bonne nouvelles environemental
De plus en plus d’ours peuplent les Pyrénées
ca par contre c'est une bonne nouvelle
et ca aussi
Le lac de Saint Cyr dans la Vienne bientôt classé réserve naturelle régionale ?
De plus en plus d’ours peuplent les Pyrénées
ca par contre c'est une bonne nouvelle
et ca aussi
Le lac de Saint Cyr dans la Vienne bientôt classé réserve naturelle régionale ?
projet pour la France,environnement,biodiversité,taxe preservation biodiversité,agriculture productiviste,pollution lumineuse, lampadaire,moins de vitesse plus de temps libre,arret du betonnage et bitumage,tolérance zéro pour les lobbys
22/04/2021
PAS DE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE SANS FIXATION D'UN PRIX POUR LE CARBONE, DIT MACRON
PARIS (Reuters) - L'action pour le climat passe par une régulation à l'échelle internationale, a déclaré jeudi le président français, Emmanuel Macron, en plaidant pour une fixation du prix du carbone.
"(...) Si nous ne donnons pas un prix au carbone, il n'y a pas de transition possible. Il nous faut donc intégrer la dimension environnementale dans le coût des investissements, dans nos marchés régionaux, dans nos relations commerciales", a-t-il dit lors d'un sommet virtuel sur le climat organisé par les Etats-Unis.
"Il n'y aura pas d'action environnementale crédible et durable s'il n'y a pas de justice sociale et climatique", a ajouté le chef d'Etat français.
absolument pas d'accord la france n'a pas le cul propre pour aller renifler celui des autres
mettons en place une vrai politique environnementale ( sortie agriculture productiviste ( taxe preservation biodiversité sur produit agricole importer),arret massif du bitumage et betonage de la france (moins de vitesse plus de temps libre) limitation du poidet de la vitesse des voitures ,pollution luminseuse suppression de 90% des lampadaires.................
Ensuite une fois qu on aura un vrai pays qui protege son environnement et biodiversité on vendra savoir faire aux pays pollués
euh sans vouloir etre mechant mais je vois pas comment on peut lutter contre rechauffement climatique et faire de la protection de l environnement en construisant route bitume et beton?????
il dirait on va planter arbre enlever las lampadaires responsable d ela pollution lumineuse moins bitumé ok mais la !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bref du vent le bidet
Biden avance sur les infrastructures et revendique une présidence audacieuse ass="c-image-news"> image-news__legend">Le président américain Joe Biden s'exprime depuis le Bureau ovale le 3 mars 2021 ( AFP / Brendan Smialowski ) Joe Biden le répète sur tous les tons: il veut "voir grand".
Le président américain lance cette semaine la deuxième offensive de son mandat: un projet d'investissements massifs dans les infrastructures s'accompagnant de hausses d'impôts qui restent à définir mais font déjà hurler ses adversaires politiques.
Preuve de l'importance qu'il attache à ce dossier, qui pourrait être un marqueur de sa présidence, il s'exprimera mercredi depuis Pittsburgh, dans le nord-est, la ville où il a lancé sa campagne il y a deux ans.
Et signe d'une présidence qu'il veut audacieuse et réformatrice, celui que Donald Trump avait tenté de caricaturer en "Sleepy Joe" (Joe l'endormi) sans idées ni lignes directrices devrait avancer des chiffres qui pourraient, une nouvelle fois, donner le tournis.
Après avoir fait adopter par le Congrès un plan de sauvetage centré sur la pandémie de Covid-19 de près de 2.000 milliards de dollars, il pourrait cette fois-ci vanter les mérites d'une enveloppe de 3.000, voire 4.000 milliards.
Objectif affiché? "Reconstruire notre économie et créer des emplois mieux payés pour les travailleurs américains", selon la formule de sa porte-parole Jen Psaki.
Le projet s'articule autour d'une promesse mille fois répétée en campagne: "Build Back Better" ("Reconstruire mieux"), visant à moderniser les installations, relever le défi de la compétitivité face à la Chine, mais aussi à placer les enjeux climatiques au coeur de la politique américaine.
La Maison Blanche est jusqu'ici restée avare en détails, alimentant les spéculations sur les projets et les sommes envisagées mais aussi la stratégie politique.
Seule certitude: le discours de Pittsburgh ne sera que le point de départ d'une âpre bataille au Congrès à l'issue très incertaine. Sa majorité y est en effet étriquée, et les tractations s'annoncent redoutables.
Les mois à venir mettront à l'épreuve les qualités de négociateur et de fin connaisseur des rouages de Washington de ce "vieux lion" de la politique", selon l'expression de Barack Obama.
>- Buttigieg en première ligne - ge-news"> s="c-image-news__legend">Pete Buttigieg, le secrétaire américain aux Transports, durant une audition au Sénat à Washington, le 21 janvier 2021 ( GETTY IMAGES NORTH AMERICA / POOL )
Restaurer ou construire des routes, des ponts, des voies ferrées, des ports et des aéroports? L'idée est bien sûr parlante pour le grand public, d'autant que nombre d'infrastructures aux Etats-Unis datent des années 1950 et que leur délabrement ne fait pas débat.
Mais au-delà de la célèbre ritournelle "c'est un sujet sur lequel démocrates et républicains peuvent s'entendre", dégager un consensus politique n'est pas une mince affaire.
Les deux prédécesseurs de Joe Biden, Donald Trump et Barack Obama, avaient, eux aussi, slogans à l'appui, fait de grandes promesses sur ce thème. Elles sont restées lettre morte.
La question revient en boucle: comment les financer?
Ancien rival de Joe Biden dans les primaires démocrates, Pete Buttigieg, désormais ministre des Transports, qui sera en première ligne sur ce dossier, assure que tout sera différent cette fois-ci, que les étoiles sont alignées.
"Je pense que nous avons une occasion extraordinaire d'avoir le soutien des deux partis pour voir grand et faire preuve d'audace sur les infrastructures", martèle le jeune ministre.
"Les Américains n'ont pas besoin qu'on leur explique que nous devons agir sur les infrastructures et la réalité est que vous ne pouvez séparer la dimension climatique" de ce défi.
Si l'enthousiasme et le capital politique de Pete Buttigieg sont réels, la tâche s'annonce ardue.
Pour DJ Gribbin, expert au sein de la Brookings Institution et ancien conseiller de Donald Trump sur les infrastructures, Joe Biden ferait bien de s'inspirer des erreurs de ses prédécesseurs.
Il s'agit d'abord de définir avec précision le rôle du gouvernement fédéral qui n'est, dans l'écrasante majorité des cas, pas le propriétaire de ces infrastructures.
Mais il s'agit aussi de se méfier du risque d'un projet trop "technique" et de garder toujours garder en tête l'appétit des Américains, et de leurs élus, pour des projets "tangibles": quelle réduction dans mes temps de transport? Les nids-de-poule sur les routes seront-ils éliminés?
S'il ne change pas d'approche, Joe Biden se heurtera, lui aussi, au Congrès, écrit DJ Gribbin dans un billet de blog. Et échouera.
"Et la tradition des futures candidats à la présidentielle promettant en vain des milliers de milliards de dollars pour nos infrastructures se perpétuera".
si je suis élu un parc naturel sera renommer parc naturel remi Fraisse
il a defendu la biodiversité contre les gros pegouzes productiviste destructeurs de l environnement et de la biodiversité
Mort de Rémi Fraisse : non-lieu confirmé pour le gendarme(scandaleux)
Le musée d'Orsay bientôt renommé musée d'Orsay-Giscard d'Estaing ?
Le musée d'Orsay s'appellera-t-il bientôt le musée d'Orsay-Giscard d'Estaing ? En votant pour une résolution du groupe UDI en ce sens, les députés ont demandé au gouvernement de se pencher sur le sujet, ce jeudi 25 mars. Une résolution non contraignante, émanant du groupe d'opposition de centre droit UDI, l'un des héritiers de l'UDF fondée par l'ancien président, a été adoptée avec 91 voix pour et une abstention (LFI).
Le texte du député UDI Yannick Favennec-Bécot "invite le gouvernement à examiner l'ajout du nom de l'ancien président de la République, Valéry Giscard d’Estaing, au nom du musée d'Orsay", ainsi qu'à celui tout proche de l'Orangerie, qui lui est associé. Deux options existent : ajouter son nom à celui du musée, ou renommer l'esplanade qui le jouxte, a indiqué le ministre chargé des relations avec le Parlement Marc Fesneau. Une décision sera prise "dans les prochaines semaines" par le président Emmanuel Macron et la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, a-t-il ajouté.
je l ai deja dit il faut supprimer le sénat idem pour les vieusx débris du conseil d'état.
ils servent à rien du tout nous coutent une fortune et sont jsute les suces boules des gros lobby industrielle et gros agriculteurs productivistes
bref il faut organiser un référendum demandant la suppression du sénat et leur donner la retraite de base a 1000€ par mois pas un centime de plus
France : feu vert du Conseil d'État au retour temporaire des néonicotinoïdes
tu parles d'un scoop de toute facons mini minusule micron n'a rien fait.
les constructeurs de voitures font toujours des voitures de plsu en plus lourdes et grosses
on bitume betonne de plus en plus
les gros pégouzes productivistes de la fnsea déversent toujours des tonnes de poisons dans les prés
on met de plus en plus des lampadaires ( 80% de l éclairage publique est inutile)
bref la france est gouverné par les lobbys industrielles qui détruisent l environnement grace à leur députards suce boule
par contre la seul chose qui augment c est la com sur l environnement la on a largement dépassé le niveau d'ultra saturation
A l'occasion de la journée mondiale de la vie sauvage, l'OFB, le MNHN et l'UICN font le bilan de la Liste rouge des espèces menacées en France qui établit le "degré de menace pesant sur les espèces de la faune et de la flore" depuis 2008, selon un communiqué.
En 13 ans 13.842 espèces ont été évaluées, dont 17,6% sont menacées. Ce pourcentage augmente chez les oiseaux nicheurs (32%), les crustacés d'eau douce (28%) ou les amphibiens (23%). La situation est particulièrement inquiétante en Outre-mer.
Nombre d'espèces évaluées en France selon leur statut de conservation, selon l'UICN ( AFP / )
187 espèces ont complètement disparues. Pour plus de 2.100 autres, les données sont insuffisantes. L'objectif à terme est d'évaluer toutes les espèces.
D'autres espèces sont "quasi-menacées": "c'est une préoccupation importante à avoir, ce sont les menacées de demain mais ce sont des espèces sur lesquelles ont peut encore agir facilement", souligne Laurent Poncet du MNHN.
Certains groupes d'espèces - les reptiles, amphibiens, mammifères, oiseaux et poissons d'eau de métropole - ont été évalués deux fois depuis 2008. "Nous pensions qu'en huit ou neuf ans, on ne verrait pas beaucoup d'évolution. La surprise est qu'on assiste à une nette dégradation de la situation", explique Florian Kirchner, de l'UICN France, à l'AFP. "Pour les oiseaux nicheurs, on avait un quart d'espèces menacées en 2008, un tiers huit ans après", donne-t-il comme exemple.
Plus inquiétant encore, "nous parlons des espèces qui bénéficient le plus d'effort de conservation, les vertébrés, et pas des insectes ou des mollusques".
"Cela nous renvoie aux principales menaces en métropole: l'aménagement du territoire qui reste incontrôlé et l'intensification des pratiques agricoles", avec des zones uniformes et l'usage important de pesticides, explique le scientifique.
"Si nous avions plus de données, nous pensons que nous mettrions plus d'espèces dans ces catégories menacées", complète Laurent Poncet.
Il y a toutefois des "bonnes nouvelles" dans la protection des espèces comme dans le cas de la loutre, du bouquetin des Alpes ou du vautour moine ( AFP / SEBASTIEN BOZON )
"Les dégradations de la nature restent bien plus fortes que tous les efforts qu'on peut déployer", avertit Florian Kirchner. "Il faut vraiment changer de braquet", insiste-t-il.
