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1 juin 2021

Comment le Danemark est devenu le poste d'écoute de la NSA en Europe

https://youtu.be/iaPwU7YVGv8

je suis pour sortir de l otan et redonner une indépendance totale à la France

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1 mai 2021

ne jamais faire confiance aux américains

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1 mai 2021

ne jamais faire confiance aux américains

Les Etats-Unis commencent officiellement samedi le retrait de leurs derniers soldats d'Afghanistan, qui une fois achevé sonnera la fin d'une guerre de 20 ans pour eux, mais ouvrira une période de forte incertitude pour un pays sous l'emprise grandissante des talibans.

Dans les faits, le processus de retrait est déjà en cours, selon des responsables américains en Afghanistan, et la date du 1er mai est avant tout symbolique. Il s'agissait de l'échéance choisie lors de l'accord signé en février 2020 à Doha, au Qatar, avec les talibans par l'ancienne administration de Donald Trump, actant ce retrait.

Ces derniers jours, le ciel au-dessus de Kaboul et de la base aérienne toute proche de Bagram s'est plus souvent que d'ordinaire rempli d'hélicoptères américains, chargés de préparer ce grand départ, qui interviendra d'ici le 11 septembre, date du 20e anniversaire des attentats de 2001.

Les alliés de l'Otan ont eux commencé jeudi le retrait des contingents de la mission "Resolute Support", qui doit se faire de manière coordonnée avec les Américains.

Les forces de sécurité afghanes étaient en état d'alerte samedi, redoutant des attaques contre les forces américaines au moment de leur retrait.

"Les Américains vont officiellement commencer leur retrait à partir du 1er mai et les talibans pourraient intensifier la violence", a déclaré le ministre de l'Intérieur par intérim Hayatullah Hayat aux chefs de la police tard vendredi, selon un clip audio remis aux journalistes.

"Je vous ordonne d'augmenter les points de contrôle dans les villes et de mener des opérations de recherche aux points d'accès", a-t-il ajouté.

Le président Joe Biden avait confirmé mi-avril le départ des 2.500 soldats encore présents en Afghanistan. "L'heure est venue de mettre fin à la plus longue guerre de l'Amérique", avait-il déclaré, estimant que l'objectif de l'intervention, qui était d'empêcher l'Afghanistan de servir à nouveau de base à des attaques contre son pays, avait été rempli.

Les Etats-Unis étaient intervenus en Afghanistan dans la foulée des attentats de 2001 contre les tours jumelles de New York et le Pentagone. Ils ont chassé du pouvoir les talibans, accusés d'avoir accueilli la nébuleuse jihadiste Al-Qaïda responsable des attentats, avant de s'enliser.

Au plus fort de leur présence, en 2010-2011, quelque 100.000 militaires américains étaient déployés dans le pays. Plus de 2.000 Américains et des dizaines de milliers d'Afghans ont été tués au cours de ce conflit. 

 

Depuis la signature de l'accord de Doha, les talibans se sont abstenus d'attaquer directement les forces étrangères. Mais ils se sont montrés sans pitié avec les troupes gouvernementales, qu'ils ne cessent de harceler dans les campagnes, tout en terrorisant les grandes villes avec des attentats ciblés.

L'annonce du départ des Américains n'a fait qu'exacerber la peur de nombreux Afghans, qui redoutent de voir les talibans revenir au pouvoir et imposer le même régime fondamentaliste que lorsqu'ils gouvernaient le pays, entre 1996 et 2001.

- Le chaos n'est pas exclu -

"Tout le monde est effrayé à l'idée de retourner aux jours sombres de l'ère talibane", a déclaré à l'AFP Mena Nowrozi, une employée d'une radio privée à Kaboul. "Les talibans sont toujours les mêmes, ils n'ont pas changé. Les Etats-Unis auraient dû rester au moins une ou deux années de plus".

Le président afghan, Ashraf Ghani, affirme que les troupes gouvernementales, qui depuis plusieurs mois déjà se battent seules sur le terrain - mais parfois avec le soutien aérien des Américains -, sont "pleinement capables" de résister aux insurgés.

Il veut aussi croire que le retrait américain signifie que les talibans n'ont plus de raison de continuer à se battre. "Qui tuez-vous? Qui détruisez-vous? Il en est maintenant fini de votre prétexte de tuer des étrangers", a-t-il dit cette semaine dans un discours.

