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projet pour la france
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13 mai 2019

hausse-des-agressions-physiques-envers-les-personnes-lgbt

résumons les agresseurs des homos c'est les racailles de banlieus

les memes que nos amis gauchiottes et saussiflards defendent bref ca tourne à la shyzophrenie pour ces povres taches de gauches

je te condamne  d'avoir agresser un homo mais en meme temps je te defends car tu es une chance pour la france.  leur petit cerveau en surchauffe


Plus d'une personne sur cinq se définissant comme LGBT (lesbienne, gay, bi, trans) déclare avoir été victime d'une agression physique au cours de sa vie, selon une étude de l'Ifop.

Au total, 22% des LGBT ont déjà fait l'objet d'une agression physique à caractère homophobe (gifles, coups...), selon cette enquête réalisée par la fondation Jasmin Roy-Sophie Desmarais, en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès et la Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT), et dont l'AFP a obtenu une copie. 

C'est une "hausse significative" de cinq points, souligne l'Ifop, par rapport à sa dernière étude sur le sujet, publiée en juin 2018. 

Au cours des douze derniers mois, le nombre de victimes de violences physiques a doublé entre juin 2018 (3%) et avril 2019 (7%). Plus inquiétant: 60% d'entre elles admettent avoir pensé à se suicider au cours de l'année écoulée.

La tendance est en revanche stable concernent les injures (29%,+1 point), les destructions de biens (21%,=) ou encore les attouchements à caractère sexuel (22%,-2 pts).

Au total, plus d'une personne LGBT sur deux (55%, +2 pts) déclare avoir fait l'objet d'une agression homophobe, quelle qu'elle soit, au cours de sa vie.

Dans la majorité des cas, l'agresseur est un homme (78%), de moins de 30 ans (75%), qui agit en présence d'un groupe (61%), même si peu de victimes disent avoir été agressées par plusieurs personnes en même temps (21%).

Signaler les faits dans un commissariat (27%), porter plainte officiellement (20%) ou chercher de l'aide auprès d'une association LGBT (19%) reste une attitude minoritaire chez les victimes, selon l'étude.

Cet "environnement homophobe" conduit de nombreuses personnes LGBT à adopter des "stratégies d'invisibilité", comme éviter de se tenir la main (62%) ou de s'embrasser (63%) en public, et des "stratégies d'évitement", comme ne pas se rendre dans certains quartiers (37%) ou rentrer seul chez soi (33%), observe l'Ifop.

Ces résultats, dévoilés à quatre jours de la journée mondiale de lutte contre l'homophobie et la transphobie, le 17 mai, seront présentés mardi à Marlène Schiappa, secrétaire d'Etat en charge de l'égalité entre les femmes et les hommes.

L'étude a été réalisée par l'Ifop, avec un questionnaire en ligne du 12 mai au 24 avril 2019, auprès de 1.229 personnes homosexuelles, bisexuelles et transgenres, âgées de 18 ans et plus et résidant en France métropolitaine, représentant un échantillon représentatif selon la méthode des quotas.

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12 mai 2019

L' Europe à la reconquête de la biodiversité

pendant ce temps la le minuscule tout petit mini micron et ses putes en marches font flinguer les loups et les ours

11 mai 2019

comment un trouduc

qui fait tuer les loups et les ours  peut faire quelque chose pour l environnement!!!!!!!

macron biodiversité environnement nature loup

10 mai 2019

Européennes: entre écologie et revenu, les partis veulent réorienter la PAC

tous ca c est de la rigolade la 1er chose à faire c est de déchirer tous les traites de libre echange avec les pays d'agricultures productivistes

sinon ca sert à rien de batir une agriculture non productiviste destructrice de l environnement si les grosses multinationale et les grandes surfaces importent des produits agricoles ou transformer de ces pays

pour rappel si je suis élu j instaure une taxe preservation d ela biodiversité sur tous les produits agricoles ou transformer importés

<>Améliorer les revenus des exploitants d'un côté, favoriser une agriculture de qualité, soucieuse de l'environnement de l'autre: les partis cherchent l'articulation entre ces deux axes en vue des élections européennes, organisées en pleines négociations sur la future Politique agricole commune 2021-2027. 