Il voit pourtant "deux sources d'espoir: l'opinion est en train d'évoluer et il y a des "bonnes nouvelles" dans la protection des espèces comme dans le cas de la loutre, du bouquetin des Alpes ou du vautour moine.
"Nous pensions qu'en huit ou neuf ans, on ne verrait pas beaucoup d'évolution". Et pourtant, sur la décennie qui vient de s'écouler, la situation de la faune et de la flore sauvages s'est nettement dégradée en France, avertissent mercredi 3 mars l'OFB, le Muséum d'histoire naturelle et l'UICN, qui appellent à protéger les espèces mais aussi à diminuer les pressions anthropiques.
À l'occasion de la journée mondiale de la vie sauvage, l'Union internationale de conservation de la nature, l'Office français de la biodiversité et le MNHN font le bilan de la Liste rouge des espèces menacées en France, qui établit le "degré de menace pesant sur les espèces de la faune et de la flore" depuis 2008, selon un communiqué.
En 13 ans 13.842 espèces ont été évaluées, dont 17,6% sont menacées. Ce pourcentage augmente chez les oiseaux nicheurs (32%), les crustacés d'eau douce (28%) ou les amphibiens (23%). La situation est particulièrement inquiétante en Outre-mer. 187 espèces ont complètement disparues. Pour plus de 2.100 autres, les données sont insuffisantes. L'objectif à terme est d'évaluer toutes les espèces.
D'autres espèces sont "quasi-menacées": "c'est une préoccupation importante à avoir, ce sont les menacées de demain mais ce sont des espèces sur lesquelles ont peut encore agir facilement", souligne Laurent Poncet du MNHN.
Certains groupes d'espèces - les reptiles, amphibiens, mammifères, oiseaux et poissons d'eau de métropole - ont été évalués deux fois depuis 2008. "Nous pensions qu'en huit ou neuf ans, on ne verrait pas beaucoup d'évolution. La surprise est qu'on assiste à une nette dégradation de la situation", explique Florian Kirchner, de l'UICN France, à l'AFP. "Pour les oiseaux nicheurs, on avait un quart d'espèces menacées en 2008, un tiers huit ans après" , donne-t-il comme exemple.
Plus inquiétant encore, "nous parlons des espèces qui bénéficient le plus d'effort de conservation, les vertébrés, et pas des insectes ou des mollusques".
"Cela nous renvoie aux principales menaces en métropole: l'aménagement du territoire qui reste incontrôlé et l'intensification des pratiques agricoles", avec des zones uniformes et l'usage important de pesticides, explique le scientifique. "Si nous avions plus de données, nous pensons que nous mettrions plus d'espèces dans ces catégories menacées", complète Laurent Poncet.
"Les dégradations de la nature restent bien plus fortes que tous les efforts qu'on peut déployer", avertit Florian Kirchner. "Il faut vraiment changer de braquet", insiste-t-il.
Il voit pourtant "deux sources d'espoir : l'opinion est en train d'évoluer et il y a des bonnes nouvelles" dans la protection des espèces comme dans le cas de la loutre, du bouquetin des Alpes ou du vautour moine.
1/la fnsera et l'agriculture producitiviste qui detruit toute la biodiversité ils ne nourrissent pas ils nous empoisonnent et detruisent la vie
2/les constructeurs automobiles
au lieu de faire voitures plus legeres moins imposante qui roulent moins vite et polluraient moins ils continuent a fabriquer tas de ferraille de plus en plus lourd et qui roulent d eplus en plus vite malgre le slimitations de vitesse
3/ les bitumeurs et betonneurs de la france colas lafond...........
4/ les pollueurs lumineux les boites d'eclairagistes qui foutent des lampadaires partout alors que 90% d el éclairage publique est inutiles
et bien sur leurs larbins les députés sénateurs
https://www.ecologie.gouv.fr/suivi-convention-citoyenne-climat/?debut_article=10#affiner
1/consommer:
stop à la pub et au lavage de cerveau donc à supprimer
Stade Rennais : une plantation d’arbres sauvage contre l’extension du centre d’entraînement
il serait temps d'instaurer une taxe destruction d el environnement sur les sports ( exemple foot golf.....................)
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