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projet pour la france
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collabos
25 juin 2020

terroristes toujours dangereux vont sortir de prison d'ici 2022 et circuler librement !!!

on est gouverne par des collabos il faut enfermer en taule la vieille sorciere belloubete comme ses fesses et moche comme un poil d'anus d emorpion

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8 juin 2020

portrait de collabos à racailles

bien évidement je n ai pas signé cette petition débile faite par des cretins d'extreme gauche ( qui je le rappel sont poil de cul dans les urnes) et complices des racailels et délinquants

la démocratie c est la loi des urnes pas de la rue  et il est grand temps de faire comprendre à ces bouffons que la majorité des français soutiennent la police et demande plus de répression contre les racailles

n'hésité pas à ecrire a change .org pour qu il retire cette petition odieuse

adama traore etait un trafiquant de drogue une racaille de banlieue ce qui lui est arrive etait largement mérite personne ne le plaindra à part des complice de racailels et délinquant

les Français doivent defendre leur police face aux racailels et aux cretins tierns mondiste complicent des racailles

Appel des familles contre l’impunité des violences policières,
pour l’interdiction des techniques d’immobilisation mortelles 
et des armes de guerre en maintien de l’ordre

Cette initiative est lancée par le collectif Vies Volées, le comité Adama, la famille Dieng et le comité Vérité et Justice pour Lamine Dieng (Paris, 20e), la famille d’Abou Bakari Tandia (Courbevoie, 92), la famille de Tina Sebaa (Saint-Fons, 69), la famille de Baba Traoré (Joinville-le-Pont, 94), la famille d’Abdelhakim Ajimi (Grasse, 06), la famille de Mahamadou Marega (Colombes, 92), la famille de Mahamadou Marega (Ivry, 94), la famille de Youcef Mahdi (Melun, 77), la famille d’Angelo Garand et le collectif Justice pour Angelo (Blois, 41), Awa Gueye et le collectif Justice et Vérité pour Babacar Gueye (Rennes, 35), le comité Justice et Vérité pour Wissam El Yamni (Clermont-Ferrand, 63), le comité Vérité et Justice pour Gaye Camara (Champs-sur-Marne, 77), le collectif Selom et Matisse (Lille, 59), le comité Justice pour Ibrahima Bah (Villiers-le-Bel, 95), le comité Vérité pour Curtis (Massy, 91), le comité Vérité et Justice pour Morad Touat (Marseille, 13), le comité Justice pour Liu Shaoyao (Paris, 19e), le comité Vérité et Justice pour Ali Ziri (Argenteuil, 95), Haby Koumé sœur d’Amadou Koumé (Saint-Quentin, 02), les parents et la sœur de Rémi Fraisse, le collectif Vérité et Justice pour Mehdi (Vaux-en-Velin, 69), Florica Floarea et le comité Vérité et Justice pour Dorel (Vigneux-sur-Seine, 91), Salah Zaouiya et l’association Mémoire Jawad Zaouiya (Mantes-la-Jolie, 78), Justice pour Mehdi Bouhouta (Vaux-en-Velin, 69), la famille Touré et le comité Vérité et Justice pour Zakaria (Troyes, 10), Siaka Traoré, frère de Bouna (Clichy-sous-Bois, 93), Geneviève Legay (Nice, 06), Franck Lambin, père d’Allan (Saint-Hilaire-des-Landes, 35), Vérité et Justice 31 (31), Fatiha, mère d’Hocine et le comité Vérité et Justice pour Hocine Bouras (Colmar, 68), Milfet, fille de Zineb Redouane, la famille de Cédric Chouviat (Levallois-Perret, 92), Marie-Paule Chenevat, en hommage à Romain (91), Carenne Levy, femme de Philippe Ferrières (Drancy, 93), Fatima Zerroukhi, mère de Joail et le comité Justice et Vérité pour Joail (Vienne, 38), l’Assemblée des Blessés et les Mutilés pour l’exemple.

Cédric Chouviat est le premier mort de l’année à cause de violences policières. Sera-t-il le dernier de la longue liste des personnes tuées par les forces de l’ordre ? Les statistiques des années précédentes nous font craindre que ce ne soit pas le cas. 26 décès en 2019, combien en 2020 ?

Nous apportons tout notre soutien et notre entière solidarité à la famille de Cédric pour qu’ils obtiennent la paix et la justice qu’ils demandent.

