Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

projet pour la france

projet pour la france
Derniers commentaires
18 mars 2021

oui à la proportionnelle en un tour

et le referemdum une fois par an

le modele démocratique c'est la suisse

Pourquoi la promesse d'introduire la proportionnelle aux élections législatives est une nouvelle fois enterrée

sinon non déoler la vaccination je m en bat les couilles je me ferais injecter un produit non tester sur 5 ans contre un virus qui ne me fera aucun mal

par contre la mise en place de la proportionelle en un tour pour une vrai démocratie oui j y tiens

 

Publicité
Publicité
17 mars 2021

bonne nouvelle pan dans la gueule des pétasses voilées de l islam

une claque dans la gueule des nazillon de  l islam

Le Sri Lanka interdit burqa et niqab, les musulmans dénoncent une mesure de discrimination

Suisse: les 5 raisons qui ont scellé l’interdiction de la burqa

entre parenthese le model démocratique suisse est à instaurer en France

17 mars 2021

lutte contre la pollution lumineuse

17 mars 2021

apres les sénateurs tueurs d'abeilles le conseil d'etat tueur d'abeille

je l ai deja dit il faut supprimer le sénat idem pour les vieusx débris du conseil d'état.

ils servent à rien du tout nous coutent une fortune et sont jsute les suces boules des gros lobby industrielle et gros agriculteurs productivistes

bref il faut organiser un référendum  demandant la suppression du sénat et leur donner la retraite de base a 1000€ par mois pas un centime de plus

France : feu vert du Conseil d'État au retour temporaire des néonicotinoïdes


17 mars 2021

La ville de Blois en proie à des violences urbaines

deja dit vue le systeme judiciaire ubuesque et ultra laxiste que l on a c a n a rien d'étonnant

il faut construire prisons low cost et virer les juges laxistes

Supermarché vandalisé, station-service incendiée: le chef-lieu du Loir-et-Cher a été, dans la nuit de mardi à mercredi, le théâtre de violences urbaines inhabituelles qui ont éclaté après "un refus d'obtempérer" lors d'un contrôle de la Brigade anticriminalité.

Publicité
Publicité
16 mars 2021

et encore de l argent gaspiller pour rien

bref du blabla du jetage de l argent par la fenetre  qui ne fera pas baisser d'un iota la délinquance

il n y a rien a attendre de gouvernement de minableincompetent sur toute la ligne

Le gouvernement va déployer d'ici l'automne 600 éducateurs et médiateurs sociaux dans 45 quartiers sensibles pour "reconnecter les jeunes à la société" face à la montée des violences entre eux, a annoncé mardi la ministre de la Ville.

"La montée des violences est une réalité", nourrie par le trafic de drogues mais aussi, plus récemment, par des "groupes de jeunes qui ont décidé de s'entendre et qui lancent des appels sur les réseaux sociaux pour en découdre" avec d'autres groupes de jeunes, explique Nadia Hai dans une interview au Figaro.

Au début du mois, le gouvernement a décrété la mobilisation générale contre les rixes entre jeunes, après plusieurs bagarres mortelles, notamment en Ile-de-France.

Outre les sanctions, et "compte tenu de l'urgence absolue", "nous souhaitons lutter contre tout cela" à travers "un accompagnement renforcé", ajoute Mme Hai, en annonçant le déploiement de "600 adultes spécialisés dont 300 éducateurs de rue et 300 médiateurs sociaux" dans 45 quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) de 28 départements.

Ce "bataillon de la prévention", financé à hauteur de 26 millions d'euros sur deux ans, sera "entièrement déployé à l'automne", visible "sur le terrain, dans les halls d'immeubles", et chargé "d'aller chercher ces jeunes pour les reconnecter à la société avec une idée très simple: l'écoute, toute aussi importante que la peur du gendarme", selon elle.  

