Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
projet pour la france
projet pour la france
Derniers commentaires
20 février 2015

les cons ca osent tout

Publicité
Publicité
17 décembre 2014

sortons de l europe le plus vite

/europe-38-millions-deuros-de-gaspille-pour-des-aeroports-vides

l europe nous coute une fortune sert a rien du tout a part nous faire envahir par les immigres et gaspille l argent

la france doit sortir de l europe l argent des francais pour les francais

4 juin 2014

abstention aux europeennes

infographie_abstention-d075e-439c6

2 juin 2014

islam=nazisme la turquie

Les médias n'évoqueront pas le sort de Kessab, un village peuplé d'Arméniens qui, il y a un peu plus de deux mois, a été attaqué par des djihadistes. D'après plusieurs universitaires spécialistes de la région, cette offensive aurait eu le soutien de la Turquie voisine...

et les merdes fils de pute de technocrates europeens qui veulent supprimer les visas pour les trucs pour rentrer en europe

la france doit sortir au plus vite de l'europe et remettre frontiere et ne plus verser un centime à bruxelle.

27 mai 2014

europe france qui fait quoi

projet pour la france europe

Publicité
Publicité
30 avril 2014

10 tristes palmarès de l'Espagne

http://www.express.be/joker/fr/platdujour/palmars/204599.htm

le plus fun c est que si vous relisez des anciens express d il y a 6 ans il encensait l espagne: croissance......patatipatata
[smilie=valoranim01.gif] [smilie=valoranim01.gif]

11eme palmares .l'Espagne nous a apporté Manuel Valls... :evil:

 Sarkozy citait l'Espagne , comme modèle économique. D'ailleurs en 2006/2007, il citait comme modèle économique, l'ESPAGNE, les USA et l' ANGLETERRE. 15 mois plus tard, ces 3 pays étaient victimes plus que d'autres de la crise financières de 2008.

20 mars 2014

Big Brother Bruxelles, et la perte de la souveraineté nationale

19 novembre 2013

malte un paradis fiscal dans l europe

Citoyenneté de l’UE à vendre…

Décidément l’Europe va à l’encan : le Parlement de l’île de Malte, membre de l’UE, vient de voter une loi qui permettra aux non-ressortissants européens d’acheter la nationalité maltaise pour la modique somme de… 650.000 euros. Avec en prime, outre la carte d’identité maltaise, le passeport européen qui donne le droit de résider et de travailler dans les 28 États membres de l’Union européenne, ainsi que l’accès libre à l’espace Schengen… Encore mieux que le droit du sol, le droit de l’euro sonnant et trébuchant !

Le Premier ministre socialiste de Malte entend ainsi – raison officielle avancée – augmenter les revenus de son pays, tout en attirant des individus de « haute valeur » susceptibles d’investir dans cette ancienne colonie britannique spécialisée dans les services d’intermédiation financière. De l’euro hard cash, en quelque sorte… On croit rêver ! Mais personne n’est dupe de l’hypocrisie de ces bonnes raisons. Le système fiscal maltais, très accommodant – c’est un euphémisme – permet d’ores et déjà d’attirer de nombreux dépôts de non résidents, lesquels ont massivement afflué depuis l’entrée du pays dans l’UE. Il ne restait plus qu’à leur offrir le gîte et le couvert du passeport européen. Voilà qui est désormais chose faite sur cet archipel méditerranéen considéré comme une « juridiction à palmiers » : fiscalité faible ou nulle, pas de transparence, pas d’échange de renseignements et pas d’activité économique réelle, à part le tourisme ou les activités en ligne comme les paris sportifs, les casinos ou le trading de devises.

L’opposition nationaliste accuse les socialistes au pouvoir de dévaloriser la citoyenneté maltaise et de vouloir « prostituer Malte » encore davantage… La Commission européenne, quant à elle, n’a rien trouvé à redire à la commercialisation de la nationalité maltaise. « Les États membres ont pleine souveraineté pour décider comment et à qui ils accordent la nationalité », a indiqué un porte-parole, soulignant que la jurisprudence de la Cour de Justice européenne en la matière était bien établie.

6 novembre 2013

Capitale allemande pauvre cherche start-ups pour création d'emplois:

Sans sous ni industrie mais énergique et bon marché, Berlin parie sur les start-ups pour créer les emplois qui lui font cruellement défaut.