Car c’est aussi notre histoire. La vérité, la justice et la paix c’est aussi ce que nous demandons pour Lamine Dieng, 25 ans, décédé à la suite d’une clé d’étranglement et d’un plaquage ventral, tout comme Adama Traoré, 24 ans, Aboubacar Abdou, 31 ans, Abdelhakim Ajimi, 22 ans, Abou Bakari Tandia, 38 ans, Ricardo Barientos, 52 ans, Mohamed Boukrourou, 41 ans, Massar Diaw, 24 ans, Philippe Ferrières, 36 ans, Mariame Getu Hagos, 24 ans, Serge Partouche, 28 ans, Wissam El Yamni, 30 ans, Abdelilah El Jabri, 25 ans, Amadou Koumé, 33 ans, Mamadou Marega, 38 ans, Mohamed Saoud, 26 ans, Ali Ziri, 69 ans, mort après un pliage, Abdelhak Goradia, 51 ans, décédé par asphyxie dans un véhicule de police… et des dizaines d’autres « malaise cardiaque », « asphyxie », « mort naturelle » sans autre détail communiqués aux familles. Ce 3 janvier 2020, c’est Cédric Chouviat qui est décédé par asphyxie après une clé d’étranglement et un plaquage ventral.

Les témoins de cette interpellation ont confirmé ce que nous dénonçons depuis toujours : l’utilisation délibérée par les agents des forces de l’ordre de techniques extrêmement violentes et « potentiellement létales », selon la dénomination officielle. Clé d’étranglement, plaquage ventral et pliage, ces trois pratiques ont pour but d’immobiliser une personne en lui comprimant le thorax et le cou pour entraver la respiration. Mais plus la compression dure, plus l’interpellé manque d’oxygène et plus il se débat. Et plus les agents renforcent leur pression. Et plus cette violence tue.

Malgré les condamnations répétées de la France par la Cour européenne des Droits de l’Homme et par l’ONU, ces techniques continuent d’être pratiquées et de causer la mort. Malgré la condamnation de ces usages par la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International et l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture, l’Etat se contente de justifier le « travail » de ses agents.

Comme la femme, les enfants et le père de Cédric, nous avons fait confiance à la justice de notre pays. Mais notre expérience pour que la vérité soit faite sur les violences qui ont tué nos proches nous a fait découvrir la réalité d’un déni de justice systématique pour les victimes. Un déni entretenu par une véritable culture du mensonge qui entraîne une culture du non-lieu.

La famille Chouviat a déjà subi le même traitement de la part des autorités que celui que nous avons connu : non-information des proches puis mensonges sur les causes de la mort, mépris de toute compassion élémentaire, tentative de criminaliser la victime pour la déshumaniser et maintien en activité des responsables de la mort d’un homme. Autant de souffrances, d’insultes, de calomnies qui s’ajoutent à la douleur des familles.

Ces contre-vérités des premières heures justifient des années de procédures interminables, d’enquêtes administratives et d’instructions bâclées, voire conduites à charge contre les victimes et leur entourage. Et bien sûr des frais de justice considérables. C’est tout un système auquel sont confrontées les victimes et leurs familles, qui révèle une impunité permanente aux membres de forces de l’ordre qui blessent, mutilent et tuent. C’est une violence judiciaire qui excuse, absout et prolonge les violences policières.

Ces brutalités permanentes étaient auparavant « réservées » aux habitants des quartiers populaires, comme le Mouvement de l’Immigration et des Banlieues le dénonçait il y a plus de vingt ans. Aujourd’hui, elles débordent dans les centres-villes. Et tous les témoins du déchaînement furieux de la force publique contre les mouvements sociaux peuvent désormais comprendre la violence d’Etat qui nous est imposée.

Cette violence assermentée à présent visible jusque dans les quartiers bourgeois est également celle des armes classées armes de guerre, là aussi d’abord utilisées dans nos quartiers. Le flash-ball est apparu en 1999. Et il a aussitôt éborgné Ali Alexis, à Villiers-sur-Marne. Cette arme a été remplacée par le LBD qui a été « inauguré » en 2007, à Villiers-le-Bel, pour mater la révolte des habitants après la mort de Moushin et Laramy percutés par un véhicule de police. Et les grenades comme celle qui a tué Rémi Fraisse en 2014 ou celle qui a tué Zineb Redouane en 2018 ; comme celles qui ont mutilé des dizaines de personnes et grièvement blessé des centaines lors des dernières manifestations, sont les mêmes qui explosent dans nos quartiers depuis presque dix ans.