Cet "accompagnement personnalisé" devra, "à travers des actions ciblées", guider "les plus vulnérables dans leurs parcours scolaire, professionnel et citoyen" pour lutter contre ces "décrochages" qui "nourrissent" les violences. S'il existe déjà des médiateurs et éducateurs sur le terrain, "ils ne sont pas suffisants dans certains territoires", ajoute la ministre.

"Aucune action ne peut être efficace si elle ne repose pas sur deux jambes: la prévention et la sanction. On ne peut avoir une approche du +tout sécuritaire+ sans s'attaquer aux réels maux de ces violences", aggravés par les restrictions sanitaires, souligne-t-elle.

Outre les phénomènes de bandes, la violence récente chez les jeunes se caractérise par une plus grande "féminisation" et de plus en plus de "comportements addictifs" et de violences auto-infligées, dont des suicides, note-t-elle enfin.

Le renforcement de la médiation fait partie des objectifs du plan gouvernemental de lutte contre la violence chez les jeunes qui doit être adopté d'ici le 1er mai.

 

 

13 mars 2021

oui à l'expulsion de tout les sans papiers

La famille d'accueil doit être également totalement pénalement responsables des actes celui qu'elle fait libérer ! et les juges aussi. Stop à l'irresponsabilité légale et pénale des juges !

Pourquoi ceux qui veulent les garder contre nos lois ne les prennent ils pas totalement en charge. Les magistrats de la cour d'appel devraient avoir à supporter le cout de résidence. Quant à Joly si c 'est cela les "justes " c'est insultant pour ma grand mère.

Le gouvernement nous explique une fois encore que si les lois ne sont pas faites pour être respectées les impôts par contre sont faits pour être payés..........

y en a marre des collabos à sans papiers

Haute-Loire: remise en liberté d'un jeune Malien menacé d'expulsion

Eric Durupt et Véronique de Marconnay, le couple qui héberge Madama Diawara, un jeune Malien menacé d'expulsion, lors d'une manifestation le 10 mars 2021 devant la préfecture de la Haute-Loire au Puy-en-Velay ( AFP / Thierry ZOCCOLAN )

2>Un jeune Malien menacé d'expulsion par la préfecture de la Haute-Loire a été libéré vendredi soir du centre de rétention administrative où il avait été transféré mardi, a-t-on appris samedi auprès de sa famille d'accueil.

"La cour d'appel de Lyon a ordonné la remise en liberté de Madama, que nous avons ramené à la maison hier soir", a déclaré à l'AFP Eric Durupt, l'enseignant qui, avec sa compagne, héberge depuis plus de deux ans dans la région du Puy-en-Velay Madama Diawara, âgé de 19 ans.

Le jeune homme s'est aussitôt vu notifier par la préfecture une assignation à résidence, avec obligation de pointer quatre fois par semaine auprès de la gendarmerie, selon sa famille d'accueil et une représentante du réseau Education sans frontières de la Haute-Loire, Christine Chevalier.

Mardi prochain, un recours contre l'obligation de quitter le territoire français qui a été prise à son encontre par le préfet de la Haute-Loire, Eric Etienne, doit être examiné par le tribunal administratif de Lyon, a précisé M. Durupt.

Samedi en fin de matinée, environ 300 personnes selon la police, 400 d'après le comité de soutien à Madama Diawara, dont la pétition a reçu plus de 36.000 signatures, ont défilé dans le centre du Puy-en-Velay. 

En tête de cortège, des migrants originaires d'Afrique, dont certains étaient en tenue de travail, tenaient une banderole où était écrit : "Il vit ici, il reste ici. Solidarité avec Madama et les autres". 

Accueilli en décembre 2018 par le couple après avoir traversé la Méditerranée puis les Alpes jusqu'à Briançon, le jeune homme a été scolarisé puis a effectué un premier stage chez un couple d'éleveurs qui lui a proposé un contrat d'apprentissage.

Mais la préfecture de la Haute-Loire refuse de lui délivrer un titre de séjour, mettant en doute l'authenticité de son acte de naissance.

Mardi, il avait été placé en garde à vue pour "usage de faux documents" après une convocation par la police de l'Air et des Frontières à Gerzat (Puy-de-Dôme) puis conduit au centre de rétention administrative de Lyon. 

Une requête contre son placement en rétention avait été rejetée jeudi. Le jeune homme avait fait appel.  

 

11 mars 2021

droit à mourrir dans la dignité

bien évidement que j aurais signer cette loie je suis pour le droit à mourrir dans la dignité

d'ailleurs je suis pour l euthanasie du sénat  placardsdorée à vieux croutons de la politique suce boule des lobbys industriels

d'ailleurs je suis pour un référendum sur la question les français ont le droit de choisir.

Euthanasie: le Sénat s'oppose au "droit à mourir dans la dignité" proposé par les élus PS

Fin de parcours brutale pour la proposition de loi de Marie-Pierre de La Gontrie visant "à établir le droit à mourir dans la dignité": le Sénat à majorité de droite a supprimé sa principale mesure et la sénatrice PS a annoncé le retrait de son texte, "vidé de sa substance".

A l'issue d'un débat riche, mêlant argumentaires et témoignages les plus intimes, les esprits se sont quelque peu échauffés au moment du vote d'un amendement de Pierre Médevielle (Indépendants) visant à supprimer l'article 1er du texte. En l'occurrence l'article qui posait le droit à bénéficier, sous conditions, de l'aide active à mourir, selon deux modalités: l'assistance médicale au suicide et l'euthanasie.

La suppression de cet article qui constituait le coeur du texte a été acquise par 161 voix en faveur de sa suppression et 142 contre, lors d'un scrutin public à la demande du groupe Les Républicains.

Le scrutin public au Sénat permet aux élus absents de l'hémicycle, qui ne participent donc pas au débat, de prendre part au vote.

Faisant le constat que le texte était ainsi "vidé de sa substance", Mme de La Gontrie a demandé son retrait de l'ordre du jour, interrompant son examen. 

Selon la sénatrice, le recours au scrutin public "pose un problème démocratique". "La plus grande partie" des sénateurs présents dans l'hémicycle, "très fourni" jeudi matin, se sont exprimés "en faveur" de la proposition de loi, a-t-elle déclaré.

L'écologiste Raymonde Poncet-Monge a de son côté fustigé un scrutin "hypocrite", "illisible de l'extérieur".

 

Le texte porté par la sénatrice de Paris était examiné dans le cadre d'une "niche" parlementaire du groupe PS. 

Il a reçu un avis "défavorable" du ministre de la Santé Olivier Véran, pour qui "aujourd'hui, cinq ans après la loi Claeys-Leonetti (qui autorise la sédation profonde et continue, NDLR) le principal enjeu n'est pas tant de la faire évoluer que de la faire connaître".

Le cadre actuel "permet de résoudre l'immense majorité des situations difficiles", a ajouté le ministre, qui a annoncé le lancement dès avril d'un 5e "plan national de développement des soins palliatifs et d'accompagnement de la fin de vie".

"Je ne crois pas que le moment choisi pour modifier le régime juridique de la fin de vie soit le moment opportun", a encore déclaré M. Véran, soulignant que "nous sommes encore aujourd'hui en plein combat face à la crise sanitaire" du Covid-19.

Selon le ministre, cette question "nécessite le temps d'un débat, parlementaire évidemment", mais aussi d'"un débat national impliquant les Français, les associations et les corps intermédiaires".

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/euthanasie-le-temps-est-venu-de-legiferer-plaide-le-depute-ps-guillaume-garot

8 mars 2021

islam=nazisme

tolérance zero pour l'islam et les collabos à l'islam

et dissoulution immediate de ce pseudo syndicat de collabo à islamiste

 

L'Institut d'études politiques (IEP) de Grenoble est en proie à des tensions autour d'accusations d'islamophobie visant deux professeurs par le biais d'un affichage sauvage qui fait désormais l'objet d'une enquête ( AFP / Franck Fife )

>En plein débat sur "l'islamo-gauchisme" au sein des universités, l'Institut d'études politiques (IEP) de Grenoble est en proie à des tensions autour d'accusations d'islamophobie visant deux professeurs par le biais d'un affichage sauvage qui fait désormais l'objet d'une enquête.

