guillotine et prison a vie pour les magouilleurs et voleurs
Jean-Pierre Jouyet,hollande,enarque,voleur,caisse des depots,Augustin de Romanet,Jérôme Gallot
ils pillent la france leur place est en prisons ou la tete sous la guillotine.on fait voter loie retroactive dans le temps et prisons a vie comme ca ils serviront d'exemple a ceux qu ils croient qu ils peuvent faire ce qu ils veulent en toute impunité.
http://www.marianne.net/bienvenue-caisse-jackpots-consignations-100231236.html
La Caisse des dépôts et consignations a beau être une institution publique, cela n'a pas empêché que soit décidé un juteux plan de distribution d’actions gratuites pour ses dirigeants. Soixante bienheureux ont ainsi récolté 8,62 millions d’euros !
Tirs de Kalachnikov à Marseille
tout est dit la le troudeballs valls s'en sert pour se faire mousser un peu et hop nos amis les jugeottes d'extreme gauche remettent tout en liberte le lendemain
Peu après ces tirs, les policiers avaient retrouvé sept Kalachnikov et plusieurs kilos de cannabis dans un appartement, dont les quatre occupants avaient été placés en garde à vue avant d'être relâchés sans que des charges ne soient retenues contre eux.
le rafale vendu ou donnée?????
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html
et pire que tout on risque de se les voir en face en cas de prise de controle du pays par les islamistes!, la on aura tout gagné..
mais bon on aura vendu des "rafales"
quelle bande de caves ces socialos...
Evidemment qu'un tel contrat n'est pas payé que par l'Egypte. Et si les américains ont laissé faire, c'est parce que Hollande s'est certainement engagé à suivre la politique atlantiste et d'être le supplétif des interventions militaires américaines.
Fraude fiscale : les personnalités épinglées dans l'affaire SwissLeaks
Le roi du Maroc, celui de Jordanie, Jacques Dessange, Christophe Dugarry ou encore Gad Elmaleh. Les personnalités soupçonnées d'avoir profité de la gigantesque fraude fiscale de HSBC sont issues d'univers très différents.
Baptisée "SwissLeaks", l'enquête, révélée par le journal "Le Monde", propose un voyage au coeur de l'évasion fiscale, mettant en lumière la face cachée du secret bancaire suisse et les ruses utilisées pour dissimuler de l'argent non déclaré.
Très précisément, entre le 9 novembre 2006 et le 31 mars 2007, quelques 180,6 milliards d'euros auraient transité sur ces comptes à Genève, cachés entre autres derrière des structures offshore au Panama et dans les îles vierges britanniques.
Les informations s'appuient sur des données soustraites à la filiale suisse de la banque, HSBC Private Bank, par un informaticien, Hervé Falciani, ex-employé de la banque à Genève. Pendant de nombreuses années, ces fraudes n'étaient connues que de la justice et de quelques administrations fiscales, même si certains éléments avaient filtré dans la presse.
Les données analysées font ressortir des profils très disparates, allant du chirurgien français venu placer ses honoraires non déclarés en Suisse aux têtes couronnées. Parmi les noms cités dans les différents médias figurent notamment le roi du Maroc Mohammed VI ou le roi de Jordanie Abdallah II. S'y ajoutent de nombreuses personnalités de la mode telles que le mannequin Elle McPherson ou la créatrice Diane von Fürstenberg, du spectacle à l'instar de l'actrice Joan Collins ou encore du sport comme le pilote moto GP Valentino Rossi, le pilote de F1 Fernando Alonso ou l'ex-tennisman, Marat Safin.
Le journal suisse "Le Temps", un des journaux partenaires pour ces révélations, met l'accent sur les personnalités politiquement exposées, évoquant entre autres Rami Makhlouf, cousin du président syrien Bachar al-Assad. Il cite également l'ancien ministre haïtien Frantz Merceron ou encore l'ancien ministre égyptien du Commerce et de l'Industrie Rachid Mohamed Rachid, qui avait été condamné à cinq ans de prison en juin 2011 pour abus de biens sociaux issus des fonds pour le développement du pays.
En France, "Le Monde" cite ainsi l'humoriste Gad Elmaleh, qui disposait, d'après le journal, d'un compte faiblement approvisionné à Genève, avec un peu plus de 80.000 euros entre 2006 et 2007. Selon les informations du journal, il aurait régularisé sa situation auprès du fisc français.
