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projet pour la france
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peine de mort
13 octobre 2011

Champigny-sur-Marne : le trafic de stupéfiants rapportait 30.000 euros par jour

oui au retablissement de la peine d emort pour gros trafiquant de drogue et prisons a vie dans prisons ultradure.les trafiquants de drogue sont les nazis du 21eme siecle

Seize personnes ont été mises en examen et écrouées dans le cadre d'une enquête sur un trafic international de stupéfiants démantelé cité des Boullereaux à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), a-t-on appris jeudi auprès de la préfecture de police de Paris. Selon les estimations des enquêteurs, le commerce illicite rapportait 30.000 euros par jour.

Suspectant l'existence d'un réseau pyramidal d'importation par "go fast" de marijuana et de résine de cannabis depuis l'Espagne et les Pays-Bas alimentant des appartements "nourrices" de la cité, les policiers de la Sûreté territoriale ont interpellé les 11 et 12 septembre quinze personnes. Parmi eux figuraient, selon la police, deux organisateurs du trafic, âgés de 29 et 23 ans, connus des services de police, opérant en partie depuis l'étranger et s'assurant de l'approvisionnement de la cité. Le réseau comportait également cinq "convoyeurs"âgés de 17 à 33 ans, quatre "nourrices"âgées de 26 à 35 ans, dont deux femmes, et quatre revendeurs et guetteurs âgés de 18 et 19 ans, pas ou peu connus de la police. Tous ont été écroués, à l'exception d'une nourrice, placée sous contrôle judiciaire

Les perquisitions ont permis la saisie de 134kg de résine et 18kg d'herbe de cannabis, 25.000 euros en numéraires et cinq véhicules rapides de luxe, volés et faussement immatriculés.

Entre le 11 septembre et le 5 octobre, les enquêteurs ont procédé à cinq nouvelles interpellations: un autre chauffeur, un gérant de société de location de véhicules, une nouvelle nourrice et deux responsables de la logistique du transport de produits stupéfiants. Ces dernières interpellations ont débouché sur deux nouveaux placements en détention provisoire.

"Le chiffre d'affaire de ce trafic est estimé à 30.000 euros par jour pour l'ensemble de la cité", indique la préfecture de police de Paris. Le pôle fiscal "quartiers sensibles" du Val-de-Marne, sollicité par les enquêteurs, a procédé à une fiscalisation des saisies, soit environ 272.700 euros en valeur marchande.

 

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26 septembre 2011

peine de prisons non effectué

c'est purement et simplement scandaleux la justice est le systeme a reformé en 1ere avant le mamouth national

mes propositions:

construcutions de prisons special ultradure pour trafiqunts de drogue et grand banditismes ses prisons ne seront plus geres par le ministere de la justice mais par le ministere de l interieure ou meme par l'armé avec le secret defense et retablissement de la peine de mort pour trafiquants

reforme totale de la justice avec sanctions aux juges laxistes et au bout deux sanctions les juges seront licenciés.

creation de tribunaux pour les petits delis qui doivent etre jugés dans el mois et non pas 6 ans apres coimme cest souvent le cas en confiant l organisation et la getion proces a societe privé car meme avec des millairds le systeme judiciare est totalement incapable d'etre efficace

justice sans peine

 

22 septembre 2011

Marine Le Pen : "Je suis pour la peine de mort"

je suis pour le retablissement de la peine de mort pour les gros traficants de drogue et les terroristes islamistes ca fera des economies à la societé.

oui à la peine de mort pour les traficants de drogue.il faut rétablir la peine de mort pour les traficants de drogue et prisons ultradures pour les traficants et grand banditisme.

 

Marine Le Pen, présidente du Front national, a jugé jeudi sur France 24 que, sans le rétablissement de la peine de mort en France, "criminel" était "le seul métier du monde où on ne risque pas sa peau". Invitée à s'exprimer sur l'exécution mercredi de Troy Davis en Géorgie, dans le sud des États-Unis, Marine Le Pen a botté en touche, expliquant qu'elle ne connaissait pas "le dossier de ce condamné à mort".

Sur ce sujet, la présidente du parti d'extrême droite a rappelé sa proposition d'organiser un référendum pour que les Français puissent choisir entre deux options : la peine de mort ou la perpétuité "réelle" sans remises de peine. "Moi, je suis pour la peine de mort", a affirmé Marine Le Pen, expliquant : "Nos sociétés ne sont pas des sociétés de Bisounours."

"S'il n'y a aucun risque à être criminel, si les criminels sont le seul métier du monde où on ne risque pas sa peau, on en arrive à des situations comme on en a vu hier, où on tue des policiers de plus en plus facilement, où on brutalise, où on commet des actes barbares sur des êtres faibles de plus en plus, puisque, finalement, on n'y risque pas sa vie", a-t-elle justifié. "Je suis sûre que si les criminels risquaient leur vie, ils auraient peut-être moins tendance à aller au bout de leurs pulsions."

5 septembre 2011

Cannabis : la gauche relance le débat en prônant une "légalisation contrôlée"

après l'écologiste Stéphane Gatignon, qui a dénoncé le pouvoir mafieux de la drogue dans les "quartiers", la gauche a relancé mercredi le débat sur la dépénalisation du cannabis en prônant, dans un rapport parlementaire, une "légalisation contrôlée" de cette drogue.

Afin de "sortir de l'hypocrisie", le groupe de travail du groupe socialiste, présidé par l'ancien ministre de l'Intérieur Daniel Vaillant, préconise la "légalisation contrôlée du cannabis" et la mise en place d'une véritable "filière nationale".

"Il ne s'agit plus de prôner une abstinence illusoire mais de modérer la consommation des Français", peut-on lire dans le rapport publié mercredi après plus d'un an d'auditions.

Partant du constat que la France conserve une des législations les plus répressives d'Europe alors que le niveau de consommation est l'un des plus forts, les députés font valoir qu'"une légalisation contrôlée" pour les personnes majeures permettrait, "grâce à l'encadrement de la production et de la distribution", d'"instaurer une politique de réduction des risques".

Les députés PS préconisent la création d'une filière nationale du cannabis qui organiserait et gèrerait la production et la distribution de cette drogue, à l'image de ce qui est fait pour le tabac et l'alcool.

"Il convient que l'Etat soit en mesure de fournir cette substance, sous forme de résine ou d'herbe, à l'ensemble des consommateurs", indique le rapport, en préconisant la mise en culture de 53.000 hectares "selon des règles strictes pour garantir la qualité des produits".

L'Etat devra aussi contrôler la distribution "tout en interdisant la publicité et la vente aux mineurs".

Deux types d'établissements sont prévus à l'usage des consommateurs majeurs: les premiers uniquement consacrés à la vente, sur le mode des débits de tabac, les seconds, vus comme des "lieux de sociabilité", autorisant vente et consommation. "La vente d'alcool y serait strictement interdite", note le rapport.

Se défendant de tout "laxisme", les auteurs affirment que leur démarche n'est "pas la création d'un droit à la consommation" mais a pour "premier objectif de faire baisser la consommation et les risques qu'elle engendre".

Ils conseillent d'ouvrir, après 2012, un grand débat public. De l'aveu même du porte-parole des députés PS, Bruno Le Roux, les avis sur le sujet "sont très partagés" au sein du groupe socialiste, lui-même se déclarant "pas un grand fan de la dépénalisation".

En dépit de la politique de prohibition menée depuis 1970 à l'égard du cannabis, près de 4 millions de personnes avaient, en 2005, consommé de cette drogue au moins une fois dans l'année. 1,2 million de personnes seraient des consommateurs réguliers.

Dans une tribune dans Le Monde de jeudi, Stéphane Gatignon, le maire écologiste de Sevran, qui avait appelé à l'aide l'armée pour lutter contre les trafiquants de drogue, estime que "la prohibition fait basculer notre système social".

Nicolas Hulot, candidat à la primaire écologiste pour 2012, est favorable à une dépénalisation "sans pour autant banaliser la consommation". "Il ne faut pas qu'il y ait de sujet tabou", dit-il, souhaitant que "l'argent mis dans la répression" aille à "l'éducation, la prévention".

En revanche, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant met en garde, dans une autre tribune dans Le Monde: "Ce n'est pas parce que la lutte contre les stupéfiants est difficile qu'il faut l'abandonner (...) Ne nous y trompons pas: si la consommation est dépénalisée, elle augmentera car son accès sera plus facile".

 

1/1ere la france n a pas une legislation tres repressive ne nous y trompons pas cf le dealer relacher pour  vice de a cause que les jugeottes n avait pas mis virgule a la bonne place d'ailleurs a se niveau il faut supprimer le vice de forme dans la loi

2/il faut retablir peine de mort pour gros traficants et prisons speciales pour trafiquants

3/lycée et college non fumeur avec test sur les enseignants

4/pas d'offre pas de demande cest aussi simple que cela les trafiquants de drogue son les nazis du 21eme siecle pas de pitier pa de quartier

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