grand débat mes propositions: environnement,transport
Environnement :
Sortir de l’agriculture productiviste exportatrice qui est la 1er destructrice de la biodiversité : donner l’argent à l’agriculture bio et arrêter de mega subventionner l’agriculture productiviste et les grands céréalier qui nous empoisonnent et détruise tous la biodiversité
Instaurer une taxe biodiversité sur les produits agricoles et transformer venant de pays à agriculture productiviste ( Usa,Argentine,Brésil,Allemagne,Australie..).Les suisses protègent bien leur agriculture raisonné on peut faire pareil
Privilégié un seul fauchage par an avec petit robot plutôt que gros tracteurs qui détruit tout
Créer un fauchage écologique le long des routes et chemins avec leur fauchage mécanique ils ont même réussi à détruire les ronces et on ne trouve plus de mures le long des chemins
agriculture-de-conservation.com/Les-Techniques-Sans-Labour
Le labourage mécanique est une plaie ca détruit fleurs à bulbe comme jonquille ou narcisse avant il y en avait plein maintenant difficile d'en trouver.
Donner plus d’importance aux associations de protection de la biodiversité : France nature environnement, frapna, anpcen, lpo
Protéger les animaux sauvages : loup, lynx, ours
en finir avec la pollution lumineuse qui détruit la biodiversité nocturne (réduire de 70% la pollution lumineuse grâce à une taxe pollueur payeur contrôlé par satellite je veux des lampadaires une case a coché dans impôts et vous payerez si case pas cocher pas de lampadaire)( la aussi c’est à cause du lobby éclairagiste que maintenant chaque petit village a droit à des lampadaires totalement inutiles et l'ignorance environnementale des députés et maires)
Sanctionné durement les communes qui éclairent falaise car c’est une véritable hérésie
Faire contrôler la pollution lumineuse et lampadaire visible à des kilomètres par association de protection de l’environnement nocturne genre anpcen
Dans les années 1950 et 60 il n’y avait pas tant de lampadaire et il y avait beaucoup moins de délinquance donc l’éclairage public ne joue pas sur la délinquance.
Transport :
Imposer à la sncf de mettre des fontaines d'eau potables dans les grandes gares
Supprimer le contrôle technique qui n’est rien d’autre que de l’obsolescence programmée des voitures et voulu par le lobby des constructeurs automobile pour vendre leur tas de ferraille
Ne le garder que pour la vente d’un véhicule
Je rejoins l’opinion publique qui pense que les radars sont justes des machines à faire du fric et pas pour la sécurité
Faire de la répression intelligente et ciblé sur les vrais fous de la route : exemple un conducteur qui roulera à 45 km/h dans une zone trente n’est pas un délinquant routier mais la nuit certains individus roulent à 80 km/h et s’arrêtent pas au feu donc suppression du permis
Je suis d’ailleurs pour peine de prisons pour ceux qui roulent sans permis (alors que vous les avez supprimé) (chez moi un non solvable arrêté neuf fois pour conduite sans permis remis en circulation par juges le lendemain c’est scandaleux
Un qui a tué vieille dame sur les passages cloutés juste 400€ d’amende rien d’autre par le juge)
Bref oui à la répression pour les conducteurs dangereux mais stop à la répression machine à fric
Obliger les constructeurs automobiles à mettre contrôleur de vitesse automatique
Rendre obligatoire les parkings vidéo surveiller gratuit pour 2 roues ( vélo moto ) dans les endroits utiles ( gare, centre-ville, mairie, lycée,…..)
Rendre gratuit les parcmètres pour les petites voitures sans permis
Mener la société vers moins de vitesse plus de temps libre : brider la vitesse des voitures pour les rendre plus légères et consommant moins (instaurer une taxe au poids) et les rendre autonomes en échange de plus de temps libre (semaine de 4 jours ; 2 mois de vacances)
Faire micropheripherique pour supprimer route nationale qui traversent village
Les grandes routes qui traversent village ont désertifié les centres des villages (pas conçus pour l’automobile) pour redynamiser les centres des villages il faut détourner le trafic routier qui les traverse sans s’arrêter
Créer et entretenir chemin en terre (tous goudronnés maintenant) et petite routes paysagères avec plein de virage et arbres sur le côté (planter des arbres le long des routes et autoroutes)
(Avant 1970 traverser du massif central 800 km plein de petites routes avec plein de virage
Maintenant la même traversé 400 km ‼ ! Plus rapide mais route uniforme sans le moindre intérêt aucun plaisir)
Interdire l’élargissement des routes (1 mètre de chaque côté * longueur du réseau routier = plein de terrain de foot pris sur la biodiversité et artificialisation des sols (inondations))
Que les constructeurs automobiles fassent voitures moins lourdes et moins larges
En résumé arrêtons de bétonner la nature (pour faire plaisir aux lobbys du béton) et plantons des arbres
supprimons vite le sénat
des apparatchiks qui nosu coutent une fortune et servent à rien du tout a part defendre les interets des castes
Le Sénat refuse de renationaliser les autoroutes
Délit d'entrave à la chasse : "Tout ça est surréaliste, les cadeaux fait aux chasseurs sont énormes"
Le Sénat perd son action en diffamation contre un journaliste auteur d'un livre sur l'institution
micron et les putes en marche suceurs de boule des lobbys pollueurs et destructeurs de l environnement
trie des déchets obligatoire
Plastique. L’Allemagne, le bon élève
https://www.letelegramme.fr/_amp/442/12171442.php
pour rappel je suis pour instaurer une taxe sur la restauration rapide qui utilise enormement de container jetable qu on retrouve sur le bord des routes
comment preserver notre droit à la mobilité personnelle en polluant moins
au niveau de la mobilité personnelle qui est un droit qui doit etre inscrit dans la constitution le probleme numero un est le trajet boulot dodo
c est une abération d'utiliser un engin de plus d'une tonne pour faire 30km à 30km/h de moyenne pour 80kg de bidoche ( statistique 90% des trajets automobile sont les trajets boulot dodo avec une personne par véhicules) et ce qu il soit électrique ou à essence
et tous coupables: les constructeurs automobiles,les assureurs,les consommateurs ,l'etat,mairie
il faut utiliser des engins de moins de 200kg
pour des raisons de sécurité la vitesse doit etre limité à 70km/h et le trafique informatisé les parkings doivent etre gratuit et vidéo surveiller pour petites voiturettes et 2 roues
les assureurs doivent assurer pour le prix un véhicules un véhicules boulot et un véhicules famille
les constructeurs doivent reflechir à véhicules modulable ( en semaine 1 place et le weekend ou vacances on peur rajouter remorque derriere)
bref l etat ne sait pas vendre la mobilité personnelle de demain et fait surtout de la répression avec radar ( meme si ca me gene pas qu on limite la vitesse je comprend conducteur non racailles de la routes qui se prend pv pour un petit dépassement de vitesse) au lieu essayer de nosu faire rever avec un projet de mobilité individuelle et viable economiquement et environnmentalement parlant ( on pourrait creer zone de test grandeur reel)
bref le véhicule de mobilite boulot dodo ca sera un peu ca ( en moins de 200kg vitesse max 70km/h )avec une bulle pour proteger pluie
« 86 % des poissons » de grandes surfaces « sont pêchés selon des méthodes non durables »
micron et ses putes en marche n arrete pas de nous gonfler avec leur rechauffement climatique et en meme temps ils signent a tour de bras des traites de libre echange avec des pays d'agriculture productiviste ( usa,canada,argentine,bresil,allemagne...) qui détruisent toute la biodiversité
Les oiseaux marins affamés par la surpêche
UFC-Que choisir a publié les résultats d’une enquête menée dans plus de 1 000 supermarchés.
L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud. CHARLY TRIBALLEAU / AFP
Au moment où les ministres de la pêche sont réunis à Bruxelles pour négocier les quotas de 2019, UFC-Que choisir publie les résultats sans appel de son enquête sur la pêche durable dans la grande distribution, lundi 17 décembre, pressant les pouvoirs publics de durcir les quotas de pêche mais aussi de rendre l’étiquetage sur la durabilité de la pêche enfin explicite.
L’association de consommateurs a parcouru les étals de 1 134 hyper et supermarchés, scrutant trois espèces parmi les plus consommées en France et menacées par la surpêche : la sole, le bar et le cabillaud. Le constat est accablant : « 86 % des poissons présents dans les étals des grandes surfaces visitées sont pêchés selon des méthodes non durables ou dans des stocks surexploités », peut-on lire dans l’étude réalisée entre le 20 janvier et le 3 février derniers. Or, précise l’association dans un communiqué, « 88 % des stocks de poissons européens sont actuellement surexploités ou voient leur capacité à se reconstituer menacée, induisant dès lors un risque d’effondrement des stocks pour des espèces particulièrement menacées telles que le bar ».
« Aucune politique d’approvisionnement durable »
PHILIPPE HUGUEN / AFP
L’enquête avait un double objectif, souligne UFC-Que choisir : vérifier le respect des mentions obligatoires sur les méthodes de pêche et les zones de capture et analyser les résultats sur la durabilité des ressources exploitées, tant en termes de méthodes de pêche que de zones de capture.
« Le résultat est malheureusement tristement sans appel : la grande distribution n’a aucune politique d’approvisionnement durable pour les trois espèces étudiées », affirme l’association. Or, trois quarts des achats de poissons frais et autres produits de la mer des consommateurs français sont réalisés dans la grande distribution, selon une étude de l’institut FranceAgrimer datant de septembre 2018.
Par ailleurs, poursuit l’association, dans deux tiers des cas, les mentions obligatoires sont « absentes, fantaisistes ou trop vagues ». Ainsi, « avec plus de trois poissons sur quatre mal étiquetés, Intermarché décroche la palme, talonné par Système U et Leclerc qui totalisent respectivement 76 % et 67 % d’étiquetages non conformes ». S’agissant des zones de capture, l’association a relevé des mentions vagues du type « Atlantique » ou « Méditerranée » : « or, en l’absence de zone maritime précise, on ne peut pas identifier les poissons provenant de stocks surexploités », estime-t-elle. Quant à l’information sur les méthodes de pêche, elle est absente pour un poisson sur quatre, précise UFC-Que choisir.
Compte tenu des résultats de cette enquête, l’association demande à ce que les ministres européens de la pêche alignent « strictement les futurs quotas sur les recommandations émises par les experts du Conseil international pour l’exploration de la mer » et que « l’étiquetage réglementaire intègre un indicateur explicite de la durabilité du poisson ». Elle annonce qu’elle saisira la répression des fraudes afin qu’elle réalise des contrôles sur le respect des dispositions réglementaires d’étiqueta