Le quotidien mentionne ensuite Jacques Dessange, fondateur d'un empire de la coiffure, qui possédait un compte dans la filiale suisse de HSBC sur lequel il aurait eu jusqu'à 1,6 million d'euros entre 2006 et 2007, selon les fichiers auxquels le journal a eu accès. Lui aussi fait partie des clients qui ont depuis régularisé leur situation et s'est acquitté d'une amende, précise "Le Monde".
"Le gouvernement est très déterminé à lutter contre la fraude fiscale, contre ces paradis fiscaux, et continuera d'agir en ce sens pour ce qui nous concerne mais aussi au niveau européen", a assuré Manuel Valls, ce lundi 9 février sur "Europe 1".
"Les données de la liste HSBC, à disposition de l'administration, ont été totalement exploitées, a-t-il ajouté. Au total près de 2.300 contrôles ont été diligentés par l'administration fiscale, 103 plaintes ont été déposées pour les cas les plus problématiques à l'administration fiscale. Des pénalités importantes ont déjà été réclamées aux contribuables concernés".
"Le Monde" a eu accès aux données bancaires de plus de 100.000 clients et a mis les informations à la disposition du Consortium des journalistes d'investigation (ICIJ) à Washington, qui les a partagées avec plus de 50 autres médias internationaux, dont le "Guardian" au Royaume-Uni ou la "Süddeutsche Zeitung" en Allemagne.
Les données, analysées par quelque 154 journalistes, portent sur la période allant de 2005 et 2007. Des milliards auraient transité sur ces comptes à Genève, cachés entre autres derrière des structures offshore au Panama et dans les îles vierges britanniques.
Sur son site, "Le Monde" publie une réponse de HSBC qui dit reconnaître les "manquements passés", et avoir pris depuis plusieurs années de nombreuses initiatives pour empêcher l'utilisation de ses services à des fins d'évasion fiscale ou de blanchiment d'argent.
La filiale suisse de la banque britannique HSBC a assuré lundi avoir "changé", après les "manquements constatés en 2007" : "HSBC (Suisse) a entamé une transformation radicale en 2008 pour empêcher que ses services soient utilisés pour frauder le fisc ou blanchir l'argent sale", a indiqué le directeur général de cette filiale, Franco Morra.
Selon la banque, une "nouvelle direction a procédé à un examen en profondeur des affaires, ce qui inclut des fermetures de comptes de clients qui ne correspondaient pas aux standards élevés de la banque, et la mise en place d'un système très poussé de contrôle interne". "Ces révélations concernant des pratiques du passé doivent rappeler que ce vieux modèle d'affaires de la banque privée suisse n'est plus acceptable", a conclu le directeur général.
Le secret bancaire en Suisse s'est réduit comme peau de chagrin, la pression sur les banques s'étant fortement accrue alors que de nombreux gouvernements ont accentué la chasse à l'évasion fiscale.
paris trop cher pour tous le monde de toute facons
paris trop cher pour tous le monde de toute facons en plus avec leur loi qu il faut amenager hotel pour handicapes les prix ont bondis resultat plus un seul hotel pas cher à paris il y a tout a revoir. paris se transforme petit à petit en bocal à riches boboides isole du monde reel. un peu comme une reserve à animaux exotiques.
je connaissais un hotel a chambre à 40€ vers l opera garnier racheter par une chaine ils ont refait papier peint et par la meme occassion multiplier les tarifs par deux pour les memes prestations. idem les autres hotels amenagement pour mettre aux normes et pas 50% d'augmentation pour la meme chambre.
/un-projet-hotelier-destine-aux-jeunes-ouvre-a-paris-pour-combler-un-vide-
Logement : un rapport propose la réduction des APL
pour relancer le logement il faudrait que les gens aient un emploi stable
que le prix des terrains baisse de 80%
le reste ce n'est que des elecubrations d'abrutis du ps ou de l ump planques dans des commissions placards dorées
Réduction des aides personnelles au logement (APL), suppression de la prime pour travaux de rénovation énergétique, fin progressive des aides à la pierre: un rapport au gouvernement propose plusieurs mesures chocs pour réformer la politique du logement, révèlent jeudi Les Echos.
Le Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD), l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l'Inspection générale des finances (IGF) avaient reçu pour mission de scruter la politique du logement "à la fois extrêmement coûteuse pour les finances publiques (46 milliards d'euros en 2014, soit plus de 2% du PIB) et régulièrement dénoncée pour son manque d'efficacité (les mises en chantiers sont au plus bas) et ses effets inflationnistes", rapporte le quotidien économique, se référant à ce document "gardé secret depuis l'été dernier".
"Le rapport d'inspection rendu public par Les Echos est un document de travail. Il n'exprime pas la position du gouvernement mais il vient contribuer à sa réflexion", a souligné la ministre du Logement Silvia Pinel, dans un communiqué.
"La priorité du gouvernement c'est la relance de la construction de logements pour répondre aux besoins des Français et le redémarrage d'un secteur essentiel de notre économie. La nécessaire maîtrise des dépenses publiques doit être conciliée avec cet objectif prioritaire", a-t-elle ajouté.
Les auteurs du rapport, qui jugent que les résultats des multiples aides au logement "ne sont pas à la hauteur des attentes", soumettent plusieurs mesures concrètes pour les réformer.
Parmi les plus importantes, ils proposent de "resserrer les critères d'attribution des aides personnelles au logement (APL), en rendant inéligibles à celles-ci les logements dépassant un certain niveau de loyer et de superficie et les ménages disposant d'un certain niveau de patrimoine" et de "mettre fin à la possibilité de rattachement au foyer fiscal des étudiants percevant une aide au logement", indiquent Les Echos. Cette dernière mesure "dégagerait 400 millions d'euros d'économies dès la deuxième année".
"Diverses mesures techniques visent à diminuer l'avantage fiscal actuel du statut de loueur en meublé non professionnel", ajoute le quotidien.
Les auteurs du rapport envisagent également la "suppression pure et simple des +aides à la pierre +", les subventions directes de l'Etat aux organismes HLM leur servant de fonds propres.
Pour diminuer les logements vacants, ils veulent aussi "permettre aux bailleurs particuliers de louer avec des baux de moins de trois ans, voire de pouvoir reprendre le logement en cours de bail".
Le rapport va par ailleurs "à contre-courant des mesures prises depuis l'an dernier pour soutenir les travaux de rénovation énergétique" en prônant "de supprimer la prime pour travaux et de porter la TVA sur ces travaux de 5,5% à 10%".
"Le gouvernement a déjà anticipé et répondu à plusieurs de ces recommandations", fait valoir Mme Pinel dont "le renforcement de la mutualisation de la trésorerie des bailleurs sociaux ou la facilitation de l'accession sociale dans le parc social" ou "le renforcement du prêt à taux zéro" et "l'expérimentation de l'encadrement des loyers".
Sur le front des APL, "un groupe de travail parlementaire sera constitué la semaine prochaine"
Le caricaturiste algérien Ali Dilem "souhaite bon courage" à la France !
courageux et lucide
Ali Dilem est un dessinateur qui inspire la loi : en 2001, le Code pénal algérien s'est enrichi d'une disposition surnommée "amendement Dilem", une disposition législative qui prévoit jusqu'à un an de prison pour offense au président de la République ou aux corps de l'État. Ce texte, taillé sur mesure pour le dessinateur du journal Liberté, aurait dû lui faire passer l'habitude de caricaturer les généraux du régime algérien. Mais cela n'a pas marché. Selon ses dires, il aime toujours les croquer : "Gros, moustachus, un peu moches et avec des mouches qui leur tournoient autour de la tête." Jusqu'ici, il a toujours échappé à la prison. Son humour grinçant l'a conduit plus de 50 fois devant les juges, à l'occasion de procès intentés par le pouvoir. Les islamistes radicaux ont eu moins d'égards. Ils n'ont pas eu besoin de procès pour le condamner à mort. Pourtant, Ali Dilem n'a jamais caricaturé de prophète. Tout juste a-t-il dessiné, un jour, une main sortant d'un nuage. Cette suggestion lui vaut des haines tenaces qui le poursuivent encore aujourd'hui sous la forme de menaces répétées. Même s'il vit reclus et caché, il refuse qu'on le présente comme "le dessinateur algérien menacé". Venu à Paris pour enterrer ses amis de Charlie Hebdo, le caricaturiste a accepté d'évoquer sa vie quasi clandestine à Alger. Il préférerait ne pas avoir à la raconter. "J'ai longtemps considéré que cela revient à jouer le...