Cette enquête, ouverte ces dernières heures par le parquet pour "injure publique" et "dégradation", est le dernier épisode d'une polémique autour d'un cours sur l'islam en France et de la préparation d'une "Semaine de l'égalité" contre les discriminations.

Un malaise qui s'est cristallisé jeudi quand des étudiants ont placardé à l'entrée de l'institution des affichettes indiquant: "Des fascistes dans nos amphis. L'islamophobie tue". Le tout accompagné du nom de deux professeurs et relayé en photo par des syndicats d'étudiants sur les réseaux sociaux.

"Traiter des gens de +fasciste+ est une injure (...) Il y a un vrai danger à ce que ces professeurs soient menacés et subissent des conséquences sous cette exposition-là", a expliqué à l'AFP le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant, répondant ainsi au signalement fait vendredi par la direction de l'IEP.

"Les menaces, les injures et les pressions n'ont pas leur place dans l'enseignement supérieur", a pour sa part souligné dimanche dans un communiqué la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Frédérique Vidal, elle-même au coeur d'une polémique pour ses récents propos sur l'"islamo-gauchisme" à l'université.

Condamnant "fermement ces faits", elle a aussi annoncé son intention de diligenter "dans les meilleurs délais", et "en parallèle à l'enquête judiciaire", une mission de l'inspection générale de l'Education "afin d'établir les responsabilités de chacun et de contribuer à rétablir la sérénité au sein" de l'établissement.

Un cours intitulé "Islam et musulmans dans la France contemporaine", dont le professeur en charge est visé par l'affichage sauvage, est dans le collimateur de l'Union syndicale Sciences Po Grenoble (US) - le premier syndicat étudiant de l'IEP. 

Dans un appel sur Facebook le 22 février, le syndicat avait demandé des témoignages d'étudiants sur d'éventuels "propos problématiques" qui y auraient été tenus, sans nommer l'enseignant.

L'US expliquait notamment qu'elle souhaitait faire "retirer" cet enseignement "des maquettes pédagogiques pour l'année prochaine si, lors de ce cours, des propos islamophobes y étaient dispensés comme scientifiques".

En réaction, le maître de conférence avait, dans un courriel, demandé aux étudiants appartenant au syndicat "de quitter immédiatement (ses) cours et de ne jamais y remettre les pieds". Une injonction qui avait fait l'objet quelques jours plus tard d'une plainte pour "discrimination syndicale", classée sans suite depuis. 

C'est "un appel à la délation" avec pour conséquence "une situation de danger grave et imminent", a renchéri l'avocat du professeur, Me Eric le Gulludec, interrogé par l'AFP. 

De son côté, l'Union syndicale assure que son appel ne relève que "d'une habitude de sondages menés régulièrement auprès des étudiants". Interrogée par l'AFP, une porte-parole du syndicat a démenti la paternité de l'affichage sauvage.

- "Vindicte populaire" -

L'Unef, dont la branche grenobloise a aussi relayé ces affiches sur les réseaux sociaux, a reconnu dimanche une initiative "maladroite et dangereuse" dans un communiqué, réaffirmant "son opposition à toute haine, à tout lynchage public et son attachement à la liberté d'expression".

Le deuxième professeur visé par le collage est un professeur d'allemand qui enseigne à l'IEP depuis 25 ans. La polémique le concernant serait née fin novembre après un groupe de travail informel constitué d'enseignants et d'étudiants, pour préparer la semaine de "l'Égalité et contre les discriminations".

"Je m'étais inscrit pour préparer une journée thématique au titre: racisme, islamophobie, antisémitisme (...) Je comptais contester dans la discussion avec ma collègue et mes étudiants cet alignement de ces trois termes dans une seule thématique", a-t-il raconté sur l'antenne de BFMTV.