Ce ne sont pas des « bavures » ni des « dérapages » mais des pratiques régulières autorisées par un État qui assume de pouvoir blesser grièvement, mutiler ou tuer un homme pour un contrôle d’identité.

C’EST POURQUOI NOUS EXIGEONS :

➡ L’interdiction totale de l’usage par les forces de l’ordre de toutes les techniques d’immobilisation susceptibles d’entraver les voies respiratoires.

➡ L’interdiction totale des armes de guerre en maintien de l’ordre (LBD, grenades GMD, GM2L et similaires).

➡ La création d’un organe public indépendant de la police et de la gendarmerie pour enquêter sur les plaintes déposées contre les agents des forces de l’ordre.

➡ La mise en place d’une réglementation qui associe la famille dès le constat de décès (autopsie autorisée seulement après un entretien de la famille avec les services de la médecine légale).

➡ La publication chaque année par le ministère de l’Intérieur :
• du nombre de personnes blessées ou tuées par l’action des forces de l’ordre,
• du nombre de plaintes déposées pour violence par les forces de l’ordre,
• du nombre de condamnations prononcées.
 

Et nous vous appelons toutes et tous à nous rejoindre
le 14 mars à Paris, pour la Marche de la Journée internationale
contre les violences policières.

 

 

LAISSEZ-NOUS RESPIRER !
Vérité et justice – Pas de justice, pas de paix !

Avec le soutien collectif de :

Ligue des Droits de l’Homme, Union syndicale Solidaires, CGT, Attac France, UNEF, SNJ-CGT, Union nationale lycéenne, revue Mouvements, Attac Isère, Cases Rebelles, Désarmons-Les, Collectif Faty Koumba, Association Libre Lucha, collectif Dar Harraga, LeMurJaune.fr. Et les médias indépendant : Reporters En Colère, Collectif Œil, LaMeute Photo, Le Petit ZPL, Source Média, Infoline Médias Indépendants, Militant.e.s.

Et aussi :