"L'objectif doit être de devenir numéro un des start-ups en Europe". Le défi est lancé par le maire de Berlin, Klaus Wowereit. Mais il y a "encore un peu de travail", reconnaît l'inventeur du slogan de ville "pauvre mais sexy".

Pour Berlin, ces mini-sociétés qui font le pari d'une idée innovante peuvent être un moteur économique, gonfler les rentrées fiscales et surtout "amener de l'emploi".

Elles pourraient générer 100.000 postes d'ici 2020, estime le cabinet McKinsey, sans détailler leur nature. Une bouffée d'air qui serait bienvenue dans une région où le taux de chômage dépasse 11%, le plus élevé du pays.

En moins de deux ans, la start-up Kiwi a créé neuf emplois. Quand elle a son premier enfant en 2005, Claudia Nagel, devant la difficulté de chercher ses clés pour ouvrir sa porte d'immeuble les bras chargés, a l'idée d'un badge d'accès à distance. A quatre, ils se lancent début 2012 et aujourd'hui, la société emploie 13 personnes.

Le maire de Berlin Klaus Wowereit, à son arrivée à un dîner d'Etat donné en l'honneur du président américain, à Berlin, le -19 juin 2013 ( AFP/Archives / Oliver Lang)

Berlin dénombre 2.500 start-ups actives, surtout dans l'internet et l'informatique, selon la jeune fédération du secteur. Cela lui laisse du chemin à parcourir pour se muer en Silicon Valley de l'Europe, titre revenant actuellement plutôt à Londres, 7e ville créatrice d'entreprises innovantes. Berlin n'est que 15e, derrière Paris ou Moscou, d'après McKinsey.

Vivier de jeunes talents

"Berlin a beaucoup d'avantages: d'abord, elle attire les jeunes talents internationaux", souligne Claudia Nagel. Parmi ses collègues, un Américain, un Néo-Zélandais, un Espagnol.

Et aussi "une forte concentration de start-ups", source d'émulation, une bonne situation géographique, beaucoup d'espace et, atout majeur, un coût de la vie relativement bas.

Avec votre pécule de départ, "vous tenez deux fois plus longtemps à Berlin qu'à Londres", relève Luis-Daniel Alegria, qui a démarré Vamos en 2012, avec deux amis, grâce au financement de proches.

Sans parler allemand, ce Suédois de 26 ans d'origine chilienne travaille maintenant à lever jusqu'à un million d'euros pour développer son application, agrégateur des événements dans une ville, et embaucher "trois à quatre personnes".

Pour attirer ces entrepreneurs débutants, Berlin joue la carte de la créativité et d'une vie universitaire et artistique bouillonnante. Sans faire miroiter d'argent car la ville n'en a pas.

Mais le maire compte sur des grands groupes à la recherche de l'idée géniale pour prendre sous leur aile de jeunes pousses. Microsoft doit ainsi ouvrir mi-novembre à des start-ups le dernier étage de ses nouveaux bureaux berlinois sur la célèbre artère Unter den Linden. Deutsche Telekom a son propre incubateur, hub:raum, quand les groupes Axel Springer et Otto ont investi dans Project A, qui s'inspire de Rocket Internet, le développeur d'entreprises à succès des frères Samwer, ayant permis aux entreprises Zalando (site marchand) ou eDarling (site de rencontres) de voir le jour.

"En ces temps de crise, il n'est question que de start-ups et d'entreprenariat", a lancé Marc Samwer, à l'ouverture du rassemblement de start-ups internet TechCrunch Disrupt, qui a choisi Berlin et un ancien hangar industriel sur les bords de la rivière Spree pour sa première version européenne.

L'épineuse question du financement demeure le principal frein à l'ambition de Berlin dans les start-ups, tout comme la frilosité des étudiants à devenir entrepreneurs et les difficultés administratives, décuplées pour les non-germanophones.

Selon Jens Begemann, du développeur de jeux Wooga, visité par la chancelière Angela Merkel au printemps, le bât blesse surtout au moment de trouver des investisseurs relais pour passer en phase de croissance.

Le gouvernement sortant avait ressorti l'idée d'une Bourse dédiée aux start-ups. Les négociations actuelles entre sociaux-démocrates et conservateurs pour former une coalition n'ont pour l'heure rien donné de concret.

14 octobre 2013

le modele suisse

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 > >>
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 340
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité