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projet pour la france
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senateur
23 mars 2014

les 400 qui ruinent la france

bon cest un article de capital donc il faut aussi nuancer un peu

400 qui ruinent la france by stetienne

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11 février 2014

SNCF : les syndicats défendent le "droit" aux billets gratuits pour les cheminots et leurs proches!!!!!!

guillaume pepy,sncf,contribuables,billet de train,tarif,reseau ferre de france,cgt,fsu,unsea,syndicat,scandale,hollande,ps,projet pour la france,cheminots

pour moi c est scandaleux d'ailleurs je suis pour la mise en concurence de la sncf qui marche tres tres mal coute une fortune aux francais

comme je l ai deja dit un bon president doit avoir un bon crochet du droit pour taper sur les syndicat maffieux ( qui en france sans l aide de l etat represent plus rien et disparaitrons) et un bon crochet du gauche pour taper sur les patrons maffieux

si je suis pour renationaliser certaine entreprise dans le cas de la sncf il faut privatiser et si il faut un referendum et ben on organise un referendum

Les syndicats de la SNCF s'opposent à tout rabotage des billets gratuits et tarifs préférentiels accordés aux cheminots et à leurs proches, épinglés mardi par la Cour des comptes, en défendant un "droit" inscrit au "contrat du cheminot".

Ces facilités sont "un droit qui fait partie du contrat de travail des cheminots et il n'y a pas de raison de les mettre en cause", a déclaré à l'AFP Alain Cambi (SUD-Rail, troisième syndicat).a partir du moment ou la sncf ai payer par le contribuable ben si ce n est pas un droit

De façon "classique", "on cherche à faire passer les cheminots pour des nantis", s'indigne-t-il.sont pas à plaindre non

"Nous n'avons pas d'inquiétude car la SNCF a clairement dit qu'elle ne souhaitait pas supprimer les facilités", composantes "du contrat de travail" et "marqueur extrêmement fort de la culture cheminote", a commenté pour sa part Thierry Marty (Unsa, deuxième syndicat).la sncf est deficitaire et l etat renflou donc ca concerne les francais point barre

Selon lui, la Cour "remet la pression sur la SNCF qui n'évalue pas financièrement de la même façon qu'elle le coût de ces billets". Selon la méthode, ce coût va "d'une cinquantaine de millions d'euros à des sommes dépassant significativement 100 millions", selon la Cour.

Dans son rapport, la Cour des comptes recommande une "remise à plat" du dispositif en supprimant notamment les facilités de circulation pour les ascendants et en les fiscalisant comme tout autre avantage en nature.normal

La perspective de l'ouverture totale du transport ferroviaire à la concurrence rend "nécessaire d'ouvrir le dossier", estime-t-elle.

la la concurence fera du bien

La SNCF a depuis sa création en 1938 "progressivement amplifié ces avantages qui étaient à l'origine une contrepartie de l'exigence de mobilité imposée aux personnels des entreprises de chemin de fer", note la Cour.

En dépit d'une "amélioration de la gestion" depuis 2009, celle-ci pointe une "dérive du champ des bénéficiaires", avec environ 15% d'agents de la SNCF en activité parmi le million de bénéficiaires recensé fin 2011.

Le représentant de SUD-Rail rappelle que les facilités sont également accordées à des personnalités et aux parlementaires: "le président de la Cour des comptes a été député pendant 12 ans, il a oublié à l'époque de protester", a ironisé M. Cambi alors que selon lui "les facilités des parlementaires sont bien plus importantes".on supprime billet gratuit pour mlinistre depute senateur aussi ( il faut supprimer le senat de toute facon)

23 janvier 2014

La limitation du cumul des mandats définitivement adoptée par les députés

La statue de Marianne devant l'Assemblée nationale le 18 juin 2012 à Paris ( AFP/Archives / Joel Saget)

La réforme limitant le cumul des mandats a été définitivement votée mercredi par le Parlement mais elle devra ensuite passer le cap du Conseil constitutionnel et, à plus long terme, survivre à l'épreuve d'une éventuelle alternance en 2017.

Passant outre l'avis du Sénat, et au terme d'un parcours parlementaire de sept mois, l'Assemblée nationale, qui a le dernier mot, a approuvé le projet de loi interdisant, à partir de 2017, aux députés et sénateurs d'exercer une fonction exécutive locale, ce qui est actuellement le cas de 60% d'entre eux.

Le texte, qui ne s'appliquera donc pas aux élections municipales de mars prochain, a recueilli 313 voix pour -une dizaine de plus que lors des précédentes lectures-, 225 contre et 14 abstentions (25 députés ne prenant pas part au scrutin).

En raison de l'opposition des sénateurs, qui auraient voulu être épargnés, le texte devait recueillir la majorité absolue des 577 députés, soit 289 voix, car il s'agit d'un projet de loi organique, c'est-à-dire touchant les institutions.

Les parlementaires ne pourront plus être maires, adjoints, présidents ou vice-présidents d'intercommunalité, de conseil départemental (ex-conseil général), de conseil régional ou du conseil d'administration d'une société d'économie mixte locale. Ils pourront en revanche continuer à être conseillers municipaux, départementaux ou régionaux.

Pour "permettre la diversité des candidatures, un renouvellement de générations, davantage de parité, davantage de diversité", selon les mots du Premier ministre Jean-Marc Ayrault après le vote, la très grande majorité des députés PS (moins divisés sur la question que leurs collègues sénateurs), les écologistes et les communistes ont soutenu cette "révolution démocratique", comme l'a appelée le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

A l'inverse, l'UMP, la plupart des députés UDI et les radicaux de gauche se sont opposés à une réforme qui "mettra les élus à la merci des appareils politiques", car ils ne pourront plus s'appuyer sur leurs mairies pour garder une certaine indépendance, et qui les "coupera de la réalité du terrain".

Applicable dans trois ans ?

 

Les opposants ont souligné aussi avec ironie que l'interdiction du cumul ne s'appliquerait que dans trois ans, et non pour les élections municipales de mars prochain, illustration, selon eux, du peu d'empressement de beaucoup de socialistes à s'appliquer à eux-mêmes la réforme. L?Assemblée, qui comprend actuellement 240 maires, suspendra d'ailleurs ses travaux pendant cinq semaines pour ce scrutin.

La réforme a déjà des "effets", a répliqué Jean-Marc Ayrault. "Aux prochaines élections municipales, certains choisissent le mandat local ou choisissent le mandat parlementaire", a-t-il dit. Le sénateur-maire de Lyon Gérard Collomb (PS) a ainsi annoncé mardi qu'il préférerait la mairie.

Pour entrer en vigueur, le texte doit d'abord être approuvé dans le mois qui vient par le Conseil constitutionnel, automatiquement saisi des projets de loi organiques.

Devant les Sages, les opposants, en particulier le PRG Jacques Mézard, vont plaider que le texte n'aurait pas dû être voté sans l'accord des sénateurs, car aux termes de la Constitution, "les lois organiques relatives au Sénat doivent être votées dans les mêmes termes par les deux assemblées".

Un argument balayé par le rapporteur du projet à l'Assemblée, Christophe Borgel (PS): "Depuis 2009, la jurisprudence constante du Conseil constitutionnel précise qu'une loi organique applicable sans distinction aux deux assemblées n'est pas une loi organique relative au Sénat".

Cumul des mandats ( AFP / S. Ramis/P. Defosseux, pld/soh)

Mais, ensuite, l'application de la loi, à l'occasion des élections législatives de 2017, pourrait coïncider avec un éventuel retour au pouvoir de la droite, qui annonce son intention de l'abroger. "Nous reviendrons dessus, soyez-en certains", a lancé mardi à la majorité, le député-maire UMP Daniel Fasquelle.

Il suffira, a-t-il expliqué, que le Sénat vote avant les législatives de 2017 un texte d'abrogation que la nouvelle Assemblée nationale adoptera dès son élection.

Une menace à laquelle François Hollande, pour qui la réforme est "irréversible", ne croit pas. "Au-delà de ce qui peut se produire au cours des prochaines alternances, les Français seront attachés à ce que cette règle nouvelle puisse être appliquée dans toute sa rigueur", a-t-il déclaré mardi.

Les députés ont aussi adopté définitivement mercredi un texte interdisant le cumul aux parlementaires européens, là aussi après 2017, et qui ne s'appliquera donc pas pour les élections européennes de juin prochain.

23 novembre 2013

helas tellement vrai

supprimons le senat

virons 50% des fonctionnaires des conseils regionnaux general ....des deputes des ministres des commissions bidons des conseils bidon

chez moi je recois la revue de la ville la revue de la region la revue du département qui sont sans le moindre interet a part cassé bien au chaud dans un placard des petits copain

1639775808271782778123712622122506736n

 

19 septembre 2013

supprimons le senat

ils coutent cher et servent à rien du tout

un petit referemdum et hop et meme pas besoin leur filer retraite

Non-cumul des mandats: les sénateurs refusent son application

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12 juillet 2013

les secrets de la reserve parlementaire

16 mai 2013

les priviliegers: agriculteurs,ministres,sénateurs

DSCF7293

au niveau de l agriculture je compte en finir avec l agrioculture productiviste en ne donnant plus d'argent aux gros producteur exportateur et en nationalisant  20% des terres agricoles pour les louers a petits paysans non productivistes