Mais le chef d'état-major américain, le général Mark Milley, a reconnu mercredi ne pas pouvoir exclure l'éventualité d'un chaos total. "Dans le pire des cas, on a un effondrement du gouvernement afghan, un effondrement de l'armée afghane, on a une guerre civile, on a la catastrophe humanitaire qui va avec, puis le retour potentiel d'Al-Qaïda", a-t-il admis.

 

 

Abdul Malik, un policier de Kandahar (sud), dans une province qui est l'un des bastions historiques des talibans, a affirmé à l'AFP que les forces armées étaient prêtes. "Nous devons défendre notre patrie (...) Nous ferons de notre mieux pour défendre notre sol", a-t-il insisté. 

Rien ne garantit que les talibans n'attaqueront pas les troupes américaines ou de l'Otan pendant leur retrait. S'ils le faisaient, ce serait "pour faire saigner le nez d'un ennemi battu et pour l'humilier encore plus", souligne l'expert indépendant Nishank Motwani.

Pour Andrew Watkins, analyste à l'International Crisis Group, les prochaines semaines vont permettre à l'armée afghane et aux talibans "de se battre et d'évaluer leur adversaire sans le facteur supplémentaire qu'étaient les Etats-Unis".

25 avril 2021

Joe Biden a reconnu samedi le génocide arménien, devenant le premier président des Etats-Unis à qualifier ainsi la mort d'un mil

Joe Biden a reconnu samedi le génocide arménien, devenant le premier président des Etats-Unis à qualifier ainsi la mort d'un million et demi d'Arméniens massacrés par l'Empire ottoman en 1915.

bonne nouvelle

il fait des trucs bien quand meme ce biden

21 avril 2021

au fou chez youtube

youtube , censure,limite d'age,cachez ce sein que je ne saurais voir,usa,pudibonderie,

les dingos dégénérés de chez youtube mette une limite d'age à la vidéo summer time de janis joplin  par ce qu il y a la photo de janis nu!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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30 mars 2021

l'incohérence de bidet

euh sans vouloir etre mechant mais je vois pas comment on peut lutter contre rechauffement climatique  et faire de la protection de l environnement en construisant route bitume et beton?????
il dirait on va planter arbre enlever las lampadaires responsable d ela pollution lumineuse moins bitumé ok mais la !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bref  du vent le bidet

 

Biden avance sur les infrastructures et revendique une présidence audacieuse ass="c-image-news"> image-news__legend">Le président américain Joe Biden s'exprime depuis le Bureau ovale le 3 mars 2021 ( AFP / Brendan Smialowski ) Joe Biden le répète sur tous les tons: il veut "voir grand". 

Le président américain lance cette semaine la deuxième offensive de son mandat: un projet d'investissements massifs dans les infrastructures s'accompagnant de hausses d'impôts qui restent à définir mais font déjà hurler ses adversaires politiques.

Preuve de l'importance qu'il attache à ce dossier, qui pourrait être un marqueur de sa présidence, il s'exprimera mercredi depuis Pittsburgh, dans le nord-est, la ville où il a lancé sa campagne il y a deux ans.

Et signe d'une présidence qu'il veut audacieuse et réformatrice, celui que Donald Trump avait tenté de caricaturer en "Sleepy Joe" (Joe l'endormi) sans idées ni lignes directrices devrait avancer des chiffres qui pourraient, une nouvelle fois, donner le tournis.

Après avoir fait adopter par le Congrès un plan de sauvetage centré sur la pandémie de Covid-19 de près de 2.000 milliards de dollars, il pourrait cette fois-ci vanter les mérites d'une enveloppe de 3.000, voire 4.000 milliards.

Objectif affiché? "Reconstruire notre économie et créer des emplois mieux payés pour les travailleurs américains", selon la formule de sa porte-parole Jen Psaki.

Le projet s'articule autour d'une promesse mille fois répétée en campagne: "Build Back Better" ("Reconstruire mieux"), visant à moderniser les installations, relever le défi de la compétitivité face à la Chine, mais aussi à placer les enjeux climatiques au coeur de la politique américaine.

La Maison Blanche est jusqu'ici restée avare en détails, alimentant les spéculations sur les projets et les sommes envisagées mais aussi la stratégie politique.

Seule certitude: le discours de Pittsburgh ne sera que le point de départ d'une âpre bataille au Congrès à l'issue très incertaine. Sa majorité y est en effet étriquée, et les tractations s'annoncent redoutables.

Les mois à venir mettront à l'épreuve les qualités de négociateur et de fin connaisseur des rouages de Washington de ce "vieux lion" de la politique", selon l'expression de Barack Obama.