Abd-Al Malik (auteur, réalisateur), Mouloud Achour (journaliste, animateur télé), Arié Alimi (avocat), Guillaume Arnaud (avocat), Rodrigo Arenas, Manon Aubry (députée européenne FI), Clémentine Autain (députée FI), Hady Ba (philosophe EHESS, Université Cheikh Anta Diop de Dakar), Samir Baaloudj (ex-MIB), Bally Bagayoko (FI, adjoint au maire de Saint-Denis), Guillaume Balas (Génération.s), Julien Bayou (EELV), Ramzy Bedia (comédien et réalisateur), Alice Belaidi (comédienne), Akram Belkaïd (journaliste, écrivain), Esther Benbassa (sénatrice écologiste de Paris), Malik Bentalha (comédien), Eric Beynel (porte-parole de Solidaires), Jacques Bidet (philosophe, Université Paris 10), Black M (rappeur), Philippe Blanchet (linguiste, université Rennes II), Matteo Bonaglia (avocat), Saïd Bouamama (sociologue, FUIQP), Martine Boudet (conseil scientifique Attac France), Philippe Boursier (économiste, Fondation Copernic), Rachida Brakni (actrice et metteuse en scène), Youcef Brakni (comité Adama), Taha Bouhafs (journaliste), Cindy Bruna (mannequin), Marion Carrel (sociologue, Université de Lille), Leïla Chaïbi (député européenne FI), Souleymane Cissokho (boxeur), Vanessa Codaccioni (historienne et politologue, Université Paris 8), Eric Coquerel (député FI), David Cormand (député européen EELV), Robert Crémieux (ancien président du Mouvement national des chômeurs et précaires), Olivier Cyran (journaliste), Valérie Damidot (animatrice télé, actrice), Laurence De Cock (professeure), Christiane Dedryver (Ensemble !), Geoffroy de Lagasnerie (philosophe), Christian Delarue (syndicaliste DGFIP), Gilles Deloustal (retraité), Vincent Denorme (Ensemble! 80), Vikash Dhorasoo (footballeur professionnel et militant associatif), Waly Dia (humoriste, comédien), Rokhaya Diallo (journaliste et réalisatrice), Noom Diawara (comédien), Sadia Diawara (militant associatif), DJ Lord Issa (artiste, producteur), Djigui Diarra (acteur, réalisateur, journaliste), Eva Doumbia (metteuse en scène, autrice), Franck Dubosc (acteur), Alain Dru (membre de la CNCDH, conseiller au CESE), Mireille Fanon-Mendès-France (Fondation Frantz Fanon), Nadia Fares (comédienne), Eric Fassin (sociologue, Université Paris 8), Elsa Faucillon (députée PCF), Bruno Gaccio (auteur), Isabelle Garo (philosophe, Fondation Copernic), Franck Gaudichaud (historien, Université Jean-Jaurès, Toulouse), Pierre Gayral (Ensemble !, Droits devant !!), David Guiraud (porte-parole jeunesse FI), Abdellali Hajat (sociologue, Université libre de Bruxelles), Anis Harabi (avocat), Kaoutar Harchi (écrivaine et sociologue), Samuel Hayat (politologue, CNRS), Hollysiz/Cécile Cassel (chanteuse, comédienne), IAM (musiciens), Imany (auteure-compositeure-interprète), Nordine Iznasni (MIB-ien), Adélaïde Jacquin (avocate), Jok’Air (chanteur), Norma Jullien Cravotta (avocate), Kamel Le Magicien, Almamy Kanouté (activiste, comédien), Anasse Kazib (cheminot, délégué Sud-Rail), Jean-Riad Kechaou (professeur), Raphael Kempf (avocat), Pierre Khalfa (économiste, Fondation Copernic), Fahima Laidoudi (militante politique), Elise Languin (militante des droits humains), Mathilde Larrere (historienne), Yvan Le Bolloch (comédien), Olivier Le Cour Grandmaison, (politologue, Université d’Evry-Val d’Essonne), Les Réfractaires du 80 (gilets jaunes de la Somme), Edouard Louis (écrivain), Benjamin Lucas (Génération.s), Priscillia Ludosky (gilet jaune), Alain Mabanckou (écrivain, professeur à UCLA), Aïssa Maïga (actrice et réalisatrice), Jean Malifaud (syndicaliste SNESup-FSU), Adrien Mamere (avocat), Sofia Manseri (conseillère municipale, Gennevilliers), Vincent Maraval (producteur de cinéma), Eduardo Mariotti (avocat), Philippe Martinez (secrétaire général de la CGT), Blaise Matuidi (footballeur), Margaret Mechin (retraitée), Didier Mehl (Ensemble ! sud-Vienne), Madjid Messaoudène (élu de Saint-Denis), Mokobe (rappeur, acteur), Claire Monod (Génération.s), Bénédicte Monville (conseillère régionale Île-de-France), Héloïse Moreau (présidente de l’UNL), Corinne Morel Darleux (conseillère régionale, Auvergne-Rhône-Alpes), Charlotte Namura Guizione (journaliste, animatrice télé), Samir Nasri (footballeur), Thomas Ngijol (comédien, réalisateur), Nnoman (photographe), Josette Noyau, Danièle Obono (députée FI), Younous Omarjee (député européen FI), Anne-Sophie Pelletier (député européenne FI), Irène Pereira (philosophe), Jhon Rachid (vidéaste, comédien), Maurice Rajsfus (connu des services de police depuis le 16 juillet 1942), Kevin Razy (humoriste, comédien), Riadh (influenceur, comédien), Mathieu Rigouste (chercheur en sciences sociales), Rocé (rappeur), Karole Rocher (comédienne, réalisatrice), Boris Rosenthal (avocat), Mamadou Sakho (footballeur), Eros Sana (photographe), Bayou Sarr (humoriste), Patrick Silberstein (éditions Syllepse), Lucie Simon (avocate), Laura Slimani (Génération.s), Maboula Soumahoro (présidente de Black History Month), Stomy Bugsy (artiste), Hapsatou Sy (entrepreneuse, animatrice télé), Hélène Sy (présidente de CeKeDuBonheur/militante humaniste), Omar Sy (acteur), Farid Taalba (ex-MIB, président de l’Echo des cités), Audrey Tcheuméo (championne de judo), Laurent Thines (neurochirurgien, auteur de la pétition pour un moratoire sur les armes “sub-létales”), Camille Vannier (avocate), Marie-Christine Vergiat (vice-présidente LDH), Emmanuel Vire (secrétaire général SNJ-CGT), Youssoupha (rappeur).

24 février 2020

les collabos à migrants

projet pour la france,immmigration,zero immmigration vite,les collabos à migrants qui sont ils?,perte des droits civiques pour les collabos à migrants, qui finance les ong passeurs de migrants,

Le Sénat italien devrait, cette semaine, rendre sa décision concernant le renvoi devant la justice de l'ancien ministre de l'Intérieur, Matteo Salvini, pour sa gestion des migrants recueillis sur le navire humanitaire Open Arms. Les sénateurs ont déjà donné leur accord la semaine dernière pour son renvoi devant la justice pour avoir interdit, l'été dernier, au navire Gregoretti de débarquer 116 migrants secourus en Méditerranée dans un port italien.

