ma proposition pour sortir de la crise
organiser une élection présidentielle en mai 2019 mais à la proportionnelle en un tour
comme ça les Francais seraient enfin représentés comme il se doit
organiser une élection présidentielle en mai 2019 mais à la proportionnelle en un tour
comme ça les Francais seraient enfin représentés comme il se doit
il n'a plus quune chose à faire démissioner
minimicron toi et ta vieille bique on veut plus te voir
popularite-macron-poursuit-sa-chute-18-11-2018
paris-vignette-crit-air-5-interdites-circulation-mesure-anti-pauvres
chacun ses murs quoi
il existe heureusement une procédure de destitution pour nous débarassé de ce nuisible
S’il est élu à l’Assemblée nationale, le candidat de l’UPR à l’élection législative partielle de l’Essonne proposera à tous les députés de lancer la procédure de destitution de Macron (article 68 de la Constitution).
Yavar Siyahkalroudi, candidat de l’Union populaire républicaine (UPR) à l’élection législative partielle dans la première circonscription de l’Essonne, qui vise à remplacer M. Valls, annonce qu’il demandera à ses collègues de lancer la procédure de destitution de Macron s’il est élu député. Cette proposition est soutenue par François Asselineau et par l’ensemble de l’UPR.
En application de l’article 68 de la Constitution, Yavar Siyahkalroudi appellera les parlementaires à se constituer en Haute-Cour, et à voter la destitution de Macron, qui n’a eu de cesse depuis le début de son mandat de brader les intérêts de la France, d’affaiblir l’unité nationale et la démocratie, de piétiner le droit international, et de se soumettre aux puissants tout en s’en prenant aux faibles, lorsque son devoir lui commandait de faire exactement l’inverse.
Parmi les manquements « à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat » pour reprendre les termes de l’article 68, il convient de signaler (sans que cette liste soit exhaustive) :
Cela fait beaucoup, et même beaucoup trop.
Il n’y a qu’un seul moyen de mettre un terme à cette longue litanie de veuleries et de parjures, c’est la destitution de Macron. L’UPR demande aux électeurs de la première circonscription de l’Essonne de nous aider à la lancer, en votant pour Yavar Siyahkalroudi.
your country officer your planet officer
Plongée dans un des domaines les mieux protégés de la République...
Leurs " placards dorés " font rêver. Nichés au sein des institutions, des organismes paisibles, des fondations, ou à des postes enviables dans le secteur privé, ils jouissent de revenus confortables et échappent à toute pression. Le réseau des recasés de la République, qui abrite de nombreuses célébrités et une armée d’inconnus qui valent le détour, est un continent obscur, avec ses arcanes, ses lois, ses jeux d’influence feutrés...
Ce livre d’enquête, qui s’appuie sur des documents et des témoignages, aborde l’un des domaines les mieux protégés de la République Française. Il dévoile qui sont ces " protégés du pouvoir ", ces hommes et ces femmes désormais éloignés des médias, et les raisons de leur accès à ces douillettes fonctions. En renouant le contact avec les personnalités les plus populaires, mais en découvrant aussi des anonymes assis sur des secrets explosifs, le lecteur trouvera de nombreuses réponses à ses interrogations sur les innombrables commissions et structures qui font de notre administration l’une des plus complexes au monde. À l’heure où l’on répète qu’il faut réduire les dépenses publiques et réconcilier les citoyens avec les politiques, il est temps de lever le couvercle de la marmite des recasés pour découvrir ce monde caché où grouillent tous ceux qui ont su se faire apprécier du pouvoir pour des motifs souvent peu reluisants ou que leur " modestie " condamne au silence...
Biographie de l’auteur
Roger Lengletest philosophe, et journaliste d’investigation. Jean-Luc Touly est militant associatif et juge prud’homal. Spécialistes du lobbying et de la corruption, ils ont notamment cosigné L’Eau des multinationales : les vérités inavouables (Fayard, 2005), L’Argent noir des syndicats (Fayard, 2008), Le vrai pouvoir d’un citoyen (François Bourin 2012) et Syndicats, corruption, dérives, trahisons(First, 2013).