2 février 2013

les 200 qui bloquent la france

en construction:suis d'accord sur certain point par sur tous

les 200 qui bloquent la france by

29 août 2012

le socialisme dans toute sa splendeur

ps,sénat,cumul mandat,maire,député,hollande,ps,gauche,indemnités sénateur,projet pour la france,parti francais,partie pour le referendum,impot,contribuable,rebsamen,dijon,menteur,filou,
faite ce que je dis pas ce que je fais
Le socialiste Rebsamen souhaite que les sénateurs continuent à cumuler leurs mandats :


Citer:
Le socialiste Rebsamen souhaite que les sénateurs continuent à cumuler leurs mandats :

Emblématique de la volonté de rénovation sous l'ère Aubry, le non-cumul des mandats suscite de fortes réticences chez certains socialistes, au point que François Rebsamen, proche de François Hollande, a clairement dit son souhait que les sénateurs puissent y échapper.

"Je plaide pour qu'il y ait une situation particulière faite pour le Sénat", a affirmé mardi sur RMC le sénateur-maire de Dijon, interrogé sur le 48ème des 60 engagements du candidat François Hollande, qui veut interdire à un parlementaire d'avoir en même temps un mandat exécutif local (président ou vice-président de conseil général, de région, maire, maire-adjoint...).

Arguant que les sénateurs ne sont "pas élus par l'ensemble des Français comme les députés", il a réclamé que "les sénateurs, qui représentent les collectivités locales, puissent garder leur mandat local".

Et pour son cas personnel, il a assuré: le non-cumul, ce n'est "pas pour moi". "J'ai pris un engagement devant les électeurs, j'ai été élu pour six ans, jusqu'en 2014 je serai sénateur et maire".

Celui qui fut numéro 2 du PS derrière François Hollande plaide, parallèlement, "pour qu'il y ait un statut de l'élu local". Car "un élu local, aujourd'hui n'a pas la sécurité sociale". Selon lui, il faut donc "reconnaître le statut de l'élu local, si on veut limiter le cumul des mandats".

Des propos qui interviennent après un rappel à l'ordre, vendredi à La Rochelle, de Martine Aubry, qui a fait du non-cumul des mandats un des éléments forts de la rénovation du parti.

"Quand nous avons préparé les listes des sénatoriales et des législatives (...), nous avons demandé à tous ceux qui étaient candidats et avaient un (mandat, ndlr) exécutif et ne l'abandonnaient pas, de nous écrire une lettre selon laquelle ils démissionneraient de leur (mandat) exécutif avant la fin septembre".

"Il reste un mois", a-t-elle lancé, ironisant: "Est ce qu'il y encore des socialistes qui signent des engagements et qui ne les respectent pas ? Non !".

Hollande très ferme

Les instances dirigeantes du PS devait réaffirmer, dans une lettre examinée mardi soir en Bureau national, cette règle, votée par les militants socialistes en 2010, obligeant tout parlementaire à quitter tout mandat d'exécutif local dans les trois mois suivant son élection.

En 2010, face à la grogne des sénateurs alors fortement soutenue par François Hollande, Mme Aubry avait fait une concession, accordant aux membres de la Chambre haute un sursis jusqu'à l'automne 2012.

Le Premier ministre, lors de son discours de politique générale le 3 juillet, avait affirmé que la fin du non-cumul s'appliquerait "à partir de 2014". "On le fera", assure-t-il fermement, en privé.

Et il faudra, au moment de la préparation du projet de loi, "penser au statut des élus locaux qui conduisent souvent des tâches difficiles et exigeantes", a-t-il assuré samedi à La Rochelle devant les jeunes socialistes.

Ce projet, qui doit donc aller plus loin que la législation actuelle en vigueur datant de 2000 et 2003, verra le jour après la remise fin octobre des travaux de la Commission sur la rénovation de la vie publique que le chef de l'Etat a confiée cet été à l'ancien Premier ministre Lionel Jospin.

En juin, le ministre des Relations avec le Parlement Alain Vidalies avait repris à son compte l'idée d'un "curseur" qui chemine au sein de certains élus socialistes, pour exempter les maires des petites communes de la règle du non-cumul: "Est-ce que cela sera 20.000 habitants, ou 3.500, cela fera partie du débat".


on devrait leur rappeler a chaque election ce qui s'est passé en 1793
15 juillet 2012

une republique irreprochable qu ils disent tous

Soupçonné de corruption, le sénateur PS Kaltenbach en difficulté

en ce qui me concerne je ne me deplace plus dans les urnes quand il n y a que l umps je me suis fait baiser une fois en votant ps dans ma ville resultat des courses  c est pire encore moins d'ecoute et qu une seul envie me barrer au plus vite

bref autant etre abstentioniste au moins aucun regret

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