Avec plus de 360 milliards d'euros alloués entre 2014 et 2020 - soit environ 40% du budget de l'Union européenne (dont 9,1 milliards d'euros par an pour la France), la PAC est un fromage aussi vital qu'appétissant pour l'agriculture nationale. Mais son avenir est incertain dans le contexte du Brexit, avec une possible baisse des crédits, à laquelle la France s'oppose fermement.

Le Rassemblement national estime qu'il est nécessaire d'arrêter ce programme pour "instaurer une Politique agricole française", capable de "protéger l'agriculture française face à la concurrence déloyale" et de "mettre en valeur et favoriser à l'international les richesses de notre terroir". Le RN met aussi l'accent sur la défense des "petites et moyennes exploitations agricoles", en s'appuyant sur le principe du "localisme" qui s'attache à privilégier les circuits courts.

Pour le reste du champ politique, attaché à la PAC, se pose la même problématique, résumée par le Parti communiste: comment allier "l'impératif d'un travail rémunérateur et celui d'une agriculture paysanne libérée de la pression du rendement à tout prix et du recours aux pesticides". 

Pour la République en marche, il s'agit d'abord de "ramener de la sérénité dans les exploitations agricoles", dixit l'éleveur et candidat Jérémy Decerle, en érigeant le revenu des exploitants comme première priorité. 

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Le parti présidentiel affiche sa volonté de "défendre le budget agricole" mais en revoyant le système des aides qui ne doivent plus être allouées à l'hectare, ce qui favorise l'agrandissement des exploitations, mais en les concentrant "sur les exploitations petites et moyennes, les exploitations familiales, celles qui jouent le jeu de la transition écologique, en diminuant les pesticides, en sortant du glyphosate, en privilégiant le bio", selon l'écologiste et N.2 de la liste Pascal Canfin.

De manière générale, sanctuariser le budget de la PAC, flécher les aides vers la transition écologique et protéger les petites exploitations (une particularité française) font largement consensus à droite comme à gauche.

- Un volet "Alimentation" -

Par exemple, PS-Place Publique milite pour attribuer 70% du budget de la PAC "aux pratiques agricoles qui visent à l'abandon des pesticides et des engrais de synthèse, afin de permettre la restauration des sols, une meilleure gestion des ressources en eau et l'entretien des paysages et de la biodiversité". Générations évoque la création d'un "bouclier bio qui financera intégralement les coûts du passage à l'agriculture biologique pour les agriculteurs".

La France insoumise plaide de son côté pour "sortir des pesticides, des néonicotinoïdes et des OGM". "Si l'UE ne prend pas ces mesures, chaque Etat doit pouvoir les appliquer unilatéralement y compris vis-à-vis des importations en provenance d'autres pays de l'UE", ajoute LFI.

A gauche, les formations s'accordent pour inclure un volet "alimentation" dans la PAC. 

La France insoumise propose ainsi de "réduire fortement la part de l'alimentation carnée notamment en favorisant des subventions de la PAC pour les cultures végétales à destination de l'alimentation humaine". PS-Place publique demande de son côté "une TVA à taux réduit sur les produits de l'agriculture biologique"

"Nous voulons favoriser l'alimentation locale, avec la généralisation des plans alimentaires territoriaux, des journées européennes végétariennes et bio dans les cantines scolaires et la restauration collective, le retrait des aides de la PAC en cas d'exportation et l'instauration d'un conditionnement des aides à un critère territorial pour relocaliser l'agriculture", détaille Europe Ecologie - Les Verts.

Moins teinté d'écologie, le programme des Républicains se distingue par sa volonté de rétablir le "préférence communautaire dans le domaine agricole" mais aussi par la création d'un "Fonds européen permanent de prévention et de gestion des crises agricoles pour intervenir rapidement en dehors du principe budgétaire d'annualité de la PAC". LR appelle aussi à défendre "des synergies avec d'autres programmes européens", prenant comme exemple "les applications du secteur spatial au secteur agricole dans la gestion des terres et des ressources".

10 mai 2019

"Fichiers Monsanto" : quelles sont les personnalités fichées ?

Les documents ont été établis fin 2016 par des agences de communication travaillant pour Monsanto et révélés jeudi 9 mai par Le Monde et France 2.