 

je suis pour la suppression des droits civiques et le licenciment des collabos à migrants

19 février 2020

mais qu on le coule ce bateau de merde à collabos

zero immmigration vite et tolérance zero pour les passeurs que ca des ong ou des maffias

>L'Ocean Viking, navire de secours en mer, est venu en aide mardi en fin de journée à 98 personnes fuyant la Libye à bord d'une embarcation pneumatique dans des conditions météorologiques "dégradées", a annoncé mercredi l'ONG SOS Méditerranée.

Parmi les rescapés, originaires notamment du Nigeria, dont certains de la région du Biafra, d'Afrique de l'Ouest ou du Soudan, figurent une femme et 15 mineurs, dont 14 non accompagnés.

Au petit matin mardi, l'équipage du navire affrété par SOS Méditerranée et Médecins sans frontières avait déjà secouru 84 personnes dont 21 mineurs non accompagnés venant du Bangladesh, du Maroc et de la Somalie.

Depuis l'été 2018, succédant à l'Italie qui assurait auparavant ce rôle, les garde-côtes libyens sont chargés par l'Europe de coordonner les sauvetages dans une vaste "zone de recherche et de secours" dépassant leurs eaux territoriales. Une mission que la Libye, en guerre, est incapable de mener à bien, dénonce SOS Méditerranée.

La situation est "profondément préoccupante" en Libye, plongée dans le chaos depuis la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, avec de multiples violations du cessez-le-feu entré en vigueur en janvier et de l'embargo sur les armes, selon l'ONU.

Dans la nuit de mardi à mercredi, le Gouvernement d'union nationale (GNA) a annoncé la suspension de sa participation aux travaux d'une commission conjointe militaire à Genève, sous l'égide de l'ONU, à la suite de violations répétées de la trêve.

L'homme fort de l'Est libyen, le maréchal Khalifa Haftar, mène depuis avril 2019 une offensive contre Tripoli, où siège le GNA reconnu par l'ONU. Les affrontements ont causé la mort de plus de 1.000 personnes tandis que 140.000 ont été déplacées, selon l'ONU.

En 2019, l'Organisation internationale des migrations (OIM) a recensé 1.283 décès connus en Méditerranée, la route centrale entre l'Afrique du Nord et l'Italie étant la plus mortelle. Au moins 19.164 migrants auraient péri dans les flots au cours des cinq dernières années.

10 novembre 2019

les pouffiasse voilées et les abrutis de l'islam qui osent manifester

si tu veux vivre comme au bled et petasses voilées et trouduc de l islam ben repart vite au bled

la bas ta pouffiasse pourra peter sous sa burka tu pourras lui jeter cailloux dessus l engrosser pour qu elle ponde 10 merdeux puants

gigoter ton croupion dans ta mochequetée  mais plus d'ecole pour des chiures plus d'hopitaux pour te soigner plus de caf de securité sociale

bref tu n'as rien a faire en france donc casse toi vite le trou à merde de l'islam et bon debaras

on te mettra les collabos islamophiles en paquet cadeaux

vivement une vrai répression contre ces merdes de l'islam et collabos islamophiles du haut et du bas

je comprend meme pas qu'on puisse toléré  une manifestation de ces merdes la france est vraiement dirigé par des collabos

qu ils prennent exemple sur les boudhistes qui eux nous font pas chier demande pas du pognon pour leurs temples font pas chier avec la nourriture  avec leur pouffiasses

et l'autre bobo qui est choqué lol et oh bichoune qui fait rentrer l'immigration en france le medef et les bourgeasses bref tes petits copains de merde les racailles du haut

Marche contre l'islamophobie : Villani "choqué"


 

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6 novembre 2019

un rapport pointe la réalité de la "migration pour soins" :encore un scoop!!!!

il n y a que les gros con de sénateurs et députes et leur gros cul bien au chaud paye par nos impots pour s'apercevoir 20 ans apres qu il y a de l immigration médicale

et pendant ce temps la notre mutelle à augmenter de 300% en meme pas 5 ans

pour en finir avec cela il faut commencer par taper sur toutes ses assos bidon collabo à migrants qui sont complices des passeurs maffieux. virer les juges laxistes et creer un corps de juge spécialisé  dans l'immigration illegale et les surveiller politiquement et bien évidement supprimer la cmu et l ame pour les étrangers et ceux qui n'ont pas la nationalité française

tolérance zero pour l immigration

Et c'est nous qui sommes surtaxés pour assumer les soins de ceux qui parfois ont mis par terre 35000 de nos soldats!