Ce dernier a indiqué avoir été "exclu du groupe de travail parce que les étudiants se disaient blessés", estimant faire l'objet depuis janvier d'une campagne menée par les "plus extrémistes" d'entre eux. En "congé maladie", l'enseignant prépare la suite judiciaire éventuelle à donner.

"Je pense qu'on devrait tous prendre la mesure de ce qui s'est passé avec l'assassinat ignoble de Samuel Paty", a réagi dimanche devant la presse le ministre de l'Intérieur Gérarld Darmanin, en déplacement à Tourcoing (Nord), appelant à "protéger" les enseignants de "la vindicte populaire".

Dimanche soir, le maire EELV de Grenoble Eric Piolle a condamné dans un tweet "ces collages injurieux", soulignant que "les chasses aux sorcières n'ont pas leur place à l'université" et appelant "à prendre soin de nos professeurs".  

Contactée par l'AFP, la direction de l'établissement n'avait toujours pas réagi à ces informations dimanche.

5 mars 2021

Il faut "travailler moins pour travailler mieux et travailler tous", selon l'insoumis.

pour rappel le paradigme de mon programme:

moins de vitesse plus de temps libre

limitation de la vitesse à 70km/h partout et limitation du poid des voitures à moins de  700kg

1/comme cela moins d'accident+voitures autonomes possible +moins de consommation d'energie ( pétrole ou électrique)+ moins de stress sur les routes

en échange de cette limitation de vitesse et puissance des voitures : semaine de  4 jours et deux mois de vacances

2/comme cela plus de temps pour parents de s'occuper des enfants +relance des hotel relais et tourisme+moins de probleme de santé

bref rentrer dans le 21 eme siecle et oublié l'ancient monde dont le mini minuscule micron est le representant.

Semaine de 32 heures, 6 semaines de congés payés et retraite à 60 ans : la recette d'Adrien Quatennens contre le chômage ass="c-source c-news-detail__source ">Boursorama avec Media Services03/03/2021 à 11:28
>Il faut "travailler moins pour travailler mieux et travailler tous", selon l'insoumis.

 

Adrien Quatennens à Paris, le 27 mai 2020. ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Le député LFI du Nord, Adrien Quatennens, s'est insurgé, mercredi 3 mars, contre l'entrée en vigueur annoncée de la réforme de l'assurance-chômage.

"C'est une honte, cette réforme doit être abandonnée", a estimé le cadre insoumis sur franceinfo . "Déjà avant la crise du Covid-19, cette réforme était honteuse", a-t-il expliqué, car "le gouvernement part de l'idée qu'en diminuant l'accès à l'indemnisation du chômage, se serait une politique de retour à l'emploi. Avec cette réforme, 40% des indemnisés vont perdre sur leurs indemnités chômage" .

"Le nombre de demandeurs d'emploi augmente plus vite que le nombre d'emplois créés parce que depuis 2002 le temps de travail est bloqué", a encore estimé Adrien Quatennens, pour qui les solutions sont claires.

"Il faut une baisse du temps de travail"

"Il faut une baisse du temps de travail, selon l'insoumis. Travailler moins pour travailler mieux et travailler tous. La France insoumise souhaiterait que les 35 heures soient véritablement appliquées et pourquoi pas qu'on aille vers les 32 heures, qu'on puisse avoir une sixième semaine de congés payés et la retraite à 60 ans."

La réforme aménagée de l'assurance-chômage entrera en vigueur le 1er juillet pour le nouveau mode de calcul controversé de l'indemnisation des demandeurs d'emploi, ont indiqué mardi les syndicats à l'issue d'une ultime séance de concertation avec le ministère du Travail mardi.

Le durcissement de l'ouverture des droits (de 4 à 6 mois de travail sur les 24 derniers augmentés d'une période de neutralisation liée aux confinements) entrera en vigueur au plus tôt au 1er octobre. Il dépendra d'une amélioration du marché de l'emploi appréciée sur six mois à partir du 1er avril. 

Publicité
Publicité
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 332
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité