et une promesse de plus enterrée
Bercy renonce à limiter les salaires des grands patrons:
mollande n est plus à ca pret en tous cas il aura bien cocufié ses electeurs
mollande n est plus à ca pret en tous cas il aura bien cocufié ses electeurs
je pense que pour rellement changer de societe il faut s'en prendre à la tete et notament aux x enarque qui se comportent comme les nobliaux de 1793
supprimer l x interdire le cumul de mandat et ne plus prendre des x a la tete des grandes entreprises francaise
supprimons aussi l ena et plus d'enarque comme ministre ou députés
si ils se croient indispensable qu ils se rappelent que les cimetieres sont remplis de gens irrenplacables.Des merdes dans des bas de soie voila ce qu ils sont et rien d'autre
bon attention je n ai rien a voir avec le cretin de melenchon qui veux un nivellment des salaires pour moi la france a besoin de bon ingénieurs de bon chercheur de bon enseignant de bon chirurgien de bon patron d'entreprise donc oui il peut y avaoir de haut salaire mais la ces grands patrons du cac40 ne creent aucune richesse ( aux usa personnes ne voudraient d'eux) idem les footeux les abrutis de la télé et du cineam donc je vais rellement traite ces gens comme des delinquants car ils sont des delinquants des voleurs qui s'appoprient les grands entreprises francaise pour leur unique compte
Le montant de la rémunération variable accordée au PDG de Société Générale, Frédéric Oudéa, a augmenté de 75% en 2012 par rapport à 2011, à 1,19 million d'euros, selon le document de référence de la banque disponible sur son site internet.
Sa rémunération fixe est restée inchangée à 1 million d'euros.
Selon le document, la rémunération variable de M. Oudéa sera "entièrement différée et convertie en actions ou équivalents cessibles sur 3 ans entre 2014 et 2016", c'est-à-dire qu'il ne percevra pas de paiement pour ce bonus en 2013.
"Le Conseil d'administration (...) a estimé que la direction générale avait très largement atteint ses objectifs fixés en matière de renforcement des fonds propres et de la structure du bilan, de réduction des risques, de consolidation des franchises commerciales et d'adaptation des métiers", indique la banque.
Société Générale a dégagé en 2012 un bénéfice net de 774 millions d'euros, divisé par trois en raison d'éléments exceptionnels, et vise 1,450 milliard d'euros d'économies entre 2012 et 2015.
Le directeur général de sa concurrente BNP Paribas, Jean-Laurent Bonnafé, a perçu 1,68 million d'euros de bonus pour 2012, soit une hausse de 40% par rapport à l'année d'avant.
les gagnants ne sont ni les employes ni le consommateur ni les petits porteurs d'action mais uniquement le pdg qui en profitent pour se verser des salaires royaux
Et Didier Lombard vient d'être recruté dans la toute nouvelle commission "Innovation 2030" inaugurée à l'Élysée par François Hollande le 19 avril... Super :-(
Un document interne de France Télécom datant de 2006 et relayé mardi par Le Parisien, témoigne de la violence sociale à l'époque au sein de l'entreprise marquée par une vague de suicides en 2008 et 2009.
Alors que l'enquête judiciaire sur les drames qu'a connu le groupe se poursuit au pôle de santé public du Tribunal de grande instance de Paris, le quotidien rend public un fac-similé d'un compte-rendu d'une réunion d'octobre 2006 de l'Acsed, l'association des cadres de France Télécom.
Selon ce document, l'ancien PDG Didier Lombard, aurait déclaré: "Il faut qu'on sorte de la position mère poule. (...) Ce sera un peu plus dirigiste que par le passé. C'est notre seule chance de faire les 22.000" suppressions de postes programmées dans le cadre du plan Next qui visait à réduire les effectifs entre 2006 et 2008.
Selon Le Parisien, il existe deux versions de ce document. Dans la version originale, M. Lombard indique: "en 2007, je ferai les départs d'une façon ou d'une autre, par la fenêtre ou par la porte". Cette version a ensuite été édulcorée pour devenir "en 2007, je ferai les départs d'une façon ou d'une autre".
D'après le quotidien, la secrétaire de l'Acsed aurait indiqué aux policiers en décembre ne plus posséder la version originale car ses responsables lui auraient demandé de la détruire. Elle ajoute avoir pris elle-même l'initiative d'atténuer les propos tenus lors de la réunion.
La Parisien rapporte que les anciens dirigeants de France Télécom assurent n'avoir donné aucune directive pour détruire les documents et estiment qu'il ne sont pas crédibles.
"Ces documents sont la transcription de la violence sociale que nous avons vécue et c'est ça qui est nouveau", a réagi de son côté Sébastien Crozier (CFE-CGC), après avoir pris connaissance du document dans la presse.
Il y avait "beaucoup d'éléments" illustrant le déni de la direction de l'époque au sujet du malaise social, mais peu illustrant la violence, a-t-il ajouté, jugeant "interpellant le fait qu'il y ait une atténuation des propos" car cela montre "qu'il y a des gens qui ont pris conscience de l'étendue des dégâts" à l'époque.
Un rapport de l'Inspection du travail mettant en cause la gestion du personnel et une plainte de Sud avaient conduit à une information judiciaire en avril 2010. La CFDT, la CFE-CGC/Unsa, la CFTC, la CGT et FO s'étaient constituées partie civile.
Dans le cadre de cette enquête, Didier Lombard, deux autres responsables et France Télécom en tant que personne morale ont été mis en examen pour harcèlement moral en juillet dernier.
En 2008 et 2009, le nombre des suicides de salariés s'est établi à 35, selon direction et syndicats.
au lieu d'aider une entreprise 100% francaise on confie la fabriquation des uniformes de la police a une boite géré par des maffieux x enarque mondialisé qui ont pour seul objectif de couler la france
vive francois le fou
si marine veut faire quelque chose pour la france elle fait fermer polytechnique et l ena
en construction
j ai trouve un article sur samsung dans le magasine capital : comment le coreen a gagner la guerre du smartphone et sur les conditions de travail qui n ont rien ce comparable avec chez nous
comme vous le savez je suis pour l'instauration de la semaine de 4 jours et 2 mois de vacances
la question est comment rester compétitif face à d'autre économie?le protectionisme oui bien sur il est necessaire mais il ne fait pas tout
on doit maintenir la compététivité et vendre de la technologie associé a un niveau de vie meilleur qu il y a en chine en corée en inde au brésil aux usa.........
c'est pas moi qui dit ca mais un monsieur richard sennet
http://www.lexpress.fr/actualite/economie/redonner-un-sens-au-travail_789689.html
le partage de travail est expérimenté aux pays bas et en Angleterre.
ca tombe bien je suis pour la semaine de 4 jours et 2 mois de vacances mais en echange d'une limitation de vitesse a 70km/h pour diminuer de moitié notre consommation de pétrole
au medef ferait mieux de s'occuper des salaires exhorbitants et du copinage dans les conseils d'administrations des grosses boites avant que ca leur retombent sur la gueule
ce troudeballs du ps ferait meiux de s'occuper des racailles que sa petit copine daubirate refait mettre en circulation le lendemain
bande de bouffons du ps ca me sidere que vous trouviez encore des cons pour voter pour se ramassis d'ordure
PARIS (Reuters) - Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, qui s'est inquiété mardi des risques "d'implosion sociale" en France en raison de la crise économique, a lancé jeudi un avertissement aux ouvriers en colère, estimant qu'il n'y a "pas de place pour la violence".
L'annonce par Goodyear Dunlop France de son intention de fermer son usine de pneumatiques d'Amiens-Nord (Somme), les licenciements prévus à PSA et la confusion quant à l'avenir de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) ont ravivé des tensions en France, théâtre d'annonces à répétition de plans sociaux depuis plusieurs mois.
"Il y a de la désespérance chez les ouvriers, chez les ouvrières, il y a de la colère. (...) J'en appelle évidemment à la retenue, au dialogue social, à la recherche de solutions", a dit jeudi le ministre de l'Intérieur sur Europe 1.
"Il n'y a pas de place pour la violence, et je lance évidemment un avertissement, la police, elle fait son travail, mais on ne peut pas admettre qu'on cherche à casser l'outil de travail, à briser des mobiliers urbains, qu'on s'attaque à des édifices publics, qu'on lance des boulons sur des policiers", a-t-il ajouté.
Le ministre du Travail Michel Sapin a de son côté appelé de ses voeux un "dialogue renoué entre les organisations syndicales et la direction de ces entreprises".
"On peut comprendre qu'il y ait de la tension, qu'il y ait parfois même de la colère chez les syndiqués, chez les salariés concernés", a-t-il dit sur Radio Classique et Public Sénat.
"Nous sommes là pour trouver des solutions", a-t-il ajouté.
Interrogé mardi sur BFM TV, Manuel Valls avait estimé qu'on assistait "moins à des mouvements sociaux qu'à des explosions, des implosions sociales".