Méditez ça et revenez nous voir, Messieurs les « bisounours » et détracteurs sur TOUT...et pendant ce temps là, nos banlieues se radicalisent lentement mais surement, à un point tel qu'on se demande si on est encore en France, dans certaines..

La folie administrative française est à son paroxysme. alors que nous croulons sous les 400000 normes (80000 en Allemagne) qui étouffent les entreprises, il à fallut un "rapport" pour constater ce que tout le monde sait depuis des années. Suffit de faire un tour dans un hôpital d'une grande métropole.

Les données des hôpitaux permettent d'identifier des suspicions de "migration pour soins" sur certains actes très spécifiques, qui connaissent des augmentation très élevées.

 Un hôpital à Créteil, le 5 juin 2019. ( AFP / STEPHANE DE SAKUTIN ) Un hôpital à Créteil, le 5 juin 2019. ( AFP / STEPHANE DE SAKUTIN )

"La migration pour soins n'est clairement pas un phénomène marginal", selon un rapport sur l'aide médicale d'État (AME) publié mardi 5 novembre. Alors que le gouvernement détaille ses annonces sur la politique migratoire , le document formule une quinzaine de propositions contre la fraude et les abus.

Les données transmises par les hôpitaux sur les bénéficiaires de l'AME ont permis de "détecter des atypies" dans certaines dépenses, en particulier "les accouchements, l'insuffisance rénale chronique, les cancers et les maladies du sang" , précise ce rapport des inspections générales des affaires sociales (Igas) et des finances (IGF). 

"MIGRATION POUR SOINS" SUR 43% DES DIALYSES

Missionnées en juin par le Premier ministre, Édouard Philippe, ces deux administrations observent, sur la période 2015-2018, une augmentation "particulièrement élevée" du nombre de séances de dialyse (+20% par an), de chimiothérapie (+13%) et de radiothérapie (+8%). L'Igas et l'IGF ont aussi analysé un échantillon de 180 dossiers anonymisés, "qui suggère (...) une suspicion de migration pour soins" pour 43% des cas de dialyse et 25% des chimiothérapies .

Ce constat vient à l'appui de 14 propositions, principalement axées sur la lutte contre la fraude et les abus.

Certaines ont déjà été évoquées par l'exécutif ces dernières semaines, comme le croisement des fichiers de visas touristiques et des bénéficiaires de l'AME, ou le délai de carence de trois mois pour l'accès des demandeurs d'asile à la Sécu de base (PUMa). La mission recommande également, pour les bénéficiaires de l'AME, un autre délai de carence, de neuf mois, pour "certains soins programmés non-essentiels" comme certains actes chirurgicaux (obésité, cristallin, orthopédie).

RENFORCER LES CONTRÔLES

Le rapport suggère en outre "de renforcer fortement les modalités de contrôle" des demandes d'AME, notamment en demandant "systématiquement la pièce d'identité" des personnes qui déclarent héberger un étranger.

Pour les demandes acceptées, elle préconise de limiter à deux mois le délai pour le retrait de la carte d'AME, faute de quoi elle "serait détruite et les droits clos", afin de "prévenir les allers-retours vers (le) pays d'origine".

21 septembre 2019

qui finance les ong collabos à migrants

4 septembre 2019

Mur de Trump : le Pentagone débloque 3,6 milliards de dollars

il est bien ce trumpinou c est lui qu il nous faudrait en France

http://www.leparisien.fr/international/mur-de-trump-le-pentagone-debloque-3-6-milliards-de-dollars-04-09-2019

nous on a droit au collabo à migrants mini minuscule micron le gigolo

deja il faut couler les bateaux de ces ong de merde qui puent et mettre en taule leur membre et mettre sous sceller les financements