"Un gros pegouze productiviste destructeur de l environnement épand du glyphosate sur ses cultures le 11 mai 2018. ( AFP / JEAN-FRANCOIS MONIER Un agriculteur épand du glyphosate sur ses cultures le 11 mai 2018. ( AFP / JEAN-FRANCOIS MONIER )

 

200 noms au total. Des journalistes, des politiques et des scientifiques.  Le groupe américain Monsanto, propriété depuis 2018 de l'allemand Bayer, aurait secrètement fiché "des centaines de personnalités" en France en fonction de leur position sur les pesticides, notamment le glyphosate, utilisant parfois des informations privées. "Ce fichier, que Le Monde et France 2 se sont procuré, provient d'une fuite d'un cabinet de lobbying et de relations publiques majeur, Fleishman-Hillard, mandaté par Monsanto pour l'assister dans sa défense du glyphosate", note Le Monde jeudi 9 mai. 

Le quotidien du soir donne des précisions sur l'identité des personnalités réparties dans deux tableaux. "Près de la moitié sont des journalistes" qui pour la plupart couvrent pour leur rédaction les questions ayant trait à l'environnement et à l'agriculture. Y figurent également les noms de vingt-cing personnalités politiques, des ministres en place à l'époque de la constitution du fichier en 2016, des eurodéputés et députés français, précise Le Monde. Le fichier comporte également les noms de dirigeants d'organisations agricoles ou d'ONG et d'associations. 

CHRISTIAN JACOB (LR) MEILLEUR ALLIÉ ÉLU

Ainsi, Jérémy Decerle, ancien président du syndicat des Jeunes agriculteurs, en quatrième position sur la liste LREM pour les européennes, est classé comme "un allié potentiel" dans le "fichier Monsanto". La navigatrice Maud Fontenoy, classée à l'époque comme conseillère de Nicolas Sarkozy, est, elle, décrite comme "plutôt sceptique, mais ouverte d'esprit". Autre "allié potentiel", l'actuel président de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand. Le député LR Christian Jacob est lui perçu comme le meilleur soutien de Monsanto parmi les élus, note Le Monde. 

Les ministres de l'époque, Marisol Touraine et Ségolène Royal sont considérées comme "hostiles" au glyphosate. Les noms des eurodéputés Verts Michèle Rivasi et Yannick Jadot se trouvent également dans la liste parmi les opposants à l'herbicide controversé. L'actuel ministre de l'Agriculture Didier Guillaume, à l'époque membre du Parti socialiste, est lui aussi classé parmi les détractreurs au glyphosate. Le nom du ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le Maire, à l'époque membre du parti Les Républicains, est également cité. 

UNE CARTOGRAPHIE DU GÉANT FRANÇAIS PUBLICIS

Désherbant le plus utilisé au monde, le glyphosate est classé "cancérigène probable" depuis 2015 par le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il est commercialisé sous diverses marques, notamment le Roundup. 

Dans un premier document datant de 2016, une cartographie portant le logo de Monsanto et du géant français de la publicité Publicis classe les principaux acteurs du débat sur les pesticides en France en fonction de leur degré d'influence, affirme l'enquête. 

Une deuxième agence de communication, Fleishman Hillard "aurait quant à elle utilisé en 2016 un autre fichier", rassemblant notamment les adresses privées ou encore les numéros de téléphone sur liste rouge de 200 personnalités. 

LES "ALLIÉS" ET LES AUTRES

Ces dernières ont été "évaluées sur plusieurs thématiques, des OGM aux pesticides avec des notes de 0 à 5 en fonction de la crédibilité, l'influence et le degré de soutien à Monsanto", affirme le reportage.

Dans un autre document, un tableau cible 74 "cibles prioritaires" divisées en quatre groupes : les "alliés", les "potentiels alliés à recruter", les personnalités "à éduquer" et celles "à surveiller". Sur la base de cette liste a été établi un plan d'action personnalisé, avec les loisirs de ces cibles, et pour les "alliés", des propositions de tweets et d'infographie à diffuser, selon France 2. 

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10 mai 2019

La France et l'Inde à la manoeuvre dans l'océan Indien

https://www.lepoint.fr/economie/la-france-et-l-inde-a-la-manoeuvre-dans-l-ocean-indien-25-01-2019-2288746_28.php

bon les ordres sont données par washington la france etant devenu le caniche nain des américains

pour rappel si je suis élue je vais totalement reformer les missions de l armée

1/sorti de l otan

2/95% des missions de la marine consitera à

a/ramener les migrants illegaux ( par exemple tous ce qui se trouvent à calais dans leur pays d'origine)

b/traquer et detruite les trafiques d'animaux de drogue et d'etre humain

bref une armée qui servira les interets de la France et plus les interets de multinationales ni des usa

10 mai 2019

liste-d-un-parti-musulman-aux-europeennes-on-est-des-citoyens-a-part-!!!!

les cons ca osent tout

je rappel que si je suis élu je ferais voter des loins anticommunautariste donc ce type de parti  ne pourra pas exister

/liste-d-un-parti-musulman-aux-europeennes-on-est-des-citoyens-a-part-entiere-pas-des-citoyens-a-part-

10 mai 2019

encore du pognon foutu en l air

Fondation sur l'esclavage en 2019, mémorial en 2021!!!!!!

on résume encore un organisme bidon où ils recaseront leur petits copain politicards aux frais du contribuable

en un mot le changement ca sera quand macron sera plus la pas avant

si je suis élu je supprimerais tous ces organismes bidons et les petits copains iront pointer à pôle emploi ou retraite de base rien d'autre

il est plus que temps de faire le grand ménage la dedans pour le bien des Français

9 mai 2019

pétitions à signer

https://www.citizaction.fr/petition/halte-a-la-confiscation-des-chemins-champetres/

Si vous aimez vous promener dans la nature, aux abords des champs, et emprunter les chemins ombragés par les haies bocagères qui sillonnent nos campagnes, peut-être avez-vous déjà été surpris de constater la disparition d’un sentier qui pourtant existait depuis des siècles, ou la fermeture par une barrière d’un chemin que vous pensiez public et ouvert à tous.

Ce n’est malheureusement pas une situation exceptionnelle : en France, ce maillage de petits chemins utilisés depuis la nuit des temps par les riverains pour se rendre d’un village à l’autre, par les paysans pour se rendre à leurs champs, ou par les animaux pour circuler à la lisière des fourrés – est petit à petit en train de disparaître

Ces chemins font l’objet d’un statut très particulier : ils n’appartiennent pas au domaine public comme le sont les routes par exemple, mais au domaine privé de la commune à laquelle ils sont attachés. Et quand bien même le code rural affirme qu’ils sont « affectés à l’usage du public », dans les faits la loi prévoit qu’ils peuvent être légitimement confisqués par des particuliers, dès lors qu’ils peuvent prouver l’avoir occupé – tout à fait illégalement – depuis plus de 30 ans !

Ce mécanisme s’appelle la prescription acquisitive : il suffit qu’un agriculteur se mette à labourer et cultiver le chemin qui bordait son champ pour que celui-ci disparaisse des mémoires, qu’il cesse d’être emprunté… et trente ans plus tard, il peut en toute légitimité en réclamer la propriété, sans avoir à dédommager ses concitoyens pour cette perte de patrimoine commun…

C’est ainsi que plus de 200 000 km de chemins ruraux ont été rayés de la carte ces 60 dernières années, majoritairement transformés en terres agricoles ou confisqués par des particuliers gênés par le passage des promeneurs à proximité ou à l’intérieur de leur domaine.

Cette disparition n’est pas seulement regrettable pour les promeneurs, randonneurs, cavaliers ou chasseurs qui empruntent ces chemins. Elle participe au massacre de nos bocages et paysages ruraux, autrefois sillonnés de haies protectrices qui délimitaient les champs et prairies et abritaient un sentier permettant de circuler entre eux.

Avec l’accaparement des chemins au profit d’intérêts particuliers, plus rien n’oblige à la conservation de ces haies, refuges de tant de petits animaux, rongeurs, oiseaux et insectes pollinisateurs. Celles-ci sont couramment arrachées afin de permettre l’agrandissement de la zone arable qu’elles jouxtent – au détriment de tous les services écosystémiques qu’elles rendent, et de la beauté et la diversité de nos paysages de campagne !

Devant l’urgence à protéger nos chemins champêtres, les sénateurs ont adopté une proposition de loi pour permettre aux communes de suspendre l’acquisition par des particuliers de bouts de chemin ruraux tant qu’un inventaire du maillage rural n’a pas été dressé. Cela permet notamment de repérer les itinéraires de randonnée et éviter leur fermeture arbitraire !

Mais cette proposition salutaire est entre les mains des députés depuis 2015. Et depuis 4 ans, ces derniers refusent de la mettre à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale. On ne peut imaginer combien de kilomètres de sentiers champêtres ont été confisqués depuis au détriment du bien commun, ni combien d’hectares de haies et de friches, refuges de biodiversité, ont été arrachés…

… mais une chose est sûre : il est inadmissible que les députés fassent la sourde oreille à cette proposition de loi qui permettrait de mettre fin rapidement à l’accaparement de notre patrimoine rural exceptionnel au profit d’une petite minorité de particuliers.

C’est pourquoi j’ai décidé de lancer cette pétition, et je fais appel à toute personne qui aime nos campagnes, s’y promener, admirer la variété et la beauté de nos paysages ruraux, observer les petits animaux qui nichent dans nos bocages, et qui comme moi considère qu’il s’agit d’un patrimoine commun à conserver, pour se joindre à moi et obliger, par notre nombre, les députés à se prononcer sur ce texte primordial pour la sauvegarde de nos chemins champêtres.

S’il vous plaît, ajoutez votre signature à ma pétition, et transférez ce message à vos proches, en particulier s’ils sont eux aussi randonneurs, promeneurs, chasseurs, cavaliers… ou simple amoureux de la nature !

Merci par avance pour votre action.

Bien amicalement,

Jacky Boucaret,

Association Vie et Paysages,
pour le Collectif « chemins en danger »

8 mai 2019

14 milliards d’euros chaque année, c’est le chiffre astronomique que coûte la fraude aux aides sociales en France

Madame, Monsieur,
 
14 milliards d’euros chaque année, c’est le chiffre astronomique que coûte la fraude aux aides sociales en France.
 
RSA, sécurité sociale maladie, retraites, allocations familiales… c’est le pillage à grande échelle de l’argent des contribuables qui pourrait faire basculer notre système de protection social tout entier. Et l’Etat laisse faire.
 
Il est urgent de réagir ! C’est pourquoi, je vous demande de vous mobiliser à mes côtés en signant ma pétition contre le « Pillage de la sécu : STOP aux fraudeurs ».
 
D’autant que ça ne date pas d’hier ! L’affaire a été révélée en 2011 lors d’une enquête menée par des hauts fonctionnaires de la délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du budget, en collaboration avec l’INSEE et la police de l’air et des frontières :
 
Selon leurs estimations, au moins 1,8 million de comptes de sécurité sociale seraient frauduleux. On parle de 10 % de la totalité des comptes. C’est énorme !
 
Attribués sur la base de faux documents ou de fausses déclarations ils permettent ainsi à des milliers d’arnaqueurs de vider tranquillement les caisses de la Sécu en se faisant octroyer toutes sortes d’aides auxquelles ils ne devraient pas avoir droit.
 
Et la faille se trouve dans les comptes des « bénéficiaires nés à l’étranger »…
 
… C'est-à-dire les enfants d’expatriés Français nés à l’étranger ou les personnes de nationalité étrangère qui souhaitent pouvoir bénéficier de prestations sociales, pour travailler en France par exemple…
 
… Car dans ces conditions, la procédure d’intégration au système de protection sociale n’est pas automatisée. Le Numéro d’Identification au Répertoire des Personnes Physiques (NIRPP) est donc attribué manuellement par la Sécu qui se base sur les documents d’identité du pays de naissance…
 
… Autant vous dire que le processus de contrôle est plutôt léger ! Surtout depuis le « décret de simplification » des procédures mis en place par le gouvernement Hollande. Depuis, une simple photocopie peut faire l’affaire. Alors bien sûr, les faux documents foisonnent et les petits malins qui connaissent bien le système peuvent très facilement se créer 20 identités différentes ou bénéficier de statut privilégié. Pour eux c’est le jackpot et c’est vous qui payez !
 
Comme dans l’histoire de cet algérien qui a réussi à détourner 32 000 euros d'allocations adulte handicapé en 2 ans, en se faisant passer pour un réfugié irakien. Il lui a suffit d’un faux extrait d'acte de naissance pour obtenir son NIRPP et être totalement pris en charge. Le plus fou, c’est qu’une fois l’escroquerie découverte, le tribunal de Strasbourg l’a relaxé. Estimant qu’il n’y avait pas eu de tromperie puisque « l’administration savait qu’il y avait une incertitude sur son identité ». Il a finalement été condamné en 2018…
 
… Mais combien d’autres escrocs continuent de profiter impunément de notre système de protection sociale ?
 
Plusieurs enquêtes sur le financement du terrorisme ont même révélé que 20 % des jihadistes partis en Irak et en Syrie ont continué à percevoir des aides sociales après leur départ de France. Ahurissant !
 
Et pendant ce temps, on s’étonne de ne plus avoir assez d’argent pour aider ceux qui en ont réellement besoin. Alors, en France, la politique sociale est de plus en plus injuste pour les travailleurs et les plus fragiles, les lits d’hôpitaux sont fermés, les médicaments de moins en moins remboursés et les retraites rabotées de toutes parts.
 
Cette omerta administrative et les pouvoirs publics qui, par leur laxisme, se font complices de cette fraude, au détriment des honnêtes citoyens, est inacceptable !
 
En 2011, le gouvernement avait pourtant décidé de voter un amendement permettant l’arrêt des versements dès la constatation d’une pièce frauduleuse dans un dossier. Mais après l’alternance politique de 2012 le projet est tout simplement passé à la trappe.
 
Aujourd’hui le gouvernement prétend vouloir lutter « massivement contre la fraude documentaire ». Très bien !
 
Sauf que depuis 2011, l’administration avoue n’avoir traité que 5 000 faux comptes sur les 1,8 millions de dossiers potentiellement suspects ! A ce rythme on n’est pas prêts d’en venir à bout !
 
Et quand, il y a quelques mois, des hauts fonctionnaires de l’inspection des finances ont à nouveau tiré le signal d’alarme sur cette situation catastrophique, qui permet chaque année à des escrocs de détourner des milliards, l’administration s’est contentée de minimiser les chiffres sans chercher plus loin.
 
Alors en 2018, malgré l’avis défavorable du gouvernement, la Sénatrice Nathalie Goulet a décidé de relancer le dossier. Elle a réussi à faire enfin adopter par le Sénat, le 7 décembre dernier, un amendement prévoyant « un rapport d’information sur l’étendue de la fraude relative à l’attribution des numéros de Sécurité sociale ».
 
Mais l’Assemblée nationale a ensuite voté contre la remise de ce rapport prétextant une réflexion future sur le sujet…
 
Pourquoi attendre ? Quand on voit l’état dramatique des finances publiques, le trou de la Sécu qui se creuse et une politique sociale de plus en plus injuste envers les honnêtes citoyens, peut-on vraiment se permettre de laisser 14 milliards d’euros se volatiliser ainsi chaque année ? Certainement pas !
 
C’est pourquoi, si on ne veut pas que le dossier se retrouve à nouveau caché sous le tapis, nous citoyens, devons nous mobiliser le plus massivement possible, pour exiger de toute urgence, une enquête, sérieuse et publique, sur la fraude sociale documentaire en France afin d’établir un bilan précis de la fraude, réévaluer son montant et mettre en œuvre des procédures efficaces pour mettre fin à ce pillage inacceptable de l’argent des citoyens.
 
D’autant plus que des solutions existent. On pourrait par exemple remettre tout le système d’inscription à zéro avec des pièces d’identité biométriques, vérifiées pour tous. Ou encore vérifier individuellement tous les comptes des bénéficiaires nés à l’étranger. Même s’il faudrait environ 5 ans pour tout vérifier, je crois que pour économiser 14 milliards d’euros par an ça en vaut la peine !!!
 
Si nous n’agissons pas très vite, c’est tout notre système social qui pourrait être remis en question.
 
Alors s’il vous plait, signez ma pétition contre le « Pillage de la sécu : STOP aux fraudeurs ».
 
Je compte sur vous pour m’aider à appeler un maximum de citoyens à se mobiliser contre cette fraude sociale désastreuse pour notre pays. En dévalisant ainsi les caisses de la Sécu c’est aussi l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants que ces arnaqueurs mettent en péril.
 
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