>- Buttigieg en première ligne - ge-news"> s="c-image-news__legend">Pete Buttigieg, le secrétaire américain aux Transports, durant une audition au Sénat à Washington, le 21 janvier 2021 ( GETTY IMAGES NORTH AMERICA / POOL )

Restaurer ou construire des routes, des ponts, des voies ferrées, des ports et des aéroports? L'idée est bien sûr parlante pour le grand public, d'autant que nombre d'infrastructures aux Etats-Unis datent des années 1950 et que leur délabrement ne fait pas débat.

Mais au-delà de la célèbre ritournelle "c'est un sujet sur lequel démocrates et républicains peuvent s'entendre", dégager un consensus politique n'est pas une mince affaire.

Les deux prédécesseurs de Joe Biden, Donald Trump et Barack Obama, avaient, eux aussi, slogans à l'appui, fait de grandes promesses sur ce thème. Elles sont restées lettre morte.

La question revient en boucle: comment les financer? 

Ancien rival de Joe Biden dans les primaires démocrates, Pete Buttigieg, désormais ministre des Transports, qui sera en première ligne sur ce dossier, assure que tout sera différent cette fois-ci, que les étoiles sont alignées.

"Je pense que nous avons une occasion extraordinaire d'avoir le soutien des deux partis pour voir grand et faire preuve d'audace sur les infrastructures", martèle le jeune ministre.

"Les Américains n'ont pas besoin qu'on leur explique que nous devons agir sur les infrastructures et la réalité est que vous ne pouvez séparer la dimension climatique" de ce défi.

Si l'enthousiasme et le capital politique de Pete Buttigieg sont réels, la tâche s'annonce ardue.

Pour DJ Gribbin, expert au sein de la Brookings Institution et ancien conseiller de Donald Trump sur les infrastructures, Joe Biden ferait bien de s'inspirer des erreurs de ses prédécesseurs.

Il s'agit d'abord de définir avec précision le rôle du gouvernement fédéral qui n'est, dans l'écrasante majorité des cas, pas le propriétaire de ces infrastructures.

Mais il s'agit aussi de se méfier du risque d'un projet trop "technique" et de garder toujours garder en tête l'appétit des Américains, et de leurs élus, pour des projets "tangibles": quelle réduction dans mes temps de transport? Les nids-de-poule sur les routes seront-ils éliminés?

S'il ne change pas d'approche, Joe Biden se heurtera, lui aussi, au Congrès, écrit DJ Gribbin dans un billet de blog. Et échouera.

"Et la tradition des futures candidats à la présidentielle promettant en vain des milliers de milliards de dollars pour nos infrastructures se perpétuera".

30 mars 2021

les américains ne bougeront pas le petit doigt pour taiwan

arretons de croire qu ils feront quelque chose pour taiwan quand les chinois decideront de s'en emparer

ils leveront pas le petit doigt et ca ne serait pas la 1er fois qu ils laisseront tomber leur allié ( vietnam,afghanistant,...............)

je dirais meme plus ils se servent de   taiwan comme  pot de miel pour les chinois

A mon avis les ultrariches taiwanais ont du deja rapatrié leur pognon aux usa

quand aux autre ils seront les cocus de l'histoire

https://www.lefigaro.fr/international/taiwan-cristallise-les-crispations-entre-pekin-et-washington-20210328

17 janvier 2021

McKinsey, le cabinet qui dirige le monde (et la vaccination en France)

"La Firme", cabinet américain mandaté pour conseiller la France dans sa campagne de vaccination, s’est retrouvée sous le feu des projecteurs et des critiques. Mais c’est depuis bien longtemps qu’elle tisse la toile de son influence au plus haut niveau des multinationales, de l’État et des partis politiques. En particulier dans la Macronie. Enquête.

https://www.marianne.net/politique/gouvernement/mckinsey-le-cabinet-qui-dirige-le-monde-et-la-vaccination-en-france

5 janvier 2021

Géopolitique, Argent et Hydroxychloroquine

Pourquoi se faire vacciner, 7 jours à la lanterne suivi d'un séjour au fort de brégançon et tout va bien, le petit dictateur se porte à merveille.

micron et ses putes en marche sont des pourries totales à la guillotine vite

16 novembre 2020

Qui est réellement Joe Biden ?

un vieux grabataire quoi on remplace un milliardaire sénile par un autre milliardaire sénile lol les usa ne sont pas une démocratie

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