29 août 2019

les jugeottes collabos à migrants sont à tondres et doivent etre démis de leur fonction avec interdiction d'exercé à vie

les gens de generation identitaire meritent la legion d'honneur se sont des résistant facent aux envahiseurs quand aux jugeottes allez hop à pole emploie et interdiction d'exercer à vie et pertent des droits civiques à vie pour ses faces de collabos

il faut une bombe atomique sur ce systeme judiciare ubuesque et le réformer de la tete au pied ( virons 50% des jugeottes et avocaillons qui servent à rien du tout  supprimons les jugeottes pour mineurs  avec l argent économisé construisont prisons low cost et bagnes  pour la petite délinquance le policier aura le pouvoir judiciaire  bref une reforme totale  et complete et si il faut reformer la constitution pas de probleme elle n est pas écrite dans le marbre

les représentants de Génération identitaire Clément Gandelin le président de Génération Identitaire le 11 juillet 2019 à Gap ( AFP / PHILIPPE DESMAZES )

Clément Gandelin le président de Génération Identitaire le 11 juillet 2019 à Gap ( AFP / PHILIPPE DESMAZES )L'association est condamnée à l'amende maximale de 75.000 euros.

Dans sa motivation, que l'AFP a pu consulter, le tribunal considère que, "compte-tenu de la nature extrêmement grave des faits ah bon explique moi en quoi c est grave et espece de jugeotte collabos de merde!!!, de l'importance du trouble à l'ordre public occasionné non seulement pendant leur période de commission mais de manière durable dans le département, de l'importance des valeurs protégées par les infractions reprochées et du passé pénal des prévenus", la prison ferme s'impose.au contraire il faut leur décerné la légion d'honneur

Les trois prévenus étaient poursuivis pour des "activités exercées dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique". 

Contre Clément Gandelin (dit Galant), 24 ans, président de Génération identitaire, son porte-parole Romain Espino, 26 ans, et un organisateur actif du mouvement, Damien Lefèvre (dit Rieu), 29 ans, le tribunal a également prononcé 2.000 euros d'amende, ainsi que la privation de leurs droits civiques, civils et de famille pendant cinq ans. on fera la meme chose aux jugeottes collabos

"privation de leurs droits civiques, civils et de famille pendant cinq ans. " ET dans le même temps, on va donner tous ces droits à qui ? Aux migrants ! Le comble !!!!!!!

Le 21 avril 2018, Génération identitaire avait monté une vaste opération au col de l'Échelle, point de passage de nombreux migrants dans les Hautes-Alpes. 

Une centaine de personnes vêtues de la même doudoune bleue s'étaient mobilisées, avec deux hélicoptères, une banderole géante, et une "frontière symbolique" matérialisée dans la neige par des grillages en plastique. Dans les semaines suivantes, les militants d'extrême-droite avaient annoncé des interceptions de migrants et des enquêtes sur les passeurs.

Me Pierre-Vincent Lambert, avocat des prévenus, a d'ores et déjà annoncé que ses clients feraient appel de la décision.normal il est grand temps de remettre les jugeottes collabos à leur place interdiction d'exercé et ils iront bosser dans la batiment si ils veulent de quoi crouter ces cretins de jugeottes

20 août 2019

zero immigration vite et coulons les bateaux de ces ong collabos à migrants et enfermons les en taule

moi maintenant j attend du remplacant de mini minuscule microscopique  micron qu il donne l'ordre de couler les bateaux de ces enculés d'ong collabos des passeurs et qu il fasse enfermer les fils de putes  membre de ces ong et qu il fasse virer les jugeottes collabos à migrants

tolérance zero et expulsion massive des sans papiers

Le bateau de l'ONG Open Arms au large de l'île italienne de Lampedusa, le 17 août 2019 ( AFPAFP / Alessandro SERRANO )"> Le bateau de l'ONG Open Arms au large de l'île italienne de Lampedusa, le 17 août 2019 ( AFPAFP / Alessandro SERRANO )">end">Le bateau de l'ONG Open Arms au large de l'île italienne de Lampedusa, le 17 août 2019 ( AFPAFP / Alessandro SERRANO )Un navire militaire espagnol est parti mardi pour Lampedusa afin de récupérer les migrants à bord de l'Open Arms, dont plusieurs se sont jetés à l'eau dans un geste désespéré pour rallier à la nage l'île italienne.

Stationnés depuis jeudi à quelques centaines de mètres des côtes de Lampedusa, ces migrants se sont vus refuser l'accès de l'île par les autorités italiennes, même si six pays européens (France, Allemagne, Luxembourg, Portugal, Roumanie et Espagne) se sont engagés à les accueillir.  

Secourus au large de la Libye par l'ONG espagnole Proactiva Open Arms, certains de ces migrants sont à bord du bateau depuis 19 jours, égalant ainsi le record des migrants secourus par le SeaWatch3 fin décembre avant leur débarquement à Malte le 9 janvier dernier.

