlit c'est eux

macron edouard philippe la chienlit c est eux

15 décembre 2018

Le Sénat vote une suppression de taxes… pour les grands médias audiovisuels !

la caste qui s'autoprotege et nous accablent d'impot

Le Sénat vient de voter la suppression de plusieurs impôts prélevés sur les gros médias audiovisuels.
La décision est passée inaperçue. Mais elle pourrait bien faire désordre en plein mouvement des Gilets jaunes. Pendant que dans la rue les manifestants expriment leur colère sociale, les Sénateurs viennent de supprimer discrètement le 27 novembre trois taxes pesant sur les stations de radio et les chaînes de télévision.

14 décembre 2018

bon ils ont flingué l'autre trou du cul

ca évitera qu on paye un avocaillon et une jugeotte  pour cet enfoiré

d'ailleurs les  1er responsable de tous ces morts c est le systeme judiciaire ubuesque et ultralaxiste

il faut rendre les jugeottes penalement responsable de leurs protegés

cheriff chekatt projet pour la france justice laxiste

14 décembre 2018

Macron face aux Gilets jaunes : l’avis de Charles Gave

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 > >>
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 333
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité