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projet pour la france
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biodiversite
24 mai 2022

une minsitre de l'environnement qui est contre l'environnement

c est beau la micronie

continuons a empoisonner et detruire la biodiversité pour faire plaisir aux gros et gras pegouzes de la fnsea

"Nous ne pouvons pas faire cavalier seul, sinon c'est notre économie, ce sont nos agriculteurs, que nous laissons dans la panade", a justifié Amélie de Montchalin, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, sur l'antenne de France Inter ce mardi 24 mai.

Amélie de Montchalin, ancienne ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, est désormais ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Un choix qui n'a pas laissé indifférentes les ONG et associations écologiques, qui n'ont pas oublié qu'elle a voté, il y a près de cinq ans, contre un amendement qui visait à interdire le glyphosate, classé comme "cancérogène probable" par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) en 2021.

Elle s'en est défendue sur l'antenne de France Inter ce mardi 24 mai. "Je ne regrette pas une chose : d'avoir considéré que ce sujet était européen. A l'époque, souvenez-vous, la France s'était battue pour que le glyphosate soit au maximum autorisé pour cinq ans - ça va arriver en 2023 - plutôt que pour dix ans. Oui, en tant que député, j'avais fait un choix tout à fait assumé : nous ne pouvons pas faire cavalier seul pour n'importe quel domaine que ce soit, sinon c'est notre économie, ce sont nos agriculteurs, que nous laissons dans la panade", a-t-elle justifié.

"Pendant des années, on a imposé à nos agriculteurs des normes qui n'étaient pas imposées ailleurs. Le résultat : on a importé des produits qui n'appliquaient pas les normes, les Français consommaient des choses qui contenaient des produits qui n'étaient potentiellement pas autorisés en France", a expliqué Amélie de Montchalin.

"Sur le glyphosate, j'assume. C'est précisément la méthode que nous voulons pousser : on agit en européen, on agit pour ne laisser personne sans solution. Oui, on fait de la recherche, on cherche des alternatives, on fait des investissements. Le plan France 2030, il y a des investissements en milliards pour qu'on ait des nouvelles techniques, pratiques, solutions, pour que nous puissions sortir des pesticides et autres", a continué la ministre de la Transition écologique.

Une étude cruciale sur le glyphosate reportée

Mi-mai, une étude cruciale sur les effets du glyphosate a été reportée à juillet 2023. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) ont en effet annoncé dans un communiqué commun "avoir dû réviser le calendrier des étapes restantes du processus de réévaluation" du glyphosate, en raison du "nombre sans précédent d'observations" reçues par les deux régulateurs, notamment de la part d'experts des Etats membres.

Afin de "prendre en considération" ces centaines de contributions, les deux agences repoussent à juillet 2023 les conclusions de l'EFSA sur "tous les risques possibles de l'exposition au glyphosate pour les animaux, les humains et l'environnement", un rapport initialement attendu au "second semestre 2022".

Cette évaluation est indispensable à la Commission européenne pour décider de la prolongation ou non de l'autorisation délivrée à l'herbicide dans l'UE. L'autorisation actuelle, étendue en 2017 pour cinq ans, expire le 15 décembre 2022, mais elle sera automatiquement prolongée jusqu'à la fin du processus d'évaluation, à moins qu'un risque particulier ne soit identifié entretemps.

La France s'est donnée pour objectif de sortir de l'essentiel des utilisations de ce désherbant, avant une interdiction totale en 2023. Des organisations agricoles s'y opposent, pointant l'absence de produit alternatif.

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11 mai 2022

nos-metiers-sont-destructeurs-le-discours-choc-des-etudiants-d-agroparistech-

https://etudiant.lefigaro.fr/article/nos-metiers-sont-destructeurs-le-discours-choc-des-etudiants-d-agroparistech-en-pleine-ceremonie-des-diplomes_

ben oui l agriculture productiviste exportatrice detruit la biodiversité

mes propositions:en construction

 

7 mai 2022

Les pesticides, un véritable poison pour les abeilles, les oiseaux et les sols

5 mai 2022

Il n'y a plus d'oiseaux dans le ciel - Le billet de Tanguy Pastureau

😰😨🐦

16 octobre 2021

la-vente-de-fauves-cet-autre-trafic-dans-la-jungle-des-cites

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15 octobre 2021

scandaleux tout simplement c'est la qu on voit que macron se fiche de l'environnement et de la biodiversité

5/10/2021

Un oiseau pris dans un piège près de Tartas en août 2009 ( AFP / Nicolas TUCAT )

>Huit arrêtés sont parus vendredi au Journal officiel, autorisant des chasses d'oiseaux dites traditionnelles par piégeage malgré une décision du Conseil d'Etat qui les jugeait illégales, arrêtés immédiatement attaqués par des associations.

Début août, le Conseil d'Etat annulait plusieurs autorisations de chasse des vanneaux huppés, pluviers dorés, alouettes des champs, grives et merles noirs avec des filets (pantes, tenderies) ou de cages (matoles), jugeant "que ces autorisations délivrées par le ministre chargé de l'environnement ne sont pas conformes aux exigences du droit européen relatif à la protection des oiseaux".

La directive européenne "oiseaux" de 2009 interdit les techniques de capture massive d'oiseaux sans distinction d'espèces. Une dérogation est possible "à condition d’être dûment motivée et dès lors +qu’il n'existe pas d'autre solution satisfaisante+ pour capturer certains oiseaux", rappelait le Conseil d'Etat.

Le gouvernement a toutefois décidé de reprendre huit arrêtés pour 2021-2022, parus vendredi. Ils autorisent "la capture des vanneaux huppés et des pluviers dorés au moyen de tenderies aux filets" dans les Ardennes, la "tenderie (noeud coulant) aux grives et aux merles noirs" dans les Ardennes, "la capture de l'alouette des champs au moyen de matoles" dans les Landes et en Lot-et-Garonne et "la capture de l’alouette des champs au moyen de pantes" en Gironde, dans les Landes, en Lot-et-Garonne et Pyrénées-Atlantiques.

Cette mesure est interprétée par les associations comme un geste envers l'électorat très courtisé des chasseurs qui ont manifesté par milliers mi-septembre.

"C’est une décision du président de la République imposée aux ministres de l’Ecologie", commente la LPO dans un communiqué, alors qu'il est déjà reproché à Emmanuel Macron plusieurs largesses à l'égard des chasseurs pour s'assurer leurs votes.

Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), salue "l'arbitrage sans ambiguïté du président de la République en faveur des chasses traditionnelles", dans un communiqué.

La FNC se félicite "d’une collaboration studieuse avec les services du ministère de la Transition écologique" et fait valoir que "le Conseil d’Etat n’a jamais dit que les chasses traditionnelles étaient illégales mais il a considéré que les arrêtés nationaux concernés n’étaient jusqu’à présent pas suffisamment motivés".

La LPO a annoncé vendredi avoir attaqué ces nouveaux arrêtés devant le Conseil d'Etat, tout comme l'association One Voice en référé et sur le fond.

lpo protection des oiseaux projet pour la france

Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO, et des militants procèdent à des libérations de pinsons dans les Landes en novembre 2010 ( AFP / PIERRE ANDRIEU )

"Ce n'est pas très classe de prendre ces arrêtés un vendredi pour gagner un week-end de chasse", avait estimé jeudi le président de la LPO Allain Bougrain-Dubourg, lors d'une rencontre avec la presse. Il faut compter deux à trois semaines pour que la plus haute juridiction administrative française se prononce.

9 septembre 2021

A Marseille, la difficile traque du trafic d'espèces sauvages

construire prisons low cost

rétablir double peine

en cas récidive doublé puis tripler les peines

Au port de Marseille, douaniers et policiers de l'environnement fouillent des véhicules tout juste débarqués de Tunisie, à la recherche de tortues d'Hermann ou encore d'oiseaux chanteurs, des animaux sauvages très prisés comme tant d'autres. 

Des douaniers et des agents de l'Office français de la biodiversité (OFB) inspectent en détail des voitures et des utilitaires quittant le ferry arrivé de Tunis. L'opération est menée sous l'égide du parquet de Marseille.

Cartons et sacs en plastique sont ouverts, des champignons saisis et jetés à la benne pour éviter la propagation de bactéries. Des dentifrices aussi, qui ne respectent pas les normes européennes.

Pas de trace en revanche de tortue terrestre, de chardonneret élégant ou d'autre animal sauvage. Les deux espèces sont protégées par la convention sur le commerce international de faune sauvage, la CITES. Par conséquent, il est interdit de détenir des individus prélevés dans la nature.

Des agents des douanes et l'Office français de la biodiversité (OFB) procèdent à une fouille de véhicule à son arrivée par ferry d'Afrique du Nord, le 8 septembre 2021 à Marseille ( AFP / Nicolas TUCAT )

Cela n'empêche pas des familles de faire passer des tortues dans leurs bagages pour les enfants, ou des trafiquants d'importer des oiseaux pour les revendre, racontent des douaniers. Selon la Ligue de protection des oiseaux (LPO), ces passereaux chanteurs se revendent sous le manteau entre 150 et 1.000 euros.

Au port autonome de Marseille, "nous avons 15-20 saisies par an, presque uniquement des animaux vivants", indique Denis Terribile, chef de service de la brigade des douanes du port, pendant les contrôles. "Ca peut aller de trois à sept-huit animaux par saisie" et "ça alimente des marchés noirs", détaille-t-il.

A la fin de la journée et après la fouille de 200 voitures, les douanes et l'OFB auront saisi deux tortues grecques, protégées.

>- Une des cinq priorités -

"Il y a 26 ans, quand j'ai commencé, on ne nous sensibilisait pas autant" au trafic de faune sauvage, se souvient Denis Terribile. Depuis, des formations ont été mises en place.

Des agents des douanes et l'Office français de la biodiversité (OFB) procèdent à une fouille de véhicule à son arrivée par ferry d'Afrique du Nord, le 8 septembre 2021 à Marseille ( AFP / Nicolas TUCAT )

"Nos principaux objectifs sont les stupéfiants, le tabac, les armes, mais la convention CITES fait partie de nos cinq priorités", poursuit-il.

Selon un rapport des ONG WWF et TRAFFIC, la France est "l'un des trois premiers pays importateurs d'espèces sauvages en Europe", "avec plus de 28 millions de spécimens importés entre 2008 et 2017", à la fois des animaux vivants, morts ou des parties ou produits d'animaux (plume, écaille, bile, peau...) et des plantes.

Une partie de ce commerce est illégal, les produits les plus fréquemment saisis étant "l'ivoire d'éléphant, des reptiles vivants, des mammifères (vivants, corps, parties et produits), des corps d'oiseaux ainsi que des parties et produits, des corps de reptiles et leurs parties et produits."

"Le commerce illicite suit des tendances", explique à l'AFP Loïs Lelanchon de l'ONG Ifaw. Des produits transitent ainsi d'Afrique vers l'Asie en passant par la France, comme des écailles de pangolins, mais aussi des animaux vivants comme des perroquets gris du Gabon ou des singes magots du Maroc.

- "Petites condamnations" -

Si l'avion est privilégié pour transporter des animaux vivants (car le trajet est plus rapide), certains peuvent venir d'Afrique du Nord par ferry, poursuit-il.

 

"Le trafic d'animaux sauvages se divise en deux axes: la criminalité organisée et le commerce opportuniste qui peut inclure des touristes ne connaissant pas le cadre réglementaire", détaille Loïs Lelanchon.

"Ce type de criminalité commence à être considérée de façon plus sérieuse", mais pour les trafiquants, il reste "très lucratif et peu risqué" comparé aux peines encourues pour d'autres trafics, constate-t-il.

Les peines ont été durcies en France: "Porter atteinte à la conservation d'espèces animales non domestiques" est passible, de 150.000 euros d'amende et trois ans d'emprisonnement. 

"On est encore souvent sur des petites condamnations", tempère Eric Roux, inspecteur de l'environnement à l'OFB. "Ca ne touche pas à l'humain, à des armes ou de la drogue", mais pour autant, "ces trafics entretiennent des filières mafieuses", souligne-t-il.

La justice est sensibilisée à la question, assure le vice-procureur Michel Sastre. La société "ne tolère plus le trafic d'animaux" et "la justice doit être en phase avec son évolution".

25 mai 2021

bonne nouvelles environemental

5 mai 2021

Loi Climat votée : victoire de l'écologie spectacle sur la véritable écologie humaine (05/05/2021)

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pour les dechets ( canettes et boputeilles en plastique) es senateurs ont voté contre la consigne sur les canettes et bouteilles alors qu'il suffit de mettre une consigne de 1€ sur chaque bouteilles cannettes et hop on en verra plus sur le bord des routes.

idem il faut sortir des traités de libre échanges et instaurer une taxe biodiversité sur tous les produits agricoles et transformés provenant de pays d'agricultures productivistes (usa,bresil,argentine,allemagne,australie,nouvelle zelande.....................)

25 avril 2021

Pas de transition énergétique sans fixation d'un prix pour le carbone, dit Macron Reuters•22/04/2021 à 16:02 PAS DE TRANSITION

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22/04/2021

PAS DE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE SANS FIXATION D'UN PRIX POUR LE CARBONE, DIT MACRON

PARIS (Reuters) - L'action pour le climat passe par une régulation à l'échelle internationale, a déclaré jeudi le président français, Emmanuel Macron, en plaidant pour une fixation du prix du carbone.

"(...) Si nous ne donnons pas un prix au carbone, il n'y a pas de transition possible. Il nous faut donc intégrer la dimension environnementale dans le coût des investissements, dans nos marchés régionaux, dans nos relations commerciales", a-t-il dit lors d'un sommet virtuel sur le climat organisé par les Etats-Unis.

"Il n'y aura pas d'action environnementale crédible et durable s'il n'y a pas de justice sociale et climatique", a ajouté le chef d'Etat français.

 

absolument pas d'accord  la france n'a pas le cul propre pour aller renifler celui des autres

mettons en place  une vrai politique environnementale ( sortie agriculture productiviste ( taxe preservation biodiversité sur produit agricole importer),arret massif du bitumage et betonage de la france (moins de vitesse plus de temps libre) limitation du poidet de la vitesse des voitures ,pollution luminseuse  suppression de  90% des lampadaires.................

Ensuite une fois qu on aura un vrai pays qui protege son environnement et biodiversité on vendra savoir faire aux pays pollués

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