L'Audaz, le navire militaire envoyé par Madrid, est parti à 18H30 (16H30 GMT) de la base de Rota (sud) avec 62 personnes à son bord.

"Il naviguera pendant trois jours jusqu'à Lampedusa où il prendra en charge les personnes recueillies par l'Open Arms" afin de les amener jusqu'au port de Palma de Majorque aux Baléares, a indiqué le gouvernement espagnol dans un communiqué.

Trajectoire prévue du navire espagnol Audaz pour secourir les migrants de l'Open Arms ( AFP / )Trajectoire prévue du navire espagnol Audaz pour secourir les migrants de l'Open Arms ( AFP / )"> o="">Trajectoire prévue du navire espagnol Audaz pour secourir les migrants de l'Open Arms ( AFP / )< Trajectoire prévue du navire espagnol Audaz pour secourir les migrants de l'Open Arms ( AFP / )

"Grâce à cette décision, l'Espagne résoudra cette semaine l'urgence humanitaire" à bord du navire, s'est félicité le chef du gouvernement socialiste espagnol, Pedro Sanchez, sur Twitter.

Dans un geste désespéré, quinze migrants, certains sans gilets de sauvetage, se sont jetés à la mer mardi pour tenter de rejoindre Lampedusa à la nage. Selon une porte-parole de l'ONG, ils ont été "secourus" par les garde-côtes italiens et amenés sur l'île.

"La situation est hors de contrôle", a indiqué sur Twitter l'ONG, dont le bateau comptait 147 migrants à bord à son arrivée près de Lampedusa et un peu plus de 80 désormais après l'évacuation vers Lampedusa des migrants ayant sauté à l'eau mardi et de plusieurs dizaines de mineurs ou de malades.

Face au refus du ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini de les laisser débarquer, Madrid avait fini par proposer dimanche à l'Open Arms de rejoindre Algésiras, dans l'extrême sud de l'Espagne, puis les Baléares, plus proches mais toujours distantes d'un millier de kilomètres de Lampedusa.

L'ONG a balayé ces deux propositions en raison des jours de mer nécessaires pour rallier ces différents ports, avant que Madrid ne propose finalement de venir prendre en charge directement les migrants à Lampedusa.

Capture d'image d'une vidéo diffusée par Local Team le 20 août 2019 montrant des migrants secourus par les garde-côtes espagnols après s'être jetés à la mer depuis le bateau humanitaire Open Arms pour rallier l'île de Lampedusa à la nage ta-image-alt="Capture d'image d'une vidéo diffusée par Local Team le 20 août 2019 montrant des migrants secourus par les garde-côtes espagnols après s'être jetés à la mer depuis le bateau humanitaire Open Arms pour rallier l'île de Lampedusa à la nage ( LOCALTEAM / - )Capture d'image d'une vidéo diffusée par Local Team le 20 août 2019 montrant des migrants secourus par les garde-côtes espagnols après s'être jetés à la mer depuis le bateau humanitaire Open Arms pour rallier l'île de Lampedusa à la nage ( LOCALTEAM / - )Capture d'image d'une vidéo diffusée par Local Team le 20 août 2019 montrant des migrants secourus par les garde-côtes espagnols après s'être jetés à la mer depuis le bateau humanitaire Open Arms pour rallier l'île de Lampedusa à la nage

Peu de temps après son arrivée au pouvoir en juin 2018, Pedro Sanchez avait frappé un grand coup en accueillant les 630 migrants de l'Aquarius, refusés par l'Italie et Malte, et en laissant accoster à plusieurs reprises l'Open Arms. Mais il avait également refusé de recevoir à nouveau l'Aquarius.

Passe d'armes -

Le sort des migrants de l'Open Arms a tourné à la passe d'armes entre Madrid et Matteo Salvini, accusé de vouloir tirer profit de cette affaire en pleine crise politique à Rome, où le gouvernement populiste, torpillé par le patron de la Ligue (extrême droite), a chuté mardi.

Conspuant une nouvelle fois M. Salvini, dont elle avait taxé lundi la position vis-à-vis de l'Open Arms de "honte pour l'humanité", la ministre espagnole de la Défense Margarita Robles a jugé mardi que "les vies humaines ne lui importaient pas".

"Face à l'urgence humanitaire, personne ne peut détourner le regard. Nous n'allons pas le faire, contrairement à Salvini", a-t-elle encore dit.

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